Le Thermomètre.

En venait de toquer à la porte d’entrée.
- Tu as encore oublié tes clefs. Fis-je en déverrouillant la porte.
Que fus ma surprise en l’ouvrant, de trouver devant moi Audrey la fille d’une amie à ma femme, trempée comme une soupe. Comme si elle avait reçut des dizaine de seaux d’eau sur elle.
- Audrey, mais que t’arrive-t-il. Vient te mettre à l’abri, t’es tombé dans une piscine ou quoi ?
- Tu n’es pas au courant mais il pleut depuis ce matin et sans discontinuer.
- Oui ça je le sais. Et depuis une semaine pour être plus précis. Fis-je en m’écartant pour lui laisser l’accès de ma maison.
Une fois à l’intérieur elle m’a lancé :
- C’est quoi ce problème de clef que j’ai entendu alors que j’étais en train de me faire saucer ?
- Oh ce n’est rien. Je croyais que c’était Cathy qui avait oublié ses clefs voilà tout. D’ailleurs tu ne la pas croisés sur le trottoir ?
- Non… non…
- Pourtant elle vient de partir pour le boulot.
- Je suis à la recherche ma mère. Fit-elle, changeant de conversation. Tu ne l’aurais pas vue par hasard ?
- Comme tu vois elle n’est pas là.
- Oui, ça je le vois bien. Mais dis-moi le comique, tu as une idée pour rentrer dans une maison sans clefs ?
- Par ce que tu… fis-je, ne pouvant pas m’empêcher de me moquer.
- Et oui, je suis parti ce matin sans mes clefs.
- Et je parie qu’il n’y a personne chez toi.
- Tu as parfaitement deviner. Et pour tout arrangé je suis tombé en panne de voiture sur la route en rentrant. À trois kilomètre d’ici. Et personne pour s’arrêter. Pourtant tu peux me croire, il en est passé des voitures. D’ailleurs je ne serais jamais monté avec un inconnu.
- Et comme tu ne savais pas où aller, tu es venue ici.
- Encore gagné. Mais dis-moi, quand comptes-tu me proposer une serviette pour que je puisse m’essuyer, avant que j‘inonde ton salon ?
- Ah oui excuse-moi.

Je t’apporte cela. Mets-toi à l’aise, met ton manteau à sécher sur le radiateur.
Quand je suis revenu avec une serviette en main, Audrey se tenait à la même place. Elle s‘était tout de même retirée le manteau et ses bottes. J’ai pu m’apercevoir que ses pieds étaient gainés de résille couleur beige.
- Mais dit moi ! Fis-je en lui tendant la serviette, tu as vus ton chemisier, il est tout mouillé. Tu es sûr que tu n’as pas fait un concours de tee-shirt mouillé. Je vois par transparence le soutien-gorge que tu portes en-dessous. File jusqu’à la salle de bains et mets tous ton linge dans la machine à séché.
- Tu as un sèche linge ?
- Oui… bien sûr, pas toi ? Enfin tes parents ?
- Je n’arrête pas de bassiner maman avec cela. Lui demandant d’en acheter un, que cela est bien.
- Je te conseille une fois déshabiller de te passer le peignoir rose de Cathy. Pendant que tu fais cela, je te prépare un chocolat chaud. Tu aimes le chocolat chaud ?
- Bien sûr que j‘aime ça. Fit-elle en se dirigeant dans la salle de bains.
À son retour le chocolat était presque chaud. Je l’ai alors invité elle et le peignoir de ma femme d’allaient s’asseoir à la table de la salle à manger.
- Alors comme ça Cathy est partit au travaille ? Fit-elle en posant son cul sur une chaise.
- Oui, comme je te l’ai dit.
- Elle a vraiment de drôle d’horaire ?
- Je ne te le fais pas dire. Mais dis-moi c’est normal que je n’entends pas la machine tournée ?
- C’est que je ne sais pas comment elle fonctionne.
- Et tu pensais me le dire quand ? Fis-je en retirant la casserole du dessus du feu.
