Leon 3

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Cette fois, Léon ne raterait rien du spectacle.
Il était arrivé tôt dans cet entrepôt désaffecté aux portes de Paris, pour préparer le moindre détail.
Sur le sol il avait posé un matelas qu’il avait encadré de quatre chandeliers portant chacun un immense cierge.
Il avait épinglé sur le matelas un papier avec ses instructions. Ensuite il s’était installé sur une passerelle qui dominait la scène avec pour tout bagage un caméscope.

Un bruit de talons sur le sol le tira de sa rêverie, la porte de l’entrepôt s’ouvrit sur Benedicte. Léon sentait son cœur s’affoler . Elle était venue ! ! ! !

Elle portait un long manteau noir et avait noué ses cheveux en arrière ce qui mettait en valeur la finesse de son visage.
Elle se dirigea vers le matelas, s’arrêtât un instant semblant examiner la pièce sombre et sinistre.
- Je suis dingue, pensa t elle , venir dans cet endroit désert sans même savoir qui m’a donné rendez vous.
En plus je suis sûre qu’il est là à m’observer.
Cette pensée, attestée par les cierges allumés, au lieu de l’inquiéter la rassura plutôt.
Elle ouvrit son sac et déposa sur le matelas comme il lui avait demandé , la cravache, le god et quelques pinces à linges.
Puis elle retira son manteau, elle était nue dessous, noua le collier de chien autour de son cou, accrocha la laisse, se passa les menottes.
Elle remarqua enfin, le papier épinglé elle se baissa pour le lire ce qui permis à Léon d’admirer la cambrure et la finesse des jambes de sa docile proie.
Suivant les instructions , elle se mit à quatre pattes sur le matelas , fixa l’extrémité de la laisse à un anneau dans le sol et passa le bandeau noir autour des ses yeux et attendit dans cette position.

Léon en avait le souffle coupé, sa chef , cette femme qui ne lui jetait pas un regard et qui sans doute ne connaissait même pas son nom, cette femme était nue, attachée, offerte à quelques mètres de lui.


Il en avait presque oublié de déclencher la caméra, il ne savait pas ce qui le retenait de se précipiter sur elle.
Quelques minutes s’écoulèrent dans le silence. Léon se demandait si ils allaient venir…………
Hier il avait rameuté sur un chat , quelques hommes en leur promettant un gang bang avec une bourgeoise docile.
Mais il avait peur d’être tombé sur des fantasmeurs qui se dégonfleraient au dernier moment.

Marie-Camille avait un peu froid, elle essayait de bouger son corps vers les cierges dans l’espoir d’un peu de chaleur.
Cette attente commençait à lui peser sur les nerfs , elle était attentive au moindre bruit, mais seuls quelques craquements troublaient le silence.
Soudain elle se figea , des pas résonnaient sur le sol et se rapprochaient.
La porte s’ouvrit sur quatre hommes, De sa cachette Léon ne pouvait distinguer leur visage.

Sans un mot les hommes s’avancèrent vers la femme qui leur était livrée, ils l’entourèrent.
Maire-Camille sentait leur présence autour d’elle , elle entendait les souffles courts et guettait les mouvements de ces inconnus. Elle avait peur , elle n’avait pas prévue qu’il y aurait plusieurs personnes, elle se savait vulnérable et n’osa pas bouger.
Elle sentit que quelqu’un s’agenouillait face à elle , elle sursauta lorsqu’une main caressa ces épaules , remonta sur son cou et effleura sa joue.

- Il ne nous a pas menti, tu es vraiment une femme magnifique, tu ne vas pas le regretter on va bien s’occuper de toi.

Elle ne répondit pas, la caresse la rassura un peu, la main continuait son chemin et elle sentit les doigts de l’homme dans ses cheveux, elle se détendit un peu.
La main redescendit sur son visage, les doigts parcouraient les contours des joues et se posèrent sur les lèvres de Marie-Camille ;
- Ouvre la bouche et sors ta langue.

Elle obéit , léchant les doigts de l’homme qui maintenant fouillaient sa bouche.


- Léche bien comme une petite chienne.

Elle s’appliquait , commençant à trouver ce jeu excitant , elle en avait presque oublié les autres hommes autour d’elle.
Elle sentit que d’autres mains commençaient à parcourir son corps , son dos, ses fesses ,ses jambes étaient
Livrés aux caresses , cette sensation était étrange et elle ne put s’empêcher de pousser un soupir de plaisir.

- Tu as l’air d’apprécier ma garce dit celui qui lui enfonçait ses doigts dans la bouche.
- Oui, elle appréciait , elle ondulait son corps au rythme des caresses qui devenaient plus précises , plus directes.
Lorsqu’elle sentie une main dans son entre cuisse , elle s’ouvrit offrant sa chatte .

- Décidément tu es une vraie salope , tu es déjà trempée

Elle ne savait plus qui parlait , elle n’était plus qu’une sensation, se concentrant sur les doigts qui fouillaient sa bouche et son sexe, sur ces mains qui palpaient ses seins et ses fesses.

