Olivier 02 Chez Olivier

OLIVIER 02 CHEZ OLIVIER


J'étais épuisé, je m'étais levé tôt et je ne m'étais pas endormi avant trois heures de la nuit … J'ai failli dire du matin mais bon à trois heures on n'est pas encore le matin !

Je ne sais pas qu'elle heure il était quand je me suis réveillé.

Il avait tenu parole. Pendant mon sommeil, il s'était glissé contre moi, tout contre, sans rien dire, sans prévenir il avait enfilé un préservatif et avec une grosse dose de lubrifiant s'introduisait délicatement. C'est ça qui m'a réveillé, il m'enculait et ça me réveillais avec le sourire.

Il y allait doucement, mais il y allait. Au moment ou j'ai réagi, il m'a donné un baiser très tendre dans le cou et s'est enfoncé bien à fond. J'en ai gémi de plaisir. Ça c'était un réveil comme je les aime. C'est trop rare ce genre de matinée. Ce genre de soirées comme la veille aussi en ce moment ça se fait rare.

J'ai porté le dispositif de chasteté pendant plus de huit semaines. Abstinence totale, je n'ai eu aucun contact avec personne. Je n'ai encore jamais osé montrer mon truc à personne.

Olivier bougeait avec lenteur, je sentais le plaisir monter en moi. Mon anus était particulièrement sensible ce matin là. C'est vrai qu'avec le saucisson que je m'étais enfiler la veille au soir … A côté sa queue semblait toute petite, particulièrement adaptée. Elle était pourtant de taille tout à fait correcte et là ça glissait bien. Chacun de ses mouvements était un régal, un délice.

J'ouvrais la bouche et je gémissais de plaisir, des '' encore '', des '' c'est bon '', des '' vas-y défonce moi ''. Il se lâchait, il accélérait le mouvement, son bassin frappait doucement contre mes fesses … Ses mouvements devenaient plus violents et son bassin claquait fort maintenant contre mes fesses.

Il me repoussait, je me retrouvais allongé sur le ventre les jambes écartées, lui au dessus me burinait avec violence.

Je râlait de plaisir.

De tout son poids, de toutes forces il me défonçait le cul maintenant, je gueulais de plaisir, la bouche ouverte, je n'articulais plus que des sont gutturaux, j'étais aux anges. Décidément ce genre de réveil il faudra que je m'abonne. Vous connaissez une l'adresse ?

Il finissait par se lâcher, je devinais qu'il éjaculait, il se laissait retomber lourdement sur mon dos en me donnant des baisers sur les épaules. Je le sentais frissonner.

Olivier : Tu as aimé j'ai l'impression.
Moi : Génial comme réveil, en douceur puis plus vigoureusement, ça met en forme.
Olivier : Passif-actif, c'est cool ! C'est un peu comme moi quoi !
Moi : Et toi tu es plus passif ou actif.
Olivier : Un peu les deux. Il faut changer, explorer de nouvelles sensations. J'aime bien les grosses bite, bien large comme la tienne par exemple.

Il se laissait retomber sur le dos à côté de moi. J'avais joui, j'avais joui par le cul mais je n'avais pas éjaculé, je n'arrive pas à me faire éjaculer quand je me stimule par le cul et Olivier n'avait pas fait mieux. Il m'avait tout de même fait jouir. Mon cœur battait fort et je me sentais vraiment bien.

Il se levait, il avait lui aussi l'air reposé. Comme par réflexe ou par habitude il allumait son ordinateur. Je ne le suivais qu'un peu plus tard. Il était devant son ordinateur, a poil. J'étais à poil aussi du coin de l’œil je reconnaissais le site sur lequel il était. C'est le site ou je poste mes textes.

Je ne vous ais pas dit. J'écris des texte porno-érotique que je diffuse sur internet, je suis aussi sur Twitter. @CharlyChast . Mais là il était sur le site HDS. J'y ai diffusé de nombreux textes.

