Telle Mère...Telle Fille...

Cela faisait trois mois que je sortais avec Sylvie. Une petite brune, à la peau mate. Elle s’habillait de manière décontractée, très souvent en jeans, lesquels lui moulaient bien ses fesses. Et pour couvrir ses petits seins menus, des tee-shirts. Sylvie était une passionnée. Elle aimait faire l’amour. Ce qui n’était pas toujours le cas de certains des partenaires qu’elle rencontrait. Incapable d’assouvir sa soif sexuelle. Et c’était pour cela que je n’avais eu aucun mal pour la subjuguer.
Nous nous étions connu lors d‘un barbecue organisé par un copain commun. Elle ne m’avait pas lâché de la soirée, jusqu’au moment où elle avait voulu se rendre aux toilettes. Je l’avais dissuadé de délaisser les W.C pour un petit coin tranquille à l‘extérieur. Sans me poser plus de question, elle m’avait suivi. Nous nous étions alors isoler dans un près tout proche de la maison du pote. Après nous être assuré que nous étions seuls je lui avais demandé de pisser devant mes yeux. Que ce serait pour moi un vrai plaisir. Se croyant victime d’une blague, cela l’avait fait bien rire sur le coup. Mais sous ma persévérance elle capitula. Faisant tomber dans un premier temps son jean à ses pieds. Mais alors qu’elle s’apprêtait à faire suivre le même chemin à son slip, je lui demandais de le garder.
- Non ! M’avait-elle envoyé, sans quitté ma culotte ?
- Parfaitement ! Pourquoi cela te gêne ?
Pour toute réponse, elle s’était accroupie à mes pieds. Écartant ses cuisses à son maximum. Se qui eut pour effet de tendre son sous-vêtement à en faire craquer les coutures. Dessinant sur le fin tissu les contours de son sexe. Elle contracta son ventre, et tout de suite une large tache humide s’étala sur le devant de la culotte. La pisse alla jusqu’à s’écouler de part et d’autre de la bande de tissu, finissant sa course sur ses escarpins. Les yeux dans les miens, les mains crispées sur ses genoux elle se vidait dans cette position jusqu’à la dernière goutte.

Quand elle se releva sa culotte se trouvait dans un état pitoyable. Le tissu imbibé laissait échapper des gouttes de pisse qui lui coulaient sur les cuisses et qui tombaient entre les jambes formant une flaque sur le sol. Je l’obligeais alors de s’ôter la culotte et de me la donner. Que je m’empressais de la poser sur le haut d’un bosquet.
- Je viendrais la récupérer plus tard, quand elle sera sèche. lui avais-je lancer. Cela ne t’ennui pas au moins ?
- Aucunement ! Je pense que j’ai trouvé plus fou que moi.
- Tu ne crois pas si bien dire ! Fis-je en me jetant sur son cul. Agrippant les deux fesses, et les écartant jusqu’à ouvrir sa raie des fesses. Pour me retrouver face à un fond tapissé d’un duvet sombre autour de l’anus. Je lui fis lever une jambe. Faisant pas cette action s’évaser son anus. J’avais alors à cet instant devant mes rétines, un peu de chair rose. Putain ! la salope était bien ouverte de ce côté là. Et je n’avais pas pu m’empêcher de le lui en faire part. Cela eut pour mérite de l’encourager d’ouvrir et de refermer le trou strié en étoile. Tout autour, les poils étaient luisants de sueur.
Je n’avais pas pu me retenir d’y enfoncer mon index. Griffant doucement la chair moite du bout du doigt. Elle se crispa un instant avant de s’amollir. Ivre d’excitation, je n’avais pas pu m’empêcher de remplacer mon index par ma verge. Et ce fut notre première relation sexuelle, avant bien d’autre.
Peu à peu j’avais accentué mon emprise sur elle. Me montrant de plus en plus exigeant. Sans presque s’en apercevoir, elle était passée de l’état de partenaire à celui d’esclave sexuelle. Mais cela n’était pas pour la gêner. Tout au contraire, elle ne pouvait plus se passer de moi. Au point d’exiger que je vienne dormir tous les dimanches soir dans sa chambre, mais pas moins dans l’appartement de ses parents.
