Anomalie De Mère Nature (4)

Même si j’avais été surpris, j’avais pris du plaisir à me faire baiser par Julien aussi, bite moins grosse que les deux autres, mais bon coup de reins et bon queutard…

Le vendredi, il me tardait d’aller rejoindre mes amants au foyer, j’ai cru que mes parents ne partiraient jamais, ma mère étant toujours en retard, comme d’habitude. Heureusement, ma grand-mère avait préparé un super repas pour tous, et donc, il se devaient d’y aller…

La veille, mes cours finissant à 15 heures, j’étais allé au magasin de sport où j’avais pris ma coque, et sous prétexte d’activité de danse moderne, j’avais déniché, ce que nous appellerions aujourd’hui une sorte de « body » blanc, hyper moulant, un peu petit pour moi mais extensible. Le second achat a été un pantalon de fille, bien « slim », une taille en dessous de la mienne, que le vendeur m’avait conseillé comme cadeau pour ma « sœur », hypothétique bien sûr, mais ça, il n’était pas sensé le savoir.

Une fois seul, je me suis douché, sans oublier mes intérieurs aussi, et j’ai revêtu mes nouveaux habits, épousant mon cul et la forme de ma chatte de manière… indécente.
Avec une chemise assez ample recouvrant tous ces trésors, j’ai pris le bus et je me suis retrouvé au foyer, où Nordine et Ahmed, m’attendaient sur le perron. Devant eux, j’ai ouvert les boutons de ma chemise et je l’ai enlevée, « à cause de la chaleur », en leur demandant un thé, que je dégusterais avec plaisir.
C’est en me pelotant de partout qu’ils m’ont accompagné à la chambre de Nordine, un peu plus vaste que celle d’Ahmed, leurs mains sur mes fesses et sur ma chatte plus apparente que si elle avait été nue.

Pendant qu’Ahmed se battait avec les boutons pour avoir accès à ma fente, Nordine s’est éclipsé un instant et est revenu avec un homme que je ne connaissais pas. Il était plus noir de peau, plus élancé, avec des yeux d’un bleu intense, perçants, revêtu d’une sorte de sarouel assez ample, surmonté d’une tunique ouverte sur un torse moins velu, mais très puissant.



« Youssouf va prendre le thé avec nous, ça ne te gêne pas ? »
« Non, ravi de le connaitre »
« Il vient du Sud de l’Algérie, dans le désert, d’une tribu presque à la frontière du Mali, les Touaregs, tu connais ? »
« Oui, les hommes au sang bleu, c’est ça ? » J’avais lu ça quelque part…
« Tu connais leur particularité ? »
« Il vivent en tribu, en nomade je crois… »
« Mais aussi ? »
« Ma foi… je sais pas… !!! »
« Ils ont un sexe énorme, métissage entre noirs et arabes, et vie sans slip, sans aucun soutien pour leur membre, qui se développe ainsi sans aucune contrainte. »

Pendant que nous savourions notre thé à petites gorgées, Nordine et Ahmed m’avaient mis nu, leurs mains sur moi et leurs doigts dans mes orifices, exhibant à Youssouf, assis face à nous, mes lèvres gonflées de désir, mon clito turgescent, se déshabillant à leur tour… Je contemplais ce serpent qui se dessinait le long du sarouel de Youssef, semblant ne jamais se terminer…
Ahmed s’est allongé sur moi et m’a pénétré d’un coup de son pieu, tendu comme un arc, pendant que Nordine me donnait le sien à téter. J’étais tellement content que ma chatte soit enfin comblée, de sentir ces odeurs puissantes de mâles, sans quitter Youssouf des yeux.
Avec difficulté, il a enlevé ses vêtements devant moi et j’ai vu apparaître un truc… Inimaginable… Je ne pensais vraiment pas que ça pouvait exister. Plus Ahmed me défonçait et plus j’étais subjugué par ce membre…. Un vrai tronc d’arbre…