Je m'approchais, et je reconnaissais le titre d'une de mes histoires '' En prison ''. C'est l'histoire d'un p'tit gars qui s'appelle Philippe qui se retrouve avec une cage à bite inviolable, obligé de gardé le truc plus longtemps que prévu.
La prison c'est sa cage à bite. Je ne vous raconte pas le dénouement si vous suivez l'histoire vous finirez par la lire un jour ou l'autre. (Éh, éh, éh … L'histoire ne sera pas publiée avant l'automne … Note de l'auteur )

Moi : C'est quoi ?
Olivier : Rien, un truc …
Moi : Fais voir.

Il avait l'air un peu embarrassé.

Olivier : C'est un peu spécial, ça va pas te …
Moi : Ça ne va pas me … ?
Olivier : Te choquer.
Moi : Il en faut plus que ça pour me choquer !
Olivier : C'est l'histoire d'un mec, il a dix sept ans. Son père fabrique des dispositifs de chasteté … Tu connais ?
Moi : J'ai Internet moi aussi ! Ce sont des truc dans lesquels tu enfermes ta queue … Oui je connais.
Olivier : Je parlais du site.
Moi : Bein oui. Même si le photos c'est plus explicite ! Il n'y a pas de photo là.
Olivier : C'est toute une série, en fait il y a plein d'histoires et elles se suivent.

Il commençait à me parler de cette série : Philippe . Il me la racontait, l'histoire de son grand père : Djé. Ou encore l'histoire de son petit fils : David.

Moi : Tu as l'air de bien aimer cette série toi ?
Olivier : J'adore. L'idée d'avoir la queue emprisonnée dans un dispositif, de ne rien pouvoir faire, d'être totalement passif.
Moi : Je croyais que tu étais actif-passif ?
Olivier : Il y a des fois j'aimerais être passif-passif ! Pas en permanence, je veux dire pas d'une manière définitive mais ouai ! Histoire de découvrir de nouvelles sensations …
Moi : Comme dans ces histoires.

On prenait notre petit déjeuner et je le faisais parler. C'était un de mes lecteurs réguliers, il n'y avait pas de doute. C'était la première fois que j'en rencontrais un en contact directe, physique, sexuel même. Je savourais l'instant.

Il connaissait bien mes histoires, et me les racontait.

Olivier : Il y a toujours dans une série des histoires qui sont mieux que les autres.
J'aime bien l'épisode ou ils arrivent au château en faisant le mur ( Djé Ep 11 : Comme des voleurs ). Ils se prennent une baffe, ça ils ne s'y attendaient pas puis ils se retrouvent sous clé pour au moins un an. Il y a aussi le personnage de Luc, le petit frère … Et puis le mec qui écrit ça il a aussi un compte Twitter, il y a des photos des son dispositif, c'est du fait maison .

Il connaissait très bien même mes histoires.

Olivier : Tu les as lu ces histoires ?
Moi : Pas vraiment !
Olivier : Ça ne t'intéresse pas ?
Moi : C'est pas …
Olivier : Tu veux que je te donne l'adresse du site ?
Moi : Non, ça va, je connais.
Olivier : Mais tu as lu les histoires ou pas ?
Moi : Je les ai écrites !

Là il me regardait incrédule. Il faisait une tête, je pouffais de rire.

Olivier : Ouai ça va j'ai compris, tu te moques de moi !
Moi : Mais non je te jure, mon vrai nom c'est pas Charly … C'est mon pseudo d'auteur.
Olivier : Alors tu devrais pouvoir répondre à ces questions.
Moi : Je t’écoute.
Olivier : Là tu viens de retirer ton dispositif ?
Moi : Tu as remarqué aussi ! Lol ! Hier matin. Je l'ai dit sur mon compte Twitter !
Olivier : Exact ! Et tu le portais depuis combien de temps ?
Moi : Sachant que je prends en compte que les semaines complètes, huit. Je l'avais mis un vendredi, on rajoute trois jours qui ne compte pas. Je l'ai retiré hier matin, vendredi. Ce qui fait quatre jours qu'on ne compte pas … Donc Huit semaines auxquelles il faut rajouter 7 jours, ça fait neuf semaines mais on n'en compte que huit !
Olivier : La vache, alors c'est vrai !

Le reste de la matinée il me harcelait de questions. J'y répondais et rapidement il n'avait plus de doute. Il me croyait.

Il me montrait plusieurs dispositifs qu'il avait acheté.

