Imagine...

Ce matin tu as reçu un sms :
« Surprise !, laisses la porte de ta maison déverrouillée et la porte de ta chambre entrouverte, tu ne seras pas déçue ! Dans ta chambre, laisses la lumière éteinte et fermes les yeux, même quand tu entendras du bruit»
Tu ne sais pas qui te l’a envoyé, mais intriguée, tu te conformes aux instructions.
Quinze minutes après, tu entends effectivement du bruit. Tu vas respecter les consignes, mais, cet imprévu t’excite !
Quelqu’un entre dans ta chambre, s’approche de toi, te place un bandeau sur les yeux. Toujours sans parler il te saisit un poignet, doucement, l’entoure d’un lien et l’attache à l’extérieur de la tête de lit.
Il prend ensuite le 2 ème poignet, tente de faire de même, et là, tu te manifestes :
« Non, s’il vous plait, arrêtez ! Je ne veux pas être attachée ! »
Il place un doigt en travers de tes lèvres et susurre :
« Chuut ! »
Et, étonnamment, tu te calmes, et te laisse faire…
Il attache donc le 2 ème poignet, tu te retrouves les bras en croix, sans possibilité de les descendre, ni de les bouger.
Puis, il descend doucement les couvertures et le drap, de ton lit, à tes pieds.
Il commence à déboutonner ton haut de pyjama, et écarte ensuite les 2 pans, mettant à jour tes seins.
Il se rapproche ensuite de tes pieds, resserre tes deux jambes, tu te laisses faire, dans l’attente de la suite.
Tu sens l’excitation de la situation monter progressivement, tu te laisses faire, attendant la suite avec un mélange d’appréhension et de désir…
Tu sens ton minou s’humidifier, tes lèvres gonfler…
Une fois les chevilles rapprochées, il tire doucement sur les 2 jambes de ton pantalon de pyjama, celui-ci descend progressivement…
Dans l’acceptation complète, tu te surprends à te cambrer, soulevant les fesses pour que le pyjama descende, plus facilement.
Tu te retrouves maintenant nue, offerte, au regard de cet inconnu, qui, pour l’instant est très doux dans ses gestes et ses mouvements.

