Mère Et Fille

Après un dîner convenable mais sans plus - comme souvent dans les chaînes de trois étoiles du bord des routes - Martine était passée au bar pour siroter un café et un digestif en lisant un roman, mais surtout pour observer le cheptel masculin présent et voir si elle pourrait y dénicher un étalon pour la nuit. Verre à la main, elle faisait semblant d’être absorbée dans sa lecture, jetant de fréquents coups d’oeil aux mâles qui passaient dans le hall ou venaient s’installer au bar.
Alors qu’elle s’était presque résolue à se contenter d’un rapide plaisir solitaire avant de s’endormir, un homme était entré au bar pour s’accouder au comptoir. Il était grand, bien découplé, brun et viril, le visage agréable, environ la trentaine. Un candidat tout à fait possible s’il n’était pas accompagné. Comme personne ne semblait le rejoindre, elle l’avait dévisagé sans complexe pendant qu’il commandait une bière pression. En levant la tête, le regard du gibier avait croisé celui de la jeune femme dans la glace. Il avait souri en surprenait l’examen dont il était l’objet, puis s’était retourné sur son tabouret et l’avait détaillée à son tour, sans cesser de sourire.
Il faut dire qu’elle en valait la peine.
Un peu moins d’un mètre soixante pour quarante-six kilos, elle avait tout d’un tanagra sexy, d’un sablier fait pour l’amour. Ses cheveux presque noirs, raides et coupés courts faisaient ressortir les yeux en amandes qui éclairaient son visage déjà bronzé. De longues cuisses minces et galbées sortaient de son mini short noir moulant, réplique de ceux des années 70. Sa taille était mince, faisant mieux ressortir l’extraordinaire cambrure de sa croupe. Des petites fesses rondes et très rebondies, séparées par un profond sillon s’évasant vers le haut et vers le bas. Ses amants en étaient fous, on ne pouvait la voir de dos sans penser immédiatement à la sodomiser, ce qui ne la gênait pas le moins du monde, bien au contraire. Devant, la matière légère et élastique du mini short moulait son mont de Vénus avec une précision presque anatomique et il était impossible d’ignorer qu’elle ne portait rien sous ce vêtement réduit, on pouvait même deviner que sa fente était rasée, lisse comme lorsqu’elle était gamine.


En haut, la chaleur de ce soir de juillet l’autorisait à ne porter qu’un léger caraco de soie blanche, retenu par deux fines bretelles, et qui découvrait la moitié de ses seins pommés. Sa poitrine était proportionnée à sa taille : 85B. Les seins ronds et fermes se silhouettaient nettement sous la fine étoffe du bustier dont les coutures étaient mises à rude épreuve. La soie moulait les masses tièdes, révélait leurs formes et épousait le moindre mouvement. Les mamelons toujours en érection annonçaient un tempérament incendiaire. Au repos, ils saillaient déjà très visiblement, même sous un pull épais. Si la fille était excitée, alors ils devenaient carrément obscènes, longs de plus d’un centimètre, enflés, turgescents et attirant inévitablement le regard de tous les mâles qu’elle croisait. Sous l’examen du beau gosse du bar, elle les sentit se tendre légèrement sous la soie, ce que le garçon ne manqua pas de remarquer, accusant réception d’un petit élargissement de son sourire entendu.
Martine décroisa et recroisa les cuisses, exhibant ses jambes fines chaussées de spartiates dont les lanières entrelacées mettaient en valeur le galbe de ses mollets délicats.
L’homme ramassa au jugé le demi de bière que le serveur venait de poser à coté de lui et porta un toast silencieux en direction de la créature de rêve qui continuait à le détailler. Elle lui rendit son geste et sécha son marc de Bourgogne d’un coup sec, sans le lâcher des yeux. L’invitation était évidente. Il se leva, verre en main, s’approcha de la femme assise dans un canapé bas et lui offrit d’un seul mouvement il ouvrit largement le grand lit et y coucha la femme consentante. Leur fièvre, qui avait un peu baissé pendant leur déshabillage express, les reprit aussitôt. Ils se frottaient furieusement l’un contre l’autre pour que leurs peaux se reconnaissent. Après s’être un peu masturbés réciproquement, comme pour vérifier leur désir, le garçon la coucha bien à plat sur le dos et recula d’un saut de carpe pour venir placer sa bouche entre les cuisses largement écartées.

Martine était entièrement épilée, le canyon de son sexe était lisse et dégagé, offert à la voracité de l’homme. Hervé colla sa bouche gourmande aux lèvres bien serrées qui ne laissaient échapper que l’extrémité du petit dard clitoridien, pointant rageusement dans sa fureur de jouir. Il commença par embrasser cette bouche inférieure comme on embrasse l’autre, les quatre lèvres étroitement soudées et sa langue s’agitant dans la cavité féminine. Il goutait ainsi les nymphes et l’entrée du vagin, dans lequel il faisait parfois une incursion plus poussée.
Puis, il changea de position pour venir emprisonner le clitoris entre ses lèvres, il l’aspira pour l’étirer et n’en conserver en bouche que le gland. Il fit alors rouler la boule minuscule sous le bout de sa langue durcie. Les halètements de Martine se muèrent en cris dont le rythme suivait celui de la caresse buccale. Par des va-et-vient frénétiques, il fit monter la pression et elle jouit dans un hurlement d’agonie. Adoucissant la tension de ses muscles labiaux, il accompagna la fin de son orgasme d’un léchage plus tendre.
