Petite Elodie Pute Et Soumise

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


je m’appelle Élodie, j’ai 24 ans et depuis six mois je suis devenue une professionnelle du sexe, une pute soumise, totalement livrée a l’industrie du porno.

je suis exploitée par celui qui est devenu mon propriétaire dont l’unique objectif est de me faire cracher du chiffre, comme il dit. c’est un homme d’expérience, très influent dans ce milieu et j’ai vite compris que j’allais devoir subir les pires instincts pour espérer retrouver ma liberté.

-je vais te mettre dans la lumière il me dit. et on va te regarder donner ce que tu as de meilleur.

ce qui fait le sucés de son œuvre, ce qui fait rentrer l’argent, c’est de me faire dépasser mes propres limites. mon métier c’est de donner de ma personne, de continuer à donner quand je voudrais que ça s’arrette.

c’est comme ça qu il me prend depuis le début, mais à chaque fois c’est dans une grande jouissance qu’il me fait désirer ces instants de soumission totale, qu’il filme les expressions de souffrance de mon visage en me faisant regarder la camera comme si c’était une personne.

en réalité se sont des milliers de personnes que je regarde. elles m’admirent, en se masturbant, en train d’évoluer dans une déchéance de plus en plus profonde.

je travaille tout les jours, depuis le début. je travaille de plus en plus longtemps car mes limites s’agrandissent.

je suis confiée à des groupes de différentes spécialité qui me forment jusqu’à ce que je soit capable de faire des scènes dignes de ce nom.

les gens qui acceptent de me former sont des bienfaiteurs, que je dois respecter. nous vivons ensemble le temps de la formation et nos relation s’apparentent à des relations de couple. les filles comme moi sont les stagiaires et nous pouvons parfois être plusieurs stagiaires.

les stagiaires sont au service des bienfaiteurs et tout ce que les bienfaiteurs donnent aux stagiaires doit être accueilli avec la plus grande docilité.



les règles sont fixées par les bienfaiteurs et dictées à la stagiaire à son arrivée dans le groupe. bien sur tout est filmé. des cameras sont présentes dans toutes les pièces des maisons.

hier j’ai quitté le huitième groupe, le plus brutal de ma carrière.

j’ai vécu un enfer de deux semaine avec 7 gars très compétents. je pense que toutes les limites ont été franchies et je suis désormais considérée par la profession comme une immense star.

mon proprio va se faire le jackpot et comme je n’est plus grand chose à donner je pense que je vais bientôt pouvoir retrouver une vie normale.


j’ai été confiée à Alice, une femme belle et douce. c’est avec elle que je vais vivre ma prochaine étape et je me réjouie de retrouver enfin quelqu’un qui me donne des signe de respect et de tendresse.

c’est a sa demande que j’écris ces lignes. encore un moyen, sûrement, de me faire cracher du chiffre. mais c’est mieux que tout ce que j’ai pu subir jusqu’à maintenant.

tout a commencé il y a six mois quand mon mari Enzo a voulu commencer à jouer dans la cour des grands.

nous sommes mariés depuis 2 ans. ce qui m’a tout de suite plu chez lui c’est son physique fluet à l’air fragile. ça ma rassuré de voir que je pouvais trouver qqun de sensible et doux, car j’ai toujours redouté la violence.

je suis moi même une petite femme de 1m57 pour 48 kilo . je suis blonde au teint bien blanc. mes seins sont assez bombés et ils pendent légèrement ce qui leur donne une impression de souplesse. une cambrure naturelle met mes fesses en valeur, et comme je suis plutôt jolie, les gars se retournent facilement sur moi.ça ne me laisse pas indifférente.

j’aime m’habiller sexy et comme Enzo n’est pas une bête de sexe je me masturbe qq fois. nos relations sexuelles sont assez banales et courtes et comme Enzo a un petit sexe, environ 7 cm il prend plus de plaisir a se branler devant des film porno que dans mon vagin.


mais il est toujours d’une grande gentillesse avec moi et toujours très tendre et cela me suffit. d’ailleurs au vu de ce qui l’excite, je préfère qu’il se défoule sur ses porno.

un jour j’ai découvert une page internet qu’il avait oublié de fermer. j’ai été choquée par ce que les gars faisaient subir a cette pauvre fille, un sexe dans le vagin et un autre dans l’anus. je ne comprendrais que plus tard comment une femme pouvait accepter un tel traitement et comment cela pouvait exciter un homme.

je n’en ai jamais parlé avec Enzo je ne voulais pas le blesser. et puis notre vie me plaisait et je ne voulais rien changer.

