Ciné Etoile (1)

La découverte

A mes 17 ans, après l’épreuve du Bac Français, j’avais décidé de travailler une partie de l’été pour me faire un peu d’argent de poche. Mes parents m’avaient dégoté un job dans une banque à Marseille dont le Directeur était le père de notre voisin de palier.

Je prenais donc le train Aix Marseille quotidiennement, empruntant matin et soir, le boulevard Dugommier où se trouvait ce fameux cinéma porno, l’Etoile. Je ne pouvais m’empêcher d’y jeter un coup d’œil discret à chaque fois, fantasmant sur tout ce qui devait se passer dans son antre.

Quelquefois, d’ailleurs, je m’attablais à la terrasse du café à proximité, en sortant de mon travail, pour me rendre compte du genre de clientèle qui le fréquentait. Des femmes un peu bizarres, (des travelos, mais à l’époque, je ne connaissais pas), mais surtout, beaucoup d’arabes et de noirs de tout âge venus se soulager.

A l’internat, j’avais quelquefois branlé et sucé des bites, mais je restais puceau de la rondelle, n’ayant jamais eu le courage de franchir le pas, pourtant, pas faute d’envie.

Mon intérim de l’année précédente s’étant très bien passé, c’est à mes 18 ans, Bac en poche, que je reprenais le train Aix Marseille pour le même renfort, et ce, jusqu’au début septembre, repassant quotidiennement devant ce fameux Ciné.

J’étais majeur, donc mes parents me laissaient davantage de liberté, sachant aussi que j’avais noué quelques amitiés au sein de la banque, et qu’il m’arrivait, assez souvent de m’attarder avec eux. Après avoir visionné de temps en temps dans des sex-shops du coin, quelques films pornos homos (On ne disait pas Gay à l’époque), je me suis attablé à nouveau au café proche de l’Etoile.

Je suivais du regard les entrées des hommes, et un jour, après avoir vu 3 arabes et 2 noirs y pénétrer, je me suis enfin décidé. Je voulais voir et savoir ce qui se passait à l’intérieur, avec l’envie, chevillée au corps, de dépasser les simples branlettes softs de l’internat.



Dans cette pénombre, salle éclairée que par l’écran sur lequel était diffusé un film porno à pleurer, mode de la fin des années 60, je me suis rendu compte qu’il y en avait 3 en fait, mais que dans l’une d’entre elles, le fond était beaucoup plus animé.

Très curieux, anxieux toutefois, mais je n’avais jamais entendu parler d’une quelconque agression dans cet endroit, je me suis approché du lieu de l’action. Un homme, assez jeune quand même, était penché en avant, suçant un sexe d’un bon calibre, pendant qu’un autre lui défonçait le cul, un troisième attendait que la voie se libère pour faire la même chose. Un autre, à genoux, branlait et suçait deux belles bites arabes, jusqu’à ce que le sperme de l’un se déverse sur son visage (Une faciale, mais je n’en connaissais pas le terme) et que le deuxième se vide dans sa bouche.

Sous mes yeux, j’avais, devant moi, le temple du sexe, le stupre de la luxure débridée. Au lieu d’être choqué, j’étais très excité et j’ai laissé deux jeunes hommes s’approcher de moi, un arabe et un noir, mettant leurs mains sur mon corps, m’offrant à leurs caresses.

« C’est la première fois que tu viens ici, on t’avait jamais vu avant »
« Oui, j’avais trop envie de connaitre cet endroit »
« Ben, à force de le mater à la terrasse du café d’à côté, c’est sûr que tu allais venir un jour ou l’autre » L’arabe m’avait percuté et senti mon désir de connaitre.
« Mais je viens pour voir uniquement, ok ? »
« Bien sûr, ben voyons…tu es puceau ? »
« Juste branlé et sucé quelques potes mais mon cul est vierge »
« Avoue que tu as envie de te faire prendre, de te faire défoncer par des grosses bites d’arabes et de blacks…. Que tu en veux des grosses… !!! »

Je les ai laissé faire quand ils m’ont entraîné dans un endroit plus discret, mains dans mon pantalon, sur mes fesses en faisant le tour, insistant, de cet opercule tout neuf.

