Esclave Au Boulot De La Responsable Des Achats

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Bonjour je m’appelle Paul et je vais vous raconter ce qui m’ai arrivé sur mon lieu de travail. Pour info je suis fétichiste des pieds et désormais, je suis aussi l’esclave des pieds de la responsable des achats de mon usine.
Voilà 15 ans que je travaille dans cette usine et maintenant 3 ans que tous les midis je vais déjeuner à la cafétéria toujours à la même place. Il y a maintenant 1 ou 2 mois j’ai remarqué cette femme d’environ 45 ans qui s’assoie pour déjeuner à 2 table juste face à moi. Grande, blonde, toujours bien habillé et surtout un air très sérieux avec une démarche volontaire. Je l’entends toujours arriver dans mon dos, elle porte tous les jours cette paire d’escarpin blanc avec un petit talon carré de 6 cm. Mais surtout une fois assise, elle en profite pour se déchausser face à moi alors pour être honnête je me régal du spectacle. J’adore la voir enlever ces chaussures et poser ces pieds nues à même le sol. Ces pieds sont sûrement très chauds car je distingue des traces de buée apparaitre sur le carrelage. Une seul fois j’ai été privé du spectacle, elle portait une petite paire de boot noir et une autre fois un jour de RTT ou l’usine était déserte je la vois arrivé avec une paire de sandale qui en plus ne lui aller pas du tout, il faut dire que ces pieds sont très grands 40 voire 41. Elle dégage un air supérieur comme ces pieds, un regard qui vous dit « si vous me cherchez-vous me trouverez ».
Les jours passent et toujours ces escarpins blancs (de plus en plus vieillissant) et ces mêmes jeux sous la table. Un jour je décide de prendre mon portable pour filmer tout ça. Me voilà faisant mine de lire mes messages mais surtout en train de la filmer, non de filmer ces pieds. Par moment je suis sûr qu’elle se doute de quelques choses, elle me regarde fixement et remet ces chaussures avec un air agasses. Mais bon qu’est-ce qu’il peut m’arriver, mais quand même j’aurais dû me méfier un peu plus.


Un jour comme les autres je films tout en discutant avec mes collègues puis on repart au taff comme d’habitude. D’un coup je me rend compte avoir perdu mon tél, je réfléchis et je décide d’aller à la cafeteria pour vérifier mais rien, rien sur la table et personne n’a trouvé de téléphone. Le pire c’est que je n’ai pas mis de code de déverrouillage, n’importe qui peut voir tout ce que je fais avec les sites fétichistes des pieds que je consulte et surtout les photos et vidéo de la dame aux escarpin blanc.
Je décide de prendre un fixe de d’appeler sur mon portable. Ça sonne c’est déjà ça :
« Allo, Bonjour »
« Oui » c’est une voix de femme
« Je pense que vous avez trouvé mon portable Madame »
« Oui à mon avis si je réponds à ton téléphone c’est que c’est moi qu’il l’est non ? »
Le ton de sa voix est dur et en plus elle me tutoie bizarre mais qui est-ce.
« Oui c’est exact, je suis un peu idiot sur ce coup »
« Comme tu dis »
« Est-ce je peux le récupérer s’il vous plait ? »
« Oui il t’appartient »
« Comment on peut faire vous êtes Madame ? »
« A oui, je suis la Dame qui est en photos et en vidéo dans ton téléphone »
J’ai cru que le ciel me tombé sur la tête, encore un peu et je vais faire un malaise.
« Euh oui … oui »
« Tu sais les photos et les vidéos de mes pieds et mes chaussures, tu vois de quoi je parle quand même »
« oui mais je peux vous expliquez »
« J’espère bien, passe à mon bureau à 17h sa te laisse un peu de temps pour réfléchir et te préparer »
« 17h, c’est un tard »
« Tu te fou de ma gueule tu négocie, tu es mal placé non »
« Oui excusez-moi, 17h ok »
« Voilà je préfère »
« Il est où votre bureau »
« Alors déjà c’est, ou est votre bureau Madame s’il vous plait OK. Mon gars change tout de suite d’habitude sinon ça va m’énerver et tu risques de passer un mauvais moment. Premier étage comptabilité le bureau de Mademoiselle Conté.
OK »
« Oui Madame, euh Mademoiselle »
« Pour toi c’est Madame »
Elle raccroche, j’étais complétement paniqué, comment je vais faire pour me sortir de cette galère.
Après mettre renseigner un peu sur elle, j’étais encore moins rassuré. C’est la nouvelle chef du service Achat de l’usine Mademoiselle Conté Anne 47 ans jamais marié pas d’, ça signifie qu’elle est membre de conseil d’administration, comparé à elle je ne suis rien du tout. En plus il parait que c’est une vraie peau de vache, je crois que là pour moi c’est fini.
16h45 je me dirige vers le service achat, là un grand couloir, j’avance et devant chaque porte le nom des personnes présentes dans le bureau et au fond du couloir une porte Melle Conté responsable achat. 16h55 je suis un peu en avance mais bon aller j’y vais-je frappe.
