Mes Débuts Avec Philippe - Acte 1

Il est 17h, le cours se termine. Une fois de plus j’ai eu du mal à me concentrer, ne pensant qu’au sex, à son sexe.
J’ai 17 ans, mignon, mensuration dans la moyenne, lui, c’est Philippe, 58 ans, prof de français.
Il me donne des cours particuliers pour préparer mon bac de français.
Je vais chez lui tous les mercredi après-midi, pendant au mois 2h, pour réviser.
Mon penchant bisexuel, et le manque d’expérience à l’époque, faisait que j’ai développer pour Philippe, un attachement particulier. Professeur de français, à la retraite, il était de taille moyenne, légèrement bedonnant, les cheveux blanc, et une pilosité apparemment abondante. Niveau tenu, il ne se prenait plus la tête, passant la plupart du temps en survêt, charentaise, le bon petit vieux.
Il était divorcé, avait deux filles, qui vivait à l’étranger et ne les voyaient pas beaucoup. Du coup nous avons développer une forte amitié au fil des mois.
Il aimait me faire découvrir la culture (musique, opéra, littérature), il adorait cuisiner, c’est un épicuriens, ce qui fait que nos deux heures de cours hebdomadaires, devinrent des après-midi et/ou soirée, d’échange, de découverte, et d’amitié, c’est durant cette période, que je découvris sa bisexualité, me racontant, les moments passé au Maroc, et ces relations amoureuses.
Il me raconta, comment un de ses étudiant en lettre, était devenu son amant puis son compagnon quand il était dans ce pays. Cela m’a troublé.
Je ne vous cache pas, qu’il nourrissait bon nombre de fantasmes durant mes séances masturbatoires.
J’avais coucher quelques fois avec des filles, y avait trouver du plaisir, mes cette envie de me sentir à leur place, prenait souvent le dessus et m’excitait grandement. Et les fantasmes avec cet homme s’était développer au fil des mois.
Je passe mon examen, avec succès, je réalise à ce moment, que je n’aurai plus de raison « officielle » de le voir, sans susciter quelques interrogations.


Je me décide à aller le voir, pour lui annoncer ma réussite à l’examen, et avait préparer en amont, une déclaration enflammé par lettre, (c’est un prof de français, et je n’avais pas le courage de le faire en « live »), ou je lui avoue mon attirance, mon inexpérience et mon envie d’être à lui.
Il est 14h, je l’appel pour lui signifier mes résultats et mon succès, et immédiatement il me propose de fêter cela le soir même avec un bon dîner (il connaît mon goût pour la nourriture et le vin), sans que j’ai même eu le temps de lui demander.

- Philippe, j’ai réussi mon examen, merci de toute l’aide que tu m’a apporté
- Bravo mon grand, je suis très fier de toi, si tu venais ce soir fêter ça avec un bon dîner ? A moins que tu n’ai prévu une fête avec des amis.
- avec plaisir, non il n’y a pas de fête de prévu (et puis l’idée de passer la soirée en sa compagnie me ravie au plus haut point).
- parfait, je vais te mijoter un repas de fête, si cela te dit, viens vers 18h, nous profiterons du jardin avec un bon apéritif.

Sur ces mots, nous raccrochons, et la l’excitation me gagne, je n’en peux plus, je veux découvrir le plaisir entre homme, et je veux que ce soit avec cet homme doux et gentil.
Je sais que je n’aurai pas le courage de tout lui dire en face, et me décide de lui écrire un mot, ou je lui avouerais tout.

« Cher Philippe,
Je voudrais d’abord te remercier pour tout l’aide que tu m’a apporté, ainsi que pour ton amitié, qui m’es précieuse.
J’écris ce mot, car je n’en peux plus,
Je ne fais que penser à toi, il me tarde d’être a chaque mercredi, pour te voir, partager tous ces moments. Je crois que je suis entrain de tomber amoureux de toi.
Je ne te demande qu’une chose, fais moi découvrir l’amour entre hommes, je voudrais tellement perdre ma virginité avec un homme en qui je peux avoir confiance, et cela ne t’engagera à rien.
Je t’aime »


Voilà c’est fait, l’appréhension et la peur se mêle à l’excitation, je suis tiraillé, est ce que je lui donne la lettre ?
Je décide de penser a autre chose (facile à dire) et part remplir les quelques taches qui m’était attribué au sein du foyer familial.