Quand la respiration de la fille fut devenue plus régulière, il redonna plus d’énergie à ses succions, la faisant remonter vers le plaisir. Il la fit pivoter sur le flanc et se plaça tête-bêche pour lui offrir sa verge, tendue à se rompre. Elle comprit immédiatement et saisit à deux mains le sexe érigé. Elle le masturba doucement, lentement et profondément faisant apparaître et disparaître tour à tour le gland congestionné de son amant en rut. Le mouvement ample de ses mains fit encore grandir le mandrin déjà énorme. Enfin, de l’anneau formé par son pouce et son index, elle décalotta complètement le membre imposant, la peau du prépuce vint le pourtour de la collerette épanouie. Après avoir contemplé un bref instant le résultat de son application experte, elle le prit en bouche et s’enfonça le membre chaud jusqu’à la glotte.
Sa bouche était distendue par les dimensions du champignon qu’elle réchauffait de son souffle et elle commença à pomper religieusement.
La fellation était pour elle un acte de foi rendant hommage à l’instrument qui pouvait la faire tant jouir, quel qu’en soit le possesseur. Quand elle suçait, le monde n’existait plus, ou plutôt se limitait à ce bâton frémissant dans sa bouche et aux sacs doux et velus qu’elle caressait en même temps. L’homme dont elle pompait le dard disparaissait même pour n’être plus qu’une trique dont elle allait faire jaillir le sperme dans une apothéose de jouissance. Sa dévotion buccale était si grande qu’elle pouvait jouir elle-même, sans se toucher, rien qu’en suçant. Une fois en bouche, la tige n’en ressortait qu’après avoir éjaculé. Sachant que priver le sexe de son partenaire de la chaleur qui l’entourait ne pouvait être que frustrant, elle n’interrompait jamais une fellation pour se livrer à des agaceries qui n’y apportaient rien. Bouche de velours, on ne sentait pas ses dents, mais la caresse de ses lèvres pulpeuses et le jeu adroit de sa langue laissaient à chacun des hommes dont elle s’occupait un souvenir sans égal.
Dans d’autres circonstances, et dans une autre position, elle pouvait aussi jouer les “Gorge Profonde”, engloutissant la totalité du sexe masculin dans sa bouche, jusqu’à l’arrière-gorge, ses lèvres touchant les poils du ventre de l’amant sucé. Mais c’était un autre genre d’exercice, qui se prêtait mal à l’urgence des premières jouissances du début de nuit.
Pour l’instant, elle soupesait d’une main les gros testicules qui roulaient lentement sous ses doigts. De l’autre, elle masturbait la partie de la queue qui dépassait de sa bouche. Le gland turgescent et la moitié supérieure de la verge disparaissaient dans sa bouche active. Parfois, d’une pression plus appuyée de ses lèvres, elle recalottait l’homme gémissant pour aussitôt repousser le prépuce vers le bas d’une langue habile et retrouver le contact soyeux du dôme épanoui.
Bientôt, elle sentit monter la jouissance de son partenaire, dont les râles étouffés par sa vulve devenaient plus pressés.
De son côté, il activa le rythme de son cunnilingus alors qu’elle le pompait plus rapidement et plus profondément. Martine, sur le point de jouir elle-même, sentit le gland pulser dans sa bouche, la queue se contracter et se dilater spasmodiquement entre ses joues, tandis que le mâle éjaculait à long traits un sperme brûlant et épais qu’elle aspira avidement. A peine les dernières gouttes laiteuses avalées, le bâillon qu’elle ne voulait pas déjà régurgiter étouffa les cris de l’orgasme fulgurant qui lui tordit les entrailles.
Provisoirement rassasiés par cette première jouissance qui allait leur permettre de prendre tout leur temps pour la suite, ils restèrent un moment dans leurs positions respectives avant de se lover dans les bras l’un de l’autre.

Sa joue tendrement appuyée sur les pectoraux puissant de l’homme qui venait de partager son orgasme, Martine jouait doucement avec les poils de son amant. Inconsciemment, sa main se perdit sur les abdominaux détendus qu’elle caressa langoureusement, sans vraie arrière pensée érotique. Soudain, elle sentit un contact sur sa main, doux et humide et qui développait rapidement sa pression. Il bandait à nouveau.
Elle s’aventura à effleurer le sexe tendu pour vérifier sa raideur. Pas de doute, il récupérait vite, la verge était redevenue presque aussi dure qu’avant sa première éjaculation. Très doucement, elle l’entoura de ses doigts fuselés et commença un branle imperceptible, pas plus de quelques millimètres, juste pour le faire bander davantage. La muqueuse huilée du gland subissait les doux aller-retours du prépuce sous l’effet de la masturbation de la main féminine. Parfois, de l’index, elle allait frotter délicatement le dôme congestionné qu’elle avait découvert et elle sentait alors la puissante barre de chair pulser dans sa main distendue. Son massage sexuel obtenait l’effet recherché.
Pour ne pas être égoïste, Hervé entama à son tour de lentes caresses. Il s’intéressa d’abord aux seins ronds qui commençaient à sortir de leur torpeur. Passant le plat de sa main sur leur galbe il vint les soutenir par en-dessous avant de remonter cueillir le mamelon qui l’attendait impatiemment, à en juger par son développement. Il y posa alors sa bouche et suça tour à tour les pointes érigées qui se développaient sous ses lèvres et sous sa langue. Passant de l’un à l’autre, il eût tôt fait de les faire darder comme deux petits pénis, incongrus sur ces douces mamelles.
