De Bonnes Retrouvailles

Plusieurs mois s’étaient écoulés depuis la rupture, mais même en essayant d’oublier, la douleur était toujours aussi forte. Il me manquait terriblement, au dessus comme au dessous de la ceinture, et malgré plusieurs sextos qui me faisaient gémir de plaisir pendant que je me caressais, je m’obstinais à garder maintenant ma chatte uniquement pour mes doigts. Pourtant, l’abstinence, c’est vraiment pas mon truc, et je me perdais sur des sites de cul, à rêver de femmes ou de doubles. Et puis un soir, ça m’a semblé différent.

Endormie dans mon lit, un texto m’a réveillée, mais pas ceux qu’il avait l’habitude de m’écrire. Je le sentais triste, je sentais qu’il en avait gros sur le coeur, et qu’il aurait bien voulu que je sois là. Je ne le sentais pas heureux. Quelques échanges plus tard, je lui ai demandé s’il voulait qu’on se voit, que j’étais toute seule, et sans hésitation il m’a dit qu’il partait immédiatement. Pendant ce temps, je me levais et allais enfiler une chemise de nuit, c’était pas le moment de lâcher prise quand même … Une fois arrivé, comme d’habitude maintenant, moment de gêne, pas d’embrassades. Il n’avait pas l’air bien. Dans ma chambre, on a parlé presque une heure, timidement assis l’un à côté de l’autre sur le lit, sans trop oser aller plus loin. Je ne voulais pas mourir de désillusion, je lui avais dit que ça me ait qu’il couche avec moi, juste comme ça, après tout ce qu’on avait vécu ensemble.
La fatigue commençait un peu à se faire sentir et je m’allongeais sur mon lit, on parlait toujours, comme les confidents qu’on a toujours été. Pas de jugement. Juste de la douceur, du réconfort. Il jeta un coup d’oeil vers moi et me demanda s’il pouvait venir à côté de moi. J’acquiesçais évidemment, et ouvris mon bras pour qu’il vienne comme à notre habitude poser sa tête tournée vers moi sur mon épaule, mon bras caressant son dos. La conversation continuait, j’avais du mal à comprendre la situation mais peu importait, j’avais tellement besoin de lui.

