Un Ado Pas Si Pubère Que Ça

Après notre week-end dans le var, nous étions rentrés et avions repris nos activités. L’été approchait à grand pas et Richard devait clôturer la première phase de notre projet d’extension avec notamment une grande réunion d’inauguration dans notre nouveau centre en Pologne. Je m’investissais corps et âme dans la préparation de cet événement qui devait rassembler nos grands clients, nos associés et investisseurs, mais aussi des partenaires divers. Je savais qu’au vu de l’importance de cet événement, je devrais être vigilante tout particulièrement avec certains de nos investisseurs que je n’avais pas revu depuis mon voyage en Roumanie. Tout faux pas conjugal était donc exclu, et cela, malgré la demande forte et insistante de certains de nos convives. Finalement, tout se passa sans problème, et j’avais même eu droit à un tonnerre d’applaudissement à la fin pour la qualité de l’organisation. Nous rentrions en France épuisés, mais content du succès et satisfait de voir nos vacances s’approchaient. J’avais prévu de prendre 1 mois complet dans notre villa du Var, alors que Richard ne s’accordait que les 2 premières semaines. Les s étaient aussi de la partie pour la première semaine, ce qui nous permit de nous retrouver tous les 5, chose plutôt rare depuis longtemps. La semaine fut festive et agréable ponctuée de balade en bateau, plage, barbecue, et apéro. Après leurs départs, Richard et moi restions seuls pour quelques jours, avant l’arrivée de ma belle-sœur et de son fils Elliot qui venait juste de fêter ses 18 ans. Elliot était le frère cadet de Sébastien, avec qui j’avais eu une longue aventure quelques années auparavant… Ils devaient rester une dizaine de jours, afin de me tenir compagnie après le départ de Richard. Nous profitions donc de tous les deux de ces quelques jours, profitant de la maison, du soleil et de quelques balades en bateau vers Port Cros et Porquerolles. Les nuits étaient chaudes dans tous les sens du terme, et le succès du projet de Richard avait rendu mon mari très gourmand des formes de son épouse.

 Ce fut donc quelques jours de débauches ininterrompus ou nous avions pu explorer tous les endroits de la maison. Deux amoureux de 50 ans et plus, qui profitent de la vie. 
Le dimanche matin, j’avais croisé par hasard nos voisins au marché, et profitais de cette opportunité pour les inviter et donner suite à leur Garden Party, lendemain pour un apéritif dînatoire. J’avais commandé chez le traiteur le buffet, et mis quelques bouteilles de champagne et de rosés au frais. Ma belle-sœur arriva en début d’après-midi avec son fils, un vrai geek juste sorti de l’adolescence et excessivement introverti, uniquement intéressé par ses jeux vidéo.
Nos voisins arrivèrent en début de soirée, accompagné d’Hubert qui leur rendait une visite impromptue, ayant des rendez-vous professionnels dans la région. Je savais sa visite non-gratuite, mais trop occupé à satisfaire mon mari, je restais distante afin de ne pas lui donner de faux espoir. Notre aventure ne devait rester qu’une expérience sans lendemain. Je le sentais frustré pendant la soirée, mais l’ambiance était restée très agréable. Ils repartirent vers minuit. Ma belle-sœur était partie se coucher fatiguée du voyage et Elliot devait jouer à un jeu vidéo dans sa chambre. Alors que je finissais de ranger, Richard m’entraîna vers la piscine. Et si on allait se baigner, un petit bain de minuit ma chérie
Vas-y je te rejoins
J’enfilais rapidement mon maillot deux pièces marron avec un paréo autour de la taille, et le rejoignis alors qu’il était déjà dans l’eau. Je m’installais sur le banc dans le jardin.
Tu n’as pas trouvé ton maillot mon cœur ?