Et comme les précédents lundi matin, Sylvie s’était préparée pour partir au boulot. Insistant comme à chaque fois que je reste au lit.
Mais avant de partir après m’avoir embrassé, elle me rappela :
- Mes parents ne vont pas tarder de partir. N’oublie pas de fermer la porte et de mettre la clef sous le…
- Paillasson… oui ma chérie, je le sais.
- J’avais peur que tu ais oublié.
- Il n’y a de risque pour ça. Tu me le rappel à chaque fois !
- À ce soir, et en forme. Me fit-elle avant de disparaître.
J’ai attendu de ne plus entendre de bruit dans l’appartement pour sortir la petite culotte de la maman de Sylvie, enfoui sous le matelas. Je l‘avais récupérer la veille, après que Martine (la mère), s’en était débarrassée dans la salle de bains.
Le souffle me manquait, alors que je la glissais jusqu’à mes narines. L’odeur emplissait mes naseaux. Je fermai les yeux en me mémorisant la silhouette de Martine, tout en la reniflant. Me soûlant de cette exquise senteur de chatte. Un parfum que j’aimais tant. Rien ne pouvait m’exciter plus, et au concours de celle qui avait l’odeur la plus forte, entre la fille et la mère, la belle quadragénaire recevait la palme.
Excité comme jamais, je n’avais pas résisté de me branler. Mais pas n’importe comment. Pour se faire j’enroulais la petite dentelle odorante autour de ma verge, et je me masturbais, ivre d’excitation. La violence de ma passion eut raison de mes précautions élémentaires. Celles de ne pas souillé la lingerie que je devais resti à sa propriétaire. Mais le plaisir m’arriva avec une telle intensité que j’échappais à toutes retenues. Mon foutre inonda la dentelle. En abondance.
Malgré la force jouissance, ma verge restait gonflée. Je m’activai de nouveau sur elle, encore et encore, jusqu’à en lâcher une nouvelle rasade dans la lingerie. Elle n’était plus qu’un magna de sperme gluant.
Je m’étais persuadé de m’occuper de la nettoyer dans les plus brefs délais. Apaisé par les jouissances, le sommeil eut finalement raison de moi.
Il m’emporta jusqu’au moment où je fus réveillé par une grosse centralisation de lumière.
Sur le moment, je ne compris pas ce qui m’arrivait. Mais peu à peu je repris mes esprits, assez pour me rendre compte de la situation. Et malgré le brouillard, et les yeux lourds de sommeils, je reconnu la silhouette de Martine.
- Oh, tu étais là ? Me fit-elle. Je te croyais déjà partit ? Je venais ouvrir la fenêtre pour aérer la pièce.
J’ai eu beaucoup de mal à faire sortir des mots de ma bouche, tant ma gorge était sèche. Peu à peu ma vue revenait à la normal. J’ai pus distinctement voir Martine, gigotant sur ses mules, au pas de la porte. Avec son beau visage. Ses cheveux ondulés reposant sur un pull de couleur rouge vif, bien rempli. Ainsi que ses fortes jambes gainées de bas opaques et brillants. Sous une jupe courte plissée. Martine était comme toujours radieuse. Je me suis laissé retomber sur l’oreiller, le regard au plafond. Je l’ai entendu ricaner, puis me lancer :
- Eh bien, dis-moi, ça ne te vas de baiser tout la nuit.
Comme je ne répondais rien, elle s’est pincée les lèvres.
- Bon Alain tu es bien gentil, mais j’aimerais que tu te lèves pour que je puisse faire la chambre.
Sans me laisser le temps de me passer un vêtement, elle pénétra dans la pièce. S’approchant au plus près du lit. Là, elle se pencha tout en restant debout, pour attr un magazine tombé à terre. À ce moment sa jupe plissée se retroussa et j’ai pu apercevoir ses cuisses ensachées de nylon jusqu’à sa peau nue. Avec un peu de souplesse elle aurait pu me dévoiler sa culotte. Avec de telle pensée, je n’ai pas pu me retentir de tendre ma main vers ce qu’elle m’exposait et de la toucher. Martine, surprise, s’est retournée d’un bloc. L’air sévère.