« 34 cm, mais tu m’as dit que ton vagin pouvait en accueillir au moins 40, non ? » De l’air ironique que Nordine employait souvent…
Après qu’il ait joui dans moi, Youssouf a pris sa place, sur mon corps, m’écartant encore davantage, son énorme gland lubrifié par le sperme s’écoulant, a commencé à s’introduire dans moi, suivi par le reste jusqu’à la pénétration totale, lente, mais assurée, franchissant le col et s’enfonçant au plus profond…
Ahmed et Nordine contemplaient ce coït, cet accouplement hors norme, quasi bestial, jusqu’à ce que je sente ce sac, cette usine à foutre, buter contre mes fesses… Il était entré en entier en moi et ses coups de béliers devenaient de plus en plus violents.
Souffle coupé par la douleur d’une telle copulation au début, j’ai ressenti une boule de feu remonter dans tout mon corps, dans une jouissance absolue, et en appuyant fortement sur ses fesses, il a joui… Sans débander, il m’a possédé à nouveau, jusqu‘à la troisième reprise, se vidant encore et encore dans moi. Nordine et Ahmed se sont alternés dans mon petit anneau, remplissant mon autre orifice de leur semence.

« Tu restes avec nous ce soir et cette nuit ? »
« Oui, mes parents sont pas là »

Nordine est revenu avec un plat de couscous (j’ai appris plus tard qu’un homme du foyer faisait la cuisine et leur vendait des plats à des prix très faibles) que nous avons dévoré tous les quatre. Nous avions tous besoin de reprendre des forces, et Nordine connaissant ma gourmandise, m’avait ramené aussi de succulents gâteaux orientaux.
Repus après ce super repas, je me suis un peu avachi sur le canapé, entouré par Ahmed et Youssouf, et j’ai dégusté le thé à la menthe qu’ils m’avaient servi.

« Youssouf voudrait que tu dormes avec lui… »
« Pourquoi pas… Ça vous gêne pas ? »
« Disons qu’Ahmed préférerait que tu restes, mais Youssouf en a tellement envie… »
« D’accord »

Et sans attendre, il m’a conduit dans sa chambre, assez modeste, m’a préparé un autre thé (Je n’ai pas osé lui dire que boire beaucoup me provoquait des problèmes dont je vous parlerai plus tard…). Une fois nus tous les deux, il m’a allongé sur son lit, son corps sur moi, son sexe bandé à l’extrême frottant mon vagin plus qu’humide, et il s’est emparé de moi.
Il m’a possédé six fois dans cette nuit sans fin, dont deux dans mon cul, sans pouvoir toutefois s’introduire en entier, me procurant un plaisir, une jouissance que je n’avais pas encore connue.

Le lendemain, après un petit déjeuner pris tous ensemble, je suis rentré chez moi, m’affalant dans ma chambre, à peine déshabillé, pour un sommeil qui a duré jusqu’aux environs de 3 heures.
Après une bonne douche réparatrice, éliminant tous les stupres de cette soirée, j’ai rejoint Julien chez lui, dans une tenue plus normale, avec ma coque entre les jambes, évidemment. J’étais trop content de le revoir, et la tendresse que j’éprouvais pour lui était presque égale à l’amour que je portais à mon cousin, qui était comme mon frère, fils unique comme moi, et élevés ensemble depuis notre plus tendre enfance.

Devant lui, pour la première fois, je voyais Julien non pas seulement comme un ami, mais aussi comme un mec, l’homme qu’il était, contemplant son corps viril et la bosse proéminente entre ses jambes. J’avais pu constater, que si son sexe était de bonne taille en érection, il l’était aussi au repos, environ 12 cm je pense, et avec des bourses très volumineuses.

« Excuse moi pour mercredi Marc, tu es mon ami, et jamais je n’aurais dû r de cette situation… »
« Pourquoi, tu as aimé ? »
« Voir ta chatte perforée par ces deux membres m’a rendu complètement fou… »
« Mais c’était super bon Julien… J’ai adoré… !!! »
« Non, sérieux ? »

Je voyais la protubérance entre ses jambes grossir à une vitesse grand V. J’ai baissé mon pantalon et enlevé ma coque, en passant mes doigts sur ma chatte, pour mieux l’ouvrir et la lui offrir.

« Elle te plait ? »

Comme un fou, il a enlevé son short, et a introduit son membre en moi d’une traite, me tenant par les hanches, pour me posséder encore plus fort. A 19 ans, on récupère vite et on a passé l’après midi à baiser, me possédant par tous les trous, il ne s’est pas privé de visiter ma petite étoile aussi.

