Un Homme Dominateur 5/6

Notre expérience avec Paul a pris un tournant que je n'avais pas du tout prévu. Après lui avoir demandé un soir, vouloir participer aux ébats avec ma femme, il avait baisé Sandrine alors qu'il nous avait demandé de nous placer en position soixante neuf. J'avais léché la chatte de ma chérie alors que la grosse bite de Paul la pilonnait.
Le lendemain, comme à son habitude depuis plus de quatre mois, Paul a envoyé un colis avec à l'intérieur, seulement une paire de bas et un porte jarretelles. Le message qui avait suivi me disait : Me recevoir dans cette tenue, rien de plus. Message très court, comme à son habitude, qui voulait dire que moi, je serais à poil. Va-t-il m'enlever la cage de chasteté aujourd'hui ? J'espère. Lorsqu'il arrive à la maison vers vingt heures, je lui sers son whisky. Sandrine est magnifique dans sa petite tenue. Il se rapproche d'elle, l'att par les cheveux et la force à se mettre à genoux. Sandrine comprend immédiatement ce qu'il attend. Elle déboutonne le pantalon de son amant, en sort la grosse queue et l'avale aussitôt. Elle le suce comme une affamée de sexe, mais surtout comme Paul aime être sucer. La bite prend vite ses proportions hors norme, aussi bien en longueur qu'en épaisseur. Mais ça n'empêche pas ma femme de la prendre entièrement dans sa bouche. Après plusieurs minutes à se faire sucer, comme la veille, il nous demande de nous positionner en soixante neuf. Je commence à lécher la petite chatte qui dégouline déjà de plaisir. Paul vient ce positionner entre les cuisses de Sandrine et la pénètre jusqu'à la garde, sans ménagement, ses couilles se posant sur mon visage. Il attaque aussitôt des vas et vient très vigoureux, comme s’il était pressé et qu'il voulait en finir au plus vite. Je continue de lécher le clitoris gonflé à son maximum. Sandrine hurle de plaisir, la cyprine coule à flot, je me régale, elle jouie puissamment. Paul sort sa queue et la frotte sur mon visage, me bifle avant de se réintroduire dans la chatte de Sandrine.

Il reprends sa baise bestiale. Je n'ai pas vraiment réagi à ce qu'il vient de me faire. J'ai toujours ses couilles qui se promène sur mon visage au rythme de ses vas et vient. Il sort de nouveau sa bite et l'introduit dans ma bouche. Je n'essaie même pas de le repousser, je lui pompe le gland alors qu'il entame sa baise buccale. Il essaie d’aller au plus profond de ma bouche et à ma grande surprise, j'accepte sans difficulté sa queue jusqu'à la garde. Il se retire de ma bouche et retourne dans la chatte de Sandrine, avant de revenir dans ma bouche. Il alterne comme ça plusieurs minutes avant de déverser en plusieurs jets, son sperme épais sur mon visage. Avec sa queue, il fait glisser sa semence vers ma bouche qui se rempli de nectar. Il rigole en disant :
« -Je ne t'aurait pas cru aussi docile. C'est bien, on va vraiment pouvoir s'amuser maintenant. Sandrine, vient nettoyer ton mari. »
Elle se rapproche et comme la veille, elle me lèche le visage comme une gourmande, ne laissant plus la moindre trace de la jouissance de Paul. J’ai très envie de baiser. Malgré la cage qui me bloque tout, je suis dans un bel état d'excitation. Alors, je relance la conversation de la veille :
« - Paul, je vous ai demandé hier si je pouvais participer.
- Oui, et tu a participé.
- J'aimerais que vous m'enleviez cette cage, pour pouvoir faire l'amour à ma femme.
-Non, à la fin du contrat. Pas avant. »
Et sans que j'ai le temps de dire autre chose, il est parti. Au moins, je sais à quoi m'attendre, plus besoin d'espérer quoique ce soit. Je demande à Sandrine si elle voudrait pas arrêter ce contrat, lui expliquant que c'est très dur pour moi de ne pas pouvoir lui faire l'amour. Elle me répond qu'elle souhaite aller au bout des six mois, qu'on a engagé notre parole et qu'il faut respecter notre engagement. Elle a raison, notre parole est sacrée. Et puis sa réaction me prouve qu'elle apprécie cette situation, alors je ne souhaite pas lui retirer ce plaisir.

