Amour En Musique 16

Elle était comme ça, Laura...

Wait for Me du duo pop américain Hall and Oates…

Laura, les yeux brillants d’amour, d’émotion et de désir, maintenait le contact visuel avec moi. Ma queue dans sa main, elle s’était mise à tirer la langue. Sa main me porta à sa langue. Laura entreprit de me tapoter le gland contre sa langue. Une audacieuse, une coquine, une jouisseuse, une donneuse de plaisir, cette Laura… Mon gland contre sa langue… C’était… exquis… De par son expérience, Laura connaissait les bons trucs pour qu’un homme plie, rompe et succombe. Elle me regardait dans les yeux, droit dans les yeux, et elle était à l’affût de la moindre onde de plaisir qui prenait possession de moi. Elle était comme ça, Laura.

Elle s’était ensuite remise à m’engloutir dans son orifice buccal, cerise.

D’une main, elle me tenait fermement, par la tige.

De sa langue, elle me léchait la tige, la couronne, le frein, le gland. Elle veillait à ce que mon membre reste lubrifié.

Avec ses lèvres qui formaient une sorte de «O», elle me prenait en bouche. Elle suçait sa sucette préférée, autant qu’elle en avait envie et que ça lui plaisait. Elle aimait me pomper, et c’était de plus en plus un supplice. Le plaisir intense prenait le contrôle de moi. Je pouvais éjaculer à tout moment. Elle prenait autant de plaisir à me sucer que j’en prenais à me faire sucer.

Elle était comme ça, Laura.

Bury It de Churches et Hayley Williams…

La bouche de Laura coulissait de haut en bas… de bas en haut. La bouche, les lèvres et la langue de la jeune femme rousse plantureuse étaient parfaites pour cet art subtil qui est de prendre le sexe de son partenaire en bouche, de lui faire une pipe qu’il n’oubliera pas de sitôt.

Le regard…

Les sons…

Les sentiments… Les émotions…

Les gestes…

La confiance…

Les mots… Les paroles…

Elle était comme ça, Laura.



Nous n’étions que tous les deux dans ce lit. Dans cette chambre. Dans cette maison pavillonnaire. Rien n’aurait pu… Rien ne pouvait déranger nos ébats. Ce n’était rien que nous deux. C’était tout ce qui importait. Le reste…

Laura était sincère dans tout ce qu’elle faisait, dans tout ce qu’elle disait. Dans tout ce qu’elle entreprenait. Elle me faisait tout ce dont elle était en mesure de faire pour me donner le plus de plaisir possible.

Elle était soucieuse de ça, Laura.

Elle était comme ça, Laura.

Lilian de Depeche Mode...

Une fois qu’elle desserrait l’étreinte, l’emprise de ses lèvres pulpeuses autour de mon sexe, je pouvais clairement voir ses lèvres qui rendaient sa liberté à mon pénis. Ses putains de lèvres cerise qui formaient un «O»… C’était une belle image. Et, une fois que mon membre ne se trouvait plus sous son emprise, il n’en était pas tout à fait libre pour autant. Non… Laura, avec sa langue, le léchait comme si elle léchait une glace particulièrement délicieuse. C’était… Ça ressemblait beaucoup à ce qu’elle m’avait fait, un petit peu plus tôt. Elle était corps et âme et sexe avec moi : elle se donnait, toute entière. Après tout… Il y avait de fortes chances que ce soit la première et la dernière fois que nous allions faire l’amour. Je soupçonne encore maintenant Laura de n’avoir négligé aucun détail, d’avoir voulu, plus que tout, satisfaire le moindre de mes désirs, afin de me laisser un souvenir, ce souvenir impérissable d’elle.

Elle était comme ça, Laura.

Son plaisir lui importait, oui, bien sûr. Mais… donner du plaisir à son partenaire et et le faire jouir… C'était plus important à ses yeux. Limite, cette idée, elle était ancrée en elle. Elle avait pris possession d'elle. Laura, quand elle se caressait, pensait à moi et à tout ce plaisir que j'étais susceptible de lui offrir en cadeau. Et… elle aimait bien ça… Elle se touchait… Elle se caressait… Elle se masturbait… Et l'idée que je pouisse parce que c'était elle, grâce à elle, ça lui faisait quelque chose : ça lui faisait atteindre une autre dimension.
Elle atteignait la jouissance. Elle… jouissait…

Ray of Light de Madonna…

Tout en léchant mon pénis de haut en bas, de bas en haut, de long en large, en travers, les yeux de ma partenaire étaient fixés sur moi. Ils ne me lâchaient pas.

