Une Colocation Très Chaude. 4
UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 4
-Alors Shirley ! Quest ce que tu penses du PD ?
-Mais comment tu peux cracher autant ? Je nai jamais vu ça ! Oh putain de bite ! Mais
Mais
Tu ne débandes pas ?
-Non ! Tu ne crois quand même pas ten tirer à si bon compte ? Maintenant que tu as débouché la bouteille, il faut la finir !
Suite :
Claude me relève et se plaque contre moi, je sens son énorme sexe m'effleurer le bas du ventre et ma cyprine suinter de ma chatte. Il glisse sa verge sous mes vêtements et la frotte sur ma peau nue, m'excitant au plus haut point. Je me trémousse pour me frotter au sexe en érection que j'essaie d'attr d'une main mais il la repousse. Il me prend par la main pour se diriger vers la chambre et sassied sur le bord du lit, me demandant de lui tourner le dos, je m'exécute. Il mattire à lui jusquà ce que ma chatte soit juste au dessus de sa verge quil a redressée dune main.
Le gland effleure le bas de mes lèvres, je veux m'empaler dessus mais il sy oppose.
-Ne sois pas si pressée. Apprécie le moment !
Il met une capote, passe ses mains sous mes fesses et ne me laisse descendre quun tout petit peu.
Effectivement, japprécie et le remercie de son attention car son engin est beaucoup plus gros que celui de mon boy-friend. Son gland a un peu de difficultés à s'insinuer dans ma chatte. Il me retient ne me permettant de jouir que de quelques centimètres de cette formidable verge.
Il me laisse enfin libre de m'empaler sur son pieu et son gland s'enfonce un petit peu plus profondément. Jessaie de détendre mes muqueuses et écarte les jambes au maximum. Claude donne un infime coup de reins, je crie un peu et remonte à la force de mes bras posés sur le bord du lit avant de recommencer l'opération. Je gagne quelques centimètres et ne cherche pas une pénétration plus profonde.
Je sens des ondes de chaleur me traverser le ventre. Je continue un petit moment pour élargir le passage.
Je sens ce sexe monstrueux entrer doucement de plus en plus loin et quand je juge être suffisamment dilatée, jenfonce d'un seul coup son énorme engin au plus profond de moi avant de stopper tout mouvement. Je grogne de plaisir, cest un peu douloureux dêtre tant dilatée.
Mon plaisir est intense, mon ventre en feu, ma respiration saccadée.
Je reprends mes va et vient, il ma pris aux hanches, me soulève et me laisse retomber à un rythme toujours plus rapide. Chaque fois que lextrémité de sa verge butte tout au fond de moi, un petit cri s'échappe de ma bouche. Jengloutis presque entièrement le monstrueux pal de chair.
Puis il se retire complètement, me retourne face à lui et je me trouve de nouveau à cheval sur ses cuisses.
Je m'empale sur son chibre d'un seul coup jusqu'au fond de ma vulve, criant de plaisir. Il arrive à prendre un sein dans sa bouche et excite de son index mon clitoris.
Claude me bascule sur le coté et accélère de plus en plus le mouvement. Je nai jamais eu un partenaire varier autant les positions. Je narrête pas de jouir, mon corps nest plus quorgasme. Mais je ne reste pas inactive, me trémoussant de gauche à droite, d'avant en arrière, frottant mon corps sur le sien, écrasant mes seins sur son torse.
Il respire de plus en plus vite. Il se lève, me tenant toujours empalée sur son sexe, il me soulève et me laisse retomber deux ou trois fois, je hurle à nouveau de plaisir. Il accélère soudain ses pénétrations.
-Alors ! Tu aimes la grosse bite du PD ?
-Oh ooouuuiii !!!
Ses bourses rebondissent avec force sur mes fesses. Je sens son plaisir, et le mien monte à l'intérieur de mon ventre. La chambre résonne de l'écho de mes cris, mon vagin se contracte, broyant fortement le sexe monstrueux dans un orgasme mamenant presque à l'évanouissement.
Leffet est immédiat pour lui, déclenchant une montée de sève. Il se retire soudain, ôte la capote et astique avec vigueur sa lance. Un liquide chaud et abondant expulsé avec force se répand sur mon corps, il me semble qu'il ne s'arrête pas d'éjaculer tellement les jets se succèdent.
- My god, but you're a real fuck! Euh... Enfin tu me comprends...
-Bien Shirley, cest pas tout ça mais maintenant il faut vraiment que je mactive si je ne veux pas louper mes cours.
Il se rhabille et se sauve me laissant en plan. Du coup, je ne lui ai pas demandé pour demain... Le problème, cest que maintenant que jai goûté à la haute couture avec lui, je ne sais pas si je vais pouvoir me contenter du près à porter basique.
Claude
Et merde ! Après la mère, la fille ! Ce nest pourtant pas moi qui suis allé les chercher. Ça risque de mal se terminer si lune lâche le morceau. Il risque dy avoir du rififi dans la famille. Et je ne vous dis pas si les autres chaudasses viennent à être au courant
Adieu ma tranquillité. Mais le pire, cest que la vie me réserve encore des surprises.
