Cinéma, Salle 1 ...

Le cinéma le vendredi soir, c’est quelque chose que j’aime faire en solo de temps en temps bien que je sois mariée. C’est comme une tradition en ce qui me concerne mais ce soir là, j’ai fait une exception à la règle.

C’était sans aucun doute une de mes meilleures exceptions. Je vais l'appeler François pour respecter son anonymat et c'est un prénom masculin que j'apprécie … il avait 20 et quelques années à l’époque, peut être moins… j’en avais 8 de plus. Mais je le considérais comme un homme et je ne comptais jamais quand il s’agissait de rencontres éphémères : tout nous était permis, l’interdit devient permit et les obligations se transforment en exemptions, une autre définition du libertinage…

Je m’étais déjà installée dans la salle, mon portable en main, je savais qu’il ne me poserait pas un plan foireux, on se donnait des news de temps en temps virtuellement parlant bien sûr (c‘était un ex…), on avait émis pas mal de sous entendus dans nos derniers échanges et c’est comme ça que je me suis retrouvée dans ce petit cinéma de ville, habillée en petite fille bien sage, une robe violette sur le dos et un grand gilet noir dans lequel je m’étais complètement engouffrée pour passer inaperçue.
Mon portable a sonné … j’ai décroché … il m’avait aperçu dans le hall … puis il m’a rejoint dans la salle, s’est penché au dessus de moi, a échangé quelques mots puis s’est installé à côté de moi.

La foule certaine et cette avant première qu’on avait décidé d’aller voir ensemble avec un petit meeting d’une bonne demi heure avant le lancement du film n’ont fait qu’accroître mon envie sexuelle, mon envie de baiser avec ce jeune premier bien qu’il n’était plus à classer dans cette catégorie. Le caresser discrètement pendant le film, me faire un tas de scénarios obscènes pendant la projection sans pouvoir conclure ce soir là… c’était hyper frustrant et en même temps totalement excitant.

Nous avons parlé banalités et autres pendant 1h, tout était dit mais rien n’étant fait, nous passâmes d’une salle à l’autre pour voir si l’herbe était plus verte ailleurs, pour voir si une ne nous était pas juste réservée pour assouvir notre convoitise ce soir là en particulier.


Revenus au point de départ, le film démarra … plongée dans le noir, mes mains devinrent de plus en plus moites et quand il m’a demandé si tout allait bien … je me souviens vaguement de ce que j‘ai répondu.. La foule me gênait un peu, j’étais limitée dans ce cinéma… et c’est là qu’il m’a répondu : « Et bien moi, ça ne m’empêchera pas de faire ça … »

Il n’a pas eu besoin de chercher ma langue, je fus aussitôt réceptive dès qu’il a posé sa bouche sur mes lèvres, dès que sa langue a eu envie de la mienne. J’étais obligée de rester soft, de me contenter de caresses que des ados pouvaient se faire dans un cinéma … je caressais juste son cou , je le cramponnais par les cervicales pour qu’il enfonce encore plus sa langue au plus profond de ma bouche … j’aurais voulu qu’il me caresse les seins pour qu’il constate par lui même à quel point mes bouts durcissaient, pour que ses mains constatent que sa bouche me rendait déjà accro à ce petit jeu dangereux.

Il s’est arrêté brutalement me suggérant de quitter cette salle sans me donner un endroit précis où aller. On est sorti en même temps, poussant la porte de la salle 1 et c’est dans un recoin juste derrière cette porte à côté d’un radiateur qu’il m’a attrapé par la main et m’a plaqué contre le mur, m’embrassant violemment. J’étais aussi folle que lui pour accepter cet échange dans un endroit où n‘importe qui aurait pu nous voir... Là j’ai pu l’enlacer, j’ai pu l’entendre dire que je le rendais complètement dingue. Un putin de baiser qui aurait pu en dire long sur la suite des évènements si je n‘avais pas été en zone rouge ce mois ci ...