Je pense que je ne vais pas en avoir besoin, tu ne me rejoins pas dans l’eau…
Trop risqué pour moi, et puis l’eau est trop froide…
Allez viens me rejoindre, elle est super bonne… Bon alors c’est moi qui viens à toi…
Il sortit de l’eau nu comme un ver et s’approcha de moi, toujours assise sur le banc. …
Richard, je sais ce que tu as en tête, ce n’est pas une bonne idée, avec ta sœur et ton neveu qui ne doit pas dormir…
Mais non, il est trop concentré sur ses jeux… Allez ma chérie, un petit cadeau avant que je reprenne l’avion demain matin…

Il était debout face à moi, nue comme un vers, avec son sexe fièrement dressé devant mon visage.
 Sans rien dire, il dirigea son membre dans ma bouche, dont il força l’entrée, sans même se préoccuper de mes états d’âme. D’une façon quasi-automatique, ma bouche s’entrouvrit pour engloutir son membre déjà gluant de désir. Il me saisit par la nuque, afin d’accen mes mouvements de tête. Je m’appliquais à le sucer, assise sur mon banc face à la piscine et à la villa, dont je pouvais contrôler les mouvements, au cas où mes invités se manifestent. Il me baisa la bouche dans cette position pendant plusieurs minutes, alors que sa main libre jouait avec mes gros seins juste protégés par le haut de mon maillot de bain. Surexcité, il me retourna, me laissant le dos à la villa, et faisant face à la maison de nos voisins, écarta ma culotte de bain et pénétra comme un fauve. Sa bitte plongea au plus profond de mon vagin. Il était comme un animal agrippé à mes hanches et à ma culotte, alors que j’étais accroupie sur le banc du jardin, me laissant secoué sous les coups de bassin de mon mari. J’avais perdu toute notion de la réalité et regardé dans le vide hagard juste habité par les martellements du sexe de mon mari qui me besognait tel un hystérique affamé du cul de sa femme. Alors que mon regard plongeait en avant se perdait dans l’obscurité, je me raccrochais à des pensées lubriques, fixant le bosquet des voisins ou Hubert m’avais pris 1 mois auparavant…
Vas-y, cochonne bouge ton gros cul… Dis-moi que t’aime ça…
Ouiiiii, vas-y, défonce-moi, je suis ta pute… Ta salope…
Oui, t’es trop bonne, en plus, je suis sûr que ca t’as excité d’avoir ton pote ce soir… T’as vu comment il te regardait ma salope…
Ohhh Richard, non, tu sais bien qu y a que toi qui compte…. Ohhhhh oui continue plus fort…
T’es une salope… Bouge tes fesses !!!
Oui, c’est bon, tu me prends bien, fesses moi, punis-moi comme la grosse pute que je suis…
Oui, salope, prends ça, t’aurais bien aimé qu’on te défonce à deux cochonnes, deux belles bites rien que pour toi, avoue… Dis-le-moi…
Le bruit des claques sur ma croupe raisonnait dans le jardin et pendant qu’il finissait de me besognait, je distinguais dans l’obscurité une ombre qui nous observait dans le bosquet… J’étais dans un autre monde, perdue, jouissant sous la pression de mon mari rêvant que mon amant d’un soir étant en train de mater en cachette… Il jouit enfin sur mes fesses, grognant comme une bête repue, mais enfin rassasié…
Après avoir repris nos esprits, je rejoignais ma chambre pour me coucher, alors que Richard prenait une douche… Mon téléphone vibra annonçant la réception d’un message… 
«Message : @patricia : tu es très photogénique, ma belle, regarde cette belle photo… Ravie d’apprendre que tu aurais aimé avoir ma bitte en plus ce soir… »
Une photo de moi en train de me faire culbuter sur le banc accompagné le message.
 Je n’avais donc pas rêver, et Hubert nous avait observé en cachette.