Jugeant sa partenaire à point, il fit lentement descendre une large main en direction de la cible qu’il devinait brûlante entre les cuisses qui s’écartaient irrésistiblement sous la montée du plaisir. Il ne s’était pas trompé, ses doigts découvrirent une inondation qui ne devait rien aux orgasmes passés. Martine mouillait comme une source, mais pas au point de ne pas penser à ralentir son mouvement sur la tige ardente de son partenaire. Pas question qu’il arrose le persil, qu’il jouisse vainement dans sa main engluée. Elle le voulait en elle, cette fois. Le plus loin et le plus longtemps possible.
Hervé commença à lui masser le sexe. Du majeur, il écarta les grandes lèvres qui s’étaient resserrées, approchant le plus doucement possible du clitoris qui avait déjà repoussé son capuchon pour réclamer son dû. Il l’effleura à peine, faisant aller et venir son doigt en un contact presque imperceptible. Il sentit à la crispation de la main sur sa mentule que la fille était folle d’impatience. Il appuya lentement sur le bouton gorgé de sang jusqu’à le coincer contre le plan dur de l’os pubien. Il entama alors une rotation d’abord lente, puis plus rapide, changeant parfois de sens, au gré des réactions de sa partenaire.
Sous le charme de cette masturbation intense, la jeune femme agitait son bassin en un mouvement giratoire qui complétait celui du doigt magique qui la faisait jouir. Tantôt s’enfonçant dans le matelas, tantôt venant à la rencontre de la main dispensatrice de plaisir, parfois partant à gauche, parfois revenant à droite, elle se branlait sur son branleur. Sentant le moment venu, son amant accéléra sa caresse et elle cria un orgasme étoilé, sans pour autant cesser les va et vient de sa main sur la verge.
Il n’abandonna pas non plus le sexe trempé qu’il se mit à lisser à grands gestes, comme pour l’apaiser. Très vite, son médius repartit à l’attaque, et c’est là qu’elle comprit qu’il maîtrisait tous les aspects de la sexualité, y compris et surtout celui de la sodomie. Elle allait se faire prendre par derrière et elle adorait ça.
L’homme commença par frotter l’entrée du vagin, glissant sur tout le pourtour de l’orifice pour en repérer les points sensibles superficiels. Petit à petit, il entreprit de brèves pénétrations digitales, immédiatement interrompues, puis recommencées. Introduisant la totalité de son majeur d’un geste coulé dans le sexe avide, il massa la paroi antérieure si sensible, trouva le point G et le masturba vigoureusement. Martine repartait vers le septième ciel à toute allure, lorsqu’elle sentit que l’homme remplaçait son majeur par son pouce, pour pouvoir masturber la paroi postérieure de son vagin. C’est alors qu’elle sût.
De son pouce légèrement fléchi, les autres doigts étendus à frotter la raie chaude qui séparait les fesses féminines, Hervé massait puissamment l’arrière de la cavité vaginale. Il en vint bientôt, sans en avoir l’air, à malaxer le rectum de la femme, dont seule une fine membrane le séparait. Prenant appui sur ses autres doigts, il enchâssait progressivement le boyau culier dans une tendre pince et le pressait doucement. De temps à autre, il fléchissait davantage son gros pouce pour élargir directement l’anus de l’intérieur et en éprouver la souplesse. Repliant son index, il l’introduisait ensuite dans la rosette joignait ses doigts pour palper la fine paroi séparant les deux orifices. La jeune femme, ravie, râlait de plaisir et ruait violemment pour accen la pénétration de ses deux puits d’amour.
Devant ses supplications de la prendre, il arrêta ses jeux de doigts et dégagea son membre raide de l’emprise la main féminine...

C’est alors qu’un bruit de clé dans la serrure de la porte les figea tous les deux, entremêlés, lui la verge tendue à se rompre, elle le sexe ruisselant de désir. Ils virent se découper dans la lumière de la porte la silhouette sensuelle d’une femme un peu ronde. De profil, l’arrivante laissait voir une grosse poitrine qu’équilibrait un fessier dodu. La nouvelle venue tendit le bras et la lumière inonda la chambre.
- “Il me semblait bien que c’était toi,” dit la femme d’un certain âge qui venait d’envahir leur intimité au moment le plus critique. “Tu es vraiment une salope ! tromper ton mari avec le premier venu... Ça fait un quart d’heure que je vous écoute de la chambre d’à côté.”
- “Maman ! comment es-tu là ?”
- “Je passais devant l’Hôtel, je t’ai vue au bar, roucouler avec ce bellâtre. Pas difficile de repérer ta chambre. J’ai demandé la chambre voisine et ouvrir une porte communicante a toujours été simple. Vous étiez bien trop occupés pour m’entendre.”
Le bellâtre en question, s’il se sentait un peu confus de s’être fait surprendre en pleine action par la mère de sa conquête, n’en bandait pas moins toujours aussi dur. Il détaillait l’intruse d’un regard inquisiteur. D’une soixantaine d’années, elle présentait bien : cheveux bruns taillés courts autour d’un visage sensuel, les lèvres très maquillées de sa bouche proéminente semblaient faites pour sucer des sexes d’hommes. Elle portait un chemisier blanc dont les boutons défaits laissaient voir un soutien-gorge en dentelle un peu vieillot mais très échancré sur une poitrine imposante. Les seins laiteux étaient visibles plus qu’aux trois-quarts. Soutenus et offerts comme sur un présentoir, ils se soulevaient au rythme de la respiration un peu haletante de leur propriétaire.