« Entré, à enfin te voilà j’ai attendu ton arrivé toute l’après-midi, assis toi sur cette chaise »
Elle est assise à son bureau, je remarque mon portable à sa droite toujours allumé et j’entends un bruit que je connais très bien, le bruit d’une paire talon sur le carrelage comme si on bouge des chaussures et je la vois se lever, elle ferme la porte à clef et vient se mettre devant moi appuyer contre le bureau puis elle croise ces pieds, son pied droit est même à moitié sortie de sa chaussure moi tête baissé j’admire encore ces pieds et je commence à bander impossible de ma retenir, si elle remarque la bosse de mon entre jambe je suis mort.
« Tu baisses la tête de honte ou tu mattes encore mes pieds ? »
« De honte Madame, mais vous savez je peux tout vous expliquer »
« T’es toi !!! »
Son crie me tétanise complétement.
« Il n’y a rien de plus à expliquer, voilà je n’ai pas de temps à perde moi j’ai du boulot, je vais te faire 3 propositions, la première ce soir je passe au commissariat pour porter plainte et demain il y a un CA je te fais licencier ; la seconde idem que la première mais sans la case commissariat ok ?? »
« Oui oui Madame mais je vais prendre la troisième »
« Alors toi tu es culotté, la troisième tu fais tout ce que je te demande, ici je n’ai pas encore d’esclave »
« Je ne comprends pas madame esclave ? »
« Oui esclave pour mes pieds ce n’est pas compliqué, dans mon ancienne boutique j’en avais même deux mais un jour j’en ai cassé un, en plus pour toi un fétichiste des pieds tu risques même d’aimer ça, même si »
« Même si quoi »
« Réfléchi bien, tout ce que je te ferai restera entre nous »
« Oui Oui pas de problème »
« On va voir ça, tu sais par moment je suis un sur les nerfs j’aime bien me défouler, mais je vais te faire une démo et si tu ne supportes pas nous mettrons en place la seconde possibilité et donc ton licenciement.
»
« Non Non Madame, je vous en supplie ça va aller vous aller voir »
« Ok met toi à genou les mains sur la tête »
Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il m’arrivait, mais bon je n’ai déjà pas le choix et pour le moment ça va, c’est plutôt plaisant. Je m’exécute et me voilà à genou les mains sur la tête. Elle s’approche att mon menton de la main droite pour relever mon visage, elle se penche et passe son pied droit entre mes genoux.
« Lève un peu la tête, écarte tes jambes voilà ouvre la bouche que je te crache dedans aller »
J’ouvre la bouche et là elle crache une fois 2 fois, alors sans réfléchir j’aval tout en sentant mon sexe durcir.
« C’est bien »
Elle recule et là m’envoie un énorme coup de pieds dans les couilles, je m’effondre sur le côté mais elle m’envoie 3 ou 4 coups de pieds dans le ventre et un dernier en pleine tête, je suis sonné. Elle ricane, s’approche pose son grand pied sur mon épaule et me pousse pour m’obliger à me mettre sur le dos. Je roule m’allonge sur le dos mes mains toujours dans mon entre jambes. Je la vois depuis le sol, elle est encore plus grande plus majestueuse, et là je l’aperçois qui retire sa chaussure droite.
Elle pose son pied nu sur ma gorge et appuie de tout son poids, au début ça aller l’odeur de ce pied moite de sueur commencer même à vraiment me rendre fou mais au bout d’un moment je commençais à vraiment m’ alors par réflex je lui saisis la cheville mais rien n’y fait elle est trop forte pour moi, j’ai l’impression que là je vais mourir.
« Laisse-toi faire conard , les vers de terre comme toi essai toujours de se débattre mais au fond tu aimes ça regarde la bosse dans ton pantalon ,tu vas voir, tu vas seulement tomber dans les pommes, il suffit juste que je m’arrête au bon moment c’est pour ça que j’ai retiré ma chaussure pour mieux sentir ton cœur battre sous mon pied et ralentir tout doucement j’adore cette sensation d’avoir le pouvoir de vie ou de mort sur un homme rien qu’avec mon pied, aller arrête de te débattre, c’est toujours comme ça, je ne vais pas te »
Sur ces parole la pression de son pied chaud et moite s’accentue et puis trou noir.
Je me réveil, me redresse tout en me tenant la gorge et en plus j’ai un gout de sang dans la bouche, ou suis-je ? Ha oui je me souviens de tout. Elle m’a étranglé sous son pied, elle est où d’ailleurs. Je me relève et j’entends.
« Et interdiction de se lever, à terre tout de suite »
Elle est là assise à son bureau en train de travailler tranquillement alors que moi j’étais en train de mourir, je m’assois à terre en la regardant, je vois qu’elle a retiré ces chaussures.
« Pourquoi tu me regardes comme ça, je t’ai dit de ne pas de débattre, il n’écoute jamais maintenant tu vas avoir mal à la gorge pendant 2 ou 3 jours. Allonge-toi sur le dos tout de suite »
Elle rechausse ces escarpins et se lève, elle ne va pas remettre ça quand même.