J’ai empli les deux bols, puis je suis allé m’intéresser aux linges à sécher. Tout en discutant avec elle, j’ai d’abord enfourné le jean dans le tambour, puis son chemisier, et enfin son soutien-gorge. Je me suis saisie du collant d’où j’ai extirpé une petite culotte en dentelle noire. Je l’ai scruté un instant.
J’y ai décelé une belle auréole où je pourrais coller mon tarin pour satisfaire ma dépravation. Mais avant, je me devais de vérifier ce que faisait Audrey. J’ai jeté un coup d’œil pour m’apercevoir qu’elle était sagement assise à sa place initiale, en train de touiller son chocolat. Rassuré j’ai pu en toute impunité plonger mon visage contre le contrefort. Ma bouche et mon nez ont vite baigné dans une étoffe tiède et poisseuse, dont l’odeur âcre a comme aimanté mes narines dessus un long moment. Comme je n’ai pas pu interdire à ma langue de le lécher. Ce fut avec regret qu’il a fallut que je m’en sépare, pour le jeter dans le tambour, et mettre en fonction la machine.
- Alors dis-moi Audrey, ce chocolat te fait un grand bien ? Lui fis-je en prenant place face à elle. Avec l’arôme de sa chatte plein la bouche.
- Il est trop chaud ! A-t-elle répliqué.
- Bois le quand même. Cela peu que te faire du bien pour ce que tu as.
- Parce que tu penses que juste un chocolat bouillant va suffire à ce que ne je n’att pas la crève ? D’ailleurs je crois que c’est foutu, je sens que j’ai de la température.
- Et bien dis-moi, c‘est rapide chez toi ?
- J’ai des frissons et je suis toute chaude. Tiens touche mon front, il est chaud…
- Je te crois ! Tu veux que je te donne un cachet ?
- Il serait plus judicieux que je prenne ma température. Tu as un thermomètre chez toi ?
- Oui dans la salle de bains. Tu veux que je te l’apporte ?
- S’il te plaît, Alain…
À peine franchis la porte de la salle de bains, je n’ai pas pu combattre mon envie d’humer une nouvelle fois la culotte en dentelle. Ceci fait je suis ressortis thermomètre en main.
Arrivée dans le salon je n’ai pu que constater que Audrey n’y était plus. La première pensée qui m’est alors venue à l’esprit, fut pourvus qu’elle ne m’est pas surpris entrain de jouer avec ta petite lingerie, et qu’elle se soit sauvé. Oui… mais avec quel vêtement ? Il m’en a pas fallu plus pour me réconforter.

- Audrey, où es-tu ? Ai-je lancé.
- Là, fit-elle, dans la chambre.
J’ai poussé la porte pour la trouver effectivement, allongée sur mon lit.
- Il ne faut surtout pas de gêner.
- Oh excuse-moi ! Je pensais que…
- Bon… bon, ça ne fait rien. Tiens, fis-je en lui tendant le thermomètre.
Elle m’a regardé d’un regard interrogateur, que je ne lui connaissais pas jusqu‘alors. Puis elle m’a chuchoté :
- Il serait possible que tu m’aides. Je me sens d’un coup toute ankylosé.
- Voyant Audrey ! Tu es consciente de ce que tu me demandes
là !
Sentant mon embarras, elle a ajouté :
- Tu es père. Tu sais comment faire.
- Oui, mais toi tu n’es pas ma fille.
- Raison de plus, alors ! A-t-elle répondu en écartant les pans du peignoir.
M‘exhibant sans aucune gêne sa vulve au milieu d‘un gros nid de poils, que je me suis mis a fixé avec une intensité effrayante. Je n’en croyais pas mes yeux. J’allais d’étonnement en étonnement avec cette jeune fille. Mon désir n’a pas tarder à se réveillé. Soulevant impérieusement, le jean de mon pantalon.
- Tu as un sacré toupet de t’exposer de la sorte devant mes yeux.
- Cela te trouble ? Serais tu timide ? À ton âge. Fit-elle avant d’ajouter, en écartant un peu plus le compas de ses jambes. Où il n’y a pas de gêne il n’y a pas de plaisir. Je ne te plaît pas ?
