La Vie De Tarek - 01

Intro : Cette histoire est liée à ma précédente histoire « Max & Mark » et suivra la vie de Tarek de la découverte de son homosexualité à sa vie actuelle écrite dans « Max & Mark ». Je voulais exploiter ce personnage car je m’y suis beaucoup attaché et je voulais retranscrire son histoire et les étapes qu’il a vécu. Bonne lecture !

Chapitre 1 – La découverte de mon homosexualité

Moi c’est Tarek, je vais vous retracer un peu mon histoire et les grandes étapes qui ont fait ce que je suis devenu. Et je pense que la première chose à faire c’est de parler de ma première révélation. J’ai alors 18 ans. La vie semble clémente avec moi côté physique car je suis plus grand que la moyenne, une facilité plus accrue pour muscler mon corps, des yeux verts et une peau mate comme seule l’Afrique du Nord peut en faire. Côté anatomique, je suis bien pourvu car ma queue mesure 23 cm et lorsque je me compare avec mes potes de sport, je vois que je suis bien avancé par rapport à eux. De manière incompréhensible, ça crée une forme de respect de la part des autres mecs et rares sont ceux qui viennent m’emmerder. J’avoue que c’est très aidant dans mon milieu car j’ai grandi dans les quartiers compliqués de Lyon.

J’ai découvert le porno depuis un moment et j’aime toujours autant prendre le temps de me branler quand l’occasion se présente. Mais aujourd’hui, une envie plus pressante que d’habitude se fait ressentir mais c’est impossible de faire quoi que ce soit car mes deux cousins sont chez moi. Mes parents sont partis en week-end et ils ont demandé à Mohamed et à Moundir de venir me tenir compagnie le soir. Ils ont 21 et 19 ans et ils sont comme des frères pour moi. On zone comme à notre habitude un peu dans le quartier mais on s’ennuie vite et il fait froid donc on décide de rentrer chez moi. On se pose un peu devant la télé et c’est là qu’un film érotique se lance. Un peu gêné, je me relève et pose mon regard sur eux qui ne semblent pas mal à l’aise.

C’est alors que Momo propose de se faire un petit porno. Moundir acquiesce en commentant l’état de ses couilles et moi je reste silencieux en les regardant un peu ahuri.

« Qu’est-ce qui ya couz ? T’as jamais fait de plan branle entre famille ? T’inquiètes, je le fais tout le temps avec Moundir et ya rien d’ueux ! Juste un plaisir partagé. »

Je reste un peu muet mais accepte d’aller plus loin. Il sort alors mon ordinateur et part sur un site porno. Il questionne sur ce qu’on veut regarder et je les laisse choisir, trop occupé à me préparer mentalement à me branler avec mes cousins. Ils sont de chaque côté de moi et le porno se lance. Je les regarde se frotter le paquet en fixant l’écran. Cela commence à devenir plus chaud et je me concentre sur le film qui commence à faire son effet sur moi. Ma queue se durcit et semble bien vite à l’étroit. Je jette un regard à mes cousins et je vois qu’ils ont tous deux sortis leur queue à l’air libre. Momo a pris ses aises, le pantalon aux chevilles mais Moundir a toujours le sien au niveau des fesses. Je défais ma braguette et sort timidement ma queue. Elle se dresse directement et cette apparition fait bugger mes cousins qui arrêtent de regarder le film pour ma queue.
« Oh putain Tarek, c’est du lourd que tu as là ! Et t’as que 18 ans ? Putain t’es bien parti pour être un monstre !! La mienne est à 20 cm et t’as encore de la marge ! Regarde elle est plus grosse que celle de Moundir ! »

J’avoue que ma queue semble la plus imposante et cela m’apaise un peu plus en sachant que la gêne est passée. On se replonge dans le film et chacun branle sa queue de manière plus ou moins vite. Mohamed crache souvent sur sa queue pour la lubrifier et à chaque crachat, mon regard se pose sur sa queue que j’observe avec insistance. Je me rends compte que je suis plus excité par la queue de mon cousin que par le film porno. Je mets ça sur le fait que c’est une nouveauté mais au fond je sens que c’est plus que ça car je me vois la sucer.
Je reprends malgré moi le cours du film pour ne pas éveiller de soupçons.

Soudainement, le portable de Moundir sonne et il décroche rapidement.

