Des Retrouvailles Bien Profondes

Pour des raisons personnelles, j’ai du quitté la maison pendant une période indéterminée. Au bout de deux semaines loin de ma femme, elle m’a fait la surprise de venir me rejoindre pour le week-end. Evidement nous étions très heureux de nous retrouver, nous savions aussi que ça aller être la fête du slip mais chaque chose en son temps.

Alors qu’elle file se rincer sous la douche, j’inspecte le frigo. A part des conneries à grignoter, je ne trouve pas grand chose. Du coup, je décide de la rejoindre dans la salle de bain et qu’ensuite nous irons manger au restaurant. Rien qu’en voyant son corps nu sur lequel ruisselle une multitude de gouttes d’eau, je bande. Je rentre, à côté d’elle dans la baignoire et pendant qu’elle m’arrose j’att le savon.

Avec mes mains savonneuses, je nettoie son cou. Je descends sur sa poitrine pour bien laver chacun de ses beaux seins qui débordent allègrement de mes mains. Ensuite je m’occupe de son ventre avant de la retourner. Je pose mes mains sur ses épaules que je masse tout en les lavant puis je descends lentement vers ses reins qu’elle creuse. Plus mes doigts se rapprochent de ses fesses plus ma queue se tend à m’en faire mal.

J’att le savon et avant de laver son magnifique postérieur, je me savonne bien le costume 3 pièces. Ensuite je pose chaque mains sur la fesse devant ce qui la fait frissonner. Alors que je la masse gentiment elle se met à gémir. Quand je sens qu’elle s’excite de plus en plus, je me colle à elle et ma bitte vient se loger dans sa raie. Je la fait monter et descendre pour que mon gland titille sa rondelle. Je sens et j’entends que ma femme est de plus en plus chaude.

Je joue encore un moment comme ça avant de me coller complètement contre son corps. Je continue à m’astiquer entre ses fesses pendant que mes mains se baladent sur son mont de Vénus. Alors que ma main droite s’occupe de son clito, la gauche descend sur ses lèvres intimes. Je suis moi même de plus en plus excité alors je ralentis la cadence dans sa raie et accélère les mouvements de mes doigts.



Comme je suis pas le seul à avoir vécu 2 semaines d’abstinence, ma femme me fait m’allonger sur le fond de la baignoire. Elle met ses jambes autour de mon torse et commence à descendre vers moi. Dès que sa main est assez basse, elle empoigne ma tige pou me frotter contre ses lèvres intimes. Sans trop tarder, elle vient s’empaler sur ma tige jusqu’à me faire totalement disparaitre en elle.

Dès qu’elle commence à se soulever, je la pilonne ardemment. Ma femme se met immédiatement à couiner. Elle fait descendre une de ses mains qui passe de mon sexe au sien. Quand je calme le rythme c’est elle qui prend le relais et se baise sur ma queue. Elle crie de plus en plus fort, je sens ses muscles se contracter. Je suis moi aussi proche du septième ciel mais j’ai besoin d’un peu plus de frottement pour jouir en même temps qu’elle.

Ma femme se cache totalement et en même temps qu’elle hurle son orgasme, je vois du liquide transparent couler de sa chatte à ma tige. Sa jouissance est, étonnamment, plus courte que d’habitude mais semble tout aussi puissante. Alors qu’elle reprend lentement ses esprits, elle continue de monter et descendre sur moi mais me fait rapidement sortir.

Elle se rassoit sur moi et pose sa vulve bien ouverte sur mes couilles. Elle me les masse avec son sexe avant de remonter sur le mien. Elle me masturbe le costume 3 pièces avec son con jusqu’à me faire jouir à mon tour et que mon ventre poilu se recouvre de mon sperme. Nos 2 sexes restent en contact quelques minutes avant qu’elle se redresse et me tende une main pour que je me relève.

Nous nous lavons plus consciencieusement puis quittons la baignoire. Malgré notre coite furtif, nous nous séchons l’un l’autre plutôt érotiquement. Je suis déjà prêt à redémarrer mais son estomac gargouille alors nous allons nous habiller. Il fait encore bien chaud alors j’enfile uniquement un short et un t-shirt. Elle porte une petite robe d’été assez décolleté pour voir qu’elle a pas mis de soutif et je suis sur qu’elle a pas non plus de culotte.


Je choisis un resto pas loin de l’appartement pour que la soirée ne s’éternise pas trop. Nous rentrons presque deux heures plus tard mais l’apéro et la bouteille de rosé partagé nous a mis de bonne humeur. Une fois la porte fermée, je vais à la salle de bain pour mes ablutions du soir. Je me brosse les dents et vais attendre ma femme dans le lit, complètement nu, pendant qu’elle prend une nouvelle douche.

