Collection Histoire Courte. Partouzeuse (1/1)

- Oui, oui, oui, ouiiiiii !
Vas-y, vas-y, vas-y.
Nom de Dieu encore, merde, bourre-moi, oui bourre-moi, ah, ah, ah, ah.
Super, gamin, tu pourras dire que lorsque tu t’es fait dépuceler, tu as fait jouir la salope qui t’a amené dans son lit.
Laisse-moi reprendre mon souffle et je serais prête à remettre le couvert.

Comme souvent, tout a commencé quand Annette m’a téléphoné hier vers seize heures pour me demander de l’accompagner à l’anniversaire d’une copine dans le 16ème.
Je m’apprêtais à passer une soirée tranquille sur mon sofa avec Mistanflûte mon chat de gouttière, il était couché contre moi comme il aime le faire chaque fois que je m’allonge espérant passer une soirée tranquille.
Je venais de lire un texte sur ma tablette sur mon site d'histoires érotiques écrites par Vieulou auteur depuis trop longtemps absent tellement, j’aime ses histoires et ses personnages quand mon portable a sonné.

Les ronronnements de Mistanflûte avaient commencé comme chaque fois qu’il était heureux et oui, nous l’avions affublé de ce nom.

- Tu crois que je peux venir avec toi, je ne connais pas cette nana.
- Tu ne la connais pas, mais Lucie te connaît, du moins elle a entendu parler de toi, n’es-tu pas l’une des meilleures partouzeuses de Paris ?
- Partouzeuse, comme tu y vas, il est vrai que dans les soirées auxquelles j’accepte de participer, je suis loin d’être farouche, je serais même provocatrice surtout après quelques verres d’alcool.
Je n’ai pas de cadeau, si c’est l’anniversaire de ta copine.
- Tu as toujours quelques bouteilles de Tequila en réserve, ma grande !
- Oui, tu sais que chaque mois, j’en achète une caisse, il m’en reste trois litres.
- Ma salope, le 5, quand nous avons fait notre dernière fiesta chez toi, il en restait dix sur les douze que je t’avais aidé à monter.
- Exact, la semaine qui a suivi, trois copains que tu connais, Alain, Franck et Christian son passé chez moi, il est vrai que nous avons bu, mais aussi que ces trois mecs se sont occupés de moi.


- Trois, mais tu es une vraie dévoreuse, j’ai du mal à satisfaire un mec à la rigueur deux, bref amène lui une bouteille, elle aura bien du sel et des citrons verts pour compléter.

Il est 20 heures quand elle me récupère avec son taxi, une seule fois elle a pris sa voiture, au matin, nous avons fini en cellule de dégrisement et Arlette a eu six mois de retrait de permis sans compter l’amende.
Quand le flic a voulu lui faire l’alcool teste, elle refusait de souffler dans l’éthylotest, voulant qu’il lui donne un ballon pour le faire voler.

J’ai mis la nouvelle tenue que j’ai achetée hier, sans être une pute, on peut dire que l’on pourrait le penser.
Arrivé à l’appartement certainement chez des bourges comme je le suis moi-même, nous avons sonné, une jeune femme les seins nus est venue nous ouvrir.

- Annette, merci d’être venue, j’aurais été fâché si tu n’étais pas venue à ma soirée pour mes 19 ans.
- Tu as l’air d’avoir fait le plein, bonjours le rangement demain.
- Oui, j’avais invité 30 copains et copines, on doit être plus de 100, tu vois toi aussi tu es venue avec une copine.
- Je peux partir, Annette, tu me raconteras demain.
- Non, je vois que tu as amené du ravitaillement, la cave de mon père est bien achalandée, mais une bouteille de plus, sera utile d’ici demain matin.
- Qui c’est ces meufs, tu me les présentes ?
- Soit polie Alex, présente-toi toi-même.
- Moi, c’est Alex et toi la brune, ta copine je la connais c’est Annette notre cousine.
- Audrey, tu as l’air bien jeune !
- J’ai eu 18 il y a deux jours et ma sœur 19 aujourd’hui, c’est pour cela que l’on fait la fête ce soir.