J’avais le visage en feu et la gorge sèche.
- Alors Alain ? Vas-tu enfin te décider à prendre cette température ?
- Si tu insistes.
- Je le souhaite même. Tu ne peux pas savoir depuis combien de temps j’attends ce moment. A-t-elle répondu. Il m’a semblé qu’elle avait rougie en lâchant ses quelques mots.
Cette petite gêne ne la pas empêcher de se pincer de deux doigts les lèvres de son sexe. J’ai vu alors, son vagin éclore et révéler la chair couleur saumon de son orifice. Ma respiration s’est accélérée, tandis que ma bouche s’est encore un peu plus desséchée Un flot de liquide blanchâtre s'est écoulé de sa chatte et s’est répandu sur le couvre lit.

Audrey m’a alors tendu un petit flacon.
- Respire ça Alain. Cela va t’aider.
- Qu’est-ce que c’est ?
- T’occupe, respire, je te dis.
Incapable de réfléchir plus longtemps, j‘ai collé le flacon à ma narine. J’ai aspiré un grand coup en faisant la grimace.
- L’autre narine aussi ! A-t-elle insisté.
Et j’ai obéit. Aussitôt elle m’a arraché le flacon des mains et l’a porté à ses propres narines. J’avais le cerveau comme embrumé.
- Aller sois gentil maintenant mets-moi le thermomètre dans le cul. M‘a-t-elle lancé, en rabattant ses jambes contre la poitrine, dans une pose des plus obscène. J’ai distingué les petits replis. Les petites excroissances qui formaient le muscle anal, tapi au milieu d’une épaisse touffe de poils crépus.
- Il va falloir que j’aille mettre un peu de vaseline sur le bout. Fis-je en fixant ma cible.
- Pas la peine grand nigaud. J’ai dans l’autre boutique tout ce qui te faut.
Dans un état second je me suis posé près d’elle. J’ai glissé le thermomètre dans son sexe, j’en ai fais deux allers retours. Un soupir de sa part a accompagné l’introduction. Puis j’ai plongé la pointe argentée dans son anus. J’ai attendu quelques instant avant de le ressortir, sachant très bien ce que j’allais y lire.
- Tu n‘as rien ! Fis-je.
- Tu ne peux pas savoir comme cela me réconforte.
Elle a jubilé en apercevant la bosse que provoquer mon érection sous mon jean.
- Tiens Alain ! Fit-elle en me tendant à nouveau le flacon. Respire encore une fois.
J’en ai inhalé une grande rasade dans chaque des deux narines avant de le lui retourner. Elle en fit de même.
- Viens maintenant ! Touche-moi entre les cuisses ! Je te promet que tout cela restera entre nous ! A-t-elle haleté.
Dans un état second, j’ai laissé errer ma main dans les poils, ébouriffant le crin dru, englué de mouille. Profitant de mon égarement, Audrey a dégrafé mon pantalon. Et avec ses doigts a effleuré mon érection.
- Waouh ! A-t-elle bêlé en fixant ma verge après l’avoir soutiré de son nid de toile.
Sa stupéfaction était telle que je me suis demandé un instant si elle avait déjà vu un sexe d’homme.
- J’en connais une qui aimerait être à ma place !
- Je peux savoir de qui tu parles ?
- De ma mère, tiens ! De qui d’autre ?
- Ta mère !
- Oui ma mère. Je l’ai surprise en train de dire à ses copines, qu’elle ne serait pas contre de s’envoyer en l’air avec toi.
- Tu ai sûr qu’elle parlait de moi ?
- Certaine… A-t-elle lancé, les yeux rivés sur mon pénis.
Elle a penché sa tête pour aspirer mon gland, tout en tâtant mes couilles de ses doigts. Gloussant de ravissement en les sentant pleines. Une chaleur délicieuse a envahi mon ventre.
