Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (35)

Un plaisir partagé est un plaisir double (35)

Nous avons vu l’autre jour en marchant le long de la plage que des personnes pêchaient des tellines, ces petits coquillages plats et vernis. Et nos hommes ce matin avaient envie d’aller en ramasser. Je leur ai proposé de rester à l’appartement pour préparer le repas et pour faire un peu de ménage en leur demandant de rentrer pour midi et d’emmener Annie avec eux.

Je me suis rendue dans le centre commercial pour y faire quelques courses pour le repas. Alors que je choisissais mes fruits et légumes, une voix derrière moi m'interpelle. C'était celle de David.

« - Bonjour, comment vas-tu ce matin ? »

« - Je tiens à m’excuser pour hier soir, je suis confus de vous avoir quitté aussi vite mais je n’ai pas pu me retenir. »

« - Ce sont des choses qui arrivent, ne t’inquiètes pas. Tes parents ne sont pas avec toi ? »

« - Non, ma mère est allée se faire masser et mon père doit jouer au tennis. »

« - Vous avez passé une bonne soirée hier tous ensemble ? »

« - Oui, tes parents sont très gentils et j’ai bien discuté avec ta maman qui s’inquiète un peu pour toi, elle pense que tu es encore puceau en ne te voyant jamais avec des filles de ton âge. »

« - Elle n’a pas tord, je n’ai encore baiser avec aucune fille. Je me sens gauche et je suis plutôt attiré par des femmes plus mûres qui ont de l’expérience. Comme vous Chantal. »

Il m’avait suivi tout le temps que je fasse mes courses, lui n’avait qu’une bouteille de coca dans la main. A la caisse, en se penchant pour attr la barre de caisse, j’ai senti son sexe se coller sur mes fesses nues au travers son large short.

« - Excusez-moi les barres sont tellement loin. » Je pense que cette manœuvre n’était pas involontaire.

« - Voulez-vous que je vous aide à porter vos courses. »

« - Ce n'est pas de refus David, merci.

»

« - Tu peux me tutoyer, tu sais ou m'appeler Chantal, d'ailleurs je pensais qu'un naturiste tutoyait facilement mais tu ne dois pas en être un vrai puisque tu portes un short ? »

« - Oui, mais je n'ai rien dessous. Et je suis mal à l’aise lorsque je regarde une femme, je bande facilement c’est pour cela que je mets un short pour sortir. »

« - J’ai bien senti la chose à la caisse du magasin. D’ailleurs hier soir tu n’avais pas de slip non plus. Ici tu peux retirer ton short nous ne sommes plus à l’extérieur et je t’ai déjà vu nu, tu n’as pas à avoir honte, tu es bien membré pour un garçon de ton âge. »

« - Je n'ai pas encore eu le temps de faire les lits, tu peux poser les courses dessus, je vais les ranger. »

En me baissant pour ranger mes courses dans les placards, assis au bord du lit, David devait mater mon frifri. La réponse ne se fît pas attendre, il était en érection sur le bord du lit. Il s’est mît à rougir, honteux de voir que je l’avais surpris. Confus il me balbutia :

« - Excuses-moi, mais mes yeux se sont portés sur… »

« - Tu n’as pas à t’excuser, c’est bien normal pour un homme que tu sois porté sur le sexe. »

La vue de cette jeune verge durcie m'excitait aussi, je l’ai prise dans ma main pour la masturber. Puis, je me suis mise à le sucer. Je remontais et descendais mes lèvres sur une partie seulement de son sexe qui était dur comme un morceau de bois, en passant ma langue sur les papilles de son gland. Excuses-moi si je ne te fais pas une totale mais je n’aime que les hommes imberbes.

« - Sois calme et laisse toi faire pense que tu es avec tes copines, ce n'est pas parce que je pourrais être ta mère que tu dois « paniquer. » Alors qu’aujourd’hui c’est plutôt le contraire, tu es là pour me niquer. »

« - Ce n’est pas cela, mais pour moi c’est une première. »

« - Tu n'as pas honte à avoir, il faut bien que cela arrive un jour et je suis enchantée que ce soit moi, d'ailleurs pour moi aussi c'est une primeur, je n'ai encore jamais dépuceler un jeune garçon.
Ce qui est primordial pour une fille se sont les préliminaires, il faut que les deux partenaires aient très envie l'un de l'autre. Nous avons tous et toutes des zones érogènes qui procurent du plaisir, il faut embrasser ta partenaire, la caresser, lui titiller les bouts de ses seins, son clitoris pour que l'envie de forniquer ensemble s'installe. »

Je m'allonge sur le lit à côté de lui, en écartant mes cuisses pour lui offrir mon intimité au grand jour, comme je l’ai fait pour lui, la veille sur le sable.