Enzo était inscrit dans un club de poker. il en faisait depuis deux ans et tout se passait bien, il était content.

parfois il organisait des parties à la maison avec ses copains et on passait des moments sympas.

un jour des nouveaux sont arrivés, des turcs et Enzo m’a confié que l’ambiance se dégradait. ils prenaient un malin plaisir a manquer de respect aux plus faibles dont faisait partie Enzo.


pour essayer d’arrondir les angles Enzo invita les deux turcs et son pote à une soirée chez nous.

des leur arrivée les gars se mirent à faire comme chez eux.

ils étaient grands et costaud, mal rasé. on aurait dit des bandits avec leurs bijoux en or et leur blousons en cuir. ils devaient avoir dans la quarantaine. des qu’ils me virent ils eurent des sourires de prédateurs. et l’un d’eux dit

-hé la bombasse, regarde moi ça Samir comment elle est bonne sa mère. salut ma belle comment tu t’appelle?

j’étais stupéfaite et totalement immobile, sans le regarder je répondis

-je m’appelle Élodie. un air de petite fille sans défense sonna dans l’air

Enzo avait l’air un peu con devant son ami et il dit

-Karim je te présente ma femme.

-putain elle est bonne ta meuf!

j’étais pétrifiée, prise de court par tant d’audace.
Enzo n’en revenait pas mais n’osait rien dire. j’étais habillé d’une petite robe verte qui m’arrivait à mi cuisse avec des basket sans collant a cause de la saison et je n’avais qu’une envie, disparaître.

en s’approchant de moi le gars me saisit délicatement par la nuque et déposa un baiser tendre prés de mon oreille. son geste me glaça. je le laissais faire car je pensais que si je résistais il pourrait devenir brutal. et il devait avoir beaucoup de force vu sa carrure. et en me tendant sa joue il me dit

-fait moi un bisou.

je lui rendit son baiser. je sentais ses doigts me caresser tendrement et en poussant sur ma nuque il me dirigea vers son copain en disant

-va dire bonjour à Samir.

en trois petits pas je me rendit à Samir, penaude et je levais mon regard jusqu’à ses yeux et son petit sourire. je tendit la joue en disant

-bonjour Samir.

il avait lui aussi ce même petit sourire dominant qui ne tolère pas le refus

comme son pote avant lui il passa sa main dans mes cheveux se pencha vers moi et se mit a sentir mon odeur dans mon cou. des frissons parcoururent mon corps et il déposa un baiser sur ma joue. ce que je lui rendit. et il répondit

-bonjour Élodie. avec son sourire accentué qui montrait son désir avec désinvolture.

-bon c’est pas tout ça mais on est la pour jouer aux cartes! dit Samir en tapant dans le dos d’Enzo qui chancela et il demanda a Enzo et à Gabriel son copain de s’asseoir. ce qu’ils firent, assez mal à l’aise face à son attitude dominante.

Karim est allé aux toilettes et on l’entendait uriner en sifflotant car la porte était restée ouverte. en revenant il se connecta à notre enceinte Bluetooth et fit chanter une musique oriental pour mettre l’ambiance. Karim et Samir allumèrent des clopes sans rien demander à personne, ce que nous ne faisions jamais car nous sommes non fumeurs mais personnes n’osa les reprendre.

ils commencèrent leur partie de carte et moi je restait debout comme une idiote, submergée par mes émotions de honte et d’excitation fasse à ce que j’étais en train de vivre.


-haaa Élodie tu m’inspire tellement t’es belle dit Karim. je crois que je suis en train de tomber amoureux de toi dit il en faisant un petit clin d’œil à Enzo. tient va nous chercher des bières stp.

je revenais avec les bière et leur ouvrait leurs canettes.

-si un jour Enzo arrive plus a te faire jouir moi je veux bien que tu soit ma femme, dit il en riant. Samir toi tu voudrait pas te la faire cette bonasse?

