Amour En Musique 10

C'était un joli sexe que je... (2/2)

Better the Devil You Know de Kylie Minogue…

J’avais mon visage tout contre son intimité et j’étais en train de la lécher. Son sexe presque glabre était à moi et je m’occupais de lui. Je l’embrassais… je le léchais… je le titillais… je le broutais… je le mangeais… je le bouffais…

Du premier baiser de tout à l’heure, j’avais à présent trouvé mon rythme de croisière, petit à petit. Mes lèvres et ma langue étaient sur elle. En elle. Ce devait être un supplice agréable, délicieux, pour elle, que d’être debout et de se laisser lécher. Ses jambes étaient impudiquement écartées. Elle était presque entièrement nue, et elle avait une main qui me caressait les cheveux. Elle, cette main, ne faisait pas que ça : non seulement elle les caressait et se glissait en eux, mais elle les empoignait aussi et ainsi, Laura gardait une certaine emprise sur moi car tout en agrippant ma tête et en la faisant rapprocher de son intimité, je baisais sa porte du plaisir de cette manière.

J’y prenais du plaisir…

A Question of Lust de Depeche Mode…

Je prenais beaucoup de plaisir à être accroupi comme ça, entre les jambes de cette demoiselle. Ça ne faisait, certes, plus belle lurette que Laura m’avait pris dans sa bouche et qu’elle m’avait pompé avec envie et ardeur. Pourtant… je bandais toujours autant, comme ce n’était pas permis. Et ce n’était pas moi, à genoux, en train de la lécher avec gourmandise, qui allais me faire débander : ça m’excitait tellement d’être comme ça.

Lécher Laura m’excitait beaucoup. Tellement. C’était foutrement excitant d’être à ses pieds et de lui donner du plaisir, avec ma langue. Je léchais son sexe avec amour.

Bien sûr, dans le feu de l’action, on ne se rend pas compte de grand-chose. Moi, je m’occupais de Laura. Point. Oui, Laura avait sa main dans mes cheveux et elle me les caressait.



Mais… j’entendais qu’elle faisait du bruit parce que je m’occupais d’elle. Elle en jouissait et ne s’en cachait pas le moins du monde.

Moi, mon visage était tout contre son sexe doux, chaud, humide… et je réalisais alors que j’étais déjà en train de lui faire l’amour. Pour moi, ça représentait beaucoup qu’une femme s’offre à moi à ce point-là : qu’elle me masturbe et qu’elle me taille une pipe… qu’elle ME déshabille… qu’elle SE déshabille… qu’elle me laisse la toucher partout… que je la lèche.

Je devais avoir les yeux fermés. Je me sentais concentré et je m’appliquais à faire correctement mes devoirs tel un étudiant sérieux.

Je sentais les lèvres de cette jeune femme remuer sous mes coups de langue. Ça me faisait… beaucoup de choses. J’avais, certes, beau lui faire l’amour… C’était elle qui baisait ma bouche en fait. En effet, je n’étais, après tout, qu’à genoux et c’était elle qui était debout qui frottait son sexe contre ma bouche à sa guise.

Scream de Timbaland…

J’avais envie de VOIR Laura prendre son pied. Je me suis alors brièvement retiré de sa cramouille et j’ai voulu la regarder, du mieux que je pouvais, dans cette position.

Je voyais les yeux de Laura, à moitié fermés…

Je voyais la bouche de Laura, entrouverte…

Je voyais la gorge de Laura, haletante…

Je voyais les seins de Laura qui ballottaient…

Je voyais les mains de Laura, en direction de mes cheveux et qui s’introduisaient en eux…

Je suppose qu’elle plongeait ses deux mains dans mes cheveux pour qu’elle me sente tout près d’elle.

Ce n’était que pur délice de porter ma bouche sur cette source irrésistible de plaisir féminin et d’y goûter cette liqueur de femme…

Laura n’était que sensualité… J’avais envie d’elle. C’était aussi simple que ça.

Je voulais plus, bien plus, encore plus, toujours plus.


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"Something that You Said..."

Ma langue sur la peau rose, claire, lisse, intime de cette coquine de Laura… Je laissais libre cours à son inspiration. Ma langue butinait sur cette porte du plaisir, certes fermée mais… humide, ruisselante. De mes deux mains, je palpais les grandes lèvres, plutôt épaisses, et je les faisais coulisser l’une sur l’autre. Je les massais. Je les touchais.