« - Viens entre mes jambes, oui... comme cela doucement, remontes, écarte mes lèvres, tu dois voir un petit bouton rose recouvert d’un petit capuchon. C’est mon clitoris. Si tu m’écartes bien, tu peux apercevoir un petit trou, c’est par-là que je fais pipi, cela s’appelle le méat. Oui, tu es sur mon clito, c’est lui, passes ta langue doucement dessus. Tu peux le prendre entre tes lèvres et le décalotter avec le bout de ta langue. Avec les mouvements de ta langue sur le clitoris d’une femme ou d’une fille la stimulation digitale à l’intérieur du son vagin est imparable ! Tu as entendu parler du point ‘G’ Alors pour cela tu dois insérer un doigt à l’intérieur de son vagin pour l’atteindre. En fait, le point G n’est pas très loin à l’entrée du vagin. A l’aide de ton index remonte doucement vers le haut, tu vas sentir une zone légèrement rugueuse à 3 ou 4 cm de l’entrée du vagin. C’est mon point ‘G’ je pense que tu es dessus. C’est une zone érogène pour la femme. Maintenant fait des cercles ou des va-et-vient sur cette zone pour le stimuler. De toute manière, tu sauras que ta partenaire apprécie, elle te le fera savoir soit par des petits râles de jouissance ou en se tortillant et tu pourras adapter tes mouvements aux siens. »

« - S’agissant du nombre de doigts à insérer dans sa chatte cela dépend de ta partenaire. Ne lui demande pas, mais essaye de ressentir ce qu’elle aime ou qu’elle désire, en analysant ses réactions. Passons maintenant à la pratique, essaye de me faire jouir en mettant en application ce que je viens de t’enseigner.
»

« - Oui, c’est bien mais va plus doucement au début et puis tu iras crescendo au fur à mesure que tu vois que je mouille et que je prends du plaisir. L’important est de continuer à érotiser cette zone : plus ta partenaire y sera habituée, plus elle prendra du plaisir. »

« - Je vais t’apprendre une autre technique c’est de stimuler le col de l’utérus : c’est un orgasme vraiment puissant pour les femmes ! Le col de l’utérus se situe au fond du vagin, à l’entrée de l’utérus. C’est une zone qui n’est pas ment facile d’accès. Pour l’atteindre, je vais te relever mes jambes vers le haut. Comme cela ? »

«- A l’aide de ton doigt ou de tes doigts, tu vas me les enfoncer dans le fond de ma chatte.
Il faut que tu atteignes cette zone. Vas y glisses moi deux doigts dans le fond de mon vagin et tourne les. Tu sens comme je mouille c’est pour te dire que tu es au bon endroit et que tu me fais du bien. Voilà les zones sensibles du sexe de la femme. Mais il y en a d’autres, objet de désir, la poitrine joue aussi un rôle essentiel dans le plaisir féminin. Remontes et viens sur moi, tu vas maintenant t’occuper de mes seins, tu peux me les lécher, les mordiller, les caresser. Si tu le fais bien tu vas les sentir se gonfler, mes tétons vont durcir et devenir plus sensible. Je te laisse faire, à toi de faire, je te dirais si tu seras un bon amant. »

« - Je vois que tu manques encore d’expérience, mais cela va venir avec le temps, tu as tout de même réussit à me faire dresser les tétons, regardes, ils étaient comme des petits pois les voilà maintenant comme des pois chiche. » (Je regrette que vous n’ayez pas la chance de pouvoir me les téter mais il vous reste le plaisir de les voir sur mon avatar)

« - L’échange et la communication sont indispensables à une séance de câlins réussis. Etre en phase avec les envies de ta partenaire est la clé pour atteindre le septième ciel ensemble !
Il est aussi important de varier les positions lorsque tu fais l’amour avec une fille.
Parfois, changer d’angle de pénétration suffit à décupler le plaisir de celle que tu baises et n’oublie surtout pas qu’une femme à besoin que tu la surprennes. »

« - Assez de discours passons à la pratique, viens que je te déroule un préservatif sur ta queue. »

David n’avait pas débander, il s’allongea à côté de moi, sa main se dirigea entre mes cuisses ouvertes pour chatouiller ma craquelure. Comme je lui avais expliqué, il s’attarda sur mon petit bouton en me le caressant avec douceur ! En même temps il prit mon sein droit dans la bouche pour me le téter comme il faisait à sa maman quand il était bébé. Il glissa son majeur dans le fond de ma grotte, puis il enfonça deux et un troisième doigt dans cette caverne humide. J’avais replié mes jambes sur mon ventre pour qu’il me les enfonce en profondeur.

