Caro (Imagine)

Je me présente, Sylvain, vingt huit ans, marié depuis peu à Caro, ravissante femme de vingt quatre ans. Ce weekend, nous sommes invités chez Steph et Elodie, à l’occasion de la pendaison de la crémaillère.
Une vingtaine d’amis ont été conviés à la fête, notamment Guy, un collègue de travail, avec qui j’ai des relations très tendues au bureau. Il prétend que je lui ai soufflé la promotion, qui de droit, lui revenait. Il m’a juré qu’un jour, il se vengerait.
Il est accompagné d’Angélina, sa vicieuse et perverse épouse.
Caro, ma ravissante épouse, est d’une beauté à couper le souffle. Vêtue d’une courte jupe, et d’un tee short, chaussures à talon compensé, cheveux blond lâchés sur les épaules…une ie.
Du reste, les hommes, même les plus sérieux, et sous étroite surveillance de leurs femmes, ne s‘y trompent pas, et n’hésitent pas à lui tourner autour. J’étais fier d’elle, mais je savais qu’elle aussi aimait sentir les regards posés sur elle.
Un très beau gosse, apparemment célibataire, n’hésite pas à inviter mon épouse à danser. Pas farouche, elle accepte. Il l’a prend par la taille, tandis que Caro passe ses mains autour de son cou. Petit à petit, l’inconnu devient assez entreprenant. Mais mon épouse repousse en souriant toutes les avances, ce qui me rassure.
La soirée s’annonce animée, et assez arrosée. C’est pour ça que je limite mes consommations, d’autant que les festivités doivent se poursuivent le lendemain.

Vers trois heures du matin, lassés, nous prenons congé, et nous retirons dans nôtre chambre. Une rapide douche, et nous voila au lit.
Ma femme, allongée, entièrement nue, et désirable en diable. Je laisse courir ma main sur son sublime corps. Je sens des frissons parcourir son échine.

-Tu étais la plus belle ce soir, ma chérie, les mecs n’avaient d’yeux que pour toi.
-A bon, me répond Caro, tu crois, je n’y ai pas prêté attention.
-Hum…c’est vrai ça ? Pourtant, certains étaient proche de toi, jusqu’à te prendre par la taille.

Et ce mec avec qui tu dansais, il ne te serrait pas un peu trop ?
-Karl, il s’appelle Karl. T’as vu comme il est beau. C’est vrai qu’il me serrait de près, j’ai senti. Tu as pu remarquer que je l’ai repoussé.
-Bien sur que j’ai remarqué. Et il te murmurait quoi à l’oreille.
-Il me demandait si j’étais mariée…si j’habitais dans le coin…rien d’intéressant….
-Ouais, il te draguait quoi. Tu sais quoi, je m’imagine beaucoup de chose.
-A bon, et tu imagines quoi…tu me fais peur là.
-J’imagine ce fameux Karl, te prendre par la taille, et t’entrainer sur la terrasse. Là, il t’allongerait sur un transat, te prendrait les lèvres.
-Mais tu es fou, s’offusque Caro…je ne ferais jamais un truc pareil.
-Je sais bien ma chérie, mais imagine. Il prendrait tes lèvres, glisserait une main sous ta jupe, ferait pression pour écarter tes cuisses, caresserait ta petite chatte.
-Arrête…s’il te plait…
-Pourquoi, je t’excite en disant ça…ou tu t’imagines vraiment que c’est lui !

Je sais que ça l’excite. Je promène une main sur son sublime corps, sens sa peau frémir sous la caresse. J’écarte ses jambes, glisse une main entre ses cuisses. Effectivement, une légère humidité est en train de se formé. Caro ouvre d’avantage ses jambes, entièrement offerte. D’un doigt, je lisse la fente, remonte jusqu’au clito que je décalotte, l’excite avec le majeur. Elle pousse un léger soupir.

-Hum…c’est bon ça ma chérie…imagine que c’est le doigt de Karl.
-Arrêtes avec ça…
-Il ferait courir un doigt sur ta fente, décalotterait ton clitoris, et le doigterait. Prise par le désir, tu ne te rebellerais pas quand ses doigts pénètreraient ta petite chatte. Il commencerait à te branler, et tu te laisserais faire, soumise. Tu passerais tes mains autour de son cou, en poussant des gémissements de plaisir quand tu atteindrais l’orgasme. Il caresserait tes seins, exciterait les bouts. Avoue que ça te plairais de sentir les mains d’un autre homme sur toi.

