Anomalie De Mère Nature (2)

Je suis rentré chez moi tardivement, ayant prétexté que je passais la soirée chez Julien et je suis allé directement dans ma chambre, mes parents étaient couchés depuis longtemps.

J’avais gardé cette semence dans mon orifice, qui s’écoulait petit à petit, dégageant une odeur de sexe, d’homme, qui me rendait complètement fou d’excitation. J’ai passé la nuit à me branler la chatte, mon clito, mes doigts pouvant enfin s’enfoncer le plus loin possible, là où le passage avait été fait par Ahmed.

Il m’avait fait promettre de le retrouver le lendemain, voulant encore profiter de mon « anomalie » qui avait l’air de bien lui convenir. Cet acte de chair, cet accouplement répété à plusieurs reprises, avait rejeté loin de moi toutes mes inhibitions d’avant, mes complexes pour laisser place à une soif de sexe qui ne semblait jamais s’éteindre.
Mes parents enfin partis en Week-End dans notre village, j’ai couru rejoindre Ahmed, qui m’attendait sur le même banc et qui m’a demandé de le suivre. J’aurais dû être inquiet, mais je ne l’étais pas, sentant mon vagin s’humidifier au fur et à mesure que nous avancions, nous dirigeant vers un foyer d’émigrés que je connaissais vaguement.

Sur le perron du bâtiment, deux hommes fumaient une cigarette, et ils ont échangé quelques mots en arabe avec lui. Ils m’ont souri et fait un petit clin d’œil. Mon regard qui commençait à scruter les hommes, s’est posé sur leurs entrejambes, et j’ai pu constater deux belles bosses qui s’y étaient formées.
Arrivés dans sa chambre, Ahmed m’a jeté sur le lit, enlevé mes vêtements, écartant mes cuisses pour contempler ma chatte. Il l’a parcourue de ses doigts, de bas en haut, branlant mon clito son index et son majeur venant vite vérifier la chaleur de mon orifice.
Nu en quelques secondes, il s’est allongé sur moi, son corps velu sur le mien, son énorme barre appuyant sur mon ventre. Il a très vite baissé ma tête pour que je l’enfourne dans ma bouche, mes mains au bas du sceptre et sur ses couilles, pleines et tout aussi poilues.

Ma première jouissance est arrivée rapidement, fulgurante, rien qu’avec les vas et viens de ses doigts dans mon intérieur.

Il m’a allongé sur le dos, son pieu de chair est venu se frotter contre mes lèvres jusqu’à mon clito, son gland s’est enfoncé en moi, et sa bite a suivi, m’embrochant comme un poulet, en me possédant d’une manière frénétique. La deuxième est arrivée au moment où il déversait son trop plein de couilles le plus loin possible dans ma cavité destinée au plaisir des hommes.
Son éjaculation ne l’avait pas calmé, et c’est en levrette qu’il m’a pénétré à nouveau, son membre sortant quelquefois pour se frotter à mon petit trou qui était encore vierge. Des jets ont encore inondé mon vagin et c’est à la quatrième reprise qu’il s’est affalé sur moi, entre mes jambes bien écartées son corps exsudant cette odeur de mâle repu, son jus dégoulinait sur mes cuisses.

Avec un certain regret, je me suis rendu à la salle de bains, sommaire, pour déverser ce trop plein et faire un brin de toilette intime. En sortant, il m’a tendu une djellabah, que j’ai revêtue, m’asseyant à ses côtés pour me désaltérer d’un thé qu’il m’avait préparé. Ma chatte me faisait mal après tous ses assauts, mais cette douleur m’apportait encore davantage de plaisir. Très vite, il n’a pu s’empêcher de fureter entre mes cuisses, caressant, de ses grosses mains, mon vagin encore endolori, et par réflexe, je me suis ouvert pour lui laisser accès à mon antre, tout en parcourant tous les poils de son corps.
Mon excitation est vite revenue, la sienne aussi, et il m’a courbé sur sa table, à plat ventre, appuyant sur mes reins pour bien me cambrer et me donner encore à lui.
Son sexe me labourait, son index prélevait de ma cyprine pour tourner sur ma petite rondelle, cherchant à s’emparer de mon œillet, vierge de toute pénétration. Allongeant son torse velu sur mon dos, il a murmuré quelques mots à mon oreille, que je n’ai pas compris, trop envahi par cette jouissance et par sa possession brutale.