Le lendemain, dans notre petit colis journalier, il y avait deux plug en alu et une bouteille de lubrifiant. Rien de plus. Là, j'ai mon cœur qui c'est mis à battre à cent à l'heure. Je n'étais pas rassurer du tout. Je me doutais vraiment de la suite des événements. Dans le message qui à suivi la livraison, il était écrit : Veuillez vous équiper de ces accessoires et me recevoir nu. D'abord, je tiens à préciser que ça va être une première pour Sandrine et moi de s'introduire quelque chose dans l'anus. Certes, elle c'est fait sodomiser une fois par Sylvain et sa bite fine ( lire la 3ème parties ), mais entre nous, elle m'a toujours refusé son petit trou. Là part contre, elle ne refuse pas du tout. Au contraire, c'est elle qui a sorti les plug de leur emballage et les a nettoyés. Je préfère ne rien dire. Peu avant vingt heures, on c'est déshabillé. En prenant bien mon temps, j'ai préparé et enduit l'anus de Sandrine de lubrifiant avant de lui introduire le plug. J'ai adoré ce moment. Elle en a fait de même avec moi. La sensations est assez bizarre, mais très agréable. Je me demande même pourquoi je n'ai pas essayé ça avant.
Lorsque la sonnette retenti, encore une fois, c'est Sandrine qui va ouvrir la porte. Paul me demande un whisky et je file lui servir. Lorsque je reviens et lui donne son verre, il boit une gorgée et me demande de m'allonger sur le canapé. Il demande ensuite à Sandrine de venir se placer en position soixante neuf sur moi et je commence à la lécher. Sa chatte dégouline déjà de plaisir. C'est vraiment délicieux. Qu'est ce que j'aimerais ne plus avoir cette cage pour qu'elle puisse me sucer la queue. Mais à défaut de moi, c'est Paul qui va ce faire sucer. Je ne le vois pas dans cette position mais j’imagine très bien la scène. Le salop profite bien, car il reste un long moment à ce faire sucer. Puis, il fait le tour et vient ce placer entre les cuisses de Sandrine. Il me colle sa bite dans la bouche et commence ses vas et vient. Il mène le rythme à une cadence lente, mais m'enfonce sa queue au fond de la gorge à chaque pénétration.
Je l'entends respirer très fort, signe qu'il prend beaucoup de plaisir. Sandrine est en train de jouer avec mon plug. Elle le sort de mon anus, le rentre. C'est vraiment très agréable comme sensations. Puis Paul reprends son sexe en main et le guide sur la chatte de Sandrine. D'une poussée, il la pénètre jusqu'à la garde et entame ses vas et vient. J'ai une vue imprenable sur la pénétration, malgré les couilles qui ballotte sur mon visage. Je continue de lécher le clitoris, de le stimuler au maximum jusqu'à ce que ma femme parte dans un orgasme foudroyant. Juste après ce moment là, alors qu'il continue de baiser Sandrine, Paul me demande de lui lécher les couilles. Sans la moindre hésitation, j’obéis à son ordre. Au début, je donne juste quelques petits coups de langue, puis-je le lèche vigoureusement avant de lui gober. J’imagine très bien le plaisir qu’il doit ressentir à baiser Sandrine tout en ce faisant lécher les boules. Je l'envie car ça doit vraiment être exquis. Après plusieurs minutes de ce traitement, il me remet sa bite dans la bouche et il retire le plug de Sandrine. Je le suce quelques instants avant qu'il oriente sa bite sur le petit trou de ma femme. D'une poussée, le gland pénètre l'anus et sans laisser le moindre temps pour s'habi à la choses, la queue se retrouve entièrement dans l'orifice. J'ai les yeux rivés sur le spectacle. Il entame aussitôt ses vas et vient. Sandrine hurle de plaisir ou de douleur, je ne saurais le dire, mais la cyprine coule à grosses gouttes sur mes lèvres. Je me remet à lui lécher la chatte, et me régale tellement elle mouille. Malgré son énorme queue, il n'y va pas doucement le salop. En même temps, il ne sait pas qu'elle n'est pas habituée de ce côté-là, il n'a jamais demandé. Il la baise un long moment comme ça et à ma grande surprise, Sandrine jouie puissamment. Pourquoi m'a-t-elle toujours refusé se plaisir, alors que finalement, elle prend son pied. Il finit par se retirer de l'anus et me remet sa bite dans la bouche.
Je le suce, lui gobe la queue jusqu'aux couilles. Je pense qu'il veut se vider dans ma gorge mais pas du tout. Il vient ce placer entre mes jambes et demande à Sandrine de le sucer. Il me retire le plug. J'ai le cœur qui bat très fort car je sais très bien se qu'il va me faire. J'ai beaucoup d'appréhension mais je laisse faire. Ça y est, c'est parti, je sens son gland se glisser entre mes fesses. Il exerce une forte pression sur mon anus qui finit par céder et accueil sa tige de chair. Comme pour Sandrine, il n'y va pas progressivement. Il me pénètre entièrement et attaque ses vas et vient aussitôt. Je suis agréablement surpris des sensations que je ressens. Aucune douleur, bien au contraire. Un plaisir intense me submerge tout le bas ventre. Il me ramone le cul sans ménagement et je prends un pied d'enfer. J’ai toujours la chatte de Sandrine juste au dessus de mon visage, alors je plonge ma bouche dessus pour la lécher de nouveaux. Mais j'ai beaucoup de mal à me concentrer à la tâche car ce que me fait Paul est très intense. Encore une fois, je maudit cette cage de chasteté car j'imagine le plaisir que je pourrais avoir, avec Sandrine qui me suce et me branle pendant cette sodomie. J'espère qu'elle sera d'accord pour refaire ça plus tard, quand je serais libéré. En attendant, Paul c'est retirer de mon derrière et a ordonné à Sandrine de le sucer de nouveaux. Et a entendre ses râles de plaisir, il doit être en train de jouir au fond de la gorge de ma femme. Il se fait sucer quelques secondes, se fait bien nettoyer la queue avant d'aller se rhabiller et de partir. Avec ma femme, on discute de ce qu'il vient de se passer et j'apprends que c'était un de ses phantasmes de me voir baiser avec un autre homme. Je lui avoue que j'ai vraiment aimé et qu'il faudra remettre ça, quand je serais libéré de ma cage.
A suivre…

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