Ça te rassure, d’ailleurs.
Tu le sens se déplacer sur le côté du lit, s’assoir sur le bord du lit, et venir caresser ton minou, gonflé et humide d’excitation. Et là, tu l’entends susurrer dans ton oreille ;
« Ça ne vas pas du tout, ça ! Ta chatte n’est pas entretenue, on va y remédier !... »
Tu essaies de reconnaitre sa voix, tu sembles la reconnaître, mais comme il susurre, c’est difficile.
Il s’éloigne un peu, il sort de la pièce, revient un instant après.
Il se replace à côté de toi, place une cordelette au niveau du pli de genoux, l’entrave et l’attache au même emplacement que ton poigne, tu te retrouves, jambes écartées, relevées, la chatte déjà bien ouverte…il fait de même de l’autre côté, puis repose la main sur ton minou, complètement ouvert, indécent devant cet inconnu…
Ça te plait, petite chienne, tu mouilles déjà comme la petite salope que tu es ! dit-il doucement en continuant ses caresses…
Il se releva, descendit au pied du lit, et vint se placer face à ma chatte offerte…il glissa une serviette sous mes fesses, en me faisant les relever, un peu…
« Petite salope, je vais te façonner le minou, pour que tu sois plus présentable ! Je t’invite à ne pas bouger, si tu ne veux pas être blessée, ou coupée, sur ta petite chatte. »
J’entendis ensuite le bruit d’une tondeuse électrique, je n’osais pas bouger…mais complètement excitée par la situation et le risque de coupure, je sentais ma chatte se liquéfier…
« Tu aimes ça petite chienne, ta chatte est toute brillante ! »
Et il mit la tondeuse au contact de ma peau, d’abord sur le pubis, il y allait gaiement, et j’eus l’impression qu’il me rasait la chatte, en forme de ticket de métro… N’ayant d’autre choix que de subir, au fond de moi, je n’étais pas mécontente, de la situation…
Il s’attarda ensuite, le long de mes grosses lèvres, le bruit et le contact froid de la tondeuse me faisant sursauter ;
« Ne bouge pas ! Salope, si tu ne veux pas des lèvres !.
.. »
J’écartais donc encore plus les cuisses, offrant et poussant imperceptiblement ma chatte ouverte, en direction de la tondeuse, avec la peur d’une coupure.
Le bruit est impressionnant quand on ne voit pas ce qui se passe, quand ce n’est pas nous qui maîtrisons l’instrument, totalement à la merci de mains inconnues…
Je le sentais concentré, s’appliquant dans le moindre recoin de mes cuisses, mes lèvres, et ensuite de ma raie culière.
J’avais honte, d’être offerte ainsi à un regard inconnu, j’avais honte de sentir ma chatte se liquéfier, la mouille coulant progressivement le long de ma raie, allant mouiller mon petit trou plissé, outrageusement offert…
Je ne pus m’empêcher de penser, que s’il le désirait, il était vraiment facile pour lui de me dépuceler du cul…j’étais là offerte, les jambes bien écartées, l’anneau plissé mouillé… Cette pensée me plut…
Ensuite, il épousseta ma chatte de toute part pour faire tomber les poils coupés, puis, me badigeonna complètement la chatte, avec un liquide tiède, de l’eau je présume, il me frotta le minou sur toute sa surface, j’étais comme électrisée…
Il secoua alors quelque chose, puis j’entendis le bruit de la mousse à rasée, qui sort…
Il me l’étala sur une grande partie du minou, avec soin, à l’intérieur des cuisses, aussi.
Je l’entendis mettre un instrument dans un récipient d’eau, le secouer…Puis je sentis la lame d’un rasoir parcourir ma peau, chassant la mousse à rasée et sûrement les petits poils restants, avec…
Il entamait la finition, je me sentais bien, là, offerte et chaude, réceptive à toutes ces sensations…toucher, bruits, odeurs…Je me laissais faire (sans vraiment avoir le choix, d’ailleurs…), comme un petit bébé, complètement dépendant au bon vouloir et aux soins de sa maman… il s’appliqua à tout bien me raser, puis, pris un petit linge, le trempa dans l’eau , me lava et m’essuya complètement la chatte, supprimant toute trace, de mousse et de poils, hormis le ticket de métro.

Voilà la miss, tu es enfin magnifique et douce, au regard, comme au toucher !dit –il en passant sa main de toutes parts, ses doigts s’attardant maintenant sur mes petites lèvres, et mon bouton, que je sentais hyper gonflé.
Ses attouchements me provoquèrent des spasmes…ma chatte était électrisée, et ruisselait de plus belle !
Il monta vers le haut du lit, se mit à genoux près de ma tête, j’entendis une fermeture éclair s’ouvrir, et sentis quelque chose de dur et de chaud, à l’entrée de ma bouche...Il mit une main derrière ma nuque, approchant mes lèvres de sa queue, que je n’eus comme choix, que de l’accueillir.
Je le pris donc en bouche, sa main insistante me poussa progressivement à lui faire une gorge profonde…Malgré cela, je ne pus complètement l’enfourner. Sa queue semblait trop longue…Mes lèvres firent quelques allers-retours sur sa queue, puis il me dit :
« Je vais te détacher, car il faut que je fasse la finition de ton petit cul, il y a quelques poils rebelles qui sont restés. Tu vas te mettre à 4 pattes, cul bien offert, comme ça, je pourrai terminer le boulot correctement.il me détacha donc bras et jambes, me fit mettre à quatre pattes, sur le lit, les yeux toujours bandés.
Je lui obéis au doigt et à l’œil et quand il me dit d’écarter les fesses aux maximum avec mes mains, je le fis tout de suite, hyper excitée à l’idée de m’offrir ainsi.
Il caressa un peu mes fesses et mon œillet, puis je sentis le froid de la lame de rasoir parcourir ma raie culière, à des endroits différents. Ça me plut de me retrouver ainsi complètement offerte, devant mon amant, que j’avais reconnu…
Je buvais ses paroles et était complètement folle d’excitation… C’est alors qu’il me passa une cordelette autour du cou, me la noua assez lâche, et me dit en tirant dessus :
« Viens ma chienne on va faire un petit tour ! »
Il me tira un peu sur le lit, je me déplaçais à 4 pattes…, Me fît tourner sur moi-même, je suivais l’entrave, obéissante…
« Enlèves ton haut de pyjama, tu seras encore plus jolie ma petite chienne »
Je m’exécutais sans broncher, encore plus émoustillée par la situation nouvelle.