«Message : @Hubert :C’est pas beau de jouer les voyeurs à ton âge… »
«Message : @Patricia :apparemment, je ne suis pas le seul voyeur du quartier…Je pense qu’il a aussi apprécié le spectacle» 
Une seconde photo me parvenait, ou je pouvais voir Elliot, à la fenêtre de sa chambre et vraisemblablement en train de nous mater… Ce que je craignais était donc arrivé. Je ne savais pas encore qu’elle attitude adopter pour le lendemain matin… 
«Message : @Patricia :en attendant, j’ai terriblement envie de toi, tu m’as fait bander comme un fou ce soir, je veux te voir demain» 
«Message : @Hubert :OK retrouve moi vers 16 dans l’après-midi dans une petite cabane de pécheur près de la plage, après que j’ai déposé mon Mari à l’aéroport »
«Message : @Patricia :OK ma belle, je trouverai, j’en bande d’avance… Sois prête.» 

Le lendemain, après un petit-déjeuner rapide, je déposais Richard à l’aéroport de Nice, ce qui me prit la matinée pour faire l’aller-retour. De retour vers 13 H, et après avoir garé la voiture, je trouvais la maison vide, et apercevais ma belle-sœur sur un transat au bord de la piscine. Je me dirigeais vers ma chambre, quant à ma grande surprise, j’aperçu Elliot dans la pièce. Il était debout devant mon tiroir de lingerie, me tournant le dos, mais je devinais au mouvement de son bras qu’il était en train de se masturber. Je le regardais fasciner et apercevais dans le reflet du miroir qu’il avait en main un de mes strings Lise-Charmel Léopard, avec lequel il se branlait frénétiquement. Fascinée par cette scène inattendue, je ne pouvais détourner mon regard du miroir, et de son sexe coulissant autour de ma culotte serré dans sa main presque trop petite pour tenir son membre monstrueux. J’étais à mille lieux de me douter que mon neveu pouvait avoir un sexe aussi gros, et qu’il fantasmait sur sa tante jusqu’à violer l’intimité de sa chambre pour se branler dans ses petites culottes.
 Moi qu’il l’avait toujours pris pour un geek dégénéré, je découvrais un jeune homme plein de vie. Il se cambra soudainement, et je le vit jouir dans mon slip, et s’essuyait avec mon string. Il replaça ensuite le tout dans le tiroir et sortit de la pièce par la terrasse. 
Je me cachais afin de ne pas le croiser, et une fois partie, je rentrais dans ma suite. J’ouvrais mon tiroir de lingerie et pris en main mon string plein de sperme. Apparemment, il semblait que mon jeune neveu fût presque aussi vicieux que son frère ainé, et pour l’instant, je ne savais absolument pas comment réagir face à cette nouvelle situation très embarrassante, mais en même temps terriblement excitante. Moi la femme de 53 ans qui multipliait les amants, d'un âge mûr, j'avais réussi à exciter un jeune de 18 ans. J'étais à la fois gêné que ce soit avec mon neveu et en même temps troublé.
Nous nous sommes retrouvés tous, 30 minutes plus tard, pour le déjeuner. J’essayais d’engager la discussion avec Elliot, qui le nez dans son assiette ne me regardait pas, et me répondait juste par quelques courtes onomatopées. Même le verre de rosé ne réussit pas à le désinhiber. Comment imaginer, que ce jeune homme timide en face de moi, était le même qui 30 minutes, auparavant, se frottait son énorme membre dans ma culotte de bourgeoise distinguée. Ayant mon rendez-vous avec Hubert, j’en profitais pour proposer un tour à la plage, que ma belle-sœur accepta immédiatement, arguant avec Elliot qui restait maussade, du grand bien que cela lui ferait de quitter sa console pour une après-midi et de profiter de la mer et du soleil. La perspective de passer son après-midi à la plage avec sa mère et sa tante ne devait pas l’emballer énormément.