J’étais trop excité, l’envie était trop forte et je me suis mis à genoux pour sortir leurs sexes, déjà bien bandés en les branlant et en les suçant à tour de rôle.
Contrairement à ce que je pensais, si le noir avait un beau sexe, l’arabe était nettement mieux membré, aussi long, mais beaucoup plus large avec une dureté que je n’avais jamais vues (Comme quoi, les clichés…). L’arabe, très dominant, m’a relevé, a baissé mon froc jusqu’à mes chevilles et m’a courbé sur la rambarde, cul à l’air et offert.

« T’es là pour ça non ? Pour te faire péter la rondelle ? T’inquiète, on va s’occuper de ton pucelage »

Sans autre façon il m’a courbé pour que je lui suce la bite, pendant que le black venait derrière moi, et avec l’aide de sa salive, son gland s’est introduit puis tout le reste de son sexe, déflorant cet œillet encore vierge de toute pénétration. Il s’en est donné à cœur joie, et après avoir déversé sa jouissance dans moi, l’arabe a pris sa place, élargissant ma pastille de son diamètre plus qu’imposant, se vidant en moi, lui aussi. Ils m’ont pris encore deux fois chacun et quand le noir est parti, l’arabe m’a proposé de prendre un verre avec lui, au café où je les matais.

« Moi c’est Ahmed, et toi ? »
« Marc »
« Putain Marc, pour ton dépucelage, c’était plus que chaud… tu as aimé ? »
« Trop… Je suis tellement content de ne plus être vierge et d’avoir enfin connu ce plaisir d’un membre viril qui me fouille. »
« Tu as envie de recommencer ? »
« Maintenant, c’est un peu tard je crois »
« Pas grave…. On peut se voir ici une autre fois. Tu pourrais te libérer une nuit ou un Week-End si possible ? »
« Je pense, oui. » Mes parents partaient souvent, en fin de semaine, dans l’arrière-pays niçois, berceau de notre famille, mais depuis la mort récente de ma grand-mère, je ne tenais pas trop à les accompagner, trop de souvenirs et de souffrances de son absence.
« Tu bosses il me semble ? Tu finis à quelle heure en général ? »
« Vers 17 heures. »
« On se retrouve demain ici quand tu sors ? Pour boire un verre ensemble… »
« Avec plaisir… A demain ? »

Et j’ai pris de dernier train pour Aix, le cul dégoulinant du sperme dans lequel mes deux comparses s’étaient déversés, maigrement protégé par une serviette en papier que j’avais prise aux toilettes de la Gare Saint Charles, pour en atténuer le flot.


Une fois dans mon lit, je repensais à ce qui venait de se produire, caressant mes lèvres anales encore ouvertes et humides de ces merveilleux sucs masculins. J’avais enfin perdu ma virginité et j’étais déterminé à ne pas en rester là, c’était beaucoup trop bon pour s’en priver.

Le lendemain, journée terminée, je suis allé rejoindre Ahmed au café. Il m’attendait, et j’ai pu le découvrir, un peu mieux que dans la pénombre du ciné. Putain de beau mec, 30 ans environ, élancé, velu, ses poils sortaient de l’encolure et des manches de son polo, avec, entre ses cuisses, serrée par son jean moulant, une bosse plus que conséquente, laissant apparaitre sa virilité triomphante, pourtant au repos.

« Alors mec, remis ? » Avec un sourire en coin…
« Pas vraiment encore… »
« Déçu ou prêt à recommencer ? »
« Si je le pouvais, à l’instant même… !!! » En le regardant avec des yeux lubriques.
« Tu as pu te libérer ce Weekend ? »
« Oui, mes parents partent à Nice et je leur ai dit que, du coup, je restais à Marseille chez des copains du boulot »
« A vendredi après ton taf alors »

Et ce con m’a planté là, se retournant juste pour un clin d’œil, disparaissant dans le quartier en me laissant remonter le boulevard pour prendre mon train.



Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!