Collection Pute. La Pute Et Son Prof De Math (1/1)

« Collection pute. »

Je sais, j’ai déjà une « Collection Escorte Girl », mais on peut être pute sans être sur Internet dans un site de cover-girl.

L’histoire qui arrive à cette jeune femme va dans ce sens.

- Mince, si je m’attendais à vous petite Jessica.
C’est vous la pute qui répond au doux nom de Suammy !
Appeler une occasionnelle et tomber sur vous on me l’aurait dit je ne l’aurais pas cru.
- Si c’est pour me laisser sur le seuil de votre porte ce n’était pas la peine d’appeler mon 06, je n’ai pas que cela à faire.
- Tu as raison, mais si on m’avait dit que dans mon amphi j’avais une jolie petite blonde qui suçait des bites pour de l’argent.
- Tu veux que je te suce, prof ou non, tu as une bite et je suis experte dans les fellations.
Parlons argent, tu m’as dit que tu voulais une pénétration non anale, c’est 200 € la demi-heure avec une éjaculation chatte ou bouche.
Pour ce prix tu peux éjaculer sur mon anus sans supplément.
Bien sûr la sodo c’est possible mais c’est tarif double.
Je te choque.
- Il m’en faut plus, ce qui m’ennuie c’est demain, je ne te verrais plus comme la petite fille sage que tu représentais pour moi.
Je me serais plus attendu à voir Lola celle qui est près de toi à chacun de mes cours derrière ma porte.
Toi, si discrète et pourtant pute, c’est incroyable.
Viens dans ma chambre, j’aime avoir mes aises mêmes avec une pro je pense que tu l’es !
- Un an que je travaille hors de tes cours, en moyenne trois clients par semaine, étant prof de math fait le calcul.
- 3 fois 52, merde, 152 fois à te faire défoncer par tes clients, ça donne de l’expérience.
- T’es prof de math, il va falloir te recycler, ça fait 156 fois et c’est une moyenne.
- Tu me troubles, je n’en reviens pas que ce soit toi qui te prostitues certainement pour gagner de quoi payer tes études.


- Des clichés tout ça, si je fais la pute c’est que j’aime ça, j’aime sentir le regard des hommes sur moi quand je suis à poil.
C’est pour ça qu’à la fac je suis discrète, si tu avais vu la manière dont tu m’as regardé quand tu m’as vu devant ta porte.
Simplement pour ça, ça valait le coup de répondre à ton coup de fil.
On y va, déshabille-toi, ça fait bientôt une demi-heure que l’on bavache et mon chrono tourne.

Quand Benoît m’a parlé d’une jeune pute qui travaillait sur notre petite ville et ses alentours, j’étais loin de penser me retrouver devant une de mes étudiantes.
Benoît parle facilement de sexe et m’a vanté la manière dont la petite lui avait nettoyé la queue avec sa bouche avant de la prendre sauvagement.
Moi qui baise souvent des pros étant en déplacement dans cette région qui n’est pas la mienne, ça m’a intéressé et j’ai appelé.
J’enlève mon polo et j’enlève la ceinture de mon pantalon.
Elle s’agenouille et récupère ma queue.
Ça commence bien, elle me fait ce qu’aucune femme même la mienne ne m’a fait.
Eh oui, je suis marié c’est pour cela que je me sers de professionnelle.
On paye, on baise et adieu.
Non, elle me prend les boules dans sa main gauche et les fait rouler comme si s’étaient de grosses billes.
Simplement en me faisant ça j’en ai pour mon argent.
Sa bouche suit et elle me suce divinement.
Même avec Gloria mon épouse, je n’ai jamais autant bandé.

- Le temps tourne, comment veux-tu me sauter.
Chatte, anus, dans ma bouche.
- En levrette sur mon lit, dans ta chatte blonde.
- Veux-tu me sodomiser ?
- Non, simplement ta chatte en levrette.