Nous quittâmes, la Villa vers 14 h 30, pour s’installer sur la plage 30 minutes plus tard. Ma belle-sœur adepte du « pile face », s’installa tout de suite. Je savais qu’elle n’allait plus bouger jusqu’à notre départ. Pour ma part, j’attendais le bon moment, et vers 15 h 45, je me levais sous prétexte de faire un petit tour sur le sentier du littoral prendre quelques photos, je reviens d’ici 30 minutes. Je pris mon paréo, chapeau, mes sandales Rondini, et pris la direction du sentier. La cabane de pécheur n’était qu’a 5 minutes dans les vignes et isolé de la plage… Je connaissais bien l’endroit qui était également utilisé pour les vendanges, pour y être allé souvent, notamment une fois avec un ami de mon fils, que le lieu (ainsi que son guide) n’avait pas laissé indifférent, et quelques jours plus tôt avec Richard, qui avait eu une envie soudaine de se libérer dans ma bouche. Arrivé à la cabane, je rentrais et trouvé, Hubert qui m’attendait… Il me fixa des pieds à la tête tel un prédateur jaugeant sa proie, avec un air affamé et gourmand. Je compris que 30 minutes risquaient d’être un peu juste. J’étais en maillot be bain 2 pièces de marque Pain de Sucre «Diva Sensitive UniLife », marron. Le haut avec une forme en triangle push-up en maille froncée sur les bonnets, offrant un galbe arrondi pour une poitrine parfaitement centrée avec de larges liens à nouer en tour de cou et au dos. Le slip échancré au niveau des cuisses était noué sur les 2 côtés, avec des liens qui embellissaient mes hanches pour une élégance certaine. Pour finir mon paréo multi-positions était un modèle exclusif et intemporel de la maison Pain de Sucre. Transformable en 7 positions grâce à ses larges pans découpés, cette tenue de plage suivait tous mes mouvements en toutes circonstances et pouvait se métamorphoser au gré de mes envies ou celle de me partenaires
Sans prononcer un mot Hubert, m’attira vers lui me coinça dans ses bras pour m’embrasser. Sa langue avait plongé en moi, jouant avec la mienne, alors que ses mains parcourraient mon corps, s’attardant particulièrement sur ma poitrine, juste protégés par mon push marron. Il me possédait, tel un démon, je le sentais dans un état de surexcitation intense. Ses mains et sa langue étaient partout sur moi et en moi. Je m’abandonnais à mon amant.

Tu m’as trop excité hier soir dans ton jardin salope… Te voir te faire prendre par ton mari, j’en ai joui en te regardant, et encore bandé toute la nuit.
Ohhhh Hubert prends moi, fais-moi jouir, je suis à toi… Fais vite ma belle-sœur et mon neveu m’attendent
En attendant ton neveu, il n’en a pas loupé une miette… Apparemment, il n’est pas insensible aux charmes de sa tata
C’est un petit vicieux pervers, je l’ai surpris se masturber dans mes sous-vêtements ce matin….
Ouaaaa raconte, ma salope….
Alors que je racontais comment j’avais surpris Elliot, Hubert continuait à s’occuper de mon corps. Il me poussa vers le mur de la cabane, et utilisa mon paréo pour m’attacher les mains en l’air, à un anneau bien fixé dans le mur. Alors que je continuais de lui raconter mon histoire, ses mains redoublaient d’activité sur mon corps restreint de mes mains captives. Il plongea dans ma culotte qu’il baissa d’autorité, et commença à ma caresser le vagin. Il était brutal, sachant que j’aimé être soumise et brutalisée… Ses deux doigts s’enfoncèrent entre mes jambes s’introduisant en moi…
T’aimes ça avoir ma main dans ta chatte ma salope, dis le…
Oui, continue je suis à toi, fais-moi jouir….
Ça t’a excité avoue le moi de voir ton petit-neveu pubère se branler dans ton string…
Oui, j’aime qu’on me désire…
Oui comme toutes les putes de bourgeoises… Une vraie grosse cochonne qui aime se faire souiller…
Ouiiiiii….. Hubert arrête, il y a quelqu’un dehors !!!!