-ben si mec carrément, quand elle veut.

comme réponse je lui rendit un sourire gêné et timide et lui dit

-il y a pas que ça dans la vie.

cela sonna comme un aveu et Karim dit

-quoi?? il te fait pas jouir?? c’est çà?? et en regardant Enzo

-une femme comme ça il faut la combler mec!! regarde comme elle est bonne!

j’étais flattée par les multiples compliments et la gêne de Enzo qui ne savait pas quoi répondre devenait de plus en plus excitante. en plus tout cela se passait devant son copain Gabriel.

-chérie si un jour tu veux être ma meuf je te ferai voire ce que c’est un vrai mec.

ils me parlaient tout les deux avec un grand naturel et je sentais bien qu’ils voulaient être gentils avec moi.

cela me rassurait. peu à peu je comprenais que dans leur culture c’est comme cela qu’ils faisaient des compliments à une femme. et cela commençait à me plaire. et je me détendais peu a peu.

la soirée se poursuivit bon , toujours avec des insinuations sexuelles mais respectueuses. j’appris que Karim était producteur de film x et je compris pourquoi il était si penché sur le sujet.

l’ambiance s’était détendu et des signes de respect étaient adressés à Enzo et son ami ce qui remit mon chéri en confiance. il fut si hardi qu’il me toucha les fesses devant tout le monde. sûrement faisait il cela pour montrer que j’étais à lui. aussi je me laissait faire docilement.

Karim me regarda dans les yeux avec un sourire lubrique et il lâcha

-t’aime ça ma salope!! hein??

personne ne releva et moi je ne fit que répondre par un petit sourire coincé en rougissant. Enzo lâcha mes fesses.

la soirée se termina. Karim et Samir nous quittèrent en m’embrassant tendrement et respectueusement comme ils l’avaient fait en arrivant.

j’étais beaucoup moins coincée, les connaissant mieux, qq chose de paternel en eux me rassurait et je me sentais en sécurité avec des gars comme eux, même si, en même temps je les craignais car je savais qu’il ne fallait pas leur manquer de respect.

nous nous retrouvâmes seuls avec Enzo, moi abasourdie par l’excitation et lui regonflé à bloc par ses nouveaux amis.

il s’approcha de moi et me dit

-t’es vraiment une bonasse toi. vient ici que je te montre ce que c’est un vrai homme!

il me prit sur le canapé comme un animal en rut. jamais il n’avait était aussi virile. mais mon sexe était tellement humide et dilaté que je ne sentais rien de son petit sexe en moi.

a cet instant je souhaitait que ce soit Karim qui me prenne.

mais j’aimais ma vie avec Enzo et je voulais que rien ne change. alors je simulais un orgasme de folle et je me donnais du plaisir en me caressant le clito.


plusieurs mois s’écoulèrent dans cette nouvelle amitié. Enzo ne souhaitait pas tenter le diable et nous avions décidé de ne plus inviter les turcs chez nous. il voulait que je ne sois qu’a lui et cela me convenait parfaitement.

lui devenait de plus en plus sur de lui et ne jurait que par Karim qui était devenu son idole. ils faisaient ensemble des concours qu’ils remportaient et Karim initiait Enzo aux partie clandestines.

Enzo ramenait régulièrement de l’argent à la maison et nous nous offrions des bons petits moments de plaisir grâce a cela.

un soir Enzo rentra soucieux. apparemment, sans comprendre comment, nous avions dépensé de l’argent qui ne nous appartenait pas mais qui était destiné à de futures parties. il s’agissait de 2500 euros. Karim était furieux et demandait à Enzo de trouver une solution.

comme nous n’avions pas les moyen de rembourser notre dette Karim trouva une solution amiable pour nous sauver la mise. -en souvenir de ta petite bonasse dit il a Enzo en souriant.

-je te propose une partie avec des amis. tu ne met pas d’argent mais si tu perds tu devra 10 fois la mise.

-25000 euros de dette!? dis Enzo

-oui mais tu vas gagner, non? t’es un putain de winner, mec. c’est tout ce que j’ai pu te trouver. c’est ça ou tu mets ta bonasse sur le trottoir, dit il en plaisantait avec son sourire charmeur.