« Bon c’est ma go ! Faut que je me taille ducoup je vais vite me finir ! »
« T’es sûr que tu veux pas la baiser ? »
« Non elle veut pas, elle fait chier ! »

J’écoute la conversation entre les deux frères et je remarque leur extrême proximité que je n’avais jamais vu auparavant. Moundir commence à accélérer sa branle et ferme les yeux pour se concentrer en se caressant. Voir cette scène m’excite au plus haut point et je sens que je peux juter à tout moment. Voir mon cousin, corps apparent et musclé, se branler à 10 centimètres de moi me laisse pas de marbre et en jetant un coup d’œil à Momo, je vois qu’il ne fait même pas attention et continue à regarder le film. Moundir pousse des petits râles et semble sur le point de juter. Il est totalement dans son monde et nous a complètement oublié. Il finit par éjaculer de gros jets qui s’étalent sur son corps. Malheureusement, il contrôle mal son excitation et deux jets sortent avec un angle hasardeux et atterrissent sur moi : un sur mon corps, l’autre sur le visage. Je suis surpris et j’ai un mouvement de recul me faisant ripper la main sur le corps de Mon autre cousin.

Chacun oublie le film et Moundir s’excuse de suite de m’avoir giclé dessus, Mohamed rigole de la situation et je me lève pour aller m’essuyer. Moundir me suit pour s’essuyer aussi et continue à s’excuser. Je ne sais pas quoi réellement penser car ma réaction externe est la plus adaptée mais intérieurement, cet acte m’a excité et j’ai envie qu’il recommence. Je débande rapidement dans l’action et Moundir part dans les minutes qui suivent pour rejoindre sa copine. Je me retrouve seul avec Mohamed qui se mate toujours le porno. Je le rejoins et m’asseye à nouveau à ses côtés, en laissant néanmoins plus de distance.

Je reprends mon activité comme avant en parlant un peu de ce qu’il s’est passé mais Momo change de sujet pour parler de moi et plus précisément de ma queue.
Il me demande s’il peut la toucher et après hésitation, j’accepte. Sa main empoigne alors mon chibre et une décharge électrique traverse mon corps. Il me dit de me relaxer et commence à me branler calmement en commentant ma queue. Il me dit toutes les choses que je pourrais faire avec et surtout celles que je ferai quand elle sera encore plus massive. Je prends alors sa queue dans ma main ce qui a pour effet de le surprendre. Il me questionne et je lui explique que c’est donnant donnant. Il rigole et se laisse branler. C’est la première fois que je branle une autre queue que la mienne et savoir que c’est celle de mon cousin m’excite encore plus. Elle est belle, circoncise, veinée et puissante.

« T’as l’air de bien kiffé ça toi ! Avoue quand mon frère t’a giclé dessus ça t’a plus excité que dégoûté ! »

Je ne sais pas où me mettre et je rougis sans le vouloir. Je veux me confondre en excuse mais je ne sais pas quoi dire. Il rigole et lâche sa main pour me toucher le visage et me demander de me détendre. Il se redresse et fond sur ma bouche. Je n’ai même pas la force de le repousser et nos lèvres s’entrechoquent dans un baiser d’abord en sens unique. Je sens sa langue forcer le passage et je le laisse entrer dans ma bouche, ses mains contre mon corps. Il se recule doucement et me regarde avec envie.

« Je savais pas que t’étais du genre pédé couz ! Mais t’inquiètes je dirai rien, tu peux venir me téter tranquillement. »

Je suis abasourdi par sa phrase et riposte par réflexe en me sentant offensé. Mais il a le dessus et les arguments.

« Mec arrête, tu mates ma queue depuis une heure et quand Moundir se branlait on voyait que tu voulais être la personne dans ses pensées. Tu viens juste de le découvrir et c’est pourquoi je t’invite à commencer ton apprentissage avec moi. »

Je ne sais plus vraiment quoi répondre et j’aimerais fuir loin, très loin. Mais mon regard ne cesse de revenir sur sa queue qui est toujours tendue au max.
Momo voit que je ne compte pas réagir alors il vient de nouveau déposer un baiser sur ma bouche puis dans le cou pendant que sa main vient derrière ma tête pour faire pression et me rapprocher de sa queue. Je me laisse faire et change de position pour venir à quelques centimètres de sa queue. Elle est encore plus belle de près et j’ouvre la bouche automatiquement. Elle est un peu grosse et mon inexpérience ne m’aide pas du tout. Mais Mohamed est là pour m’aiguiller et m’indique tout le processus pour bien sucer. On sent le gros baiseur et ça m’excite pas mal.