Je me plais souvent à imaginer qu’il aurait continué sans gêne si je n‘avais pas eu mes règles, qu’il aurait caressé mes cuisses, qu’il aurait senti mes bas, sans doute l’auraient ils excité encore plus … son visage enfoui dans mon cou, je le vois parfaitement bien remonter jusqu’à mon sexe, me glisser un doigt, l’enfoncer au plus profond … puis un deuxième… puis il s’arrêterait croyant entendre du bruit … c’est là que je le supplierais de ne pas arrêter … il m’aurait balancé à l’oreille qu’il allait me faire jouir dans toutes les positions possibles … ce mec m’aurait fait perdre totalement pied s‘il m‘avait prise tout de suite contre le mur en étouffant mes cris avec sa main pour me baiser comme la dernière des soumises!

La situation était toute autre : il se frottait à moi tout en m’embrassant et je pouvais déjà sentir son sexe gonflé à travers son jean : je n’avais qu’une hâte, l’enfoncer au plus profond de ma gorge pour lui faire comprendre que nos caresses ne me suffisaient plus, il fallait qu’il m’en donne plus, j’en voulais plus … Il y avait juste ses mains qui me parlaient, elles ont commencé à remonter le long de mes cuisses, je les sentais se serrer de plus en plus quand elles sont passées sur mes fesses … il était collé à moi.
.. Il n’y avait que son souffle et ses mains qui travaillaient. Elles remontaient de plus en plus, elles me caressaient les hanches, elles frôlaient le côté de ma poitrine, jusqu’à mon cou. Il a marqué un temps d’arrêt … puis il m’a tiré les cheveux en arrière pour m‘embrasser encore et encore … j’ai kiffé ce baiser…


Nous avons quitté le cinéma ensemble cette fois ci. Il m’a proposé d’aller faire un tour en voiture et nous avons roulé jusqu’à un endroit où il avait bossé. Il avait repéré un petit chemin qui ne menait nulle part… je ne sais pas où on était précisément et ce qui nous entourait mais je m’en foutais royalement, je n’avais qu’une hâte, continuer ce qu’on avait commencé derrière cette porte… baisers et caresses torrides dans sa bagnole, j’avoue que tout m’a excité à ce moment précis, son blouson en cuir, son pull, sa façon de remettre ses lunettes, un rien dans ses gestes m‘échauffait à fond.
Le fait qu’il reste habillé, juste à m’embrasser, sans forcer le barrage, me donnait envie de lui demander de me prendre direct, vite fait, juste pour le plaisir d’assouvir mon envie, juste pour le plaisir de me faire tirer rapidement comme une vulgaire salope.

J’avais trop envie de le sucer mais je jouais les saintes nitouches au début, je prenais mon temps juste pour le plaisir de retarder la chose.
Je me contentais de caresser son sexe avec ma main, de faire des va et vient tranquille sans me presser. Je kiffais le mater en train de perdre tout contrôle. Il m’a demandé ce qu’on pourrait bien faire vu que je ne voulais pas qu’il franchisse la zone rouge ce soir là … j’ai rectifié Junior : Qu’Est-ce que Je pourrais te faire…
Et visiblement, il savait ce dont j’étais capable …

Il a attiré ma tête sur la braguette de son jean, il l’avait ouverte discrètement, je ne m’en étais même pas aperçue … l’enfoiré … mais j’admirais son impertinence et j‘avais trop envie de le sucer ce jeune libertin, c’est tout ce que je pouvais lui faire ce soir là … je commençais à faire des va et vient avec ma bouche, je titillais légèrement le bout de son gland, il bandait dur: ça n’a fait qu’accroître ma frustration et en même temps le goût de son sexe dans ma bouche m’alléchait totalement.


Déguisée en petite fille sage, je lui taillais une pipe royale de pin up. Ma bouche remontait de temps en temps jusqu’à la sienne pour échanger nos salives, sa respiration se faisait de plus en plus haletante et saccadée.
Ce soir là, il s’est lâché dans ma bouche pour la première fois et sur le coup de la « surprise », je n’ai pas tout de suite senti son jus couler dans ma gorge, sa queue était si profondément enfoncée dans ma bouche … ce n’est que quand j’ai relevé la tête que j’ai senti un goût étrange dans ma bouche … vous savez …comme un mélange d’impertinence et d’audace … j’étais honteuse et en même temps, encore plus honteuse de reconnaître que s’il n’avait pas éjaculé aussi facilement, je lui aurais proposé un autre plan de secours …
Mais heureusement pour moi, je n’ai fait qu’avaler pour la première fois ce soir là …

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