« S’il vous plait Madame vous n’allez pas m’ je vous en supplie »
Au lieu de m’allonger sur le dos je me mets sur mon ventre complétement allongé contre le sol.
Elle s’approche, je me précipite et je commence à lécher sa chaussure droite aussi fort que possible. Elle relève sa chaussure légèrement j’en profite pour passer ma langue sur la semelle, je vais peut-être réussir à échapper à une autre séance.
« C’est bien tu commences à comprendre, mais j’ai dit allongé sur le dos »
Elle m’envoya son pied en plein visage, tout en me tenant la tête je décide de me retourner sur le dos, sans savoir ce qu’il aller m’arriver.
« Tu peux t’en aller si tu veux, je ne te retiens pas dans ce cas pas la peine de revenir bosser demain. Allons bon tu obéis enfin, je ne vais pas t’ à chaque fois, c’était juste une démonstration pour que tu comprennes qui est le maitre du chien. Va te mettre près du bureau. J’ai encor un truc à t’expliquer et après tu pourras passer dessous le bureau pour nettoyer mes chaussures et mes pieds pendant que je travail. »
J’obéis au plus vite et m’allonge près de son bureau sur le dos.
« Comme tu as vue avant, si l’envie m’en prend je t’étrangle. J’ai l’impression que tu as bien compris. Une dernière précision »
Elle se met debout sur mon torse et commence à essuyer ces pieds avec tellement de force et de volonté que mon pull remonte très vite. La voilà qui continu à frotter ses semelles et ces talons sur mon torse comme sur un paillasson. Le problème c’est qu’elle insiste bien sur les talons et ça commence vraiment à me faire mal, de ce fait je pousse quels cries de douleurs pour lui faire comprendre que là j’ai vraiment mal.
Elle descend enfin de mon torse, me regarde sourit.
« Va te mettre contre le mur derrière le fauteuil de mon bureau, j’arrive je passe aux toilettes dommage que tu n’es pas encore formé à la pratique des toilettes. »
Je m’exécute peur d’autre représailles. Elle entre dans le bureau vient s’assoir sur son fauteuil et se tourne vers moi en posant ces pieds sur mes épaules.
« Ecoute une dernière démo, c’est peut-être la plus dur pour toi mais après promis c’est fini je retourne à mon travail et toi sous le bureau pour me nettoyer mes pieds et chaussures ok ? »
« Oui maitresse »
Elle vient appuyer avec le talon de sa chaussures gauche sur mon front m’obligeant à relever la tête, puis m’enfonce dans ma boche la pointe de son escarpin droit. Elle insiste pour l’enfoncer encore plus, avec cette chaussure très grande et la pointe de son escarpin assez pointu au bout d’une minute j’ai l’impression qu’elle a tellement enfoncer son pied qu’elle touche le fond de ma gorge. Je commence à ressentir l’envie de vomir de plus en plus, je me débats alors.
« Ha, tu ne vas pas recommencer à te débattre, ça ne sert à rien, laisse-moi faire »
Sur ces paroles, le coup de grâce, je la vois s’accrocher aux accoudoirs de son fauteuil comme pour prendre de l’élan et elle vient mettre toutes ces forces, tout son poids pour terminer de me faire avaler sa chaussure. Et là impossible de me retenir, je commence à vomir mais elle ne bouge pas son pied, je corps convulse. Enfin elle retire son étreinte sort son escarpin de ma bouche et me lâche la tête avec l’autre, je tombe sur le côté en vomissant un liquide gluant et transparent. J’entends au loin qu’elle éclate de rire et dit.
« Ha oui pas mal, j’espère que ça t’a plu autant qu’a moi, mais de voir convulser ne plus respirer et être au bord de l’évanouissement, c’est excitant. »
Elle s’approche et commence à essuyer sa chaussure droite sur ma tête.
« Aller nettoie moi tout ça mais avant vient chercher ta récompense et lèche mes pieds tu vas voir ils ont bon goût »
Elle retire ces 2 chaussures et fait bouger ces orteils, moi sans réfléchir je me jette dessus en savourant le moindre coup de langue. Son gros orteil est gigantesque il rentre tout juste dans ma bouche mais comme ça après je peux le sucer.
Je suis resté une heure à lécher ces pieds et même après ces chaussures à la fin. Je recois un coup de pieds en plein visage.
« C’est bon je vais rentrer chez moi, essuie mes pieds et mes escarpins avec ton maillot ils sont plein de bave, remet mes chaussures et repasse demain même heure. Ce soir je ne prends pas de douche ce n’est pas la peine demain tu va me nettoyer tout avec le coup de langue magnifique que tu as je suis sûr que tu seras aussi efficace avec mon trou de cul qu’avec mes pieds. »
Et moi sans réfléchir.
« Oui maitresse. »
Elle me caresse la joue avec son pied droit me sourit se lève et part.
« Demain soit en forme j’ai encore pas mal de truc à te montrer »
Mais c’est une autre histoire.

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