« - C'est bon David, viens sur moi, j'ai envie que tu m’enfiles. »

J’avais complètement occulté son âge et je ne pensais plus qu’au plaisir qu’il me donnait.

J’ai pris son sexe encapuchonné pour le présenter à l'entrée de ma grotte ruisselante de cyprine. Son gland entra sans difficulté dans mon vagin, écartant mes lèvres et glissant au plus profond de mes entrailles me procurant le désir intense de lui faire cracher sa semence. Je prenais un plaisir personnel de dépuceler ce beau jeune homme qui de toute sa jeunesse n’avait eu d’yeux que pour moi. J’ai passé mes jambes autour de sa taille pour bien le sentir dans moi. Sa bite me labourait encore maladroitement mon abricot mais avec une telle excitation qu'il me procura un orgasme en même temps qu'il prend le sien.

Je venais de dépuceler David qui continuait à me tringler comme si rien ne s'était passé, je sentis son membre se dilater de nouveau, je sentais dans ma chatte la tête de son nœud prendre du volume et des spasmes me confirmèrent qu'il venait de m'envoyer une seconde giclée de sperme. Lorsqu’il débanda, le petit réservoir rempli frottait le fond de mon vagin et me déclencha en quelques secondes un second orgasme. Est-ce le fait de dépuceler le fils de cette jolie blonde que j’avais rencontré la veille ou d'être pénétrée par une bite vierge qui n'a connu aucun autre trou avant le mien ou d'être baisée par ce jeune garçon qui pourrait être mon fils ? Je crois que les trois raisons en sont la cause lorsque l'on sait que le cul c'est avant tout dans la tête que cela se passe.

« - C’est bien David, tu as su mettre en pratique ce que je t’ai enseigné et je peux te dire que tu m’as donné du plaisir. Une chose tout de même, tu aurais du changer de position lors de ta seconde éjaculation, mais c’était bon. Viens que je t’embrasse. »

David quitta l'appartement heureux sans prendre la peine de remettre son short, et en oublia même sa bouteille de coca. Avec ce cours pratique d’éducation sexuelle j’avais pris beaucoup de retard. Je me suis dépêchée de faire les lits, de mettre le préservatif dans le fond de la poubelle et de préparer le repas.

Mes ramasseurs de coquillage venaient de rentrer avec une bien maigre pêche. Heureusement que je n’avais pas compté sur eux pour le repas de ce midi. Nous avons déjeuné sur la terrasse et après une petite sieste, nous sommes allés à la plage. Notre Anglaise qui nous avait vu arriver, nous faisait signe qu’il y avait de la place pour étaler nos serviettes de bains à côté d’elle. Visiblement Emma appréciait mon mari. Elle l’invita à s’allonger entre son homme et elle. A cette heure, il faut encore faire attention de ne pas créer un attroupement autour de nous car le poste de police n’est pas fermé. Aussi c’est discrètement que mon chéri lui caresse les seins. Elle aime montrer son côté sérieux qui cache un plaisir à être une salope qui se fait baiser et remplir pour satisfaire son homme candauliste qui aime la voir prendre du plaisir en la regardant se faire tringler.

Il la caresse et elle ouvre progressivement les cuisses, signe qu’elle a très envie qu’on la fouille. Il la touche, lui écartes les lèvres de sa main tout en lui caressant les seins. Puis sans faire de remous et très discrètement il se penche, descend entre ses cuisses et je vois sa langue venir lui lécher la chatte. Elle me regarde, fière d’elle. Je la vois jouer avec sa queue, lui donner des coups de langue pour l’exciter et lui donner envie d’elle.

Un coup de sifflet vient de retentir, le poste de secours vient de fermer. C’est le moment que je choisis pour m’approcher et de m’allonger près d’elle sans bruit. Il la lèche et enfonce sa langue au plus profond de son vagin largement ouvert. Je le vois alterner avec ses fesses et son anus. J’en profite pour approcher ma bouche et remplacer la langue de mon mari par la mienne. Je l’embouche doucement et elle semble apprécier. Elle se retourne et me voit.

Bob avait compris, qu’il était temps de nous laisser ensemble. Il s’est levé en faisant comprendre par gestes à Peter s’il voulait venir se baigner avec André et lui et de nous laisser entre femmes.

