Après Le Boulot, Des Routiers...

Je suis I... cela signifie en grec « chaste, pure »… 25 ans, chargée de recrutement. Blonde et belle, les yeux bleus qui pétillent d’envie quand quelque chose me plaît, j’aime être sage et douce dans ma vie professionnelle et personnelle. Mon mec est un mec cool. Je l’aime.
Voilà pour le côté perso et c ‘est tout puisque l’intérêt est ailleurs. J’ai des envies terribles. De sexe. Toujours. Assise devant des gars qui viennent parler boulot, je suis souvent empalée sur un plug anal. Je me tortille souvent pour les besoins de mon boulot en passant de l’ordi à l’imprimante à des documents dans les tiroirs… vous voyez ? . Je mouille comme une chienne tandis que je leur propose des missions à droite, à gauche. Le local où je bosse est sécurisé. l’accès, les locaux alentours… alors quand j’ai fini mon job, l’ordi éteint, les stores baissés, je me branle souvent la chatte, je joue avec le plug et je jouis comme une folle…
Ensuite, je nettoie tout ça, lingette, sopalin, le plug dans une poche et je rentre sagement rejoindre mon homme.
Oui, tout est sage, ordonné…
Trop sage. Trop ordonné.
J’ai pas mal de kilomètres pour rentrer chez moi. Pas mal d’envies fulgurantes de sexe, aussi. Je me sens pute… qu’est ce que je me sens être, bien au fond de moi une grosse putain !
Alors vient un soir, il y a peu, où je ne rentre pas directement. Enfin si, mais je passe par l’autoroute. Même trajet mais plus rapide et payant. De toute façon, mon homme ne rentre pas avant trois heures minimum aujourd’hui. Je roule vite dans la nuit tombante. Je n’ai pas enlevé le plug ce soir. Mon corps est comme bloqué, mon cœur accéléré et mon esprit fou, grisé par cette expérience que j’entame. Sans savoir, sans but exact… juste envie d’aller sur ce parking de l’autoroute. j’y suis. Je mouille. c’est sombre, glauque. C’est ce que je veux. J’ai peur, un peu. Je me gare. Des camions pas loin. Trois. Je descends. Je suis bien habillée, ça fait pas salope.