Petite comme sa fille, la femme portait une mini jupe noire en élastiss qui découvrait des cuisses bien galbées pour son âge. Le garçon nota les bas résille noirs qui en sortaient. La jupe était si courte qu’on pouvait voir les attaches du porte-jarretelles et une bande de peau brune au dessus des bas noirs. Courte et serrée, la jupe... elle moulait une croupe presque sphérique qui attirait irrésistiblement le regard. On sentait que des kilomètres de sexes mâles avaient dû y défiler. L’impression d’ensemble était celle d’une femme taillée pour le sexe, le sachant et voulant que ça se sache. Ce qui ne faisait rien pour faire débander le membre arrogant et décalotté qui pulsait au bas du corps masculin.
- “Tu ne nous présentes pas ?” fit-il à Martine, pour briser la tension du moment.
- “Si, si” rougit la jeune femme. “Hervé, voici ma mère, Yvonne. Maman, Hervé... un ami.”
- “Je vois ça” ricana la femme mûre. “Quand ton père saura ça... Sans parler de ton mari...”
- “Tu ne vas pas leur dire ?”
- “Que tu te fais sauter en douce, sinon en douceur ? Bien sûr que si !”
- “Oh, non ! pas ça !”
- “Dites-moi, Chère Madame” interrompit Hervé avec un sourire narquois, “vous ne me paraissez pas vous-même habillée pour aller à la messe ?”
- “Vous, mêlez-vous de vos affaires”, rétorqua sèchement Yvonne.
- C’est vrai ça, Maman... je ne te connaissais pas cette tenue. Et, au fait, Mardi, ce n’est pas ton jour de bridge ?”
La femme rougit et resta bouche ouverte devant cette attaque concertée. Elle avait le souffle court, ne sachant quoi répondre et ses seins énormes se soulevaient de façon houleuse, menaçant de déborder la lingerie qui les contenait à peine.
Le mâle prit les choses en main. Il se leva et s’approcha de la femme immobile. Sa verge le précédait fièrement et il se détourna légèrement pour ne pas effaroucher la créature pantelante qui le regardait fixement. Très doucement, il posa la main sur son épaule, éprouvant la chaleur de la chair moite à travers le chemisier humide de sueur.
- “Allons Yvonne, nous sommes entre nous, vous n’allez pas vous fâcher. Vous savez comment les choses se passent... Une femme d’expérience comme vous... Votre fille a des désirs, comme toutes les femmes, comme vous, Yvonne. Vous dont elle tient sa beauté...”
Au fur et à mesure qu’il parlait d’une voix envoûtante, Hervé caressait l’épaule frissonnante sous sa main. Il ne tarda pas à descendre vers le sein offert dont le mamelon était bien visible sous l’étoffe tendue.
- “... Cette beauté, Yvonne, qui doit attirer bien des hommes. Vous aimez les hommes, n’est-ce pas Yvonne ?”
- “Oui”, murmura la malheureuse qui grelottait sous la main brûlante qui enchâssait maintenant toute la rondeur de son exubérante mamelle.
L’homme accentua son emprise, ses doigts se crispèrent dans les chairs rebondies. Le téton lui écorchait presque la paume tellement il bandait à la surface du sein tendu. De l’autre main, le mâle vint emprisonner sauvagement l’autre hémisphère. Des pouces et des index il pinça rudement - jusqu’à la douleur - les bouts turgescents, tandis que, d’une poussée vers l’avant, il plaquait la femme contre le mur de la chambre et immisçait son genou entre les cuisses courtes qui s’ouvrirent sous l’assaut. Contre la peau de sa jambe il sentit une fourrure épaisse et trempée : non seulement Belle-Maman ne portait pas de culotte, mais elle mouillait comme une salope...
Le sourire aux lèvres, Hervé fit un pas en arrière, abandonnant la femme pantelante, et fit un clin d’oeil à Martine, estomaquée.
Sa mère, soudain livrée à elle-même, se plia en deux sous le coup de la frustration, portant instinctivement les deux mains à sa vulve en feu qu’elle pressa en gémissant. C’en était trop pour elle. Avoir été serrée de près par ce beau mâle dénudé, puis se retrouver abandonnée contre le mur froid... Seule la vague sensation de la présence de sa fille, toujours nue sur le lit, l’empêcha de se masturber furieusement pour prolonger les sensations qu’elle éprouvait. Elle n’enleva pas cependant pas les mains de son sexe, à la fois pour le cacher et pour en sentir les pulsations affolées.
- “Salaud !” fit-elle entre ses dents serrées.
- “Mais non, Yvonne. Je voulais seulement vous montrer ce que c’est que d’être interrompue en pleine action,” se moqua le garçon. “Mais je suis sûr que Martine n’est pas rancunière, on va pouvoir s’arranger... Vous promettez de ne rien dire à personne et elle non plus ne dira rien... et même...”
- “Et même ?” quémanda la femme alanguie, au bord de l’orgasme.
- “Et même, j’en suis sûr, elle est prête à partager. N’est-ce pas Martine ?”
