Céder Aux Pulsions (1)

Chapitre un : casser la routine

- INTRODUCTION -

À seulement 21 ans je suis en couple depuis déjà 5 ans. Mais je n'ai pas pu rester sage. Martin et moi, on s'est mis en couple quand j'étais au lycée, il a 4 ans de plus que moi, une routine s'est installée car tout s'emboîte parfaitement pour moi : mes parents ont une excellente situation économique dont ils me font largement bénéficier en plus de la succession de l'entreprise familiale. Malgré ma petite taille je suis physiquement très avantagée et j'entretiens mes atouts pour les mettre en valeurs.
Martin s'était engagé dans des études de commerce mais ses travers dans les jeux vidéos en ligne lui ont fait prendre une deuxième année sabbatique : il joue toute la nuit, parfois je vais travailler et il est toujours sur son ordinateur avec son micro/casque pour discuter avec ses amis.
Nous ne sommes plus sur la même longueur d'onde mais je l'aime car il est doux et attentionné et.... J'ai sûrement peur de me retrouver seule dans mon appartement. Je supporte donc cette situation depuis 2 ans, et son train de vie lui coupe un peu sa libido.... comprenez que mes anciens fantasmes aient explosés en moi.
Depuis que je suis jeune, avoir des rapports avec des inconnus et dans des lieux publics voir sordides m'excitent beaucoup. Avant je me disais que les fantasmes n'étaient qu'une façon pour notre esprit de se décharger de ses pulsions, et un matin devant le miroir, en me brossant les dents, je me suis dis "pourquoi pas ?"

- DÉBUT DU CHAPITRE-

Il est 7h00 du matin quand mon réveil sonne. Je suis seule dans le lit. Martin est sûrement devant son pc.
Je me prépare pour aller travailler, une grosse journée m'attend. Dans la salle de bain je me fixe sans le miroir, je suis saoulée de la veille. Martin ne fait toujours aucun efforts, il envisage de prendre une deuxième année sabbatique parcequ'il sait qu'il ne pourra pas se donner à fond.

Son égoïsme me déprime de plus en plus et son esprit s'égare vers de vieux fantasmes qui m'ont toujours choqués de moi-même. Je passe mes nuits à me soulager avec mes dildos, mais j'en veux beaucoup plus, et mes scenarios commencent à me faire chavirer.
"et pourquoi pas ?" cette phrase raisonne dans ma tête depuis plusieurs jours.
Je soupire, frustrée entre ma vie de couple qui ne me satisfait pas et mes envies brûlantes dès que je met un pied dehors.
Je vais prendre mon petit-déjeuner, Martin est entrain de parler à ses amis en ligne, aucun d'eux n'a du encore dormir. Je m'installe près de lui pour avoir un peu de conversation avec lui car son rythme de vie nous prive de beaucoup de moments, ce soir en rentrant il sera endormi et il se lèvera un peu avant que j'aille me coucher pour recommencer à jouer.
Il est 8h00, je pars travailler et tout le long du chemin, mon regard se pose sur des lieux où j'aimerai assouvir mes pulsions répugnantes : le local à poubelles du restaurant chinois, le parking souterrain du centre-commercial, quelque part dans le métro, sur un carton sale dans la ruelle où les clodos viennent boire leur bière, près d'un bar après un match de foot ou de rugby....

19h00, je quitte le travail mais je n'ai pas envie de rentrer pour me retrouver seule, je décide d'aller flâner dans le parc. Et mince j'ai envie d'aller uriner.... Mais je n'ai pas envie de remonter dans l'immeuble de mon entreprise pour utiliser les toilettes, tant pis je ne tarderai pas pour rentrer à la maison finalement. Je vois deux bancs, l'un vide et l'autre occupé par un homme seul d'environ 45 ans penché sur un très vieux téléphone type Nokia, un sac en plastique rempli de 8.6 dont une dans sa large main rêche. Il a le visage marqué par l'âge, un peu l'alcool et sûrement une vie à la dur. J'aimerai qu'un homme de cette carrure m'empoigne en levrette. L'idée qu'un homme usé par le temps puisse venir se soulager dans une fille dans la fleur de l'âge est le fil conducteur de mes envies.