Mais je n’arrive pas à penser à autre chose, les minutes ne défilent pas, attendre 18h me semble des plus compliquer.
Tant bien que mal, j’arrive à tenir bon, 17h sonne, la c’est bon, je vais pouvoir me mettre dans l’ambiance, me laisser aller. J’avais prévenu mes parents de mon dîner chez Philippe (il était très apprécié de ma famille), et alla donc me préparer.
Je me fis couler un bain bien chaud, et commencer à rêver a cette soirée, sera t’il intéressé ? Est ce que je lui plais ? Je sais que je ne risque rien a part un refus de sa part, il aimait garder se vie intime secrète. Sa maison est a son image, pas de voisin, de grand murs entourant la propriété, tel un château fort, une fois a l’intérieur, on se sentait libre et en sécurité.
Je prend mon scooter, et part en direction de cet maison.
Il est 18h, je sonne au portail, il s’ouvre le temps de me laisser passer et se referme directement.
La je sens, la liberté me gagné. Philippe m’expliquait qu’il aimait être tranquille chez lui, qu’il aimait pouvoir se balader à poil dans son jardin sans forcement être a la vue de tous, et c’est comme ça qu’il a transformé cette longère en havre de paix et de liberté.
Il est la devant sa porte, la sourire franc aux lèvres, habillé comme d’habitude d’un survêt et d’un marcel.
Nous nous faisons la bise, et nous nous dirigeons vers la terrasse, ou il à déjà tout préparer.
On échange de tout et de rien comme d’habitude, mais je n’arrive pas à penser à autre chose, il faut que je lui donne ce mot.
Après notre deuxième coupe de champagne, les idées s’entremêlent, l’excitation me submerge, je l’arrête net et lui dit :

-  Je t’ai écris un mot pour te remercier, et j’aimerai que tu le lises 

Je lui tend la lettre dans la foulée, et la je ne le quitte plus du regard.
Il le lit dans la plus grand des silences, je ne distingue aucune réaction sur son visage, la panique commence à m’envahir.
La son visage se relève avec un sourire rassurant, mais différent, un peu plus charmeur, me ferai je déjà des films …

- et bien, si je m’attendais à ça, il m’avait bien sembler reconnaître un regard coquin de ta part, et je comprend mieux tes nombreuses « absences » durant mes cours.

Marc, je suis extrêmement flatter qu’un beau jeune homme comme toi, puisse ressentir cela, pour un vieux papy comme moi. Je vais te l’avouer, toi aussi, tu as occuper mes pensées.

Je ne répond rien, je suis la, stoïque devant lui, paralysé par la peur et inexpérience.
Soudain je sens sa main se poser sur la mienne, il me sourit et me dit :

- n’ai pas peur, tout va bien, tu ne risque rien ici, avec moi, tu me plaît ;

A ces mots il se lève, me prend la main et m’attire vers lui, il me prend dans ses bras, me rassure encore, et la ses lèvres s’approche des miennes, çà y est, enfin, il m’embrasse, et la, je ne pense plus à rien, plus rien ne compte à part lui et ce baiser.
D’un baiser timide et chaste, on passe au patin enflammé, nos langues se mélanges, visite nos bouches respectives, c’est divin, ces mains s’aventure sur mon corps, qui se laisse faire.
Il quitte ma bouche pour m’embrasser dans le cou, ses mains se font plus pressante, et ont clairement ciblé, un de mes seins et mes fesses.
Je sens une bosse contre ma queue qui ne demande qu’à exploser elle aussi, je bande tellement fort, que j’en ai un peu mal.
Je savoure ce traitement, en lui flattant le dos et la tête de mes caresses.
Il me fait asseoir à coté de lui, nous ressert une coupe de champagne, et me prend dans ses bras, la je me love contre lui, profitant de l’instant présent,

- Marc je suis tellement content, que tu sois la, que tu m’ai avouer tes sentiments, je les partage aussi, je crois que je t’aime aussi
De nouveau il m’embrasse à pleine bouche, et me caresse la nuque.
- Crois tu que tu pourrai rester la cette nuit ? Çà serait magique que pour ta première fois tu restes dormir avec moi.
- ça serait super, mes parents ne reviennent que dans deux jours, je peux rester et être à toi toute la nuit …
Il m’embrasse à nouveau.

- Nous allons bien nous amuser, tu va voir, qu’est ce qui t’excite dans l’amour homo .
.. ?
- je ne comprend pas ...
- le plaisir actif ou passif ?
- heu ….
Il rigole, mais pas moqueur, cet homme est décidément bien veillant.
- tu veux faire l’homme ou la femme ? Tout en rigolant.
- bah je veux savoir ce que cela fait d’avoir un homme, qui te désire, te fasse l’amour, je veux le sentir en moi, sentir ses va et vient, son plaisir …

