Une Colocation Très Chaude. 7
UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 7
Je prends la main de Dory avec douceur et la pose sur ma verge, jouvre ses doigts et les referme sur ma verge flasque.
-Mets ta main à coté de celle de Dory.
Elle hésite à peine et mobéit.
-Alors ?
-Alors ? Cest chaud, cest assez ferme et souple.
-Un peu de bravoure, les filles ! Vous avez vu comment ont fait vos copines, Essayez de réveiller la bête !
-Mais, sinterroge Dory, Tu as déjà bien donné et on narrivera jamais à
-Qui ne tente rien na rien, je lui rétorque, lessayer cest ladopter.
Suite :
Je détaille les traits de Lee. Elle répond aimablement à mon regard. Elle a les yeux noirs en amande avec des paillettes dorées, dans un visage ovale à la peau veloutée, jaune. Une boucle noire tombe sur son front. Ses habits enveloppent très étroitement son corps et en soulignent ses formes. Elle est mince et musclée.
Les deux jeunes femmes, d'une vingtaine d'années, sont vraiment mignonnes. Dory a la peau mate, de longs cheveux noirs de jais noués en une tresse qui lui arrive au milieu du dos et la peau très fine.
Lee
Je finis par le branler doucement avec ma douceur féminine, je nai jamais fais ça mais je dois dire que ça me fait de leffet. Il a passé ses bras autour de nos épaules. Mais sa main remonte doucement vers mon cou, je sens sa main, légère, empoigner délicatement ma nuque pour diriger ma bouche vers la sienne. Ma poitrine s'appuie contre son corps dénudé. Les battements de mon cur saccélèrent. Sa main glisse dans mon dos, et me presse de plus en plus fort contre lui. Contrairement à ce que je croyais, la verge de Claude reprend vie, sa bite splendide bien que pas encore complètement dressée grandit de centimètre en centimètre, elle semble avoir doublé de taille, ma petite main ne peut plus en faire le tour, la hampe est devenue plus grosse que mon poignet.
Le plus impressionnant, c'est ce gland énorme, ce gros champignon qui coiffe cette matraque.
On étreint la grosse queue comme si on avait peur quelle disparaisse, que le miracle sarrête, dabord avec hésitation puis avec plus de détermination.
Claude grogne de contentement.
- Oh oui, cest bien, allez-y franchement! Branlez-moi mieux que ça !
- Quelle est grosse et dure ! Ajoute dans un souffle Dory.
On sactive maintenant avec encore plus de vigueur. Nos deux mains courent sur lincroyable colonne de chair. Un trouble profond mhabite, ma respiration devient haletante, mon regard se trouble, rivé sur le magnifique pieu, mes lèvres, entrouvertes, témoignent de lenvie que jai de le sucer. Régulièrement à présent, lénorme gland vient à la rencontre de nos bouches béantes qui se sont rapprochées, visiblement tentées de happer la verge tendue, excitées au plus au point. Mais Dory me devance :
- Je peux la sucer ?
- Oh oui ! Vas-y, ma chérie, pompe-la, elle nattend que ça ! Lui répond Claude, donnant un ample mouvement du bassin en avant pour présenter dun coup lénorme pal contre les lèvres humides de Dory.
Le cur battant, je vois alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma concurrente ! Plus rien nexiste maintenant pour elle ! Sans retenue, elle sefforce de faire disparaître le plus possible de la belle queue toujours prisonnière de nos mains dans sa gorge. Plus rien ne compte, semble-il, pour elle, que ce plaisir quelle prend à senfoncer profondément la bite gonflée.
-Quelle est bonne ! Quelle est grosse ! Je ne peux en goûter que la gueule !
-A toi maintenant Lee ! Ordonne Claude en donnant un coup de reins pour porter son gland à lapproche de mes lèvres luisantes, les effleurant.
Lexcitation memportant, jagrippe son sexe géant de mes deux mains pour faire des allers-retours sur cette verge monstrueuse aux veines saillantes
Je mets ma bouche autour de son gland et arrive avec dénormes difficultés à le gober en entier sans oser franchir le Rubicon. À vrai dire, jen suis déjà assez fière, vu la grosseur de la tête de cet engin, ne pouvant aller plus loin. Je mévertue sur le chapeau violet, mais ce nest visiblement pas assez pour lui. Frustré, après une minute dattente, il met ses mains sur ma tête et pousse le plus loin possible sa verge, jusquà ce que son gland bute au fond de ma gorge. Je crois défaillir, jétouffe et ai des haut-le-cur, me retenant de mordre à pleines dents dedans. Jai peur quil mait décroché la mâchoire.
Pendant un temps infini, nous nous relayons sur ce pic que nous narrivons pas à faire cracher.
Soudain, Claude nous repousse et se masturbe avec énergie devant nous. Le gros nud est luisant, splendide et triomphant. Un filet blanc ténu séchappe de son extrémité. Il explose enfin en un geyser de foutre dont les retombées recouvrent nos hauts ainsi que le cou et le visage des bienheureuses victimes consentantes que nous sommes qui en font leur régal, ouvrant notre bouche très large pour recueillir le précieux nectar.
Comment peut-il encore expulser autant de foutre après toutes ses éjaculations précédentes ?
-Bien les filles ! Jai gagné mon pari ! Et se tournant vers nous.
Nous nous regardons, Dory et moi, et après un instant dhésitation, lui donnons notre accord.
A suivre
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