Je crois que je lui avais manqué. Que pendant quelques temps, il s’était refusé à y croire, mais qu’il retrouvait en moi ce qu’il avait aimé dès le départ.
On ferma les yeux l’un après l’autre, on se taisait. Sa main commençait timidement à caresser mon corps, comme avant. Il hésita longtemps, comme pour attendre mon approbation tacite, puis sa paume vint effleurer mon sein avant qu’il ne l’enveloppe dans sa main si habituée à cette caresse. J’avais peur, peur que ce ne soit qu’un coup d’un soir, alors que mon coeur était tout à lui, mais ses caresses étaient si bonnes, si douces, il me connaissait par coeur et savait comment jouer avec mes pointes. Il les touchait du bout des doigts à travers le tissu fin de ma chemise de nuit, bloquant ma respiration à plusieurs reprise sous le coup du plaisir. Je caressais ses cheveux, taillés courts sur sa nuque si élégante, ne forçant rien, me laissant faire. Doucement, il fit glisser les bretelles de ma chemise sur mes épaules, découvrant à moitié mes seins blancs. Ses caresses étaient précises, agréables, puis le bout de sa langue vint titiller mon deuxième sein, si proche de sa bouche depuis le début. Elle tournait autour de mon téton pendant que ses doigts glissaient sur mon autre sein, il releva sa tête pour sucer ce petit bonbon. Je ne pouvais qu’apprécier tout ce qu’il me faisait, ma tête basculée en arrière sur l’oreiller, il suivait mes soupirs et mes gémissements pendant que mes mains dans ses cheveux suivaient le rythme de ses coups de langue, allant et venant sur mes pointes fièrement dressées. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides, je sentais contre ma cuisses son pantalon déformé sous lequel s’érigeait l’objet de tous mes fantasmes. J’enlevais son tee-shirt, il m’enlaça, retrouvant mes deux seins collés fermement contre son torse. Je n’en pouvais plus d’attendre, sa langue et ses doigts avaient réveillé encore une fois mes désirs brûlants, mes mains insistaient maintenant pour guider sa tête pendant qu’il m’embrassait le cou, les tétons, sous les seins … Il descendait petit à petit vers ma vulve trempée, il reconnaissait à mes mouvements de bassin sa tigresse avide de sexe.
De mon côté, j’essayais tant bien que mal de ne pas sortir sa queue bandée pour la sucer comme j’aime, quelques réticences m’empêchaient encore d’être trop moi-même. Relevant le bas de ma chemise, il découvrit ma chatte toute mouillée, laissa glisser un doigt entre mes lèvres pendant qu’il léchait par à-coups mon clitoris gonflé. Mes idées raisonnables m’avaient définitivement quittée, je défis son pantalon et empoigna son membre épais avec un gémissement de plaisir. Il s’arrêta un instant pour apprécier la caresse, mes mains s’activaient sur sa hampe et ses deux bijoux avec ferveur. Il se dégagea quelques instants pour se lever et finir de se déshabiller en même temps que moi, mais il avait à peine retiré son caleçon que je léchais déjà ses couilles, les prenant une par une dans ma bouche sous ses râles de plaisir. Les bruits de succion faisait gonfler encore plus sa verge entre mes doigts, je ne pouvais résister et ouvrit la bouche en grand pour accueillir son gland. Lui debout, moi à quatre pattes au bord du lit, je le pompais avec gourmandise, ma langue tournoyait autour de son gland quand il n’était pas bien plus loin dans ma bouche. Je couinais de plaisir, c’était à son tour de mettre sa main dans mes cheveux et de me guider dans ma tâche, souvent il se penchait pour glisser ses doigts de mon dos jusqu’entre mes fesses, il avait une vue parfaite sur mon cul. J’enfonçais sa bite au fond de ma bouche en pressant ses couilles, la fois de trop, il geint longtemps avant de repousser mes épaules, m’arrachant un « Non ! » désespéré comme une gamine à qui on enlèverait sa sucette. Tout en venant se placer à genou derrière moi, il me chuchota « Chut … » dans l’oreille avant de m’embrasser sur la nuque. Je sentais sa bite entre mes fesses, il prenait plaisir à empoigner mes deux globes pendant qu’il la faisait glisser le long de ma raie, entre ma chatte trempée et mon cul tendu. Appuyant mes seins contre le matelas, j’écartais mes fesses de mes deux mains pour l’inciter à choisir un des deux gouffres à plaisir, je n’en pouvais plus d’attendre, je poussais avidement ma chatte contre ses couilles pleines, j’avais envie qu’il me prenne, n’importe où, qu’il me rapprenne à être sage, qu’il me donne encore une fois sa bite et qu’il me remplisse comme avant.
Avec un doigt, il prit de ma chatte de la cyprine et appuya son pouce sur mon oeillet qui s’ouvrit aussitôt sous la caresse en m’arrachant un cri de bonheur. Immédiatement, il enfonça sa hampe entre mes lèvres trempées et vint marteler ma chatte pendant qu’il ouvrait mon cul avec un deuxième doigt. Je criais et haletais sous les coups de bassin, ses couilles venaient taper contre mes lèvres gonflées et je l’entendais respirer fort, savourant de sentir sa bite happée en moi. De son autre main, il m’administrait parfois une fessée forte et presque douloureuse qui m’arrachait des couinements d’excitation. Je me perdais en cris aigus, le suppliant de continuer à me la mettre si fort, pleurant à moitié, savourant la levrette qui m’excite tant, le cul à l’air, offerte comme une soumise, deux doigts fichés dans mon cul et une bite au fond de moi. Il enleva ses doigts pour venir me tenir bien fermement les hanches pendant ses coups de butoir violents. Mes muscles se resserrèrent soudainement autour de sa queue, lui arrachant un soupir pendant qu’il accélérait une dernière fois ses mouvements avant d’exploser en un long râle au fond de ma chatte. Quelques secondes s’écoulèrent, j’haletais comme une chatte en pleurant nerveusement pendant qu’il flattait mes fesses de caresses bienveillantes. Il se retira alors, laissant perler quelques gouttes de sperme sur les draps. Après un long moment, il m’entraîna dans la salle de bain malgré mes protestations sans grande conviction, et me fit me laver devant lui, sous son oeil satisfait. Pendant qu’il me séchait, il soupesait mes seins pointus et suçait quelques fois mes tétons tendus, comme pour vérifier qu’ils me faisaient toujours tressaillir au moindre coup de langue. Une fois chose faite, il me ramena au lit et me laissa m’endormir, caressant tendrement mon corps.
Quand je me suis réveillée, j’ai compris. Un de ces rêves, encore une fois. Je me tournais déprimée dans mon lit quand je sentis un corps chaud contre mon sein.
Je levais les yeux, le vis dans la pénombre et l’entendis dire amoureusement « Bonjour ma chérie, tu m’avais manqué »

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