Olivier : Aucun de ces dispositif ne me convient. Soit je ne les supporte pas, soit ils ne sont pas sécurisé.
J'en ai six et j'ai pas envie de continuer à investir pour rien.
Moi : Tu veux que je te le fabrique ?
Olivier : Tu voudrais bien ?
Moi : Oui mais il y aura une condition !
Olivier : C'est d'accord !
Moi : La condition …
Olivier : C'est d'accord !
Moi : Mais laisse moi te donner ma condition …
Olivier : Bon je t'écoute mais je suis d'accord !
Moi : Bon cette petite serrure qui sert à verrouiller la fausse Holly-Trainer fabriquée en Chine tu la gardes précieusement, elle servira à refermer ton futur dispositif. La condition est simple … C'est moi qui garderai les clés !
Olivier : C'est d'accord !

Il n'a pas hésité une seconde.

Olivier : Toutefois … Moi je garderai tes clés !
Moi : C'est d'accord.

On était toujours à poil et il bandait ferme, cette proposition lui faisait de l'effet. Moi aussi je bandais ferme.

Moi : Il va falloir prendre tes mensurations ( je le faisais rapidement ), en érection là il n'y a pas de problème. Mais je voudrais aussi prendre les mesures au repos et là …
Olivier : Oui bon là il y a un petit problème. Encule moi !

J'étais en forme et même si je suis principalement passif, c'était pour rendre service et aussi par nécessité. Il prenait position, me tournait le dos et se penchait en s'appuyant contre la table. Je me plaçais derrière lui.

Moi : Garde tes jambes bien serrées, je vais te prendre comme ça.

Il ne répondait rien mais prenait la position. Je me lubrifiais généreusement, et avec une certaine violence je le pénétrais complètement. Il râlait …

Olivier : Vas y doucement, elle est grosse …
Moi : Pas tant que ça.
Olivier : Si elle est grosse et tu me fais mal …
Moi : Petite nature, tu veux déjà que je me retire ?
Olivier : ( d'une voix crispée ) Non vas y défonce moi le cul.

Je ne m'en privais pas. A chacun de mes mouvements, surtout au début, je le sentais se contracter et je l'entendais gémir. Son cul se resserrait. Je l'avais un peu brusqué et il se refermait, il était étroit. J'aime bien, je sentais son anus se refermer fortement autour de ma queue, c'était génial. Peut être moins pour lui, mais je dois vous avouer que je m'en moquais. Moi je prenais mon pied, j'avais passé plus de soixante jours sous clé et j'avais surtout envie de me faire plaisir.

Je bandais ferme, je limais avec violence. J'appuyais bien mon ventre contre ses fesses, le tirais vers moi, il gémissait. Quand je me retirais c'était pas complètement. Je ralentissais le rythme, mes mouvements devenaient alors amples et lents. Par moment je me retirais, je ressortais ma bite de son cul, j'en profitais pour réajuster le préservatif et pour déposer une bonne dose de gel.

Je lui donnais un baiser sur l'épaule, je sentais à sa respiration qu'il se détendait et sans prévenir j'enfonçais de nouveau ma queue sur toute sa longueur d'un mouvement violent et rapide. Il se crispais à chaque fois entre mes bras.

Je sentais mon plaisir venir, je sentais son souffle qui devenait plus fort. Je Gémissais, il gueulait. Je gueulais, il hurlait. J'avais joui, j'avais éjaculé. Il avait joui et éjaculé également, il pouvait éjaculer uniquement par une stimulation anale lui. Je me disais que j'y arriverais bien un jour si je continue à m'entraîner.

Pendant quelques instants on ne bougeait plus. Il resserrait son anus et comme je débandais ma queue se faisait expulser, ressortait et retombait en pendant entre mes cuisses. Il se retournait, il avait débandé lui aussi. On passait sous la douche et c'est avec moins de fièvre en nous que je prenais ses mesures au repos.

On ne se rhabillait toujours pas après la douche. J'avais pris ma sacoche dans ma voiture la veille au soir. Je lui montrais mon dispositif qui était dedans, le même que je porte sur les photos sur Twitter. Il le manipulait longuement, me posait plein de questions de détails, j'y répondais. Il était visiblement excité par l'idée d'en avoir un pareil.