Il me saisit le visage et m’embrasse, mais cette fois ce n’est plus un patin version plan cul, il m’embrasse amoureusement, me love, et il me dit
- c’est parfait, j’aime les hommes passifs, mais surtout je t’aime !
La c’est moi qui prend son visage en main et l’embrasse amoureusement,
- je veux être à toi, rien qu’a toi.
On se câline quelques instants, puis, en me prenant la main, m’entraîne dans la cuisine, on ne se dit rien a ce moment, mais ce n’est pas un silences pesant, plutôt complices.
Il sort une bouteille de vin et me dit de m’asseoir.
Nous savourons le dîner, entre échange sur nos différentes expérience, baiser langoureux et caresses, c’est un moment béni des dieux, nous sommes seul au monde.
Le mélange du vin et du champagne m’assomme un peu, et je commence à avoir besoin de m’allonger un peu, le temps de reprendre mes esprits.
Mais à peine étais-je installer sur le canapé, que mon homme me rejoins immédiatement, me grimpe dessus et commence à nouveau à m’embrasser dans le cou.
Son corps est lourd, je sens sa masse sur moi qui m’écrase, je ne peux pas bouger.
Ses mains se ballade sur moi, et je sens cette bosse se frotter contre la mienne, nos baisers deviennent plus passionné. Je sens mon homme prendre possession de mon corps, l’excitation me réveil, et je l’encourage par mes caresses et mes mots ;
- oh oui mon chéri, continu, je suis tout à toi,
- enlève tes vêtements
ce que je fis sans me faire prier, il en profita pour ôter son marcel.
Il se recouche sur moi, la je sens son torse velu contre ma peau lisse, cette sensation est divine, je me sens femelle avec mon mâle viril et poilu sur moi, prenant possession de mes formes, son dos velu, me rend fou, j’ai l’impression d’être avec une bête sauvage qui cherche à s’accoupler avec sa femelle. Je bande à mort.
Je commence à caresser cette bosse, objet de toutes mes convoitises, c’est chaud, c’est dur, il me sourit, et me dit :
- tu veux la voir ?
- évidement ...
- alors vas y, sors la ...
Je baisse son survêt, il ne porte pas de caleçon, sa queue est très belle, et vraiment très dur, ce qui m’excite fort, mon homme à très envie de moi.
Je caresse son sexe, pendant qu’il me caresse et m’embrasse partout, bien qu’après, sa bouche se retrouve à proximité de ma verge
-on t’a déjà sucer ?
- jamais
- alors nous allons commencer par cela ...
N’ayant à peine fini sa phrases, que sa bouche se jette sur mon sexe et commence à le lécher, puis il me prend en bouche et commence sa succion. En peu de temps, j’ai envie de jouir, je lui crie mais n’en a que faire, et je me met à tout décharger dans sa bouche dans un orgasmes très fort. Je suis gêné, mais me rassure immédiatement.
- ne sois pas honteux mon chéri, tu as aimé ?
- c’était génial
- j’adore le goût de ton sperme, bien maintenant j’aimerai que tu me fasse la même chose
- mais je voudrais que tu me fasse l’amour
- Ne sois pas pressé, on a le temps, çà fait longtemps que je n’ai pas fait l’amour, alors il vaut mieux me vider une première fois …
Il pose un coussin à ses pieds, s’installe confortablement sur la canapé, écarte ses cuisses velues et me dit :
- allez mon poussin, viens sucer ma queue
je me met à genoux sur ce coussin, et commence à saisir cette belle queue bandé, que je commence à branler délicatement.
Ma bouche s’approche de son gland, je l’embrasse, c’est doux et chaud, l’odeur n’est pas forte et ma foi pas désagréable non plus, je sors ma langue et commence à le lécher
- c’est bien ma belle, comme ça, maintenant, prend la en bouche
Et c’est comme ça que j’ai fais ma première pipe, assez maladroitement au début, j’arrive à parfaire mes mouvements, je sens sa queue dur comme tout, je l’entend gémir de satisfaction, ses mains se pose sur ma tête, me caresse, il m’encourage :
- voila ma chérie comme ça,
ça fait déjà deux fois qu’il me parle au féminin ..
Me voyant interloqué, il me dit :
- ça te choque que je te parle comme à une fille ?
- pas choquer, c’est bizarre (mais c’est loin d’être désagréable)
- tu voulais un mâle, moi ce que j’aime, c’est les mec qui ont une âme de femelle, et je suis sur, que t’en ai une.
Çà m’excite à mort, comment sait il cela ?, comment a t’il deviner ? … .
C’était un fantasmes récurent, moi soumis à un homme qui me féminise et se sert de moi comme d’une femelle en rûte qui a besoin de se faire engrosser. Le nombre incalculable de branlette que se fantasme a nourri ….
- je veux un mâle … , donc être ta femelle comme tu dis, me paraît logique, et ne me gêne pas du tout, bien au contraire, c’est très excitant, ça fait jeu de rôles et tu connais mon penchant pour les jeux de rôles, je ferai ce qu’il te plaira …
ses mains se ressaisisse de ma tête et me renvoi sur sa queue
- c’est très bien ma chérie, ton homme est ravi, allez … fait moi du bien !
Je reprend ma pipe de plus belle, j’accélère un peu ma cadence, tout en le masturbant, il gémit avec sa voix rauque, je sens sa bite qui se tend encore plus (comment est-ce possible ?), de légère palpitation, et soudain dans un cri rauque,
- OOOOOOH OUI, tiens prend tout, OUIIIIII avale bien ma semence, oui continu, prend bien le jus de ton mâle ...
Je sens ses jets de sperme dans ma bouche, je suis surpris, le goût n’est pas désagréable, et puis cette position, être entre ses genoux et le pomper, me rend tout chose.
Je me délecte de sa queue et de son jus.
Il me ramène contre lui sur le canapé, nous sommes allongés l’un contre l’autre. Je me love contre son torse velu, et lui me caresse partout sur le corps.
- C’était très bien ma chérie, pour une première, tu apprend vite. Je te rassure, la soirée est loin d’être terminé, j’en ai pas fini avec toi …

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