La Beurette De La Cité

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis Mlle Y ; 19 ans, de longs cheveux et une belle poitrine 98C qui fait se retourner les hommes que je croise, surtout sans soutien-gorge, et un petit cul serré et bien rebondi qui fait aussi son petit effet…
Aujourd’hui, par cette belle journée d’été , je suis très sexy, avec une mini jupe en cuir, un T-shirt bien échancré qui laisse entrevoir la rondeur de mes petits seins bien durs.
Un Ado du quartier monte dans l’ascenseur avec moi. Il me dévisage sans vergogne et promène son regard sur mes formes, s’attardant sur mon petit cul et sur mes seins, bien offerts dans mon décolleté plongeant.
Arrivé au 2° étage, il bloque l’ascenseur :
- « Qu’est ce que tu fais ?
- Tu vas faire tout ce que je dis sans crier, sinon je vais être obligé de te massacrer. Tu as compris, petite salope ?
- Vous voulez quoi ? lui dis je suffoquée
- Te baiser petite salope. Tu crois que tu peux exciter tes voisins comme tu le fais tous les jours, en te foutant à poil sur ton balcon, t’exhibant et te caressant les seins, ou te masturbant comme une petite pute, la mouille giclant de ta chatte ? »

Putain, ça va être ma fête. J’ai intérêt à lui obeir…ça m’apprendra de me foutre à poil devant les voisins, de les chauffer en me masturbant et les regardant se branler et gicler devant moi…

Je ne pensais pas qu’il y en aurait un qui voudrait me violer, je vais déguster, je suis vraiment une salope incorrigible…
- « Fous toi à poil et laisse toi faire en fermant ta gueule, petite pute. Lève toi, enlève ton soutif, et dépèche toi, sinon je te l’arrache. »

Je me dépêche de lui obéir et je me retrouve complètement nue devant lui. Je me sens gênée ; c’est bête, je me montre tous les jours à poil devant lui et les autres voisins sans que cela me gêne ; au contraire, ça m’excite… Mais c’est moi qui dirige les opèrations alors que là, je suis à sa merci.


« - C’est bien, maintenant, tu fais ce que je te dis et tu te laisses faire. Branle-toi ! »
- « Tu aimes ça, salope, vas-y jouis, sale petite pute, ne te retiens pas, gueule, je veux que tu ameutes tout l’immeuble…
- Ça t’a plu, petite salope, tu as aimé ça ? Attends la suite sale pute, tu vas déguster grave maintenant »
Je le regrde défaire sa ceinture, baisser son jean et là, je vois sa bitte monstrueuse, un engin seulement aperçu de loin, à sa fenêtre. Mais là, de près, quel morceau !
Il prend sa bite qu’il frotte contre ma fente, la faisant coulisser sur ma mouille abondante, puis soudain, il m’att brutalement et sa queue me pénètre en force, je la sens, il y va bestialement, m’embroche comme une truie; ç’est un vrai viol. Je me mords les lèvres pour ne pas crier.
Maintenant il m’empoigne sous les fesses, me soulève et il me fait retomber plusieurs fois sur son pieu et me pilonne brutalement

Heureusement, ma chatte s’est lubrifiée et il coulisse en moi de plus en plus rapidement ; jamais je n’ai été remplie comme ça ; j’ai l’impression qu’il va me retourner l’intèrieur de mon ventre comme un gant
-« Alors, ma petite pute, ma bite c’est autre chose que le manche de ta brosse à dents ou la courgette que tu t’es enfilée hier soir…. »
Je suis remplie et défoncée comme je l’ai jamais été.
-« Mais c’est que ma petite salope y prendrait goût ? Je vais te punir pour ton attitude envers tes voisins, tu vas l’avoir dans ton cul maintenant… »
De sa main, il guide sa queue vers mon cul, il la glisse dans ma raie en appuyant de plus en plus. Je suis habituée à me faire enculer de temps à autre, mais là, vu la taille de l’engin, ça va être ma fête !