« Alors, oui ? »
« Oui » sans trop savoir ce que j’avais accepté.

Son membre recouvert de mes sécrétions, a alors quitté ma chatte, son gland s’est positionné plus haut, et il m’a sodomisé d’un coup… J’ai hurlé de douleur à son passage, mais rien ne l’empêchait de posséder ce deuxième orifice qu’il convoitait depuis le début. Ma tête bougeait dans tous les sens, mes fesses avançaient comme pour rejeter ce pieu qui me dévorait. Cette douleur était nettement plus forte que celle que j’ai ressentie lors de la perforation de mon hymen mais peu à peu, une sensation de chaleur m’est parvenue, comme si je commençais à apprécier cette nouvelle intrusion dans mon corps.
Peu à peu, mes hanches ont ondulé dans l’autre sens, quémandant cette nouvelle défonce, ce nouveau coït. Ahmed m’enculait avec une puissance phénoménale, repartant quelquefois dans mon vagin pour enduire son pal de ma cyprine, me déclenchant d’autres cris, mais de jouissance cette fois ci.

Ses mouvements s’accéléraient, ses ongles se crochetaient à moi pour m’empaler, le plus possible sur son sexe, qui m’a semblé grossir encore et dans un ultime assaut, un jet brulant, suivi d’autres, se sont déversé dans cette seconde cavité, faite aussi pour le plaisir des hommes.

Je me suis avachi, et Ahmed m’a pris dans ses bras pour me déposer dans un vieux fauteuil, fesses à l’air le temps que je récupère.
Il est allé préparer un autre thé et a sorti 2 verres supplémentaires. Dans une semi-inconscience, je l’ai entendu sortir et revenir quelques minutes après en compagnie des 2 hommes que j’avais rencontrés en arrivant.

« Thé avec mes amis »

Chatte et cul à l’air, tous deux dégoulinant de sperme, je n’ai même pas songé à descendre sur moi la djellabah qui était remontée presqu’à mes épaules, et je me suis jeté sur mon verre, l’avalant quasi d’un trait.

Les deux hommes s’étaient assis à mes côtés, chacun sur une chaise, et leurs mains parcouraient mon corps, appuyant aussi sur mes genoux pour que j’écarte bien les cuisses.
Nordine, qui parlait bien le français, s’est adressé à moi.
« Tu sais, comme Ahmed, c’est la première fois qu’on voit un garçon avec une chatte, et quand il nous l’a dit, on était très curieux de voir ça… C’est magnifique »
« Oui, même moi, je ne comprends pas, c’est une anomalie de la nature m’a dit un médecin »
« Avance toi un peu sur le fauteuil »

Sous le regard d’Ahmed, Nordine et Rachid ont exploré mon corps les doigts se faisant fureteurs aussi bien sur mon clito, que sur mes lèvres et dans mon trou. En allant un peu plus bas, Nordine s’est rendu compte aussi que mon anus était bien ouvert et de la semence s’y échappait. Ils branlaient ma chatte et mon cul de concert, me forçant à lécher leurs doigts graisseux de sperme.

Leur bosse à leur entrejambe devenait des véritables mats, Nordine un peu moins gros qu’Ahmed mais Rachid, beaucoup plus.

Le plus naturellement du monde, mes mains les ont saisis, une fois leur tunique relevée, pour les branler, Ahmed s’approchant de moi pour que je le suce à nouveau. Rachid trifouillait ma chatte de bas en haut, en essayant aussi d’en mesurer la profondeur. Mon excitation réapparaissait, ces odeurs de mecs hyper mâles, ces 3 sexes qui avaient atteints le sommet de leur puissance, les doigts de Rachid fouillant ma chatte, je me suis mis à gémir de désir, écartant mes cuisses au maximum, enfonçant le plus possible le membre d’Ahmed dans ma bouche. Les bras de Rachid m’ont soulevé, et m’ont posé délicatement sur son gland, turgescent, m’empalant d’un trait sur son zob, le deuxième à posséder ma chatte en 24 heures.



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