- “Si tu veux” murmura la jeune femme, toujours pétrifiée par la surprise.

S’asseyant sur le lit, l’homme croisa les mains sur sa queue dardée pour la dérober aux yeux de la femelle en chaleur qui, appuyée au mur, la dévorait des yeux.

- “Vous aimez les hommes, Yvonne, vous aimez le sexe des hommes ? vous aimez les voir bander pour vous ? vous aimez voir leur grosse tige dure se balancer sous vos yeux ? vous aimez la toucher, la branler, la sucer ? vous aimez la voir juter sur vos gros seins excités ?”
- “Vhouih” aspira la malheureuse entre ses lèvres.
- “Alors, déshabillez-vous Yvonne, quittez votre chemisier, votre soutien gorge et votre jupe. Gardez bien le reste et je vous ferai voir mon dard tout dur. Il est gros, vous le savez Yvonne. Il bande pour vous, le gland est énorme, il est rouge, il bave d’impatience de vous voir juste avec vos bas et vos chaussures. Mais, avant ça, vous ne le verrez pas. Il est à Martine.”

Joignant le geste à la parole, l’homme se leva en se retournant et, attirant à lui la jeune fille perverse, engouffra brusquement sa bite roide dans la bouche accueillante de Martine qui s’étouffa un peu sous cette intrusion surprise. Se reprenant aussitôt, elle se mit immédiatement à sucer avec ardeur le priape qui gonflait ses joues. Voulant respecter la menace d’Hervé, elle engloutit à fond le muscle chaud, ne laissant rien apparaître hors de sa bouche collée au bas ventre de son partenaire. Elle pompait activement toute la longueur du vit en érection maximum. Ne pouvant le faire sortir d’entre ses lèvres, car elle ne voulait pas que sa mère puisse voir l’objet de son désir, elle l’astiquait de la langue et des joues, faisant buter le gland épanoui contre sa glotte.
Le corps en feu, Yvonne, arracha son chemisier chiffonné et le jeta au sol, passant les mains dans son dos, elle dégrafa son soutien-gorge pour libérer ses appas charnus, qu’elle recueillit dans ses paumes pour en masser les pointes durcies. Elle feulait de plaisir contenu et martyrisa les tétons énormes de longues secondes entre ses doigts. Puis, n’y tenant plus, elle fit voler sa jupe et apparût enfin telle qu’on la voulait. Cambrée sur ses hauts talons, elle était plus que nue dans son porte-jarretelles et ses bas résille. La dentelle noire encadrait son pubis incroyablement fourni. Son buisson remontait jusqu’au nombril en boucles enchevêtrées. A travers la fourrure épaisse, on pouvait voir sa fente cramoisie de désir et luisante de liqueur. Une blessure rouge qui ouvrait cette végétation luxuriante et découvrait largement les petites lèvres violacées et le clitoris bandé.
- ça y-est” cria-t-elle, “ça y-est, regardez !”

Martine suçait toujours Hervé à pleine bouche et le garçon eut du mal à s’arracher à cette pompeuse experte. Il se retourna, flamberge au vent. Sa verge, rougie par la pipe interrompue, battait devant son ventre plat.
- “C’est bien, Yvonne. Vous êtes obéissante, et vous êtes belle aussi. Approchez-vous.”
Elle se jeta contre lui, emprisonnant entre eux le phallus, qu’elle alla aussitôt encercler d’une main avide.
- “Non, Yvonne ! lâchez ma queue, vous n’y avez pas encore droit”, dit-il fortement en lui empoignant sauvagement les seins pour les tordre violemment. “Masturbez-vous à la place. Je suis sûr que vous savez faire...”
Criant sous la torsion de ses opulentes collines mammaires, Yvonne obéit et, lâchant le membre tentateur, plongea les mains dans sa fente trempée. De deux doigts elle commença à branler furieusement son clitoris saillant et enfonça le pouce de l’autre main dans son vagin béant qui débordait de mouille. Comme si cela ne suffisait pas, elle se chatouillait l’anus de l’index, faisant peu à peu pénétrer ce doigt dans le petit trou de son derrière, en une lente sodomie digitale.
Tandis que la vieille vicieuse se pénétrait par tous les orifices, Hervé malaxait ses seins de plus belle. La tirant littéralement par les bouts, il luit fit plier les genoux jusqu’à l’asseoir sur le lit défait. Tenant toujours les globes monstrueux par les pointes, il les referma autour de sa queue humide, ne laissant dépasser que le gland arrondi d’entre les chairs malmenées. Il serra les globes chauds contre son érection et commença à se branler entre eux. Lentement, vicieusement, il faisait aller et venir sa bite exacerbée entre les dômes un peu flasques.
- “Regarde, Yvonne, regarde ma queue entre tes seins, elle entre et elle sort. Tu vois comme elle bande ? Tu vois comme elle commence à juter ? Elle laisse des traces sur tes gros nichons tout blancs. Tu vois mon gros gland rouge sur ta peau ? Tu le sens frotter, ça me fait jouir Yvonne, ma grosse lance qui glisse entre tes doudounes. Tes nénés m’astiquent la trique. C’est bon.
On va voir si tu es aussi douée que ta fille. Baisse la tête, Yvonne et vient me sucer aussi.”