Vers le milieux de l'après midi on décidait de sortir prendre l'air.

Olivier me regardait avec un petit sourire vicieux.

Olivier : Tu ne reviens pas ici après ?
Moi : Je ne sais pas, tu ne veux plus me voir ?
Olivier : Non c'est pas ça ! Il faut que tu rentre quand ?
Moi : Je peux rester jusqu'à demain soir.
Olivier : Tu veux bien me montrer ce que ça donne ? …

Il me tendait le dispositif avec un grand sourire idiot. Je pouffais de rire, prenais le dispositif, et lui montrait comment il fallait faire pour le mettre.

D'abord on passe un testicule en tirant bien sur la peau, on tire d'un côté on pousse de l'autre … Ceux qui vous diront qu'il faut y mettre des glaçons ou une douche froide disent n'importe quoi. Les couilles on tendance à se ratatiner qu contacte du froid et là c'est plus difficile à les glisser dans l'anneau. Au contraire quand elles pendouillent mollement, au chaud par exemple, c'est plus facile. On tire sur la peau et normalement ça passe tout seul ( ou presque ). Si le dispositif est bien ajusté, comme il convient, ça passe juste mais ça passe. Ceux qui vous disent qu'il faut le dispositif soit bien ajusté, surtout pas trop grand on raison ! Il ne faut pas qu'il soit trop petit non plus …

Oui je sais … L'organe est à géométrie variable aussi c'est un peu pénible pour déterminer la taille du dispositif !

Bon le mien est parfaitement ajusté, ni trop ni trop peu. J'avais les couilles pendantes aussi je parvenais sans difficultés à les passer dans le cock-ring. C'est seulement à l'étape suivante que les glaçons ou la douche froide peuvent se montrer utiles ( bon moi je n'y crois pas mais ... ) il parait que ça aide à débander.

Je n'avais pas ce problème, j'avais déjà joui deux fois depuis mon réveil. Je glissait donc délicatement ma queue dans le cock-ring et je l'ajustais.

Pour l'étape suivante il ne faut surtout pas bander, là on glisse sa queue dans le tube-cage. Mon dispositif est très aéré pour me permettre de décalotter sans le retirer. C'est indispensable pour l'hygiène si on désire le porter sur une longue période, surtout si on n'est pas circoncis ( c'est mon cas ). J'avais laissé ma clé et son cadenas sur la table.

Olivier : Je peux le refermer ?
Moi : Vas y mon bonhomme !

Il glissait le cadenas dans la petite fente au dessus du dispositif, j'étais verrouillé.

C'était une drôle de sensation. C'est un peu comme avec un gode, quand c'est moi qui me donne du plaisir mais quand c'est quelqu'un d'autre, la sensation est très différente. Quand on a le contrôle on sait ce qui se passe mais quand on n'a pas le contrôle tout devient subitement très différent.

C'était la première fois que ce n'était pas moi qui refermais le cadenas !

J'éprouvais une certaine angoisse ainsi qu'un certain plaisir.

Je me disais ( dans ma petite tête ) : '' J'ai comme l'impression que je jour ou je vais lui donner la clé et de fait le contrôle de ma queue ça va être très intéressant. J'ai presque hâte ! ''

On se promenait longuement, le soir on se faisait un petit restaurant asiatique. Il n'était pas tard quand Olivier ensuite me proposais une sortie en boite , musique à fond, danse, enfin quand je dis danse on a bien gigoté, on a bien remué. Comme on était venu en tramway on ne se privait pas de picoler ... Je sais j'ai honte mais je vous jure que je ne le referai plus ( lol ). Bref la veille on s'était couché à trois heures, là il était sept du matin. On peut dire '' du matin '' à sept heures ? J'étais épuisé, à peine un petit câlin et je m'endormais. Olivier s'était peut être déjà endormi avant moi, je ne sais même plus.

Il était dans mes bras au moment ou je me réveillais. Je ressentais cette douce étreinte autour de ma bite et je me souvenais que je n'avait pas retiré le dispositif avant de sortir la veille au soir.

Ça ne me dérangeait pas vraiment au bout de neuf semaines, pardon je voulais dire huit … C'est vrai que je ne compte que les semaines qui vont du Dimanche soir au Dimanche soir …


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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