Mes entrailles son vite remplies, et il commence de longs va et viens, s’enfonçant de plus en plus à chaque fois. Sa bite démesurée me fait de plus en plus mal, surtout qu’il y va sans ménagement, m’arrachant des gémissements puis des cris ; ça a l’air de l’amuser.
Il prend plaisir à m’humilier, me faire souffrir, me faire payer mes exhibitions impudiques.
-« Alors, ma petite pute, tu fais moins la fière que sur ton balcon. C’est la première fois que tu te fais enculer comme ça ? Tu vas t’en souvenir, crois moi… »

Et il reprend sa sodomie sans ménagement, il me défonce le cul bien à fond, je sens ses couilles battre mes fesses en cadence chaque fois qu’il arrive en butée.
il me défonce le cul bestialement. En même temps, je prends un certain plaisir d’être ainsi humiliée, moi la dominatrice, cette situation, nouvelle pour moi, m’excite.

Finalement ça me fait plaisir d’être traitée comme une moins que rien, un objet, un jouet sexuel, faire la putain juste pour le plaisir d’un homme qui m’utilise pour son seul plaisir, sourd à mes plaintes, cambrant mon cul plus que nécessaire sur cette tige monstrueuse ; J’ai envie de le sentir gicler en moi, m’inonder le cul.

Soudain il me retourne brutalement contre la paroi ; je me retrouve face à lui, son énorme bite dans sa main, qu’il secoue comme un forcené. Il se masturbe comme un fou devant moi ; puis il se contracte soudainement, m’envoyant de puissants jet de sperme sur mes seins, sur le ventre ;
il approche son membre entre mes seins pour finir de se vider et s’essuyer sur mon corps.
-« Fous toi à genoux petite pute et lèche tout mon foutre que tu as laissé tomber sur le sol. »
Je m’exécute, excitée par cette nouvelle humiliation.
Puis, du bout de l’index, il récupère son jus sur mon ventre et me le fait sucer, promenant longuement son doigt dans ma bouche, la forçant comme si je suçais une queue.

« Tiens, voila ce que tu mérites, petite pute, petite salope, être souillée avec le sperme de tes voisins. Allez, avale, goûte bien ce jus »

Il ramasse ma culotte et s’essuie la queue avec puis se rhabille.
« Bien, je te raccompagne jusque chez toi. Ramasse tes vêtements mais ne te rhabille pas.
Tu vas rentrer chez toi à poil comme ça. »
Heureusement, peu de monde dans la rue ; je cours et me précipite chez moi, mais il bloque la porte de son pied.
« Tout doux, petite pute. Je compte te baiser à nouveau quand tu le désireras. J’ai bien vu que tu as pris du plaisir aussi.»
J’aurai peut être envie de goûter à nouveau à cette queue monstrueuse, d’être à nouveau maltraitée, devenir sa chose, son objet, son jouet, sa pute…
« Si tu as encore envie de te branler à poil sur ton balcon, attache un foulard à la fenêtre, que je ne loupe pas le spectacle. Je me branlerai et giclerai pour toi et je garderai mon sperme dans une tasse pour te faire déguster mon jus, nature ou dans ton café »
Il s’éloigne, me laissant sur le pas de la porte, toute nue, souillée de sa semence, ne faisant pas gaffe au fils des voisins, qui n’en revenait pas de me découvrir ainsi en passant sur le palier… Encore un qui va avoir envie de s’amuser un peu avec moi.. Après tout, pourquoi pas ? Ce n’est pas si désagréable d’être la pute du quartier ?

Je vais surement attendre un certain temps avant de m’exhiber sur le balcon et me masturber devant les voisins, moi qui le faisais plusieurs fois par jour.
Mais j’aime trop faire la salope et me montrer toute nue, sans pudeur, excitante, bien bandante.

En attendant je vais me servir de tous les objets qui me tombent sous la main pour me les fourrer dans la chatte.
Cela va de la brosse à dents, les poils en premier, à la courgette, en passant par les manches de casseroles ou de brosses à cheveux et même la batte de base-ball de mon frère, étendue complètement nue sur un pouf devant la fenêtre, cuisses écartées, anus offert, pour en faire profiter tous les voisins de l’immeuble en face.

Et pour finir, j’aime bien jouir dans un verre et faire couler mon jus dans un yaourt que j’étale sur mes nichons puis que je ramasse avec mes doigts pour le déguster devant tous..

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