Il s’arrêta net, me tournant le dos, pour aller voir à l’extérieur de la cabane, me laissant dans ma position, attachée avec ma culotte à moitié baissé. J’entendis Hubert courir et crier…
Et toi le petit voyeur, qu’est-ce que tu fais… Viens voir un peu ici…
J’entendais, une voix protester, des bruits de course, et puis au bout e quelques secondes, Hubert revint dans la cabane, tenant par le bras… Elliot !!! Mon neveu, qui m’avait suivi jusqu’ici, et qui nous épier depuis le début… Elliot restait silencieux en baissant la tête n’osant pas me regarder, malgré ma position entièrement soumise.
Regarde ma belle qui je te ramène…
Hubert, détache-moi et laisse-le partir, ce n’est pas drôle…
Non mais tu rigoles, il faut donner une petite leçon à ce petit morveux. Et apparemment ta culotte ne l’a pas apaisé, regarde-moi dans quel était-il est…
Je baissé les yeux vers le caleçon d’Elliot et pouvais voir une énorme bosse, que je reconnaissais pour l’avoir déjà admiré dans le miroir.
Elle t’excite ta tata, avoue le…
Hubert ça suffit, détache moi tout de suite…
Heuuuu, oui, elle est très belle….
Elliot !!!! Je suis ta tante, je te rappelle !!!!
Ça t’a excité de la voir se faire baiser cette nuit dans le jardin… 
Oui… C’était beau, elle avait l’air de prendre du plaisir…
Tu veux la toucher….
Hubert !!!!! C’est hors de question…. Je vais crier ….
Viens rapprochons nous d’elle, garçon, je vais d’apprendre comment on s’occupe d’une belle jument comme elle. Tu vois elle gigote, mais en fait elle attend que ça. Dénoue-lui son slip de bain.
Pendant ce temps, ils étaient tous les deux près de moi, Hubert s’était positionné derrière moi et m’avait attrapé par les cheveux et penché en avant pour me bâillonner avec sa langue, alors qu'Elliot m’enlevait délicatement mon maillot. Une fois débarrassé de ma culotte, Hubert lui prit des mains et me l’enfonça dans la bouche… J’étais, maintenant entièrement à leur merci. Et pour finir Hubert m’avait attrapé la cuisse gauche, qu’il soulevait tout en m’écartelant, me laissant en équilibre que sur une jambe.
Sans préambule ni préliminaire, Hubert m’enfila son sexe dans mon petit trou. Il savait que j’adorais qu’il m’encule. Certaines femmes n’aiment pas, mais j’avais pris goût à sa bitte, et la sensation de son membre dans mon anus me rendait folle et addicte… Il me pilonnait les fesses, tout en me tenant la cuisse bien haut, afin d’écarter mon anus trop étroit…
Tu peux lui toucher les seins si tu veux, vas-y… Tu vas voir, c’est inoubliable
Je gémissais, de bonheur mais aussi de mécontentement, étant à la merci de mon amant, qui me soumettait, et avait bien décidé de faire vivre à mon neveu sa première expérience…
Ça te dirait de lui lécher la chatte, pendant que je m’occupe de son cul à ta grosse tata…
Ohhh oui, j’adorerais, mais elle n’a pas l’air trop d’accord….
Mais si, elle n’attend que ça. Elle sait que sinon elle n’aura pas droit à ma bonne queue dans son gros cul. Allez Patricia, montre à ton neveu que tu es OK, hoche la tête.
Hummmm, Hummmm, dis-je en hochant la tête.
Elliot plongea entre mes jambes et me lécha le sexe, plongeant sa langue dans mes entrailles. Alors que Hubert alternait des va-et-vient rapides et lents, mon neveu s’occupait de ma chatte, et Hubert en profitait pour me malaxer la poitrine.