Le lendemain, je suis bien tranquille à lire dans ma chambre quand Shirley se pointe, et pas pour me demander lheure. Elle a une envie de reviens-y. Jessaie bien de la repousser mais elle se met aussitôt à poil et me saute dessus. Et cest reparti pour une partie de jambes en lair. Je serais bien bête de ne pas en profiter. Mais au bout dune dizaine de minutes, elle se comporte dune drôle de façon :
-Quest ce qui tarrives Shirley ? Je vois bien que tu nes pas à ce que tu fais et je naime pas ça !
-Ben Claude ! Je ne sais comment te dire ça. Tu sais
Quand je croyais que tu étais gay, cest à cause de mon frère jumeau. Lui il est comment vous dites ? Ah oui, pédé comme un phoque ! Et nous aimons depuis tout petit partager nos jouets.
Elle ne veut quand même pas dire quelle voudrait que je moccupe aussi du frérot ? Merde quelle famille !
-Rassure-toi
Cest toi qui ferais lhomme.
Si vous avez lu mes aventures, (cf. Le mâle dominant et les suites), vous savez que ce nest pas la première fois quun homme soccupe de Popaul.
-Allez Tom
Entre ! Tu aimes ce que tu vois ?
Il nattendait que ça, il se précipite dans la chambre sabre au clair, enfin je devrais dire petit canif, car il se branlait en nous regardant. La nature lui a joué un mauvais tour.
-Oh oui ! Shirley, je ne te croyais pas quand tu men as parlé. Mais je dois reconnaître que je nai vu une telle verge que sur des grands blacks, jamais je naurais cru que Claude pouvais être monté comme un âne ! Je peux toucher Claude ?
-Au point où jen suis
Allez, viens toccuper du « jouet » de ta sur !
Que nai-je dis là ? Il se précipite, bouscule sa sur et me prend la pine à deux mains.
-Eh doucement ! Elle ne va pas se sauver !
Des idées cochonnes passent par la tête de Shirley qui se retourne tête-bêche. Ses jolies fesses rondes ont lair bien fermes, je croche mes mains dessus et commence un cunnilingus lent et appliqué qui lui arrache de petits gémissements. Quand je reprends mon souffle, elle ramène au travail ma tête avec ses cuisses, mintimant en silence de reprendre ce dur labeur. Je nai dautre choix que de continuer à lécher sa vulve, me délectant de son goût sucré. Elle se cambre de plus en plus, sur le point de venir, brutalement emportée par un nouvel orgasme. Je sens sa cyprine couler dans ma bouche. Je la laisse profiter de son orgasme, le souffle court.
Perdu dans mes pensées, je réalise seulement ce qui ce passe plus bas. Tom, soulagé de pouvoir se rendre utile, se bat avec sa sur au jeu de la flûte musicale à celui qui soufflera le plus dans le tuyau. Je nai aucun instant de répit. Mais au bout dun moment, je devine si cest lui ou elle qui me fait une gâterie. Pourquoi ? Parce que Tom est un sacré suceur
Je sens ses lèvres buter sur mes couilles dans une gorge profonde de folie.
-Mmmmhhh
Elle est grosse ta queue mais jadore ça ! Quelle est belle quand on la branle !
- Ooohhhh les jumeaux,
. Je nen peux plus ! Je craque! Je vais gicler!
Tom se colle comme une sangsue voulant pomper mon sang. Mais ce nest pas mon sang qui lintéresse. Mon foutre passe directement de mes couilles à son estomac tellement je suis enfoncé dans sa trachée. Il reste en apnée pendant au moins deux minutes, ses lèvres collées à mon pubis avant de libérer mon pénis. Jai eu peur un moment quil ne me larrache avec les dents.
-Ben mon salaud ! Aucune femme ne ma fait ça. Tas vu Shirley, cest pas bien compliqué !
Je pourrais le sodomiser, je suis sûr quil nattend que ça
Mais ça suffira pour aujourdhui avec cette drôle de famille. Elle éclate de rire avant de me préciser que cest la spécialité de Tom et y a pas à dire, doué le mec !
-Allez ouste vous deux ! Jai sommeil moi, dehors !
Ils font un peu la gueule mais obéissent et regagnent leur chambres. Il manquerait plus que leur mère vienne se joindre à la danse ! Mais le problème avec les filles cest que si on ne fait pas se quelles veulent, elles se vengent
Sue
Du haut de mes 22 ans, je croque la vie à pleines dents. Je suis une américaine de Caroline du Nord. Jai des difficultés avec le français et cette université est reconnue pour ses résultats. Japprécie le cadre de cette vieille demeure française mais il y a toujours quelque chose de déglingué. Heureusement que le « concierge de service » est adroit de ses mains. Mais à part ça, comme on dit en France, il ne casse pas trois pattes à un canard.
Claude est quand même sympa de nous prêter son studio quand on invite un garçon. Justement, il faut que je le voie pour retenir le studio. Je frappe
Personne. Je rentre, fais le tour des pièces mais il est absent. Il ne doit pas être loin car lordi est allumé. Je pianote dessus en lattendant quand je tombe sur un dossier intitulé : Vidéos couvent. Je clique dessus et des dizaines de petites vidéos saffichent : Couloir filles, TV salon, chambre studio, piscine. Jai bien vu quil y avait des caméras pour le système dalarme, mais je ne vois pas où sont celles du couloir. Jen regarde quelques unes
Il se rince lil, Claude. Il faut dire aussi quon nest pas coincées sauf peut-être Lee et Dory.
Que cache « chambre studio » ? Shit ! Toutes nos parties sont là !
A suivre
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