Je vais faire pipi aux toilettes. Un vrai pipi bruyant. Toujours bloquée sur l’envie de sexe. C’est froid, un peu sale, bétonné… je mouille, putain, je mouille… mon plug glisse tout seul tant mon excitation détend mes muqueuses. Je le remets en place, je le ressors… il brille, je le suce alors. Folle, immonde truie ! Mon cul béant au dessus de la cuvette fait comme un appel d’air pour de la bite. Sordide ! Je suis outrée par la pute que je suis à l’instant. Il y a du bruit devant ma porte. Ça marche, ça hésite, ça revient. Pas une femme, ça. Donc ? Un homme qui n’ a rien à faire dans les toilettes pour dames. Il est là parce qu’il m’a vue. Il imagine quoi ? Que je suis une chienne. En fait, il espère ça. Un chauffeur qui veut de la petite nana adorable à baiser.
Ma main est comme dirigée par mon sexe. J’ouvre la porte. N’importe qui peut se trouver là. Répugnant, vieux, sale… Mais c’est fait, juste un filet d’ouverture et je devine un bout de pantalon, un tee-shirt… il me tournait le dos, déjà résigné ? puis il fait demi-tour, il vient. Accroupie au dessus du carrelage jaune, la chatte à l’air, je vois la forme s’immobiliser et … me...mater. Je ferme les yeux et mes doigts glissent sur ma chatte… la porte s’ouvre, le courant d’air me fait trembler d’effroi. j’entends les vêtements de plus en plus proche… j’entends le verrou derrière lui. Il ferme. Un silence. Il mate. Puis un bruit de zip. De ceinture. Alors j’ouvre les yeux. Je regarde par en dessous, comme une petite nana craintive devant son maître… il est vieux et immonde. Poilu, barbu, il fait sale. Il a un gros ventre qui dépasse au dessus de son jeans crado. Il baisse son slip à hauteur de mes yeux. c’est une bite qui se détend d’un coup, un gros boudin ridé, poilu, et dessous, deux grosses couilles hideuses. Il pose sa main sur ma tête et il vient imposer sa queue déjà raide à ma bouche. Puis il parle. Je ne comprends rien. Un mec d’Europe de l’est. Quel pays ? Je m’en fous, j’ouvre la bouche et je gobe ce gros zob répugnant qui pue.
Il est aux anges. Il m’utilise comme une prostituée, il m’étouffe et sa bite grossit énormément. Mon plug glisse et tombe sur le carrelage. Je jouis presque sans me toucher. Il voit le plug et il rit. Il est vraiment hideux. Une dentition pas terrible, il me dit plusieurs fois « fille française , pute… » je réponds « oui, pute gratuite »
Il rit. Il n’avait de toute façon certainement pas envie de payer. Il recule d’un coup. Il mate ma chatte il se penche et récupère le plug. Il s’accroupit. Il pue de la gueule. Il rit et promène mon jouet sur mon visage, mes lèvres… puis tout en me fixant dans les yeux, il me l’enfonce dans la chatte. Il me branle ainsi deux bonnes minutes. Je jouis en tentant de garder le silence. Il rit encore. Il se relève. « Toute nue ! »
C’est un ordre. J’obéis. Je remets mes chaussures. Des baskets. Il me dit que non. Je dois les enlever. Toute nue face à un gros porc. j’ai envie de lui. De sa bite bien raide. Elle est aussi laide que lui. Elle est immense. Elle brille d’envie. Il m’oblige assez durement à me coucher sur le sol froid, sur le dos. Puis il écarte mes cuisses qu’il tient levées, et sa bite trouve seule ma chatte. Il me fourre d’un coup jusqu’aux couilles. Je suis sa pute et je lui dis… « vas-y, fais ce que tu veux ! »
il me détruit la chatte pendant de longues minutes. Il tripote mes seins, il replace le plug dans mon cul, il le ressort et me le fait sucer… sa bite me fait un bien fou e je ne peux plus me retenir de crier . Je jouis et tout le parking est sûrement au courant. Il se penche pour m’embrasser. Sa langue s’enfonce dans ma bouche ? j’ai envie de vomir puis, en quelques instants, je m’y fais. Il me roule un patin d’enfer. Une langue chargée, vicieuse… il redresse et il se contracte. Il hurle à son tour. Sa bite tape au fond de ma chatte et il se déverse en longs flots qu’il accompagne de mots dans son langage mais que j’imagine doux à mon égard.
Il rit. Il recule et sa bite toute luisante de sperme et et ma mouille est suivie d’un flot de son jus épais qui coule sur le carrelage.
Je me sens tout à fait pute. Pas de honte. Un immense plaisir monte en moi.
« toi, t’appeler ? »
« I.. ».
Il rit. Il est content. Il pourrait être mon père, voire mon grand-père. Je m’accroupis. Sa bite encore dure me fait de l’effet alors je me branle le clito. Je pourrais aussi faire cela avec tous les gars que j’ai placés dans les entrepôts de la grosse entreprise d’une grande chaîne de distribution pour laquelle je travaille essentiellement…
il me donne affectueusement sa queue à sucer … je nettoie cette chair rougie par le plaisir. Un peu de jus blanc, presque gélatineux s’en échappe encore, je dépose cette offrande sur ma langue et je lui montre . Il se penche et il se racle la gorge…. j’ai peur… je peux fermer la bouche et stop… mais je le laisse faire. Il dépose un crachat sur ma langue. Le mélange visqueux est ramené dans ma bouche. J‘avale. Je ne suis pas une pute, je suis une dépravée et j’adore.
Il réajuste ses vêtements. Je reste ainsi, pute. Il ouvre la porte et on sort ensemble. Un gars dans le couloir sombre. Un vieux. Je suis nue et pute, mon plug à la main, mes vêtements das l’autre. j’ai enfilé mes baskets sans façon…
Encore un gars plus loin. Un gros mec … Mon baiseur, lui, rit grassement. Il dit juste « Grosse pute française »…
Puis il me repousse gentiment vers les toilettes tandis qu’il s’éloigne vers son camion. Les deux gars approchent. Ils sortent leurs queues. Il fait noir et un peu froid. Je m’accroupis. Mes vêtements abandonnés à côté de moi, je prends en bouche une bite. Puis l’autre. J’alterne. On découvre mon plug, on me l’insère. Les deux gars sont des rustres, sans trop d’éducation… ils me font la misère, enfermée dans les toilettes avec eux, je passe une heure terrible, mes trous sont souillés, je suis humiliée, enculée, remplie de jus, de crachats. Ils privilégient mon anus qu’ils lubrifient généreusement. Ils me font goûter régulièrement à cette sauce, d’ailleurs, grâce au plug. Je demande de la pisse à la fin et on me pisse dessus.
La belle nana du recrutement est un trou à bites. Je retourne à ma voiture ainsi, nue et souillée. Les deux mecs me regardent en souriant. Ils retournent à leurs camions. Je me passe des lingettes « bébé -tout -doux » que j’ai toujours dans ma voiture afin de nettoyer mes petites mains délicates…
je me rhabille. Je sens si mauvais.
Je rentre et je prends une douche. Mon homme arrive une heure après. On parle, on mange.L’air de rien pour moi. j’ai envie de bites…
Je vais en sucer, des bites cet hiver sur ce parking, je le sens… cet été, j’irai sucer tous ces pervers par dizaines, dans les dunes de l’Océan atlantique, à une heure d’ici… Ils pourront me remplir à fond… je trouverai bien des journées à moi, seule. Mon homme est toujours d’accord pour que je m’occupe de moi.

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