Soumise, la cochonne qui se branlait de plus belle, baissa la tête sur la poitrine. La bouche en fourreau vint se placer au-dessus du sillon qui séparait ses seins et dans lequel coulissait le chaud brandon qui la fascinait. A chaque remontée de la verge entre ses globes compressés, elle aspirait le gland décalotté entre l’anneau de ses lèvres. Elle n’avait qu’une fraction de seconde pour le caresser de sa langue, avant que le braquemart ne disparaisse à nouveau au creux de ses nichons. Elle aspirait de toutes ses forces pour développer encore le calibre de la fraise de chair qui s’agitait entre ses rondeurs. Son massage était efficace et les aller-retours du mâle attribut se faisaient plus saccadés sur la peau de sa poitrine, au fur et à mesure que l’homme montait vers la jouissance.
Soudain, il écrasa violemment les seins laiteux qu’il tenait toujours à pleines mains et s’enfonça plus avant entre leurs masses charnues. Le gland saillit brusquement au-dessus de la vallée charnelle et il éjacula avec force. De longs filets de sperme chaud et visqueux vinrent arroser le visage d’Yvonne, giclant sur ses joues et pénétrant sa bouche ouverte. Elle reçut l’averse brûlante avec délices, tandis que ses doigts envahissaient son sexe et son anus pour déclencher son propre orgasme. Tordue de plaisir autour de ses mains masturbatrices et se plia vers l’avant pour emboucher la queue qui pulsait encore la semence et absorber les derniers traits de liqueur masculine. Hervé lui défonça la bouche jusqu’au gosier alors qu’il finissait de se vider.

Épuisée par sa prestation, la femme mûre gisait au pied du lit, pâmée et couverte de sperme. Martine en profita pour reprendre les choses en main - au sens propre. Elle avança vers la verge à peine dégonflée et la caressa sensuellement pour la faire grossir à nouveau. Alternant mouvement du poignet et brèves succions de la bouche, elle n’avait qu’un but : remettre en état aussitôt que possible ce sexe qu’elle voulait dans son ventre et entre ses fesses. Ses efforts furent rapidement couronnés de succès, la verge bandait maintenant ferme sous ses doigts. Martine se renversa sur le lit, jambes hautes et largement écartées, offrant son intimité à la pénétration tant attendue.
Hervé se coucha sur elle et pénétra son sexe d’une seule poussée, jusqu’à ce que leurs bassins s’entrechoquent. Elle poussa un long gémissement sous l’effraction soudaine.
Il s’immobilisa un court instant pour profiter de l’étreinte des muqueuses intimes sur sa verge emprisonnée. Comme à chaque fois, c’était le meilleur moment, surtout la première fois avec une femme inconnue. Il décida alors de la surprendre. Se retirant presque complètement, il ne laissa que le bout de son gland entre les chaudes parois humides et l’embrocha à nouveau d’un coup sec et brutal, bien à fond, jusqu’à buter contre le col de sa matrice. Sous l’effet de la surprise et du plaisir d’être défoncée par un tel engin vibrant d’excitation, Martine poussa un hurlement qui dut s’entendre dans tout l’étage. Son amant commença alors ses puissants va et vient, la baisant profondément, de toute sa longueur, frottant la collerette de son énorme gland contre les fragiles remparts de sa grotte trempée, qu’elle serrait comme un étau pour mieux le sentir. Le prépuce comprimé s’était entièrement retiré et le plaisir n’en était que plus fort pour le mâle sabreur. Variant le rythme et alternant la profondeur de ses pénétrations, il la fit jouir une première fois sans se donner la peine de ralentir ses coups de bélier. Elle repartit aussitôt dans une montée chromatique vers l’orgasme, accompagnée de râles puissants au gré des irruptions du mandrin qui la défonçait. Elle jouit encore sans qu’il la laisse souffler davantage. Au contraire, il augmenta l’amplitude de ses coups de reins pour maintenir la pression érotique dans le sexe de cette femelle en chaleur.
Voyant qu’elle réagissait bien, il passa à l’étape suivante. D’un seul mouvement, il la retourna à quatre pattes sur le lit et réinvestit aussitôt son vagin en levrette. Un bref instant déçu par son retrait éclair, Martine rugit sous le violent retour du membre, tandis que ses fesses claquaient contre le ventre de son partenaire. Elle mordait l’oreiller à pleines dents pour ne pas hurler sa jouissance. Tout à coup, il ralentit son mouvement perforateur pour regarder son épieu entrer et sortir du conduit ardent qu’il investissait avec une régularité de métronome. Il pénétrait la jeune femme bien à fond, puis se retirait jusqu’à entrevoir le pourtour de son gland en feu. La fine muqueuse entourant l’orifice qu’il défonçait puissamment accompagnait ses mouvements, faisant un petit manchon clair qui s’étirait autour de la verge qui sortait puis disparaissait à nouveau dans le vagin en folie lorsqu’il s’enfonçait derechef. C’est comme cela qu’il la fit jouir une troisième fois.
Comme elle continuait ses mouvements de bassin pour lui signifier de continuer, il comprit qu’elle lui donnait le feu vert. Poursuivant son mouvement de piston, il se lécha brièvement le majeur droit pour l’humecter, l’appuya un court instant sur l’anus froncé et l’y fit pénétrer bien à fond. La salive était inutile, la fille mouillait du cul autant que d’ailleurs. Son doigt éprouva un instant l’intérieur du sphincter et se retira pour laisser la place.
