Une Colocation Très Chaude. 8
UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 8
Comment peut-il encore expulser autant de foutre après toutes ses éjaculations précédentes ?
-Bien les filles ! Le cours est fini pour aujourdhui mais je vous attends toutes les deux après-demain à 21h00 dans ma chambre. OK ? Pensez à prendre la pilule
Nous nous regardons, Dory et moi, et après un instant dhésitation, lui donnons notre accord.
Suite :
Lee :
Le moment est arrivé. Si javais été seule, je me serais dégonflée mais Dory est venu me rejoindre et nous nous encourageons mutuellement.
Nous frappons à la porte de Claude qui vient nous ouvrir, il est en short et chemisette. Je croyais quil allait nous sauter dessus mais il est aux petits soins avec nous. Il a préparé un petit en-cas et nous discutons bien une demi-heure sans quil ne nous donne ne serait-ce quune petite caresse. Il sinforme de nos peurs, de nos désirs, de notre expérience avec les garçons. Nous lui avouons que nous sommes toutes les deux vierges.
Une fois bien détendues, il nous propose de prendre un bain de minuit (bien sûr en tenue dEve).
Il nous déshabille avec une extrême douceur prenant son temps quand il sent notre réticence à se dévoiler devant lui. Dory est à peine plus grande que moi mais sa poitrine est généreuse, autant que ses fesses ce qui nest pas mon cas avec mon corps de sylphide androgyne.
Quand il baisse son short, je ne peux pas mempêcher de lâcher un « wow » malgré que je sache déjà à quoi men tenir. Impossible de détourner mon regard. Comment décrire une verge de cette taille ? Elle a quelque chose dirréel. On dirait quon a greffé un membre étranger qui va devenir aussi gros que mon avant bras sur un corps dado. Son sexe en semi-érection est tellement lourd quil se soulève très peu et met en valeur une paire de couilles presque soudées au manche. Lune pend très bas et remonte lentement jusquà ce que les les deux testicules forment dénormes excroissances de part et dautre.
Comment vais-je supporter tout ça ? Nous restons encore une demi-heure à barboter avant de regagner sa chambre. Claude reprend la parole :
-Les filles, je vous laisse la main pendant une heure, je ferai tout ce que vous voudrez. Je vous laisse choisir le moment où vous désirerez devenir femmes. Il ny a quune chose que je veux que vous acceptiez, un plog anal.
Nous sommes un peu rébarbatives à sa proposition mais accédons à sa demande. Je croyais que ça serait plus douloureux mais bien lubrifiés, les engins obstruent en un rien de temps notre trou du cul avec un mélange de plaisir et de désagrément.
Japproche mes deux mains de sa verge qui gagne rapidement en longueur et en circonférence, devenant plus dure et plus lourde, à linstar des couilles qui subissent la même métamorphose.
Claude embrasse Dory à pleine bouche mais elle sent l'urgence de soulager son érection puisqu'elle délaisse rapidement ses lèvres pour descendre vers son bas ventre.
Je remarque alors que les tétons de ma colocataire pointent largement. Je décide de mattaquer à ses deux obus et commence à les caresser, mattardant longuement sur les pointes dures et dressées. Je goûte à sa peau douce et parfumée, passant ma langue sur ses deux dômes aux pointes en érection, lui provoquant quelques frissons de plaisir. Cest plus agréable que je le pensais.
Dory lèche sa bite de bas en haut pour finir par prendre entre ses lèvres son gland, le gardant en bouche en bougeant la langue en cercle comme dans un état divresse, il me semble que la bite sagrandit encore.
-Mmmmmh Dory ! Tu es sûre davoir jamais fait ça avant moi? Allez mon chou, attaque-toi un peu plus au gros morceau.
Ça me rend folle de jalousie et me glisse maintenant sous ses couilles. Ny tenant plus comme si jagissais dinstinct, je prends en bouche ses boules lune après lautre, les gobant sans retenue, les léchant partout, ne voulant pas en oublier une miette.
Je suis trop concentrée sur cette bite palpitante dimpatience. Dory prend sa tige en main et se met à me frapper le visage avec, haïe ! Ça fait mal une telle matraque ! Cette sensation dêtre dominée de la sorte me rend folle dexcitation, lui tendant lautre joue pour quelle subisse le même supplice.
Sans quitter des yeux ce spectacle enchanteur, Claude prend le bassin de Dory à pleines mains pour le faire passer au dessus de lui et avoir une vision directe sur son pubis imberbe, une chatte légèrement luisante de mouille, à la fente délicate, aux lèvres charnues qui rappellent un abricot de tout premier choix. Il a aussi une vue magnifique sur ses fesses, prêt à les mordre.
Ses mains glissent sans vergogne à même la peau en une longue caresse. Il sent sous ses doigts quelle tremble un peu. Il fixe du regard la chatte dans laquelle il irait voluptueusement plonger tout entier dedans. Elle a des fesses rebondies comme il faut qui se rejoignent par un sillon tentateur où le plog est encadré par quelques poils discrets.