Laura avait désormais le souffle court. Disons que… peut-être que… j’étais en train de lui couper le souffle, avec mes baisers, mes caresses et mes léchouilles…. Tout ce que je savais, c’était que Laura exprimait son plaisir par des sons… et ça m’excitait, moi aussi. J’y prenais du plaisir.

Lonely Together d’Avicii et de Rita Ora…

À force de m’amuser, si l’on pouvait dire, avec les grandes lèvres de Laura en les faisant coulisser l’une sur l’autre, et vice et versa, non seulement j’y prenais du plaisir mais je mourais aussi d’envie de les écarter, d’être plus près, encore, de son intimité la plus profonde.

Je n’avais d’yeux que pour sa belle petite chatte appétissante…

C’était elle qui était, à ce moment-là, l’objet de toute mon attention.

Cependant… et même si la lingerie m’excitait beaucoup, elle me gênait dans le cas échéant.

Je suis resté dans la même position et j’ai fait coulisser le petit bout de dentelle.

Je tenais le tanga bleu poudre aux motifs de fleur par ses extrémités. Ce geste me permettait d’utiliser ce prétexte pour pouvoir effleurer la peau douce, rosée de ma partenaire.

Je désirais tellement Laura.

Open Your Heart de Madonna…

De la sorte, Laura m’était offerte, debout, les jambes écartées, alors que je la léchais volontiers, avec délice.

Il faut se méfier parfois des apparences, non ?

C’était moi qui étais à ses pieds et qui étais occupé à la lécher, accroupi… C’était moi qui étais au service de son plaisir et qui le lui en donnais.


Certes, la position n’était pas confortable, parfois. Mais, je n’avais pas du tout ça en tête pendant que je portais son sexe humide à ma bouche et que je me faisais l’instrument de son plaisir. Je le lapais, un peu comme un chat qui boit du lait dans un petit bol. Laura, elle, me maintenait encore et toujours la tête contre son intimité. Elle me tirait les cheveux pour maintenir son emprise sur moi.

Sing for Absolution de Muse…

Laura continuait de pousser ses petits bruits de plaisir «Laura va jouir...»

De temps à autre, je levais les yeux vers elle car l’idée de la VOIR prendre son pied me rendait curieux et m’excitait à la fois.

Et, à ce moment-là, quand je l’ai regardée, elle avait les yeux fermés et les lèvres entrouvertes. Je voyais ses mains le long de son corps et l’un d’elles qui était plongée dans mes cheveux.

Laura avait le souffle court et quand je l’ai regardée, toujours à ce moment-là, j’arrivais à observer sa respiration. Je parvenais à la voir inspirer et expirer. Sa poitrine se soulevait et, par conséquent, c’était un beau spectacle de voir ses deux jolis gros seins tressauter.

Quand je les voyais bouger légèrement ainsi, toutes sortes de pensées me venaient en tête…

Je l’ai vue, pendant quelques secondes, prendre même l’un de ses seins dans sa main et en pincer le téton. Je l’ai entendue pousser un gémissement.

Dieu que Laura était jolie…

Dieu que Laura EST jolie.

Elle me tirait inexorablement les cheveux, et bien que ça eut beau être un petit peu douloureux sur le coup, ce n’était pas non plus désagréable.

Moi… j’étais en train d’écarter son tanga en dentelle du bout des doigts d’une main. L’autre main, elle était posée sur sa cuisse. J’avais la tête enfouie dans son sexe, et à vrai dire… j’aimais ça. J’aimais ce que je lui faisais.

J’étais à cent pour cent consentant.


Je n’étais pas spectateur. Je n’étais pas le moins du monde passif.

J’étais tout aussi acteur qu’elle.

Quand… soudain…

Something that You Said de The Bangles…

Laura se mit à haleter plus rapidement. Elle me tirait les cheveux plus fort encore. Elle me maintenait encore plus contre sa chatte, et là, c’était clairement délibéré.

– Benoit… Benoit… Écarte mes lèvres… Je veux que tu lèches mon clito. Lèche-moi le clito ! Baise-moi avec ta langue ! Je t’en prie… Baise-moi !