Elle me rejoint quelques minutes plus tard. Elle avance à poil vers moi, des gouttes d’eau ruissellent sur son corps très bandant. Elle se met à 4 pattes au niveau de mes pieds et remonte doucement en embrassant mon corps. Évidement ses lèvres se posent sur mes couilles et ma tige mais elle ne s’arrête pas au niveau de mon entrejambe. Sa bouche se pose sur mon ventre et mon torse alors que je caresse son dos.

Quand nos lèvres sont l’une en face de l’autre, elles s’attirent comme un aimant. Nous nous embrassons fougueusement pendant que nos mains redécouvrent le corps de l’autre. Sa langue quitte la mienne, sa bouche s’éloigne de la mienne et alors qu’elle allait redescendre le long de mon corps, je la retourne pour prendre le dessus. J’embrasse d’abord son visage avant de m’attaquer à ses oreilles, puis je descends vers son cou et sa poitrine. Mes lèvres continuent vers son ventre avant de fuser vers ses genoux.

Je sais qu’elle est très sensible de cette zone alors je m’y attarde un moment avant de remonter le long de ses cuisses. J’arrive enfin vers mon but ultime, ma bouche caresse ses grandes comme ses petites lèvres avant de remonter vers son petit bouton. Je l’embrasse puis l’aspire pour le caler à l’entrée de ma bouche. Je le balaye du bout de la langue pendant que mon index et mon majeur pénètre sa grotte. Je mets mes doigts en crochet pour titiller la partie de la plus rugueuse de sa paroi interne.

Alors que mes lèvres, ma langue et même mes dents jouent avec son petit bouton qui enfle, mes doigts s’agitent de plus en plus en elle.
Je ne sais pas ce qu’elle a fait sous la douche, mais ma femme décolle à une vitesse incroyable. Son corps et rapidement pris de spasmes et je sens aussi ma bouche se remplir de son élixir. Elle plaque ses mains sur ma tête, ses ongles se plantent dans mon crâne alors qu’elle appuie pour augmenter la pression tout en hurlant son plaisir.

Mes doigts ont de moins en moins de place pour bouger mais je continue de la gratifier. Je suis obligé d'avaler plusieurs gorgées de sa mouilles pour continuer à la lécher convenablement. Plus ses ongles s’enfoncent en moi plus son corps se crispent de plaisir. Même si j’aime bien quand ses ongles jouent sur mon corps, je suis quand même content quand je sens l pression diminuer.

Je retire délicatement mes doigts de sa grotte et pendant que ma langue parcourt sa fente, je pose ma main sur sa bouche pour qu’elle goutte à sa mouille. Je me dégage d’entre ses cuisses et remonte doucement vers son visage en faisant bien glisser mon érection contre sa jambe. Au moment où ma bouche se colle à la sienne, je la pénètre d’un coup sec, elle m’en mord la lèvre.

Pendant que nos lèvres dansent ensemble, je m’agite doucement en elle. Rapidement nos bouches se dessoudent, j’en profite pour relever ses jambes et les poser sur mes épaules. Je me redresse et me mets à la limer de plus en plus vite en prenant bien soin de m’enfoncer le plus profondément possible. A chaque fois que mon gland vient taper son col, elle pousse un petit cri qui me motive encore plus.

Je me déchaîne dans sa grotte et comme elle n’arrête pas ruisseler, dans un faux mouvement, je sors. Je soulève un peu plus son bassin pour venir me frotter entre ses fesses mais elle m’arrête et me demande:
« Reviens dans ma moule, tu vas me refaire jouir! »
Ni une, ni deux, je la repose sur le matelas et replonge dans son antre. Je la ramone sauvagement en glissant, au maximum, contre le haut de sa paroi interne.

Ma femme repart de plus belle, elle se redresse et empoigne fermement mes fesses.
Elle me plaque bien contre elle pour la perforer encore plus loin et je la fais partir dans une transe folle. Autant sous la douche son orgasme était court, autant là elle prend tout son temps. Son périnée se contracte énormément et avec la position, j’ai du mal à m’agiter comme je le voudrais en elle. J’en profite pour l’embrasser dans le cou et sur la poitrine, je vais même jusqu’à mordiller ses tétons ce qui la fait encore plus jouir.

Une fois que son corps se calme et se repose sur le matelas, je reprends mon ramonage mais immédiatement elle me fait sortir et me retourner. Elle monte sur moi en 69 et gobe entièrement ma tige pendant que je lèche ses lèvres intimes encore bien gonflées. Alors que mon gland est dans sa gorge ses mains ne malaxent les couilles puis descendent vers mon cul. Je relève mes jambes pour lui donner un meilleur accès et elle en profite bien.