Étrange conversation, quand il s’agit de mon étudiante.
Elle se place et je me place moi aussi derrière elle.
Fini l’élève et le prof, il n’y a plus qu’une salope se faisant baiser pour de l’argent.

- Claque-moi le cul, n’hésite pas, j’adore et donne-moi de grands coups avec ta queue.


Moi qui suis très respectueux de mes partenaires même les putes que je me paye, je me surprends à lui asséner de grandes claques tout en poussant mon sexe au plus profond de son vagin.
Rapidement j’éjacule.

- La salle de bains est là !
- Oui.

Elle se relève, j’ai le temps de voir sa chatte blonde dégouliner de mon sperme.
Elle va se laver et revient vers moi.

- Combien je te dois.
- 48 minutes, comme je te l’ai dit au téléphone, toute demi-heure engagée est payable.
Ça te fait une heure 400 €.

Je pourrais lui demander une fleur la connaissant mais je me tais, je paye.

- Rappel-moi si tu veux de nouveau me baiser.

Mini remis en place, mettant en valeur son petit cul, je la suis jusqu’à ma porte d’entrée.
Elle rejoint une Porsche Carrera grise métallisée et monte me faisant voir qu’elle ne porte pas de culotte.

Le week-end passe et le lundi j’ai cour avec cette petite salope.
La bagnole m’a montré qu’elle gagne très bien sa vie.
Elle s’installe, je commence mon cours.
Tenue discrète, qui pourrait dire que cette jeune fille se prostitue pour son plaisir comme elle me la dit.

C’est la semaine suivante qu’elle ne vient pas, j’ai un pincement au cœur, aurait-elle eu des soucis avec un client !
Deux jours plus tard je suis au restaurant avec Benoit, celui qui m’a donné le 06 de mon élève.
C’est lui qui me donne le pourquoi de l’absence de Jessica ou Suammy pour d’autres.

- As-tu appelé la pute dont je t’avais donné le numéro de portable ?
- Non, ma femme est venue et nous avons baisé, je n’ai pas eu besoin de me faire vider les couilles par une autre qu’elle.
- Dommage pour toi, nous l’avons fait venir mercredi soir derniers, nous étions cinq, on l’a défoncé.
Tous ses trous ont été honorés, tu l’aurais vu une vraie furie, je suis sûr que le lendemain elle n’a pas pu mettre un pied devant l’autre, nous lui avons défoncé sa boîte à chocolat.

Nous sommes entrées à trois dans son trou du cul, quand je suis parti elle en pompait encore deux.
Je m’étais vidé les couilles dans cette salope, j’aurais dû t’appeler, un de plus ça ne lui aurait pas fait peur.

Le trimestre se termine, chaque fois que je la regarde son joli petit nez dans ses cahiers je vois l’image de son anus béant ne se refermant pas.
Vacances de Noël et de fin d’année, plus de Jessica, elle avait disparu.
Je l’ai rapidement oublié surtout qu’à Pâques j’ai été appelé à faire un remplacement à titre définitif à la fac d’Orléans où nous habitons Gloria et moi.

Ça fait un peu plus d’un an que je suis revenu reprenant ma vie de couple oubliant les putes et surtout ma petite blonde.

Une cousine de Gloria nous invite en juin au mariage de son fils.
La surprise est entière quand je découvre la mariée.
Ma jolie pute blonde.
C’est la cousine de ma femme qui manque de me faire pouffer de rire.

- Gloria, tu sais, Richard a eu une chance extraordinaire de trouver cette jeune fille toujours jeune fille.
C’est si rare de notre temps, les filles ayant la cuisse légère.

On pourrait pouffer à moins !
Je me paye le luxe de danser avec la mariée.
À aucun moment elle ne me fait voir qu’elle m’a reconnu alors que je sais que cette salope sait qui la tient dans ses bras.
À une heure passée du matin, la demi-heure devant être payée, je vois le couple partir dans une Porsche Carrera grise gagnée avec son cul.

Les feux arrière disparaissent emmenant celle qui a su mener sa barque.

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