Il voulait que je passe la nuit chez lui, mais j’ai préféré rentrer, reposer mon corps après toutes ces accouplements, sachant que dans la semaine, je devais revoir le médecin et ensuite, passer le Weekend en famille, dans la maison de campagne de ma tante et mon oncle, avec mes parents et mon cousin.

Une fois dans le cabinet du Docteur Bertrand, nous avons évoqué mes derniers examens médicaux, avec les dosages hormonaux un peu instables, qui pouvaient modifier mon aspect physique.


« Marc, votre sexe est définitivement un vagin et on ne pourra rien y changer, en revanche, selon vos taux d’hormones, votre apparence peut évoluer dans un sens ou dans l’autre, et ça, on ne le sait pas trop »
« Vous allez me traiter de fou ou de pervers Docteur, mais je m’aime bien tel que je suis, cette ambivalence qui surprend les hommes, mais qui les attire aussi. »
« Grâce à un traitement, on peut stabiliser votre évolution, voire la renforcer, dans un sens ou dans l’autre »
« Je peux donc garder mon corps de garçon, même le viriliser, tout en conservant mon sexe féminin ? »
« C’est parfaitement possible, en effet ! »
« Alors, c’est mon choix, j’ai pas envie d’avoir ni des seins ni des fesses de femme »
« Toutefois, dans ce cas, il subsiste un problème dont vous devez certainement souffrir, c’est celui de votre miction…. Je veux dire par là, uriner… Votre urètre est toujours relié à votre verge, devenue davantage un clitoris, et cela doit vous faire horriblement mal lorsque vous allez aux toilettes. »
« Effectivement, même si j’essaie d’y aller le plus souvent possible, ça reste très douloureux »
« On peut intervenir chirurgicalement pour y remédier »

Nous avons fixé un rendez-vous pour la semaine suivante, le temps pour lui d’obtenir l’avis d’un urologue et de me donner davantage de précisions. J’avais l’impression qu’en quelques semaines, l’adolescent soucieux s’était transformé en un adulte mature, assumant son handicap et en y trouvant même, un plaisir certain.

Comme prévu, le vendredi nous avons rejoint ma tante, mon oncle et mon cousin dans leur maison, et j’étais trop content de revoir François, riant et plaisantant tous ensemble au cours du plantureux repas que ma tante nous avait préparé.
Au moment d’aller nous coucher, j’ai réalisé que je partageais la chambre avec mon cousin. Il ne serait sans doute pas très facile de me déshabiller devant lui pour revêtir mon pyjama et j’ai essayé de le faire le plus discrètement possible.

« Eh Marc, tu joues la pudeur… On est 2 garçons, on est faits pareils »
« Pas vraiment, François… »
« Pourquoi… Petite bite ? » En souriant et en se retrouvant devant moi, avec son slip bien rempli, je dirais même… très bien rempli… !!!
« Non plus » J’avais les larmes qui me montaient aux yeux. Je voulais partager avec lui aussi, ce secret qui me pesait tant, mais j’en avais très peur aussi… !!!
« Dis-moi ce qui va pas » En me serrant dans ses bras, son corps de mâle brun et viril contre moi, son sexe sur mon ventre.
« Je peux te faire une entière confiance ? Tout ce que tu vas voir et ce dont on va parler ne restera que strictement entre nous ? »
« Comme toujours, petit frère… »


Alors, lentement, j’ai baissé mon short, mon slip, enlevé ma coque, en écartant les cuisses pour bien lui montrer ma chatte, en pleurant toutes les larmes de mon corps. Son regard, éberlué, allait de mon sexe à mon visage, sans le moindre geste de sa part tellement il était estomaqué. Puis, il s’est assis sur mon lit, et m’a pris dans ses bras…
« Arrête de pleurer, je suis là… Explique… Tu t’es fait opérer ? »
« Non François, je suis une anomalie de la nature, corps de garçon et sexe de fille »
« Tes parents sont au courant ?
« Bien sûr que non… !!! »

J’ai tenté de tout lui expliquer, comment je m’en étais rendu compte il y a quelques années déjà, mes visites chez l’endocrino, et comment je m’étais fait prendre en y trouvant un plaisir… indescriptible.

Il a commencé à me caresser, pour me rassurer, ses mains sur mes épaules, mon dos, en couvrant mon visage de plein de petits bisous. Ses doigts se sont aventurés entre mes jambes, effleurant mon vagin, puis mon clito, son index et son majeur approchant de ma fente s’y introduisant en totalité, voyant mon consentement et mon plaisir à ma respiration devenue plus haletante.