-Oui ça me plairait de sentir les mains de Karl sur mes seins, et ses doigts dans ma chatte…mais arrêtes avec ça…ou veux-tu en venir...
-Ah…tu avoues que tu craques pour lui…et quel effet que ça te fait, dis moi.
-Tu vois bien l’effet que ça me fait…baise moi, j’ai trop envie…
-A bon…et à qui la faute, avoue, sans mentir.
-Heu…à Karl
-Ben voilà…

Je me colle contre elle, lui prend une jambe, la fais passer sur mon corps. Dans cette position, Caro est totalement offerte. Je prends ma queue entièrement décalottée, taquine le clitoris. D’une simple poussée, je pénètre la chatte, lui arrache un léger soupir.

-C’est ça que tu voulais…petite vilaine, que je te baise…
-Oh oui Karl…heu…mon chéri…
-Tiens, tu vois que tu penses à lui. Tu aimerais qu’il soit à ma place, hein ?
-Mais non mon amour…c’est toi que je veux.
-C’est sur ça ? Ca n’a jamais traversé ton esprit que ce soit lui qui te nique.
-Je ne sais pas…peut être, mais baise moi.

La nuit a été torride, mon épouse s’est donnée comme jamais. Mais pensait-elle à moi, ou s’imaginait-elle dans les bras de Karl. Malgré la pression, mon épouse nie toute envie de vouloir coucher avec lui, m’affirme que je suis l’homme de sa vie, et qu’il est hors de question qu’elle me soit infidèle.
Après une fin de nuit torride, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.

Au réveil, je suis seul dans le lit. Caro n’est plus là. Je descends vite rejoindre les autres. Ils sont à table, autour d’un copieux petit déjeuner.
Je ne vois pas mon épouse.
Je tourne légèrement la tête, et découvre un spectacle hallucinant. Caro est allongée sur une serviette, au bord de la piscine, entièrement nue, jambes écartées à cent quatre vingt degrés.
Karl, à genoux, le visage enfouit entre ses jambes, lui broute le minou, tandis que Guy, agenouillé près d’elle, se fait sucer son énorme queue. Elle la tient en main, la sort, la rentre, fait coulisser le prépuce pour bien la décalotter, puis la reprend bouche.

J’ai envie de leur foncer dessus, mais suis cloué sur place, paralysé, ne pouvant avancer. Je veux crier, mais pas un mot ne sort de ma bouche. J’entends juste les cris de plaisir de ma femme, quand ces deux salauds la font jouir.
Caro gémit de plaisir, se tord comme un serpent sur la serviette, se cambre en prenant appuie sur ses pieds, pour mieux offrir sa chatte, à la langue dévastatrice de Karl. Puis ils changent de position, la font mettre à quatre pattes.

-Guy, viens que je te taille une pipe…j’aime sentir ta grosse queue…ton jus couler dans ma bouche…et toi Karl, bouffe moi le cul…suce moi le clito…oh oui…hum…
-Elle est bonne ma bite, hein, sourit Guy…t’aimes…
-Oh oui...toi Karl, décalotte mon petit bouton…mord le…oh putain, quelle langue…
-T’aimes ça hein ? Salope !! Hein que tu es une salope…dis le
-C’est vrai…je suis une vraie salope…une chienne en chaleur…

Je n’en crois pas mes oreilles.

Guy, toujours à genoux, continue à se branler dans la bouche de ma femme, tandis que Karl, aspire son petit bouton. Soudain, Caro pousse un cri. La salope, elle est en train de jouir, au même moment ou Guy vide ses grosses couilles dans sa bouche. Et dire qu’elle n’a jamais voulu me sucer. Guy sort sa bite, la promène sur ses lèvres. Mon épouse sort sa langue, l’enroule autour du gland, comme pour le nettoyer.
Karl se lève, approche son énorme queue, de la chatte de femme. Lentement, il la pénètre. Caro pousse un cri de plaisir, quand il l’enfonce jusqu’aux couilles.