Assez rapidement elle se dégage d’au dessus de moi et vient se positionner entre mes jambes. Sa langue, ses lèvres et même ses dents me cajolent le gland, le frein, la tige puis mes couilles. Après les avoir lécher, sucer, gober et mordiller elle continue son chemin sur mon périnée. Alors qu’elle le lape comme un chat avec son bol de lait, ses mains massent et écartent mes fesses.

Je sens sa langue se rapprocher de ma rondelle jusqu’à rentrer en contact avec elle. Elle dessine des petits ronds sur mon anneau qui s’assouplit rapidement. Je m’ouvre tellement facilement que sa langue ne tarde pas à me sodomiser pendant qu’elle me flatte le costume 3 pièces à 2 mains. De temps en temps sa bouche remonte sur mon périnée et mes couilles mais jamais jusqu’à ma queue.

Je profite d’un moment où elle reprend sa respiration pour me retourner et me mettre à 4 pattes. J’écarte mes fesses avec mes mains, sa langue se pose à la naissance de ma raie et descend lentement. Ma femme s’arrête au niveau de mon oeillet et me baise avec avec sa bouche pendant un moment. Je me sens totalement ouvert et offert, je pousse sur mes sphincters pour qu’elle plonge encore plus profondément dans mes entrailles.

Dès qu’elle reprend sa chute vers mon sexe, sa langue est remplacée par un de ses doigts qui rentre et sort de mon cul. Elle se retourne, pour se mettre sur le dos, gobe mon gland et fait tournoyer sa langue tout autour alors qu’un deuxième doigt vient me visiter. Même si je suis excité comme un fou, je sens ma bitte ramollir dans sa bouche quand un troisième doigt rentre en moi. Elle ne les enfonce pas beaucoup plus que la deuxième phalange et part à la recherche de ma prostate qu’elle aime tant me titiller.

Dès qu’elle la trouve, je mets à gémir comme un fou. Heureuse d’avoir atteint son but, elle se concentre sur ma glande de la taille du noix et appuie dessus avec différentes pressions. Même si je suis pas raide comme un piquet je sens l’excitation monter en moi en même temps qu’une envie de pisser. Ma bitte ne quitte pas sa bouche, elle profite que je sois pas en érection complète pour l’avaler entièrement et sa langue joue avec.

Ce plaisir est terrible car c’est un bonheur insoupçonnable pour ceux qui ont jamais testé mais ça donne l’impression d’être un éjaculateur précoce tant l’envie de jouir arrive vite. Mais ma femme sait bien faire durer le plaisir car ses doigts se remettent à rentrer et sortir de mes entrailles alors que ses lèvres enferme encore plus ma tige pour notre plus grand plaisir à tous les deux.

Après quelques minutes de ce traitement, elle repart à la recherche de ma prostate qu’elle trouve très rapidement. Immédiatement mon envie de pisser et de jouir reprend le dessus. Elle me fait tellement du bien que j’ai l’impression d’être une femelle en chaleur qui ne peut se passer de ses doigts qui me fouillent les entrailles.

Comme je sens le point de non retour approcher, je descends mon bassin pour encore plus envahir sa bouche mais aussi que ses doigts s’agitent encore plus en moi. En seulement quelques aller retour, ma tige qui est toujours en demi molle se met à se contracter. Contrairement à mes éjaculations habituelles, je n’envoie pas de giclées mais je coule en continue dans sa bouche. J’entends, au milieu de mes gémissements, ma femme avaler des gorgées de mon sperme pour continuer à accueillir la suite. Mon orgasme est très puissant, je sens ma peau se granuler et mon corps se crispe sous le plaisir intense que je ressens.

Même si mon jus arrête de couler de mon méat, elle continue de me sucer goulument alors qu’un de ses doigts ressort d’entre mes fesses et que les deux autres continuent de me masser la prostate. J’aime son doigté et je crois que si elle continue comme ça je pourrai immédiatement remettre le couvert. Mais au bout de quelques instant elle me recrache et quitte délicatement mes entrailles.

Je reste à 4 pattes pour qu’elle remonte sur le matelas et que son visage se retrouve en face du mien. Je me penche sur elle pour l’embrasser, ma langue pénètre sa bouche et part à la recherche des dernières gouttes de sperme qu’elle a encore en bouche. Nous nous embrassons langoureusement pendant de longues minutes alors que mon sexe, toujours en demi molle, vient frotter le sien. Au moment ou j’allais rentrer en elle, ma femme m’arrête. Ses lèvres quittent les miennes et elle me dit:
« D’abord on se repose un peu! »
Vivement demain matin!

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