— t’as raison, je suis un putain de winner.

Enzo sorti pour jouer sa partie.

je l’attendais devant la télé soucieuse du déroulement des événements. quand il rentra tard dans la nuit c’est en pleurant qu’il me raconta sa soirée. les gars l’avaient complètement plumé et réclamaient leur argent. comme il n’avait rien sur lui ils se mirent à le menacer de mort.

-petit enculé sort mon pognon.

-mais je n’ai pas d’argent, c’est Karim qui m’a dit de jouer sans l’argent et qu’on trouverait une solution.

-c’est vrai Karim?

-ce petit bâtard est une vrai balance je vais le défoncer.

-tu vas rien défoncer du tout Karim on veut nos 25000.

-t’inquiète j’ai mon idée pour les récupérer. toi petite salope vient ici.

-oui Karim

-dis moi que tu vas faire tout ce qui faut pour me sortir de cette merde.

-oui Karim je te jure, je ferai tout ce qu’il faut.

-bon rentre chez toi, je te retrouve dans une heure. t’as intérêt d’être la et ta meuf aussi sinon je te jure que je te coupe les couilles. t’as compris bâtard?

— oui Karim, j’ai compris.

une peur immense m’envahis subitement.

il était 4 heure du matin et un mec furieux allait débarquer chez nous pour nous faire trouver 25000 euros. nous nous regardions en silence et a la manière dont Enzo tremblait je savais que tout cela était très sérieux.

les coups a la porte nous fîmes sursauter et Enzo alla ouvrir.

Karim entra, furieux. il était accompagné d’un gars qui avait une camera et qui filmait.

-alors petite pute qu’est ce que tu as a me donner en échange de mes 25000? parce que j’ai été obligé de las payer de ma poche. maintenant dis moi ce que tu me donne pour me dédommager?

-je... je ne sais pas Karim... et Vlan! une grande gifle tomba sur le visage de mon mari. il tomba sur les fesses et se mit a pleurer en se tenant la joue.

-lève toi pute!

Enzo se remit debout. la marque de la main de Karim s’était imprimée sur son visage.

l’autre homme filmait la scène sans rien lâcher.

-Karim! Karim qu’est ce que tu veux?? dis moi ce que tu veux je te donnerai tout ce que tu veux... je te jure!

-t’es sur que tu vas me donner tout ce que je veux sale petite pute?

-oui Karim je te le jure! dis moi ce que tu veux!!

-je veux que tu me donne tes couilles petit enculé! et il sortit un couteau de sa poche.

-mais Karim...

-donne moi tes couilles ou je te bute!!

j’étais terrorisée. mon petit mari allait se faire castrer devant moi et je le vis se soumettre a cette terrible demande.

-enlève ton futal met toi a poil petite salope.

mon mari se déshabilla docilement et s’approcha de Karim en tremblant comme une feuille.

-je savais que tu avait pas de bite, sale lopette!!

en effet, sous l’effet de la peur son sexe était devenu minuscule et on ne distinguait plus que sa poche offerte à son bourreau. Karim s’en empara et se mit a la serrer dans sa main puissante. sous l’effet de la surprise et de la douleur les yeux de mon petit mari s’écarquillèrent et un regard suppliant s’y installa.

-écoute moi bien petit enculé. il y a deux solutions, soit je te coupe les couilles et je repars avec, soit tu me les donne comme une bonne pute a chaque fois qu’on se voit. tu décides quoi?

Karim tenait toujours ses bourse dans sa main puissante et Enzo ne pouvait que gémir des hargn.. hargn.. tant la douleur le saisissait.

-alors tu choisis quoi?!! dit Karim en criant.

il regardait Karim dans les yeux pour lui manifester sa soumission et il lâcha

-d’accord! c’est d’accord! je te donne mes couilles comme une pute a chaque fois que tu veux!

-t’es sur? tu me donne tes couilles petite pute?

— oui Karim chuis sur! elle sont a toi! dis Enzo en paniquant. Karim devait sûrement accen la pression.

-vient ma pute écarte bien tes cuisses donne moi bien tes couilles!

-han.. han.. ho.. Karim s’il te plaît j’ai trop mal.