Au bout de 10 minutes, je semble plus à l’aise et ses conseils se transforment en appréciation et encouragement. Il me caresse de partout et sa main s’approche de mon cul. Instinctivement et ma plus grande surprise, mon dos se cambre pour le rapprocher de son but.

« Ouuuuh Tarek qu’est-ce tu me fais là !? Tu veux que je te défonce ou quoi ? Me fais pas ça couz après je vais plus me sentir et oublier que t’es mon frère de cœur ! »

Il m’excite tellement et j’ai envie qu’il soit ma première fois et me pénètre. Je n’aurais jamais pensé ça il y a quelques heures mais là je ne veux que sa queue et la sucer ne me suffit plus. Plus je pense et plus Mohamed hante mon esprit avec des souvenirs de lui montrant sa musculature et sa beauté. Je redresse la tête tout en continuant de cambrer et le regarde dans les yeux.

« Je veux que tu me fasses l’amour Mohamed ! Je veux te sentir en moi ! »

Il a un geste de recul et me repousse un peu, l’air un peu scandalisé.

« Putain Tarek tu dérailles ! Je vais pas t’enculer on est cousin ! Et pi si je baise avec un gars c’est pas pour lui faire l’amour mais pour me vider les couilles ! Merde Tarek tu fais chier… Mais tu fais quoi là ? … Oh mec lâche l’affaire je vais pas te baiser ! »

Je me suis rapproché de lui et je m’assieds sur ses cuisses à califourchon pour l’embrasser. Il résiste au départ mais je prends ses mains pour les mettre sur mon cul et embrasse son cou avant de remonter sur ses lèvres. Le toucher de ses mains l’achève car vu comme mon cul est bien musclé, il ne peut que le kiffer. Il m’embrasse alors avec plus de fougue et me renverse sur le canapé pour m’embrasser et me caresser vigoureusement. Il relève mes jambes pour se mettre entre et ondule entre mes fesses pour mimer l’acte. Nos souffles s’accélèrent et les choses sérieuses semblent prendre place. Il me fait mouiller du cul comme pas possible et va bientôt s’en occuper en vue de l’assaut.

Il se met à niveau et commence à masser mon cul en le commentant et en y crachant dessus. Il insère un doigt mais à beaucoup de mal car je suis trop serré. Il se lève pour prendre son sac et sort un tube de lubrifiant. Il m’explique brièvement que c’était au cas où qu’il avait un plan. Le contact avec le lubrifiant me fait dresser et son doigt entre bien plus facilement. Il me dilate de plus en plus au point d’y entrer plusieurs doigts. Il fait ça tout en m’embrassant et avec sensualité. Il y verse encore plus de lubrifiant et s’arrête en me mettant une fessée.

« Allez mets toi à quatre pattes, je vais te dépuceler ! »

Il casse un peu l’ambiance avec cette phrase mais j’obéis et je me retrouve avec sa queue à la porte de mon anus. Il enfile sa capote et émet une première pression avant de s’enfoncer plus fort. Je pousse un cri un peu de douleur mais je dois dire qu’il m’a bien lubrifié le cul et que ça rentre plutôt bien. Il commence les vas et viens et c’est là que la douleur est la plus présente. Les premiers allers retours sont super douloureux et j’ai l’impression d’avoir une barre de fer dans mon cul. Je me demande pourquoi j’ai fait tout ça et que je suis encore trop jeune pour avoir un tel rapport sexuel. Je doute et me raidis alors, rendant l’entrée de mon cul plus compliquée. Momo le sent et doit forcer un peu plus en me demandant de me détendre. Il m’embrasse dans le cou et se retire.