Sentant venu l’instant de la pénétration ultime, celle qu’elle préférait, Martine s’immobilisa, enfouissant sa tête dans l’oreiller pour mieux faire saillir sa croupe, pour mieux écarter ses fesses rondes, pour mieux exposer le petit trou secret qu’elles abritaient et que le dard sodomisateur allait défoncer. Elle recula pour mieux se faire enculer. Elle lui tendit sa rosette frémissante d’impatience, regrettant presque qu’il l’ait explorée d’un doigt précurseur, tant elle aurait voulu sentir directement sa queue épaisse dilater sans préambule son sphincter, avant de lui perforer le rectum et de venir s’enfouir dans ses profondeurs intestinales. Prosternée dans une attitude de chienne soumise elle tremblait d’anticipation, attendant le membre brûlant qui se préparait à la combler complètement.
Le mâle se retira en douceur, pour pointer aussitôt sa colonne de chair excitée à l’entrée du rectum avide. Son gland violacé couvrit complètement le petit trou fripé qui semblait bien trop serré pour laisser passer une masse aussi imposante. Sans s’émouvoir, il vérifia qu’il était bien dans l’axe et poussa un peu. Le délicat orifice frémit légèrement en réponse. Il savoura le contact un instant, puis pénétra puissamment le derrière féminin exposé. Au début, rien ne se passa, tant la femme était étroite. Le manche fléchit un peu sous la pression de plus en plus forte, puis l’anus commença à éclore autour du bélier qui l’enfonçait. Petit à petit, le cul cédait sous l’attaque, la rosette s’ouvrait autour du membre qui poussait davantage, le muscle se distendait pour laisser passer la verge massive.
L’homme regardait son sexe se frayer un chemin dans les entrailles qu’il convoitait. L’anus était maintenant étiré au maximum autour de ce calibre peu commun. L’anneau de peau blême du petit trou glissait lentement sur la peau carmin du gland en pleine érection. Soudain, sous une poussée plus forte, le gland pénétra d’un coup et Hervé se trouva avec la queue délicieusement enserrée par le sphincter anal qui lui pressait le dard juste en-dessous du rebord du gland. La sensation fut si forte qu’il faillit éjaculer immédiatement. Il se retint de justesse, ç’aurait été dommage d’en finir si vite. Il marqua un temps pour savourer l’étreinte nerveuse qu’exerçait l’étroit conduit sur la tête de son sexe.
Maintenant bien emmanchée, Martine prit son temps pour apprécier la sensation d’écartèlement que lui procurait la première phase de cette sodomie qu’elle devinait devoir être longue et complète. Elle remua imperceptiblement sa croupe autour du pivot qui l’enfilait pour faire comprendre qu’elle était prête pour la suite. Elle sentit la pression s’accroître alors que le membre reprenait sa progression. Ayant passé le sphincter externe, celui de l’anus, la tige s’enfonçait en force dans son rectum, avançant par petites secousses en direction de l’autre muscle circulaire, le sphincter interne qui représentait une autre barrière délicieuse à franchir.
C’était le meilleur de la sodomie, cette pénétration par à-coups, ces obstacles successifs qui cédaient les uns après les autres devant l’impérieuse poussée de la verge roide, déclenchant à chaque fois un aveuglant éclair de jouissance. Lorsque le gland prenait appui sur la résistance à vaincre, commençait la délicieuse expectative, passera ? passera pas ? Puis les muscles cédaient et c’était le flash, la ruée soudaine du bélier vers l’avant, vers la porte suivante de ce château-fort sans limite, dont la profondeur de la conquête n’était limitée que par la puissance de l’arme de l’assaillant.
Pour expliquer cet effet de bonds successifs du membre dans ses entrailles, Martine savait bien qu’on ne mouillait pas de la même façon derrière et devant, que la surface des muqueuses était d’un grain différent. Ce qui provoquait ces retenues progressives et ces percées soudaines, génératrices de mini-orgasmes à répétition. Décidemment c’était bien ça qu’elle préférait : se faire défoncer l’anneau par une barre chaude et musclée.
Derrière elle, l’homme maintenait sa pression, luttant contre la montée du sperme, pour faire durer la sodomisation. Il appréciait la sensation exquise de son sexe s’immisçant peu à peu entre les muqueuses brûlantes de la femme consentante. Tandis qu’il investissait le cul étroit de sa maîtresse, il s’étonnait qu’une fille d’apparence aussi frêle puisse l’accueillir sans encombre par ce petit trou serré. En même temps, il devinait qu’elle était une habituée des plaisirs postérieurs et s’émerveillait qu’elle soit restée si étroite, on aurait juré que c’était la première fois qu’elle se faisait ramoner par derrière.
Il jouissait des brèves ruées en avant de son mandrin et des sensations transmises par le frottement. Enfin, il sentit que son gland butait contre le sphincter du fond du rectum. La vicieuse était bien empalée. Il tâtonna du gland pour s’assurer qu’il était toujours bien dans l’axe et, sans s’arrêter, poursuivit sa pénétration. D’un violent coup de reins, il défonça le muscle qui résistait et passa dans le boyau culier proprement dit, encore plus chaud que le conduit précédent. Un regain de jouissance éclata derrière ses paupières, alors que la sodomisée éclatait d’un long râle qu’elle ne pouvait plus arrêter.