- Mais ça ne va pas ! Tu te crois où, là ? Je ne suis pas ta copine à ce que je sache.
Mais au lieu de se redresser, et s‘enfuir, comme l’aurait fait toute femme normalement composée, elle , Martine, est restée sur place. Il ne m’en fallait pas plus pour échauffer les sangs. À en avoir la verge de plus en plus dure.
D’ailleurs cela n’échappa pas à la coquine. Qui avait braquée son regard dessus. Je profitais qu’elle soit occupée à me mater pour saisir son poignet et de la faire basculé sur le lit. Elle s’est bien sûr débattue, en lançant des :
- Mais ça ne va pas ! Non, mais putain pour qui tu me
prends ?
Mais sans pour cela qu’elle cherche à se dégager. Au point que j’ai pu l’immobiliser. Les deux poignets cloués au matelas.
- Lâche-moi, pauvre minable. Tu me fais mal, là.
Son mépris sur l’instant, m’avait mis en colère. Au point de l’écraser sous moi, alors qu’elle me martelait le dos à l’aide de ses poings. Cela ne m‘empêchais pas de faire glisser sa jupe haut sur sa taille. Et par la suite, lui ôter sa culotte. Enfin ! Lui déchiré serait le mot juste.
- Je m’excuse. Lui lançais-je
- Tu vas me payer ça ! Salaud…
Elle profita de mon infortune pour se dégager. Suite à une bourrade. J’ai dû l’empoigner par les cheveux et la tirer en arrière pour l’immobiliser de nouveau sur le matelas. Elle avait poussé un cri de douleur. Mais c’était le dernier de mes soucis. J’avais sur le moment comme une envie de la faire jouir. Lui faire prendre son pied. J’avais glissé pour ça les doigts de mon autre main sur son sexe. Sa toison était gorgée de mouille. Je l’ai fouillé. M’attardant sur les grosses lèvres enflées. Emmêlant mes doigts dans les poils rêches et gluants. D’une voix autoritaire je l’ai même supplier de se laisser faire.
- Je pense que tu vas aimer ce que je vais faire…
Elle s’est tortillée sous moi. Bredouillant encore et encore des mots grossiers. Alors j’ai pris le risque de me déplacer, assez pour lui relever ses cuisses. Pour mon plus grand bonheur elle s‘est laissé faire. J‘ai pu alors faire connaissance avec son intimité.
Et de distinguer au milieu d’une touffe, deux lèvres plus que grasses. Légèrement pendantes, brunes, ridées, collées l’une à l’autre, d’où s’exhalait une forte odeur de marée. Au-dessus, je discernais nettement le capuchon du clitoris. De la mouille s’écoulait jusqu’à son trou de balle. Je n’ai pas pu résister à la tentation. Passant ses jambes de part et d’autre de ses épaules. J’ai frotté ma bouche sur ses lèvres intimes. Elle bafouilla alors :
- Sale porc ! Tu ne perds rien pour attendre, je vais le dire à Sylvie… aller maintenant lâche-moi. J’ai des choses plus intéressantes à faire…
- C’est vraiment ce que tu veux ? Lui répondis-je.
- Oui…
- Tu en es sûr ? Fis-je en me redressant. Approchant mes lèvres
de son pied droit. Que je me mis à lécher la plante rugueuse, dû au nylon, sur toute sa longueur. Il lui en a pas fallut plus pour qu’elle se soumette à cette étreinte chaude et humide.
Enfin dompté, mais aussi curieux de découvrir autre chose, j’ai fait glissé ma bouche le long de sa jambe. Jusqu’à arriver sur la peau nue au-dessus du bas. Ce simple contact m’avait allumé, enflammé, excité. Au point de poser ma bouche directement sur son sexe. Juste au-dessous de la pointe du buisson pubien. Tailler en une sorte de flèche. Dont le pique semblait m’indiquer l’endroit le plus émotif chez elle. Alors sans plus attendre, j’ai fourré mon nez contre le sexe. Découvrant des odeurs capiteuses et entêtantes. Déclenchant sur ma verge une série de spasmes. J’ai avancé mes lèvres de l’entrée de sa chatte pour y découvrir une moiteur impatiente.