Je suis rentrée, Alex a tenu à nous faire boire nos premiers verres, c’est au punch que nous avons attaqué, rapidement la sono crachant ses décibels, je me suis retrouvé à me trémousser au milieu de dizaines de personnes.
Alex ne me lâchait pas, il se frottait à mes fesses me montrant qu’il était un homme, à 26 ans, j’ai fini de donner dans les puceaux, car à certaines manières de se comporter, il devait l’être.

J’ignore comment nous étions approvisionnées, mais régulièrement j’avalais un verre.

- Tu viens dans ma chambre, soit sympa !
- Vas-y, je suis sûr que tu en meures d’envie.

Annette qui danse se frottant avec Lucie, n’étant pas farouche avec les chattes de jeunes femmes comme je le suis d’ailleurs, dans une soirée, il y a deux phases, celle que nous vivons en ce moment où les jeunes boivent et finissent par s’écrouler et les filles comme moi sachant atteindre les limites de l’alcool pour en deuxième partie de soirée ne pas hésiter à se mélanger.
J’ai fini par suivre Alex, malgré ma première impression, pour moi la boisson et le sexe sont indissociables, surtout qu’Annette nous suit avec ma bouteille de téquila, nous sommes tous les trois à poils, Alex s’allonge, il bande déjà, ma copine fait couler du liquide sur la pine du garçon quet je nettoie avec ma bouche.
Souvent nos orgies de sexes débutent par une bonne fellation, pour un puceau celui que je suce présentement est l’exception à la règle qui fait que je rejette ces jeunes branleurs.
Alex lui est performant, il bande, mais sait se tenir avec une dame, je peux le chevaucher et m’empaler, ma chatte dégoulinante d’envie, c’est l’une de mes caractéristiques, alcool égal chatte en feu.
Neuf fois sur dix, ils éjaculent trop rapidement me frustrant sur le coup, à nos côtés, qu’est-ce que je disais, Lucie est là commençante à sucer Annette qui lui rend la pareille.

C’est à ce moment que je retrouve le début de ma soirée quand je crie mon plaisir, Alex est toujours en forme et je ne suis plus opposé à boire son sperme, il se positionne et ma bouche, plutôt ma langue vient lui nettoyer la tige.
Je sens quelqu’un dans mon dos, j’abandonne mon travail deux secondes, le temps de voir Benoît sa queue en main entrain de m’enfiler.
Benoît, le saligaud, il est toujours là au bon endroit dans ces soirées, je ne l’avais pas vu depuis que je suis entrée, mais je l’adore, il sait comment satisfaire les dévergondées que l'on est.

Combien se relayent-ils en moi, je ne le sais tout au long de la nuit, ce sont les caractéristiques de mes rapports aux autres depuis le jour de mes dix-huit ans où j’ai moi-même organisé mes 18 ans, chez mes parents ?
Mes parents m’avaient offert un appartement pour cette occasion, dans notre milieu ce genre de cadeau étant courant.
J’ai pendu ma crémaillère en même temps que je me faisais dépuceler le jour de ma majorité, comment avait fait maman dans sa jeunesse, si je parle de mes débordements sans aucun scrupule, elle a toujours été très discrète.
Il est vrai que dans leur temps, ils étaient majeurs dans leur 21ème année, ils perdaient trois ans par rapport à nous avant d’avoir le droit de s’éclater.
Je suis sûr que ma mère était vierge le jour de son mariage, celui qui me passera une bague n’est pas près d’être né.

En attendant, Benoît m’a quitté pour rejoindre Lucie qu’il a prise en levrette, il m’arrive de me faire sodomiser, quand vous sucer une chatte ou une verge, dans ces amas de corps, il est difficile de surveiller vos arrières.
C’est pour cela que lors d’une partouze dans mes premières, un homme plus vieux que les jeunes que nous étions, m’a défloré l’anus.

Il m’est arrivé de me faire prendre en sandwich entre deux mecs, c’est le cas d’Annette qui a été rejoint par Alex et un type que je n’avais encore jamais vu.
L’âge venant, des hommes un peu plus vieux que ces puceaux s’occupent de nous, ce sont souvent d’excellent amants, certains voudraient bien prolonger cette soirée en tête à tête, je n’accepte jamais.

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