J’ai eu l’impression, lorsque nous nous sommes dit au revoir la dernière fois que notre jolie Anglaise était bi. Je me suis hasardée de l’embrasser sur la bouche pour voir sa réaction. C’était bien ce que je pensais, elle capta mon regard avec un grand sourire, elle prit ma tête entre ses mains et colla ses lèvres sur les miennes dans un baiser enflammé. Nos langues se sont entrecroisé dans une caresse buccale passionnée. Annie s’était placée derrière elle et lui palpait ses jolis petits seins. Ma main glissa le long de son ventre, en direction de son pubis. Sans rien lui demander, elle s’est ouverte naturellement comme une fleur au soleil. Mon doigt continua sa progression entre les lèvres de sa chatte. Elle s’est mise sur le dos, les jambes relevées et largement écarquillées pour m’ouvrir sa corolle afin que je lui caresse son bourgeon. Nous avons fait fusionner Annie et moi nos lèvres avec ses tétons. Elle avait des seins magnifiques, petits mais fermes surmonté d’une large aréole brune et d’une tétine qui se soulève au-dessus de sa poitrine, comme s'il partait en pointe vers le haut tel un gâteau surmonté d'une cerise que nous étions en train de déguster.

Trois lesbiennes en pleine action cela ne passe pas inaperçu sur cette plage. Deux voyeurs s’étaient assis sur le sable devant nous pour mater le mollusque charnu d’Emma. Elle est en même temps provocante, impudique et obscène à la fois avec ses jambes généreusement ouvertes offrant son gastéropode au regard de ces hommes.

J’ai glissé deux de mes doigts dans son puits d’amour trempé de cyprine. Elle se cabra en soulevant ses fesses. Elle prit Annie dans ses bras et l’embrassa. J’ai passé ma seconde main sous son fessier en suivant la ligne médiane de ses fesses pour atteindre son troufignon ou plutôt « son trou tout mignon ». La mouille de sa chatte avait coulé le long de sa raie et avait lubrifié son anus, mon index entra dans sa corolle. Elle lâcha un râle de plaisir.

Entre temps notre public s’était étoffé, ce n’était plus deux, ni trois mais une quinzaine de voyeurs qui nous regardaient copuler ensemble.

Annie se leva pour se mettre à genoux entre les cuisses d’Emma. Celle-ci posa ses jambes sur ses épaules pour mettre à disposition son coquillage mucilagineux au contact des lèvres de ma copine pour se le faire bouffer. Pendant qu’elle prenait du plaisir, je m’étais mise à califourchon au-dessous de son visage pour lui faire savourer ma moule au goût d’embruns. Nous nous faisons toutes les deux brouter le minou pour ressentir les bienfaits de ce contact de nos lèvres avec celles de notre zizoune, tel un baiser salace. Annie en profitait également, en se mettant en position de levrette devant Emma pour lui sucer les muqueuses, elle s’était rapprochée d’une longueur de bras du voyeur assis au premier rang. Ayant sa fendasse sous les yeux, le mec n’avait qu’à tendre le bras pour lui chatouiller son bourgeon. Comme il voyait qu’elle ne disait rien, il rapprocha encore du son cul, lui écarquilla les fesses et se mit à lui fouiller son « origine du monde »

Il a fallut l’arrivée de nos maris pour mettre fin à cette foule de voyeurs qui se masturbaient autour de nous.

« - Allez messieurs vous êtes bien gentils d’honorer nos femmes de la sorte en leur montrant qu’elles vous font envie, c’est d’ailleurs un honneur pour elles, mais ce ne sera pas pour aujourd’hui. Vous pouvez vous écarter, le spectacle est terminé. »

Nous avons entendu des protestations, des contestations, des murmures de désaccord :

« - C’est dommage alors que cela commence à devenir intéressant. » « - Ce n’est pas tous les jours que nous avons un spectacle de gouines. » « - Je lui aurais bien sucé le minou à la petite brunette. » « - Elles ne sont pas pour toi, elles n’aiment que les femmes. » Etc…

Nous avons même eu le droit à quelques conflits, à l’opposition de certains voyeurs qui ne voulaient pas se disperser.

« - Mais qu’est-ce qui vous à pris de vous montrer comme cela, de vous exhiber devant ces dizaines d’hommes sans que nous soyons présents pour contrôler et mettre de l’ordre si besoin. C’est dangereux en étant des femmes et cela peut vite dér. Ce n’est pas que cela me dérange de faite l’étalage de vos charmes devant tous ces gars, mais la prochaine fois attendez-nous si vous voulez vous épanouir devant eux. »

Nous nous sommes fait remonter nos bretelles par mon mari (ou plutôt les seins, les bretelles ne servent pas à grand chose lorsque nous sommes nues.) Il faut dire qu’il n’avait pas tord.



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