J’ai enfoncé ma langue le plus loin possible dans l‘entaille. Elle s’est mis à gémir. crispant ses doigts dans mes cheveux. Je l’ai léché à pleine langue. Alors que j‘empaumais de mes mains ses fesses rondes et moites, comme pour mieux plaquer son ventre contre mon visage.
- Je dois mouiller comme une cochonne, s’excusa-t-elle.
- Tu as une bonne chatte. Lui lançais-je, en éloignant ma bouche de son intimité.
Pour la faire glisser plus bas. Vers son anus étoilé.
- Oh, que fais-tu là, mon cher…
- Laisse toi faire si tu ne l’as jamais fait. Je pense que tu vas aimé..
Et je me suis mis en devoir de le lui prouver. Pendant tout le temps de la sucions j’avais assez accumulé de salive pour y faufiler un, puis deux doigts. Je me suis fait un plaisir de la regarder tout en lui branlant le cul. Une petite rougeur a envahit ses joues. Alors que ses pupilles commencèrent à se dilater. Elle a renversé sa tête en arrière. Envoyant son bassin au-devant de mon branlage. Son souffle se faisait plus profond, plus court aussi. À l’aide de ses deux mains, Martine m’a saisit la tête pour plaquer de nouveau ma bouche sur son sexe.
- Je veux que tu me lèches… salaud !
Tout en la branlant, le nez enfoui dans ses poils, je respirais à grands coups par la bouche. Avalant ses effluves les plus intimes. Elle lança un cri rauque qui se perdit dans la pièce, alors que tout son corps tremblait. Il m’a fallu pas mal de force pour obtenir un peu d’air et récupérer ma marge de manœuvre. Assez pour replonger ma langue dans son antre, et par ce fait lui redonner du plaisir. Mais c’était sans compter sur la coquine. Qui voulait toujours autre chose. Et me fit passer le message :
- Prends-moi, maintenant, je tiens plus ! Me souffla-t-elle, d’une voix hachée.
Je me suis redressé. La mâchoire endolorie, douloureuse. Mon choix s’est porté sur son anus. J’étais un peu près sûr qu’elle n’avait jamais gouter de ce côté-là. Pour cela j’ai mon membre contre le petit orifice. Pesant dessus de toutes mes forces jusqu’à ce que son sphincter cède à mon introduction. Se sentant investit, elle m’adressa un sourire que je jugeais salace.
- Tu as l’air d’être un habi de ce côté-là… Ma fille aussi, y a droit ? Me souffla-t-elle.
- Je te laisse deviner !
J’avais sorti ma verge dans toute sa longueur.
- Oh non ! Laisse-là, je commençais à l‘apprécier…
Je l‘ai alors englouti de nouveau, pour son plus grand plaisir. Tout en soupirant elle a commencé à remuer sous moi. D’une houle follement érotique. Je me suis mis de mon côté à la besogner, à la marteler énergiquement.
Mais trois fois hélas, étant dans un tel état d‘excitation, que je n‘ai pas pu me retenir d’éjaculer. Trop rapidement à mon goût. Sous moi Martine continuait à gémir tout en recevant ma donation chaude.
Sitôt sortis de son cul, Martine se leva, fit retomber sa jupe. De mon côté j’étais sonné, ahuri de plaisir. Tant cela avait été si intense.
- Je ne tiens plus sur mes jambes ! marmonna-t-elle, achevant de remettre de l’ordre dans sa tenue.
- Je te dois une confidence ! Ajouta-t-elle. Je n’ai jamais été prise de ce côté. Et je reconnais que je ne serais pas contre d’en reprendre un second bon coup… qu’en penses-tu ?
- C’est que je dois me rendre au travail.
- Moi aussi ! Me répondit-elle. Tu sais où se trouve le téléphone. Dis-leur que tu as en empêchement. Dépêche toi, veux-tu, je dois moi aussi téléphoner…

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