Elle hoquetait, tout en me la suçant. Elle avait une bouche de bonne pipeuse. J’en n’avais jamais douter. Tandis qu’elle me pompait, je me suis arrangé pour approché mon visage de son sexe. Son odeur m’a tout de suite infecté les narines. Du bout des doigts j’ai écarté les grandes lèvres luisantes de mouille. Sans réfléchir, j’ai plongé ma langue dans la fente. La faisant coulisser vivement de bas en haut. Fignolant un nettoyage en profondeur. Une copieuse rasade de mouille a giclé dans mon gosier. Je ne m’attendais pas à une réaction aussi rapide de sa part. J’ai alors enfoncé ma langue dans l’orifice. Aussi loin que je le pouvais. Buvant jusqu’à plus soif sa jeune mouille aigre.
D’une main, j’ai palpé les rondeurs de ses fesses laiteuses, les écartant tant que je le pouvais. La seule vision du trou étoilé tapi dans l’épaisse touffe de poils m’a donné envie d’y goûter. Je l’ai fait avec la pointe de ma langue, violant l’entrée. Ce qui eu pour effet de lui arracher un grognement de satisfaction.
J‘étais à peu près sûr que c‘était une première pour elle, ce genre de caresse. Ils ne sont pas légion, les jeunes à aventurer leurs langues dans cette contrée impure de l‘anatomie féminine.
Pourtant la coquine avait l’air d’amer cela, qu’on s’occupe de son cul. Je n’ai pas hésité un seul instant d’y enfoncer mon index. Qui a franchi sans encombre le sphincter lubrifié par ma salive. Audrey s’est cambrée, propulsant ses reins au-devant de mon doigt fouineur. La sentant si docile, si offerte, que je me suis enhardi de ficher un deuxième doigts dans son fourreau. J’étais comme fou. Au point de lui en fourrer un troisième, qu‘elle a avalé sans difficulté.
Ce son côté elle s’agrippait comme une mort de faim à ma queue. Me tétant sans discontinuer, en grognant, alors que je lui branlais le rectum à grand coups de poignet. Ses gémissements faisaient plaisir à entendre. À un tel point que je n’ai pas m’empêcher de jouir copieusement dans sa bouche.
Malgré ma jouissance, ma verge est restée rigide. Un besoin de remettre ça. J’ai pour ça décidé d’abandonné ma place pour me placer entre ses jambes. Que j’ai plaqué de chaque côté de mes épaules. J’ai frotté mon sexe au hasard, laissant des traînées luisantes de sperme sur la peau blanche, sur ses poils.
- Je pari qu’en ne t’a jamais prise par le cul ?
- Non jamais. Mon copain dit que c’est dégueulasse.
- Il ne sait pas ce qui est bon ton copain. Il faudrait que tu penses à en prendre un autre.
- Je ne peux pas. Il est trop beau.
- Alors si il est trop beau…
J’ai guidé le gland à l’entrée de l’anus qui s’est rétractée d’appréhension. Alors j‘ai assisté, pesant de tout mon poids. Mon gland gorgé d’excitation s’est enfoncé dans l‘orifice avant que le reste suive. Mon ventre venant buter contre ses fesses. J’ai grogné de ravissement, ne pouvant détaché mes yeux de mon pénis encerclé par l’anneau rougi de l’anus. Celui-ci s’est rétracté, s’est relâché au rythme des couinements qui sortaient de la bouche d’Audrey, et envahissaient la pièce. Je me suis mis à balancer mon bassin, d’avant en arrière, léchant à tour de rôle ses pieds.
- Oh oui c’est bon ! Oh oui c’est bon !…
Ses petits cris se sont mués en gémissements rauques. Elle a poussé ses fesses en avant, se cramponnant à mon poignet gauche. Sa main droite lui servant à se masturber.
Elle a prit un pied d’enfer avant que je prenne le mien.
À travers ses yeux vitreux, j’ai vu Audrey sursautait à chaque jet de sperme que je lui ai envoyé. Hors d’haleine, je suis resté cramponné quelques instants aux hanches de Audrey, tout en léchant la plante de son pied droit.
Je l’ai laissé partir haletante et le cul dressé, non sans avoir posé un chaste baiser sur chacune de ses fesses brûlantes. Je me suis par la suite endormi comme un bébé, après avoir longuement pensée au cul d’Audrey…

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