Je la seconde par un contact trop rapide avec lengin mais pas désagréable bien au contraire, je me mets à lécher son pénis du bas de la hampe jusquà la bouche de Dory qui en dévore la tête comme si elle sacharnait sur une glace.
La bouche ouverte, elle engloutit doucement la verge, en légers va-et-vient, savourant cette gourmandise et notre étalon semble très heureux de la prestation que nous lui donnons au vu de ses gémissements.
Nous nous relayons, tête-bêche sur lui, commentant de temps en temps :
-Hummm cest bon, doux, et chaud. Jadore son goût, je ne savais pas que cétait si bon de sucer. Avouais-je à Dory.
Je sens sa main qui caresse ma vulve, et je reçois une décharge lorsquil vient effleurer mon plog. Je nen peux plus, je suis follement excitée, à tel point que ma fente suinte, laissant échapper un filet de Cyprine dans sa bouche. Il rigole en constatant :
-On dirait que tu aimes ça, coquine.
Il continue le massage de ma vulve et de ma raie culière en sattardant de temps en temps sur lexcroissance plantée dans mon anus. Je sens son souffle chaud sur mes fesses et sa langue humide toucher mon illet. La sensation est divine et je me laisse aller à ses coups de langue, linondant encore une fois.
- Cest bien ma chérie, tu es réceptive.
Claude :
Je me penche sur elle, commence à lui caresser les mollets, les jambes. Ma bouche embrasse ses genoux, puis ses cuisses quelle vient douvrir. Jai une parfaite vision sur son sexe enfoui dans une forêt de poils noirs. Je prends une grande inspiration. Ma langue pointe vers sa grotte intime. Tout doucement, je lèche ses lèvres, jembrasse son sexe. Elle gémit.
- Oui... lèche moi... jai envie que tu me bouffes la chatte.
Un de mes doigts court sur son clitoris. Ma langue laccompagne, celui-ci commence à gonfler.
Ma langue parcourt ses parois vaginales, revient sur son clitoris et le lèche tendrement. Elle frémit, sa croupe se soulève.
- Oui... oui... suce moi le clito, cest divin !
On dirait quelle se dessale vite, la chinoise. Obéissant, je le prends entre mes lèvres, le suce, le lèche, puis je me remets à la lécher de haut en bas. Je prends son clito entre mes dents, je le tapote avec ma langue. Son corps est pris de frissons, elle sarque.
- Oui...oui....oh...oui...
Ses gémissements se changent en grognements, elle en tremble.
Lee :
Quelle sensation extraordinaire ! Dory se place à côté de moi et entreprend de le branler avec ses pieds. La belle veut profiter par tous les moyens de son dard. Peut-être une spécialité péruvienne ?
Ses pieds glissent le long de du chibre en de grands va-et-vient, la sensation doit être incroyable pour lui.
A mon tour, je veux lui rendre ses caresses et flatte le museau de son pénis en lembrassant tout en lui caressant les bourses, Jessaie dengloutir son sexe dans ma bouche mais malgré que je ne puisse nen goûter que la gueule, il est aux anges me disant que je lui fais une fellation divine.
Son gland se met à perler des gouttes de pré-sperme qui apporte une petite touche salée dans ma bouche mais il ne veut pas aller plus loin, il me repousse, saisit un verre de jus de pomme posé à coté de lui et, comme un tuyau darrosage en mode puissance maximale, il le remplit de sa semence. Et ça dure un temps fou avant quil ne se tarisse. Le verre dans lequel nage un énorme nuage blanc qui en remplit les trois quart, plein à ras-bord et couvert d'énormes gouttes grasses de sa liqueur.
-Les filles
Avant daller plus loin, signez le pacte et buvez chacune à votre tour !
Nous refusons dabord, horrifiées de sa demande, mais il insiste :
-Ne vous faîtes pas prier, vous êtes comme des s qui affirment ne pas aimer une chose quelles nont jamais essayée !
Lune après lautre, nous buvons au verre de petites lampées. Je ne sais pas si cest le jus de pomme quil y a avec mais je trouve le mélange délicieux. Une fois le verre vide, Claude nous avertit :
-Maintenant, il faut passer au niveau supérieur.
Dory, complètement excitée sait précisément ce quil entend par là. Son regard se concentre sur lorgane à la vitalité toujours effarante. On dirait quelle le désire au plus au point, elle le fixe dans les yeux et lui dit en le suppliant :
- Donne-la-moi, sil te plaît !!!!! ... Mais jai si peur
-Rassure-toi, je vais métendre au sol et je te laisse faire, la réconforte-t-il. Tu vas poser tes mains le long de mon torse et tes pieds à hauteur de mes reins. Lee va tenir ma verge droite et
Je te laisse faire.
Aussitôt dit, aussitôt fait
Enfin pour le début. Je suis au premier plan pour voir la vulve de Dory souvrir sous son effort sur ce bélier mais elle narrive même pas à en absorber le gland trigonocéphale.
- Oh ! Mon Dieu quil est gros ! Oh !! Quel morceau... Non je peux pas !!!
A suivre
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