Il me fit alors, doucement descendre du lit, en exerçant une pression ferme sur le collier et la laisse improvisés. Il me promena dans la maison, mamelles pendantes, toujours les yeux bandés, me faisant marcher au pas, m’arrêter, position assise…puis il me fit monter, sur la table du salon je crois…
J’étais une vraie petite chienne, obéissante à la voix et aux ordres de son maître…se promenant nue, les yeux bandés, décuplant les autres sens, me procurant des sensations inédites… ma chatte, complètement mouillée, gonflée à souhait par la sensation de nudité apportée par le rasage et le léger picotement, voir l’endormissement de la peau procuré par la mousse à raser.
Une fois positionnée sur la table basse, il me fit écarter les jambes, avec quelques claques très explicites à l’intérieur des cuisses.
« Cambres toi bien, ma petite salope ! Mets donc en valeur ton petit trou de chienne en chaleur, ta chatte magnifique, taillée pour être fourrée !
-tu ne sais pas à quel point tu m’excite ! dit-il en m’enlevant le bandeau !, j’étais là, offerte, en position de levrette, à sa merci, le cul et la chatte ouverts en bord de table basse, cette position de soumission m’excitait moi aussi, au plus haut point. Le fait que quelqu’un pouvait passer, à tout moment devant la baie vitrée de notre salon, de plein pied, donnant sur un jardin me fit découvrir un côté exhibitionniste que je ne me connaissais pas, et ce risque, augmentait mon excitation…
A ce moment-là, j’aurais fait n’importe quoi, j’aurai obéi à n’importe quel ordre, venant de sa part.
Il se mit alors à genoux par terre et approcha sa bouche de ma chatte, il me lécha, encore et encore, devait s’abreuver de ma mouille dégoulinante, en me tenant fermement par les hanches, un vrai bonheur !...il me titilla l’anus avec sa langue et me le lécha copieusement, lui aussi. Fabuleuse sensation que cet anulingus, je fondais complètement sous son emprise…
Il se redressa alors tout excité, et m’enfila son mandrin jusqu’aux couilles dans mon fourreau trempé.
« Prends ça salope cria t’il en donnant le rythme, rythme bien marqué par le bruit des couilles claquant sur mon cul en chaleur…
Je commençais à couiner, tout en haletant, et je me surpris à l’invectiver :
«Vas-y! Baise-moi fort ! Défonce ma chatte de chienne ! Plus fort ! Plus vite ! HIHIHI !
Il me défonçait littéralement la chatte, marquant maintenant la cadence par quelques fortes claques sur mes fesses devenant piquantes, j’étais en transe, reculant le cul en cadence pour encore plus me faire pilonner le fond de la chatte.
Jusqu’au moment où une déferlante me prit l’intérieur du corps, l’onde me fit crier comme jamais je n’avais crié, entrainant par la même occasion la jouissance du meneur, qui se répandit au fond de ma chatte, stoppant net ses allers-retours dans un râle de satisfaction...

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