Pendant ce temps, sa queue sortait allègrement de son slip, jusqu’à atteindre son nombril, et je lui ai rendu ses caresses, ses baisers sur ton torse poilu descendant vers ce membre tendu à l’extrême et sur lequel mes lèvres se sont posées. Son odeur m’enivrait, le gout de son gland était si suave, les effluves de sa touffe drue envahissaient mes narines que je n’ai pu m’empêcher de le prendre dans ma bouche, m’attendant quand même, à des représailles sévères de sa part.

« Suce-moi »

Je me suis rendu compte que je rêvais de cet instant depuis des années, et je lui bouffais le jonc avec une ardeur effrénée. Il a très vite ôté les derniers remparts de notre nudité, s’est allongé sur moi et m’ouvrant le plus possible, son gros sexe s’est enfoncé dans le mien, dans un grand coup, déversant sa jouissance à grands jets dans moi.

« Putain…. Je veux pas te mettre enceinte… !!!!! »
« François, j’ai une chatte, une vraie, un demi-utérus, mais je n’ai ni trompes ni ovaires, je suis stérile, aussi bien en tant qu’homme que femme »

Rassuré, après que je lui aie bien sucé la bite pour le nettoyer, il a repris de la vigueur, pour me reprendre à nouveau, visitant aussi mon petit cul, ce qu’il n’avait jamais fait.
C’est après une nuit de débordement sexuel (Mon cousin avait un appétit dans ce domaine que je ne lui connaissais pas) que nous sommes descendus, vers 10 heures, prendre notre petit-déjeuner avec des poches sous les yeux.

« Eh les garçons… Il faut dormir quand même… !!! »
« Tatie, ne nous en veut pas, on s’est pas vus depuis longtemps et on avait plein de choses à se raconter. »
« Histoires de filles, je suppose… » Avec un air malicieux…
« C’est presque ça Tatie… On a faim… »

François a très vite imposé son programme, les parents pouvaient faire ce qu’ils voulaient, mais il avait décidé de me montrer son « repaire », la cabane qu’il avait construite avec ses potes et qu’on se retrouverait tous le soir.
Munis de nos sacs avec un pique-nique bien garni, de l’eau et autres besoins, nous nous sommes dirigés vers la forêt, vers les sentiers connus par lui seul, m’en faisant découvrir les splendeurs, les endroits à châtaignes, à champignons, à herbes naturelles, notre parcours était souvent interrompu par les baisers fougueux que nous partagions régulièrement.

Nous avons fait l’amour plusieurs fois dans cette journée, dans sa cabane, dans les chemins, ma chatte s’offrant à son désir insatiable, sans aucune retenue.
François me semblait heureux, bien dans sa peau… Même si je savais, qu’à cette époque, les filles ne couchaient pas facilement, au risque de passer pour des putes, j’espérais au fond de moi, qu’il ne profitait pas uniquement de son envie de baiser, mais qu’il éprouvait un réel désir pour moi… Malgré… Ce que j’étais.

De retour de notre expédition et après une bonne douche, nous sommes allés au restaurant en famille, lui à mes côtés, mes parents en face de nous et ma tante et mon oncle en bout de table.
Subrepticement, ses doigts ont se sont insinués dans mon short, écartant le slip et la coque, fourrageant mon vagin, tout ça ponctué de rires et de plaisanteries, justifiant sa proximité à mon égard.

« Tu vas voir ce que tu vas prendre cette nuit » dans un murmure à mes oreilles.

Nous avons passé le Weekend à faire l’amour, partout où c’était possible, François se rependant en moi, dans ma chatte, mon cul, ma bouche. La séparation n’a pas été très facile.

« Marc, tu sais que les études ne sont pas trop mon fort. J’espère avoir très vite un boulot en ville, et je devrais avoir mon appart, j’aurais la réponse dans une semaine ou deux »
« Super ça, je suis trop content pour toi… »
« Tu viendras me voir ? »
« D’après toi ? »

Après un baiser furtif échangé entre cousins, j’ai rejoint la voiture de mes parents, avec ma coque entre les jambes, mais aussi une protection de ma mère en dessous, trop heureux de conserver le nectar qu’il avait déversé en moi à trois reprises avant de nous quitter.

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