C’était trop fort, il allait la faire mourir, exploser de plaisir autour de cet épieu qui la défonçait au plus loin. Il avait franchi toutes les barrières et continuait à s’enfoncer, repoussant les valvules de son intestin en feu, déclenchant à chaque fois un nouvel orgasme. Elle hurlait maintenant sans discontinuer, extériorisant ses sensations inouïes à pleins poumons, des poumons qu’elle finissait par croire qu’il allait transpercer en s’engageant si loin dans ses entrailles. Il commença alors ses va et vient, sur quelques centimètres seulement, pour bien profiter de la chaleur autour de son vit et du serrage musclé de ce cul accueillant. La femme émettait un feulement continu rythmé par les coups de bélier qui lui astiquaient le conduit. Martine se sentit partir et le cri s’étrangla dans sa gorge, tandis qu’elle perdait presque connaissance en jouissant autour de la barre de chair qui lui brûlait le rectum.

Toujours accroupie au pied du lit, Yvonne n’en avait pas perdu une miette et avait regardé avec intérêt sa fille se faire défoncer par derrière. Bouche entr’ouverte, elle haletait doucement en se masturbant le clitoris d’un doigt nerveux.
Dés que Martine eut terminé de jouir, l’homme s’arracha à elle d’un coup sec, la laissant prosternée sur le lit, secouée de frisson et l’anus encore béant. Il se leva rapidement et, délaissant la fille, empoigna la mère par un bras pour la jeter à quatre pattes sur la moquette. Appuyant sur son dos, il lui écrasa les seins contre le sol, tout en écartant largement ses genoux avec les siens. Il passa brièvement la main entre les cuisses écartelées de sa victime, pour vérifier son état. Du clitoris à l’anus, elle était inondée d’une mouille abondante.
Aussitôt, Hervé saisit sa verge entre deux doigts, tirant le prépuce à l’extrême vers l’arrière pour dégager le gland bien à fond et en accroître le volume. Il pointa son arme virile directement sur la rosette nichée entre les fesses rebondies, s’appuya une fraction de seconde contre l’anneau brûlant et encula Yvonne sauvagement jusqu’à la racine de son membre. La femme, surprise, bloquée par les deux mains puissantes qui lui tenaient la taille, ne put rien faire pour éviter la violente pénétration postérieure. Elle fut sodomisée en un éclair et hurla la douleur de son cul défoncé. La grosse bite s’était frayé un chemin de feu à travers son anneau contracté, avait traversé son rectum et butait maintenant dans son conduit. Le souffle coupé, elle se sentait empalée comme jamais elle ne l’avait été, pourfendue, écartelée autour du dard ravageur, pénétrée par derrière jusqu’au fond de ses entrailles.
Le mâle resta un moment abuté dans cette croupe ouverte sous son sceptre, puis il commença la sodomisation proprement dite. Se retirant à moitié, il sentit sa verge ramoner les parois intimes du cul transpercé. Son prépuce frottait à la fois son gland énervé et les profondeurs anales du fessier tendu vers lui. Il tira sur les hanches de la femelle offerte pour l’embrocher à nouveau bien profond. Sa queue vint buter dans les reins de la vicieuse qu’il emmanchait si bien.
Yvonne poussa un nouveau cri, mais qui, cette fois, était plus qu’à moitié un râle de plaisir. Après l’enculade violente qu’elle venait de subir, le mouvement de la trique dans son anneau lui procurait des sensations fortes et agréables. Son fouteur lui ramonait maintenant le fondement à grands coups puissants et elle appréciait les coups de boutoir qui lui défonçaient le cul. Elle se mit à gémir à chaque remontée du vit entre ses reins, jetant son bassin vers l’arrière pour mieux se faire prendre le fion. Son oeillet bien assoupli livrait passage au mandrin énorme qui astiquait vigoureusement l’étroit passage entre ses fesses. Elle montait à l’orgasme comme un soldat monte au feu.
Baisant et enculant depuis un long moment ces deux femmes - mère et fille unies dans le stupre, Hervé sentait ses couilles se contracter sous l’arrivée du sperme. Il allait jouir bientôt dans cette pastille dilatée. Il accentua ses mouvements, à la fois en cadence et en profondeur, ressortant presque du cul qu’il limait, il voyait sa verge émerger de l’anneau brun et s’y enfoncer de plus belle jusqu’à ce que ses poils touchent la rosette anale élargie par la sodomie. Il attira les larges hanches contre lui et encula Yvonne à fond. Quand le foutre monta de ses couilles remplies, il donna une dernière poussée et gicla en elle. Un torrent de sperme jaillissait de sa colonne ardente, serrée par l’intestin échauffé. Il se vidait à longs traits dans les entrailles de la vieille enculée qui jouit avec violence sous l’effet du lavement torride qui lui incendiait le rectum. Elle serra les fesses et contracta ses muscles intimes pour traire le foutre de cette grosse tige qui poussait toujours plus loin dans sa rondelle empalée. Son pourfendeur, enfoncé de toute sa longueur dans sa croupe, éjaculait à gros bouillons dans son fion ravagé, augmentant encore sa jouissance.
Épuisés, ils s’abattirent l’un sur l’autre, sans se séparer. Elle toujours consciente de cette présence dans son cul, de son rectum dilaté qui palpitait encore de la ramonée qu’elle venait de prendre dans l’anus. Lui douillettement enserré par ce chaud boyau qu’elle contractait spasmodiquement pour le branler encore un peu, extraire ses dernières gouttes de sperme et remercier son enculeur génial.

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