Puis, tout en continuant de lécher goulûment mon sexe, Laura cambra son dos. Elle était encore et toujours à quatre pattes. Cependant, j'ai tout de suite deviné qu'elle avait changé un peu sa position dans le but que je puisse avoir, de nouveau une vue… une jolie vue, sur ses beaux seins.

Ses paroles me donnèrent raison…

– Hmmmm… Mes beaux gros seins… Tu les aimes, Benoit… Tu es fou d'eux… Tu es fou de moi… Ne mens pas !

Tout en continuant de me faire cette pipe, Laura prit l'un de ses seins magnifiques dans sa main, et elle l'empoigna. Elle se caressa ce beau sein tout en persistant de me donner du plaisir.

Cambrée, à quatre pattes, Laura était, à mes yeux, la personnification de la sensualité. Elle s'était placée entre mes jambes, et elle avait modifié sa position dans le seul but que je puisse jouir, avec les yeux, de ses putains de seins. Parfaits…

J'étais à l'affût. Attentif. Je me rinçais l’œil. Je l'avoue. Je plaide coupable, madame la juge. Je plaide coupable, même encore maintenant, Laura, alors que tu te prélasses contre moi et que tu caresses distraitement mes mamelons.

Sounds like Heaven de Marina Kaye et Lindsey Sterling…

Laura maîtrisait et était reine de l'art subtil de la fellation. Mais… Sa bouche, seule, ne faisait pas tout : c'était avec son corps, tout entier, qu'elle me donnait tout ce plaisir agréable, délicieux. Savoureux.

Je jouissais de voir ses seins voluptueux qui remuaient, tressautaient, ballottaient, s'agitaient dans tous les sens.

Je jouissais de les voir, tout court, alors que Laura s'obstinait à m'offrir toujours plus de plaisir… et d'être la maîtresse de nos jeux.


Elle était comme ça, Laura.

À un moment donné, elle se décida de mettre un terme à cette délicieuse pipe qu'elle me faisait depuis un bon moment, maintenant. Non pas qu'elle n'aimait pas sucer… C'était tout le contraire ! Mais… Plus elle éveillait mon désir et que plus elle faisait mon plaisir… et mon érection en flèche, plus elle avait senti de me sentir, tout entier, en elle, bien au chaud.

Te Amo de Rihanna…

Laura resta dans la même position, mais elle se rapprocha un tout petit plus de moi. Tout en restant à quatre pattes, elle adopta une démarche… féline. Elle rampait, telle une tigresse. Une très jolie tigresse… Chaude. Excitée. Ravagée au plus profond d'elle par le désir. Consumée…

Elle ne me lâchait pas d'une semelle, avec ses yeux. Il était clair qu'elle m'aguichait et qu'elle jouait pleinement la carte du charme et de la séduction.

Elle était comme ça, Laura.

Perfume des Paris Angels…

On se regardait. On ne rompait pas le regard. Il n'en était pas question.

Et… Au moment où je m'y attendais le moins, elle fit en sorte que mon sexe retrouve le contact de ses seins, et qu'il se retrouve entre eux deux. À quatre pattes, elle faisait en sorte que ses deux lourds monts d'amour forment une sorte de tunnel et que mon membre coulisse. Sa poitrine est lubrifiée de l'huile de massage à l'ylang-ylang… Et moi… ma baguette magique était toute imbibée de sa salive. C'était… Putaaaiiin… Quel supplice… Par pitié...

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Fantasmes, fantasmes...

Laura m’avait demandé, plus tôt dans la soirée, de verser quelques gouttes d’huile de massage sur ses seins. Puis, tenant ses seins dans le creux de ses mains, elle m’avait demandé de les lui masser. J’y avais pris beaucoup de soin… et beaucoup de plaisir. Mais… ce n’était rien comparé au plaisir qu’elle avait tiré de ces attouchements, de ces caresses, de ce massage.

Je l’avais caressée…

Je l’avais léchée…

Je lui avais donné du plaisir…

Nous nous étions déshabillés.
Nous étions entièrement nus, tous les deux, dans cette chambre. Sur ce lit que l’on avait bordé de milliers de pétales de rose. Laura avait profité et joui de ma nudité. Elle en avait rêvé depuis si longtemps. Ça faisait partie de ses fantasmes, quand elle pensait à moi intensément, inexorablement. C’était alors impossible pour elle de se calmer et de penser à autre chose.

Penser à moi… M’imaginer, dans le plus simple appareil… S’imaginer la taille, la grosseur, l’aspect et le goût de mon membre… Dès lors qu’elle y pensait, c’était fini. Plus rien d’ autre ne comptait aux yeux de la jeune femme.