Je m'assoie sur le banc disponible et dans un geste inconscient, j'enlève ma veste, et je tire sur le bas de mon débardeur très moulant, dévoilant un peu plus ma généreuse poitrine. Je sors mon téléphone et envoie un mail à mon père pour le prévenir d'un contrat avec un gros client.

-pardon, toi peux me dire ce qu'il y a écrit sur téléphone ?

L'homme à la 8.6 est penché au dessus de moi, son regard bien que planté dans mes yeux, semblent pouvoir évaluer facilement mon bonnet. Bien qu' actuellement, je ne porte rien sous le tissus epais de mon débardeur. Mmmmh est-il si epais que ça pour pouvoir masquer mes tétons qui se sont mis à pointer dès le premier mot ? Son accent slave est l'argument final pour que ma chatte se retrouve à suinter. Je glisse sur le banc pour lui faire de la place, il s'installe sans mettre la moindre distance, et il pose même le bras qui tient la 8.6 sur le dossier derrière moi.

-c'est une adresse pour un logement temporaire si vous êtes sans-domicile fixe.

C'est la goutte de trop. J'ai l'impression de voir un de mes scénarios se dessiner. Je sens que mon clitoris a triplé de volume entre mes lèvres. J'ai une folle envie d'écarter les jambes et me soulager à côté de lui en le laissant improviser sur le spectacle que je lui offrirai. Mais non, je ne suis pas encore à ce stade de dépravation. Pas encore. Et puis bon sang qu'est-ce j'ai envie de pisser.....

-Moi pas connaître ville. Arrivé hier mais moi rester ici.

-Je connais le quartier, c'est sur mon chemin, je peux vous emmener.

Il ne répond pas mais affiche un large sourire... de victoire ? A-t-il senti mes phéromones ? Est-ce possible ? Ou la différence culturelle fait que j'interprète mal ?. Je sens sa canette de bière effleurer ma peau près de mon sein.

Nous marchons en direction du refuge, les rues sont sombres, seul quelques lampadaires sont présents sur cette portion. A chaque pas, le frottement de mes lèvres sur mon clito me donnent des décharges, et mon envie d'uriner devenait extrême.
Il salue de loin des hommes qui ont la même allure que lui, il me demande d'attendre une seconde et j'accepte. Ces hommes parlent tous une langue de l'est que je ne connais pas, ils me lancent des regards lubriques et je fais mine de ne pas voir et leur fais un signe de la main pour les saluer. L'homme à la 8.6 me rejoins et en les dépassant, je sens qu'ils ont parlé de moi et qu'ils mattent mon cul. L'excitation me prend aux tripes, je suis presque outrée de sentir à quel point je suis prête à me donner.
Quelques ruelles plus loin l'homme le redemandé d'attendre

-moi pisser important

Il se retourne sans chercher à s'éloigner et j'entend un zip qui me fait saliver. Mais j'en peux plus, je m'éloigne rapidement et me "cache" derrière une poubelle en m'accroupissant. Le jet d'urine est si puissant et si libérateur que je lâche un petit gémissement de plaisir. Le jet raisonne fort et il dure si longtemps. J'entend des bruits de pas, merde ! J'suis pas dans une super position mais ça continue de couler.....
Je lève la tête et je vois l'homme à la 8.6 qui s'approche de moi, le même sourire qu'il a affiché sur le banc, il est entrain de se branler tout en m'admirant dans la même position qu'une chienne qui urine. Il manque que la laisse. Il se plante devant moi et présente sa grosse bite grasse et la décalote pour me présenter un gland rougi par l'envie de me souiller. Je finis de me vider devant lui.
Je le fixe dans les yeux, ouvre la bouche et sors la langue telle une chienne affamée. Ni une ni deux il m'att derrière la tête et me fait assumer ma provocation. Je lui lustre le manche avec ma langue tout en lâchant des petits gémissement. Une main vient peloter un de mes sein pendant que l'autre maintenait ma tête contre lui pour me faire goûter à son gourdin jusqu'au dernier millimètre. Je mime des bruits d' et il rie de satisfaction à ma soumission. Il finit par retirer sa bite de ma gorge, se decalotte et frotte son gland sur mon visage tout en parlant cette langue que je ne comprend pas.