Léon était fasciné, bien sur il aurait aimé être au milieu de ces hommes et profiter de l’aubaine mais il n’osait bouger , se contentant de filmer sa belle esclave, zoomant sur ce corps qui bougeait sous les mains des inconnus ,sur ce visage parfait qui suçait avec application les doigts qui entraient et sortaient de sa bouche comme un sexe.

Soudain l’homme la tira par les cheveux lui repoussant la tête en arrière , essuyant les doigts plein de salive sur ses joues, elle eut un sursaut sous la première gifle mais elle ne pouvait bouger , maintenant l’homme la giflait sans retenue, elle poussait de petits cris , des doigts fouillaient son sexe , un s’était même égaré dans son anus, des mains tiraient sur ses tétons qui durcissaient trahissant le trouble qu’elle ressentait.

- On va passer aux choses sérieuses maintenant , tu vas nous montrer ce qu’une sale petite bourgeoise comme toi est capable de faire.
Sa tête fut inclinée vers le sol et elle sentie le contact d’une chaussure, sans qu’on lui demande elle commença à passer sa langue sur le cuir.


- Bien , tu apprends vite , nettoies mes pompes sale pute.

Elle avait oublié qui elle était et se concentrait sur sa tâche , elle se cabra un court instant quand elle sentie un sexe la pénétrer, deux mains empoignant fermement ses hanches.
La cravache s’abattit sur son dos, les coups suivant la cadence des coups de reins qui la baisaient.
Elle avait maintenant la pointe de la chaussure dans la bouche mimant une fellation , elle se laissait envahir par le plaisir d’être la chose sans volonté de ces hommes qu’elles ne voyait pas.

L’homme dont elle léchait les chaussures, lui tira à nouveau la tête , elle sentie son haleine sur son visage.

- Ouvre la bouche , elle obéit et un crachat fusa , elle avala et ouvrit à nouveau la bouche.
- Tu es vraiment une sale chienne et l’homme lui enfourna un sexe dur et épais qu’elle commença à sucer sans pudeur.
La cravache n’épargnait aucun centimètre de son corps, mais elle ne sentait pas la douleur, toute abandonnée aux deux sexes qui la remplissait.

Léon n’avait pu s’empêcher de sortir son sexe devant le spectacle et il se caressait en filmant la scène, s’attardant sur les zébrures qui rougissaient le corps de Marie-Camille.
Comme il aurait voulu être à la place de ces hommes , mettre son sexe dans la bouche de sa chef , la traitait comme ils le faisaient, comme la dernière des dernières.

Les hommes se retirèrent , laissant la femme pantelante et tremblante , ils la firent se mettre à genoux, des claques faisant ballotter les seins de la soumise.
Elle criait, elle pleurait mais pour rien au monde elle n’aurait voulu que cela cesse.

- Quelle pute tu fais , dit celui qui continuait a cravacher le dos et le cul de la belle.

Elle ne sentit même pas la douleur des pinces que l’on fixait sur ses seins, mais elle poussa un gémissement lorsque son bourreau tira sur celles ci , ils l’allongèrent sur le ventre , un lui maintenant les bras l’autre les jambes, cette fois elle hurla quand la cire chaude tomba sur son dos , elle sentait la chaleur du cierge se rapprochant de sa peau et chaque goutte lui infligeait une brûlure fulgurante qui la faisait se tordre.

Les hommes riaient de la voir se contorsionner .
Il la retournèrent et tout en continuant de la maintenir, ce fut son ventre et ses seins qui devinrent la cible de la cire chaude, l’un des hommes la pénétra et chaque mouvement qu’elle faisait pour échapper aux gouttes qui brûlaient son corps l’enfonçait plus profondément sur le sexe qui la martelait.
De nouveau elle fut empoignée, e de s’asseoir sur un des hommes qui lui défonça la chatte, un autre se plaça derrière elle et l’encula d’un coup.
Sa bouche fut e d’engloutir une bite qui l’étouffait.

Elle devenait folle , criant, insultant ,pleurant. Son corps ne lui appartenait plus, elle se laissait envahir, dominée par ces sexes qui l’embrochaient.
Elle fut allongée sur le dos et sentie quatre sexe qui se frottaient sur son visage, elle sortait la langue essayant de les happer , lorsque les jets de foutre inondèrent ses joues, sa bouche et son cou , elle se sentie pousser un dernier hurlement et s’évanouie.

Léon avait jouis lui aussi, fasciné par sa chef s’offrant sans retenue, devenant chienne ,devenant la femelle avide de plaisir.
Les hommes étaient partis , le silence régnait dans l’entrepôt.
Sur le matelot gisait le corps de Marie-Camille , écartelé, souillé. Léon descendit ,s’agenouilla devant l’objet de son désir, il osa à peine toucher les seins endoloris, elle ne réagissait plus, il ôta les pinces des seins , nettoya les traces de cire et de sperme qui recouvrait la jeune femme , il caressa son visage , recueillant les larmes qui encadraient les joues et il les lécha,
Il l’embrassa tendrement, il pleurait.
- Pardon, pardon………….. ;
Elle eut un mouvement mais retomba aussitôt.
Alors il la recouvrit de son imperméable, détacha les liens et sortit de l’entrepôt en la portant dans ses bras.






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