C’était la première fois qu’elle me voyait tout nu…

Elle n’en avait pas perdu une seule miette…

Elle n’arrivait pas à y croire…

J’étais bel et bien à elle. Corps et âme et sexe.

The Other Side du groupe américain Toto…

Ses fantasmes, ils étaient bel et bien là, dans un coin tout proche, tout chaud de son esprit. Ses fantasmes, ils ne la quittaient plus, surtout à ce moment-là où elle était à quatre pattes et qu’elle me faisait face. Elle était dans la plus dénudée des tenues, et je l’étais moi aussi. Nous étions Adam et Ève. Telle une Ève mais des temps modernes, Laura m’était donné la pomme de la tentation. Elle m’avait donné le fruit défendu et moi, j’y avais succombé. J’y avais plus que facilement goûté. Il n’y avait plus rien à faire, à présent. Les dès étaient jetés, et j’étais à Laura. Corps et âme et sexe.

Laura me faisait face. Et pourtant… C’était moi qui étais dans sa ligne de mire. Après tout, c’était MOI, sa chasse gardée. C’était MOI, l’homme sur lequel elle fantasmait depuis un bon moment maintenant, l’homme qu’elle désirait et avec qui elle avait inexorablement envie de coucher.

Et là, ses magnifiques seins coulissaient en rythme, autour de mon sexe. Et quand ils y passaient, ce n’était que pur délice. Oh… oui…

Send It to Me de Gladys Knight…

J’avais beau être dans la ligne de mire de la jeune femme, moi aussi… je la voyais bien. Je l’observais. Ses nichons alléchants coulissaient et enserraient mon pénis, avec un rythme régulier, par intermittence. Tels des cloches qui sonnent et résonnent dans une église ou bien une cathédrale, ils tressautaient, ballottaient. Ils se balançaient, au rythme des mouvements de Laura. C’était une très belle vision pour moi que de les voir s’agiter de cette manière. Ils formaient une jolie sortie de tunnel qui entourait plus qui se retirait de ma queue.

Et, quand elle faisait ça et qu’elle le refaisait, Laura ne pouvait s’empêcher de me regarder dans les yeux. Rappelons-nous que j’étais sa chasse gardée ! La priorité et le souci de Laura étaient de m’offrir le plus de plaisir possible. Elle veillait… Elle s’assurait que je me sente toujours aussi bien. Elle s’assurait que je prenne toujours autant de plaisir. À ce moment-là de nos ébats, plus rien d’autre n’avait d’importance pour elle. Le plus important pour elle, c’était moi.

Tainted Love de Gloria Jones…

Que Laura était belle, telle qu’elle était, dans cette position. Une position digne qui ressemblait à l’allure d’une tigresse. À quatre pattes. Une position… lascive. Une position somme toute… sensuelle. Laura s’amusait avec ses seins. Elle aimait bien les passer et les repasser autour de mon sexe. Elle jouait de sa poitrine bénie des dieux : ses seins, telles des cloches, se balançaient. J’aimais beaucoup quand je pouvais voir ça.

– Tu aimes ça, Benoit ? Tu aimes quand mes seins bougent sans arrêt ?

Je n’ai pas répondu. Je n’ai fait que gémir. C’était si bon… il faut dire. Le plaisir était si délicieux à prendre et à ressentir. Il avait définitivement pris possession de moi… Et quand elle passait et repassait ses putains de seins magnifiques autour de mon membre tout dur, gorgé de désir, de plaisir… et de sperme… Laura faisait durer ce supplice.

Elle en avait tellement rêvé, Laura ! Rappelons-nous qu’avant de me rencontrer, j’avais tapé dans l’œil de Laura. Elle avait été séduite le personnage que j’étais sur scène. Depuis ce moment précis, j’étais devenu le seul objet de ses pensées… plus ou moins innocentes. Et quand elle pensait à moi, ça l’excitait instantanément. Beaucoup. Elle n’arrivait plus à se calmer. Elle avait des papillons dans son ventre. Elle avait chaud. Sans même qu’elle ait fait quoique ce soit, elle se savait et elle se sentait mouillée. Elle ne pensait plus à rien d’autre que de se toucher, se caresser, se doigter… et enfin de se pénétrer avec son vibromasseur en faux cristal ou bien avec le gode qu’elle préférait et qui lui donnait le plus de plaisir, à ses yeux.