-Je vais te faire voir ce qu’est un mâle, un vrai, dit-il.
-Oh oui Karl, baise moi…défonce moi…

Quand à Guy, sa queue a repris son activité dans la bouche de Caro. J’ai l’impression quelle grossit de plus en plus, et que Caro se délecte de cette bite. Parfois, Guy se penche, prend les lèvres de mon épouse.

-Quel effet ça te fait de sucer une autre queue que celle de ton mari…ça t’excite.
-Hum…je ne l’ai jamais sucé lui, répond Caro la bouche pleine.

-A bon, il ne sait pas ce qu’il perd…tu suces divinement…tiens, bouffe moi les couilles un peu…
-Oh putain, quelles sont grosses…

Après avoir éjaculé une deuxième fois, les deux salopards décident de changer de position. Guy s’allonge sur la serviette, sa queue défiant le ciel. Caro l’enfourche, et s’y empale dessus. Dans cette position, son petit trou est vulnérable, et Karl le sait. Il approche lentement son gland décalotté du petit orifice, qui se dilate sous la poussée.

-Karl, je ne me suis jamais faite enculer…va doucement, s’il te plait.
-T’inquiète ma chérie, ça va bien se passer…là, ça te va comme ça…
-Oui…c’est bon…vous êtes des salauds tous les deux…et si mon mari apprend ça.
-Tu lui diras tendrement…mon amour, quand j’ai vu ces deux grosses queues, je n’ai pas pu résister…et puis, ils m’ont fait des choses que tu ne sais pas faire.

Guy commence à grogner sous le fardeau de ses deux partenaires. Heureusement, Karl gicle le premier, tandis que Caro hurle de plaisir quand elle atteint l’orgasme. Puis c’est au tour de Guy de remplir le ventre de mon épouse.
Après cinq minutes de répit, Karl se retire, laissant Caro seule avec Guy. Ce salaud, il l’a tient sa vengeance. A genoux devant ma femme, il enfonce deux doigts dans sa chatte, et la branle violemment. Caro est prise de spasme, elle gicle de partout, une vrai fontaine. Ce salaud la fait jouir comme jamais je ne l’ai fait jouir.
Elle l’att par le cou, lui donne un torride baiser.
Puis il s’allonge contre elle, lui demande de lever une jambe. Dans cette position, elle est entièrement offerte. Guy peut choisir le trou qu’il veut. D’ailleurs, elle lui dit de choisir. Il prend un coup la chatte, un coup le petit trou…

-Vas-y, supplie mon épouse, encules moi…bien profond…
-Je vais bien te le mettre, depuis que j’ai envie de te baiser, j’aimerais que ton mari voit ça, qu’il assiste à son cocufiage. Tu sais quoi…je l’enculerais bien lui aussi.

Ces cris me transpercent le cœur. Je sens la sueur couler sur mon visage. Impuissant, j’assiste à la saillie de mon épouse.
Soudain, je sens des mains qui me secouent violemment. Je me retrouve assis sur le lit, en nage.

-Mon chéri, dit Caro, mais que t’arrive-t-il, tu es bien agité.
-Oh mon dieu…je viens de faire un affreux cauchemar...
-A bon, quel cauchemar…tu as vu quoi ? Dis-moi.
-Je t’ai vu au bord de la piscine, en train de te faire prendre par Guy et Karl. Ils se moquaient de toi chaque fois que tu jouissais…et toi tu hurlais de plaisir.
-Oh mon dieu, que vas-tu chercher…Karl, je ne le connais pas, c’est la première fois que je le vois, et Guy, tu sais bien que je l’ai en horreur, de même que sa femme. Ne te mets dans cet état pour ça mon amour. Tu sais bien que ça n’arrivera jamais, que tu es l’homme de ma vie.
-Rentrons à la maison…s’il te plait.
-Bien sur mon amour, comme tu veux. Je prépare les affaires.

Nous saluons les invités, ignorant Karl, Guy et son épouse.
Arrivé à la maison, nous prenons une bonne douche, ensemble. Caro se fait câline, coince ma queue entre ses pieds, commence à me branler. Elle veut me faire oublier cet horrible cauchemar.
Nous montons, tirons les volets, et nous confinons dans la chambre. On va faire l’amour, le reste du weekend. Je me suis découvert être en amant exceptionnel. Caro, elle, était une vraie furie.
C’est à se demandé si ce n’est pas mon cauchemar, qui l’a mise dans cet état.











































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