Mets-lui tes doigts dans la chatte, maintenant elle adore se faire doigter
Elliot ne se fit pas prier, un doigt, puis deux, et en suivant les instructions de Hubert fini avec 3 trois doigts, qu’ils faisaient coulisser comme le coulisse du trombone. Il avait sorti son sexe de son maillot, énorme, encore plus impressionnant de près que dans le miroir. Comment à son âge, pouvait, il avoir un sexe de cette dimension. De mémoire, je ne me souvenais que d’Albert un de mes amis blacks qui pouvait rivaliser avec lui…
Tu veux la prendre ta belle tata maintenant avoue, tu vas lui coller ton gros braquemard entre les jambes… Allez vas-y….
Elliot se releva et me pénétra, me regardant droit dans les yeux, alors que j’étais toujours sous les coups de reins de la bitte d’Hubert dans mon petit trou. Il s’enfonça en moi, prenant possession de mon corps. M’envahit la chatte par son membre insensé. J’espérais que le manque d’expérience allait le faire jouir rapidement, mais contrairement à mes espoirs, il était en plus résistant. Il me baisa, me faisant oublier la bitte d’Hubert dans mon cul ; qui allait bientôt jouir. En effet, Hubert sortit son sexe et se vida sur mon cul, laissant Elliot me finir. Il avait pris ma cuisse gauche en main, à la place de Hubert qui nous observait, et me marteler comme un hystérique. Il se déchaîna contre moi pendant plusieurs minutes, me laissant me perdre dans des orgasmes multiples, que je ne pouvais maîtriser… Moi la femme de 53 ans, pulvérisait par mon neveu puceau de 18 et qui prenait une leçon de sexe dans une cabane de pécheur attachait et soumise et livrait à deux fauves assoiffés de chair… Il se libéra enfin, et me recouvra les cuisses de grands jets. La qualité de sperme était à l’image de la dimension de sa bitte… Impressionnante…
Sans dire un mot Hubert, me détacha et m’embrassa fougueusement… 
Hummmm, je crois que je vais tomber amoureux, me dit-il en souriant… Je dois partir ce soir, mais je t’invite à une soirée chez des amis à quelques kilomètres d’ici, samedi… Tu viendras j’espère…
Tu es un démon… Mais oui je viendrais, Quant à nous Elliot ou va avoir une petite discussion…
Avec plaisir Tata… Dit-il en souriant…
Son visage et toute son expression s’étaient transform酠Le petit ado, pubère, avait fait place à un jeune homme plein d’ardeur…. De retour à, à plage, nous retrouvions sa mère en pleine sieste. Survoltait, Eliot voulut se baigner nous proposant de l'accompagner... Il joua dans l'eau nous éclaboussant, nageant, essayant de nous couler... de retour aux serviettes, seules toutes les deux, sa mère n’en revenait pas...  
- Je ne sais pas si c'est le rosé qu'il a but à midi, mais en tout cas, il est transformé...
- C'est vrai que c'est agréable de le voir comme ça... répondis-je hypocritement
Le soir pour le dîner Elliot fit preuve d'une extraordinaire bonne humeur, aidant à préparer, mettant la table, riant à ses propres blagues. Il poussa même à nous proposer une partie de "qui suis je", ou chacun doit deviner le personnage inscrit sur un post-it collé sur son front. L’ambiance était excellente, nous nous amusions sous l'effet du rosé, mais aussi de la nouvelle transformation d'Elliot, qui rendait sa mère folie de joie. Je fus la grande perdante de la partie ne pouvant deviner mon personnage de "kay Parker". Il faut dire que n'étant pas une grande connaisseuse d'actrice porno amer des années 70, je n'avais aucune chance.
- Mais enfin, Elliot pourquoi un tel choix pour ta tante, que je sache elle n'évolue pas dans « cette industrie... ». Déclenchant tous les rires de la table....
- Et bien je suis tombé par hasard sur une photo d'elle sur Internet et j'y ai trouvé une ressemblance, répondit mon neveu...