Je l’ai alors regardée une nouvelle fois dans les yeux et je voulais être sûr d’avoir bien compris ce qu’elle venait de dire.

Tes désirs étaient des ordres, Laura… Ton plaisir était ma priorité… Tu pouvais compter sur moi
là-dessus.
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"Benoit... Benoit..."

Est-ce que c’était moi ou bien… ? Est-ce que j’avais bien entendu ?

Qu’avait-elle dit un peu plus tôt dans la soirée, déjà ? Ah oui… «Je suis sur le cul. Je veux dire… Toi, tu me plais. Mais que moi, je te plaise...» Ces quelques mots plutôt crus m’avait mis sur le cul à mon tout, passez-moi l’expression. Certes. Mais, ils me criaient, ils me hurlaient à quel point ma partenaire avait envie de moi.

Je continuais de braquer mon regard dans le sien, comme si je voulais être sûr d’avoir bien compris. À travers les yeux de Laura, je parvenais à lire sa détermination. Son désir ardent.

Je l’entendais haleter. Clairement.

C’était… palpable.

Intense.

La jeune femme se laissait complètement porter par le courant du plaisir. C'était comme si elle ne voulait plus rien maîtriser. Qu'elle veuille juste se laisser aller.

Urgent du groupe de rock Foreigner…

– Benoit… Benoit… J'aime que tu me lèches, tu sais ? J'aime avoir ta tête entre mes jambes et ton visage dans mon sexe… Tu me lèches bien. Tu n'as pas à douter ce que tu fais. Tu es un bon lécheur, toi, dis donc! Oh…

Elle ponctue son commentaire par un gloussement puis elle gémit l'instant d'après.

– Benoit… Benoit… Oui… Oui… OUI ! Tu aimes la lécher, ma belle petite chatte ? MOI, j'aime que tu me la lèches. Hmmm…

Elle venait de gémir bruyamment…

– Benoit… Benoit…

Elle haletait.

Elle avait comme le souffle coupé.

– Benoit… Benoit…

Elle devait avoir envie de me dire quelque chose, mais vu que je ne pouvais m'empêcher de porter son sexe à ma bouche et de lui donner, coûte que coûte, du plaisir, CE plaisir semblait l'empêcher de formuler la moindre phrase cohérente.

She's a Mystery to Me de Roy Orbison…

– Benoit… Benoit… Benoit !

Laura avait poussé un cri…

Elle avait le souffle court.

Elle ne cachait plus le moins du monde le plaisir qu'elle avait. Laura était une magnifique jeune femme aux longs cheveux roux, à la poitrine ronde et généreuse et à la parure aguichante.

Tunnel of Love de Bruce Springsteen…

Nos yeux… Les miens dans les siens… Je ne sais pas du tout si c'étaient des yeux de l'amour. Tout ce dont j'avais conscience, c'était que j'étais sous le charme. J'étais ensorcelé. Laura m'avait comme jeté un sort telle Morgane affirmant son emprise sur Merlin. Laura était ma Morgane et il en était ainsi.

– Benoit… Benoit…

Elle continuait, vaille que vaille, de glisser l'une de ses mains dans mes cheveux. J'aimais bien…

– Benoit… Benoit…

Le plaisir la possédait.

– Benoit… Benoit… OH !

Elle avait les yeux fermés. Elle était belle. Dire que j'avais envie d'elle, c'était faible. Je ne sais pas s'il existe un quelconque qualificatif pour décrire le désir que j'avais pour Laura et qui m'embrasait jusqu'à la moelle.

– Benoit… Benoit…

Je plongeais mes yeux dans les siens. J'avais le visage enfoui dans son intimité, et je sentais clairement sa mouille humidifier ma bouche et mon menton. J'aimais ça… Je me sentais… J'ÉTAIS dévoué à son plaisir. J'avais déjà lu le mot «orgasme» et j'en savais la définition au sens dictionnaire du terme. Pourtant… Je n'en savais rien du tout physiquement, physiologiquement, émotionnellement et psychologiquement parlant.

Et pourtant… J'avais tellement envie d'elle. Je ne pensais qu'à ça.

– Benoit… Benoit…

Ses suppliques gémissantes m'excitaient.

– Benoit… Nous… serions… tellement… mieux… dans… un… lit…

Elle haletait entre chaque mot.

Dieu que Laura était belle, excitante, sexy.



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