« Excuse Tarek j’ai du mal à doser. Tu sais c’est la première fois que je baise un mec comme ça et savoir que t’es mon cousin m’aide pas ment. »

« T’inquiètes pas c’est moi qui doute. J’aimerais être avec toi et pas contre… »

« Je te comprends, viens on change de position. »

Il se retire et s’assied sur le canapé pour m’attirer contre lui et l’embrasser. Je me remets à califourchon sur lui et je le sens placer sa queue sous mon cul. Il m’incite alors à m’asseoir avec douceur et tout le temps qu’il faut. Il m’embrasse durant la descente et la douleur semble moins grande. Je commence même à retrouver le plaisir et les sensations que j’avais en suçant sa queue tout à l’heure. On finit par accélérer le mouvement et Mohamed se montre super présent pour me caresser et prendre en compte mes sensations. Il cherche à me faire plaisir laissant ses envies de côté. Mais c’est un cercle vertueux car me voir en jouissance le fait aussi monter. Il me dit soudain qu’il est prêt à gicler. Je me retire alors de sa queue.

Il est surpris aux premiers abords car ayant une capote, il pensait se finir en moi. Mais j’ai un autre projet en tête et après avoir fait valser la capote, je commence à branler sa queue en mouvement avec la mienne. Il me lance un regard coquin et approuve mon envie en joignant ses mains aux miennes. On branle nos deux queues avec nos quatre mains les unes sur les autres en se regardant et, avec la pression, je sens que ça monte. On arrête notre branle commune et je me redresse en me branlant rapidement et éjacule dans un râle mon jus sur le corps de mon cousin, atteignant son visage par la même occasion. Il semble kiffer et une dizaine de secondes plus tard, il se relève à son tour et me fait mettre à ses genoux. Il branle sa belle queue veinée à quelques centimètres de mon visage et dans un râle similaire au mien, il vient lâcher un bon jus épais sur tout mon visage. Il se décharge beaucoup et j’en reçois pas mal dans la bouche. Oubliant d’être avec moi, ses vieilles habitudes refont surface et il commence à m’étaler son sperme sur ma gueule et me fait sucer sa queue.

Il se rallonge sur le canapé fatigué de la baise et se caresse doucement la queue. Je me mets entre ses jambes et sans sa permission, je reprends sa queue en bouche. Il semble surpris mais ne se débat pas et vient même caresser ma tête avec tranquillité. J’ai maintenant sa queue à demie molle en bouche mais j’ai envie de la garder. Je finis par me relever et me blottir contre lui. On reste comme ça un quart d’heure avant que l’envie de pisser se fasse ressentir. On se lève alors et on part se doucher ensemble avant d’aller nous coucher.

On se retrouve blotti dans mon lit et Mohamed jusqu’alors presque silencieux, commence à parler.

« Ecoute cousin, c’était vraiment cool ce soir et j’ai grave kiffé. Mais t’es mon cousin et je ne recommencerai pas avec toi. Et ne cherche pas à retenter car ça ne se fera pas de cette manière et j’ai pas envie de casser notre lien. Je ne dirai rien à personne de ce qu’il s’est passé entre nous et surtout pas à Moundir car c’est trop une langue de pute. Il ne faut pas que les gens du quartier sachent que tu t’es fais baiser sinon tu vas devenir la salope du quartier. Ça ne se sait pas beaucoup en surface mais dans nos réseaux, on a pleins de mecs qui veulent se faire baiser par des gars de cité comme nous. Alors soit tu décides de devenir une salope et tu te fais tourner par mes potes et moi, soit tu oublies tes envies et tu te trouves une copine. Après si par moment tu veux baiser du keum, alors appelle moi et je te ferai rentrer dans mon réseau pour baiser des petites salopes. Après c’est que du cul et c’est de la bonne pute qui veut se faire péter le cul. Et avec ta queue t’auras aucun souci ! Je tiens à toi donc je te préviens et te laisse choisir. Je reste cette nuit avec toi et après on reprend notre vie comme avant ce soir. »

On discute encore quelques minutes et je réfléchis sans cesse à ses mots. Je ne veux pas devenir la pute des autres mais j’ai peur de pas réussir à oublier l’excitation que me procure les mecs. Je me sers dans ses bras musclés. Je me sens contre sa queue et il tente de cacher son érection mais trop tard j’ai capté. J’insiste et il finit par se détacher de moi, se met sur le dos et dans un soupir me dit.

« Allez je t’offre un dernier cadeau, viens me sucer une dernière fois mais demain matin on oublie tout ! »

J’y mets tout mon cœur en sachant que ce genre de moment n’allaient pas se reproduire dans un futur proche. La tête entre ses cuisses sous la couette, je reçois son jus en bouche appuyé par ses mains derrière ma tête. J’avale ce que je peux et remonte l’embrasser avant de m’endormir contre son torse.

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