Il nous montra une photo qui mise à part les formes très pulpeuses ne me ressemblait pas, en revanche sa biographie était très claire. "Réputée notamment pour ses rôles dans Taboo, grande série des années 80 où elle interprétait le rôle mère ueuse ". Un peu gênée, je changer de sujet de conversation, et débarrassais la table, toujours avec l'aide bienveillante de mon neveu... Peu après nous regagnèrent nous chambres respectives pour un repos bien mérité. 
Je m’endormais rapidement, épuisée de cette dernière semaine. Pendant mon sommeil, mon imaginaire fut envahi par un rêve construit sur une pulsion de désir. Je me voyais avec Elliot, prise tendrement, il était sur moi. Je pouvais sentir ses mains sur mon corps, un rêve érotique dans lequel j’étais l’actrice principal. Ses mains étaient fortes et me faisaient jouir. Je ne savais pas si j’étais endormie ou éveillée et n’avait qu’une conscience partielle de ce qui m’entourait. Les éléments m’échappaient et ce décalage vis-à-vis de la réalité n’était pas loin d’un sentiment de folie dans lequel je me sentais jouir et posséder. Par suite d’une pression anormale, je me réveillais trempée et surexcitée, alors qu’allonger sur le dos, je pouvais apercevoir dans la pénombre Elliot au-dessus de moi me tenant les poignets, et poussant son sexe dans ma bouche. Tout cela n’était donc pas un rêve, mais juste Elliot qui s’était glissé dans mon lit, et profitait de mon sommeil pour attiser mon désir et jouer avec mon corps. Son sexe envahit ma bouche. Il était au-dessus de moi, ses mains tenant fermement mes poignets au-dessus de ma tête, alors que son sexe coulissait dans ma bouche. Il me parlait doucement, afin de ne pas faire de bruit et réveiller sa mère :
Oui ma belle tata, suce-moi bien la bite… Oui comme une bonne actrice de prono, utilise ta langue, Hummmmmm Vas-y ma tata cochonne, fais-moi jouir…
De l’adolescent introverti, il était passé en quelques heures à l’amant. Il allait m’utiliser dans mon lit, de toutes les façons possibles, et je ne pouvais l’empêcher. Après quelques minutes de cette fellation e, il me retourna, pour me placer en levrette. Son énorme queue me pénétra pour la seconde fois de la journée, me laissant en transe de désir. Il me faisait jouir, dans cette chambre noire juste éclairée par la nuit claire, dont les lueurs passaient au travers la porte de la terrasse ouverte. Nous ne pouvions entendre, que le grincement du lit, mes gémissements et la voie d’Elliot qui continuait à me parler…
Oui tata bouge-moi ton gros cul… J’aime tes formes, tu me fais bander depuis mes 12 ans… Vas-y continue, je vais te prendre par ton petit trou maintenant, il parait que tu adores te faire enculer par des grosses bites.
Il me sodomisa, de son fantastique membre colossal, démoniaque. J’étais en levrette, sodomisais par mon neveu qui découvrait avec un vrai talent les joies du sexe. Il jouit enfin, après quelques minutes de pilonnage démentiel, me poussant à l’orgasme. Mes gémissements s’étant accentués, il me bâillonnait avec sa main, pour atténuer mes cris et ne pas réveiller sa mère, alors que son sexe se vider de son sperme au fond de mon anus…
Il se retira dans sa chambre, pour finir, une nuit, calme et reposante. La suite de nos vacances ne fut qu’une suite de prétextes pour lui à me coincer, dans n’importe quel endroit. Nous sommes bien évidemment retournais à la cabane de pécheur, et j’eu droit à ma visite quotidienne dans mon lit, ou j pu apprécier l’amélioration croissante de sa technique et de sa résistance… A son départ, il m’embrassa tendrement, me remerciement pour ses vacances exceptionnelles qu’il n’oublierait jamais et que lui permettait maintenant d’aborder l’âge adulte…

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