Je me met à me toucher avec ce mélange de mouille et d'urine qui coule de mes lèvres. Mon clitoris est mûr d'excitation, je gémis comme une depravée tout faisant des petits sauts accroupi pour faire gigoter mes mamelles. Il observe attentivement ma nouvelle provocation et rit de nouveaux aux éclats d'avoir trouvé de quoi se vider les couilles. Il m'att par les cheveux et me jette à côté de ma flaque d'urine, à même le béton recouvert de saletés et de chewing-gum collés depuis des lustres. Je retire mon débardeur et il me plaque sur le dos.

-capote ? Je demande

Il ricane et me fait non de la tête avec un air faussement désolé. Son air devient plus dur, comme si je le degoutais et son chibre transperce ma chatte et je gémis de plaisir en en redemandant. Il attrapé mon visage d'une main et me pilonne comme s'il dechargait toute sa haine dans ses coups de reins. Je me tripotte les seins et il se met à teter mes petits mamelon. Il se redresse et commence à m'insulter dans sa langue puis me crache sur les seins, je me tripotte encore plus les tetons avec sa salive et je joui un peu plus fort pour l'encourager. Pourquoi ? J'aime énormément ce qu'il me fait.
Il me retourne, je me retrouve les fesses en l'air, joue sur asphalte et il se remet à me pilonner la chatte en levrette, je cambre au maximum pour lui offrir la meilleure prise pour me bourrer dans cette position que je raffole.

- Mmmmh bonne fille

Ses mains ne savent plus où aller entre mon cul et mes seins, j'ecarte mes fesses pour lui offrir un meilleur angle pour qu'il se vidange en moi. Ses mains aggrippent mes seins qu'il triture avec peu de douceurs. Ses grognements deviennent de plus en plus guturaux, je sens l'orgasme monter comme un feu qu'on alimente et il explose dans mon bas ventre. Pendant que j'étais parcourue par le plaisir de me faire baiser comme une poupée mise à disposition, il se retire et crache son jus sur ma chatte ouverte.

-pas er les putes

Il remet son pantalon et s'en va en me laissant au sol, les cuisses encore écartées. Je me rhabille avec un sentiment de honte et d'extase. Je sors un paquet de lingettes intimes de mon sac que j'utilise quand j'ai mes règles et je me nettoie de l'urine, le sperm et la mouille qui font coller les poils de ma chatte.

J'ouvre discrètement la porte de mon appartement. Ouff, Martin dort toujours !. Je fonce dans la salle de bain pour me nettoyer en profondeur et je prépare une machine pour les vêtements souillés. Je m'installe sur le canapé avec un thé pour me repasser en tête ce qu'il s'est passé. Je me remet à mouillé et je souris en prenant une gorgée.
Un baiser se pose sur mon crâne, Martin vient de se réveiller.

- Pas trop dur ta journée mon cœur ?
- Si un peu mais ça va je me detend avant de faire à manger
- Reste tranquille je vais m' occuper de ton repas

Je le regarde aller à la cuisine pour s'atteler à mon repas. Il a beau être qui il est, il a toujours ces petites intentions. Mais ça ne suffit pas à compenser l'ennui que me procure la routine dans laquelle on s'est installés. Mais j'ai trouvé de quoi casser ma routine.

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