Prendre ma virilité entre ses seins et me branler avec, ça avait fait partie de ses fantasmes, aussi. Et quand elle y pensait, elle se disait que moi aussi, je pourrais aimer ce traitement qu’elle offrirait à ma baguette magique et sexuelle. Elle avait rêvé et fantasmé, de temps à autre, qu’elle me prenait entre ses doux et généreux monts d’amour. Ses seins auraient été lubrifiés avec de l’huile de massage, du lubrifiant ou bien tout simplement avec de la salive. Puis, elle aurait fait coulisser ma queue dans le clivage de sa poitrine merveilleuse. La belle rousse s’était imaginée, alors, qu’elle userait et rait d’un rythme varié pour me donner du plaisir… et pour me faire jouir. Tantôt un rythme lent, langoureux, moelleux. Et tantôt un rythme plus vif, plus marqué, plus intense.

Depuis que nous nous sommes rencontrés à la fin de la soirée, juste après notre concert, là-bas, au café des Amours mortes, Laura m’avait conquis. J’avais succombé. J’étais plus que jamais à elle. Corps et âme et sexe. C’était ainsi que, de fil en aiguille, elle avait déjà pu réaliser une partie de ses fantasmes. SES FANTASMES… Et, non seulement elle pensait à ses fantasmes et à ses séances de plaisir en solitaire par le passé, elle pensait aux fantasmes que je pouvais avoir, moi aussi, et aux désirs que j’avais refoulé jusque-là. Ça aussi, ça comptait beaucoup pour elle. Et elle n’avait pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin, Laura… Oh… non…

C’est ainsi qu’elle changea de posture, de position, et que ses seins cessèrent de me frôler, me taquiner, me toucher, me caresser, de me masturber.

Elle était encore à quatre pattes, mais cette fois, c’était davantage à califourchon qu’elle était. J’étais allongé, et elle, elle était au-dessus de moi. De sa position, Laura semblait me dominer. C’était tout comme. À califourchon, elle était telle une Amazone au-dessus de moi. Majestueuse. Elle me chevauchait. Sa poitrine gironde était mise en avant, et vraiment, elle était magnifique. Je ne pouvais pas détacher mes yeux d’eux deux. Laura était magnifique. Je ne pouvais détacher mes yeux d’elle. Impossible. Telle une Amazone, elle me chevauchait, et elle était irrésistible, ses longs cheveux roux lâchés.

Celebration de Madonna…

De là où j’étais, idéalement placé et confortablement installé, j’avais une vue parfaite sur Laura, et, je l’avoue : je ne perdais pas une miette d’elle. Je me rinçais l’œil.

Ses seins ronds étaient particulièrement beaux. Irrésistibles. Pleins. Putain de parfaits… Oh… oui… Ses tétons, eux, étaient durs. De véritables diamants de chair. Allongés. Ils pointaient. Ils pleuraient de désir et de plaisir.

De là où j’étais, je voyais bien que ma coquine de partenaire était en sueur. Sa peau brillait et luisait de sueur, et, sur elle, c’était joli. Une belle image…

De là où j’étais, je voyais bien les yeux de Laura qui brillaient. Ils étaient mi-clos. Laura était submergée, ravagée par le désir. Ses pupilles étaient dilatées. Elle ne me quittait pas des yeux une seule nanoseconde. Elle savait pertinemment, au plus profond d’elle, qu’elle était imploser. Qu’elle allait finalement finir par exploser. Elle ne pouvait plus résister au désir. Elle ne voulait plus résister. C’était aussi simple que ça.

Ce n’était plus qu’une question de temps… C’était imminent…

Quand soudain… L’explosion eut lieu…

The Sweetest Perfection de Depeche Mode…

Laura se pencha vers moi, sur moi. Elle se pencha pour m’embrasser. Elle moula ses lèvres sur les miennes. Elle les caressa. Elle les picora. Dans le même temps, je pus sentir ses gros seins se poser contre ma peau et la caresser.

Hmmmm…

Laura continuait de m’embrasser, inexorablement.

Puis, elle s’arrêta net, braqua ses yeux dans les miens, de manière particulièrement intense et elle me dit :

– Benoit… Benoit… Benoit ! Baise-moi ! Je t’en supplie… !

Sur ce, elle reprit sa position d’Amazone. En Andromaque. Je sentis son sexe frotter contre le mien. Je pus sentir le sexe tout mouillé de la jolie Laura.

Putaaaaiiiinnn…

Qu’elle était douce…

Qu’elle était chaude…

Qu’elle était… trempée…

Que c’était bon… !

Ce jeu dura quelques minutes.

Et puis, à un moment, Laura mit un terme à ce jeu. Elle fit un mouvement qui libéra ma queue.

Laura finit par s’empaler sur mon sexe. Mon sexe, tel un pieu, était en elle, enfoncé dans son antre toute mouillée.

Mon réflexe, quand je sentis que je pénétrais Laura, fut de fermer les yeux et de savourer les sensations diverses et variées que je ressentais alors que mon sexe était dans celui de Laura.

J’entendis Laura gémir puis crier...








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