-c’est pas fini connasse. tu va apprendre a dépasser tes limites. maintenant t’arrête de te plaindre. t’arrête de m’appeler Karim et t’arrête de me tutoyer!

— oui... oui monsieur... han.. han..

Karim se mettait à souffler son désir, il regardait mon petit mari bien dans les yeux comme s’il lui faisait l’amour et le visage de Enzo se tordait au rythme des pressions exercées par Karim. l’autre homme le fixait sans relâche, en gros plans, depuis que mon mari était au bord de la crise de nerf.

parfois Karim relâchait la pression.

-tu veux être ma femme, ma petite pute

-ho... oui monsieur répondit Enzo soulagé le regard plein de gratitude.

puis il remettait la pression de plus belle.

-ho ouiii.. ouiii..haa..

-tu veux vraiment etre ma pute??

-oui monsieur ho ouiiii...

-tu me les donne tes couille petit enculé??

-oui monsieur.. harg... je vous les donne... elles sont a vououou....

leurs regard ne se quittaient pas et une intimité nouvelle se faisait entre eux. Enzo était entièrement donné a son nouveau maître et il y avait qq chose de beau dans cette relation.

le souffle de Karim s’accélérait.

-défait mon pantalon enculé, sort ma queue! et branle moi!

et Enzo sorti la queue de Karim et se mit a le masturber pendant que sont maître lui torturait les testicules

-c’est bien ma chérie continue! tu vois a quoi elles servent tes couilles maintenant petite pute? elle serve a me donner du plaisir. vas y continue ma belle.

le regard de Karim se faisait de plus en plus dure et le regard de Enzo etait de plus en plus inquiet. il se mettait a crier de plus en plus fort alors que karim semblait entrer en transe. le sexe de karim etait enorme, long et gros. je n’imaginais pas qu’un sexe puisse etre si imposant. et la puissance qu’il degageait etait impressionnante. mon petit mari le caressait de ses mains expertes de petit branleur et karim etait aux anges. il faisait durer le plaisir et mon petit enzo pleurnichait comme une petite fillette.

-c’est bien ma femme continue je viens! haaa je viens!!

karim ejacula puissament sur les mains d’enzo et comprima les testicules de mon mari dans un dernier rale avant de les relacher brusquement. enzo tomba net au sol et s’efondra en larme, humilié et terrifié par cet intense traitement.

-je savais que tu etait une bonne petite pute! putain comment t’es bonne tu m’a bien fais jouir. j’adore faire l’amour avec toi ma femme. mais tu va voir c’est pas encore fini. j’ai pas encore fini de me vider les couilles avec toi. j’ai encore plein de choses a te prendre petite salope. tu vas voire ce que c’est d’etre ma femme!!

karim etait remonté a bloc il s’etait mis completement nu. son corps etait tres fort et tres poilu a cote du petit corps frele et lisse de mon mari.

il prit sa ceinture et enroula une extremité autour de sa main et avec un sourire sadique se mit a flageller enzo qui sanglotait encore au sol comme une petie fille. chaque coup de ceinture etait donné de toute sa puissance et laissait une trace qui devenait rapidement bleue. chaque coup arrachait un cri desesperé a mon petit mari. il pleurait de plus belle.

-tu veux etre une bonne pute?

-ouiiii!!

-t’es sure??

-ouiii monsieur!!

clac clac tient prends chienne! et a chaque coup mon mari, nu, essayait de protéger ses parties les plus sensibles.

après une dizaine de coup il dit

-tu va me donner tes fesses connasse!!

mon mari se mit a quatre patte sur la table basse et karim lui dit

-tends bien ton cul petite salope!!

il tenait toujours la ceinture dans sa main et se mit a lui fouetter le cul de plus belle.

quand il s’arretta mon mari était brisé, son cul était atteint au sang et karim avait la queue plus dure que jamais.

je venais d’assister a ce spectacle en première loge depuis prés de 1 heures.

j’étais abasourdie, excitée, effrayée, quand karim se tourna vers moi et me dit

-ma chérie est ce que tu veux être ma femme?

je me sentais minuscule face a cet énorme titan déchaîne et je savais bien que toute résistance était inutile.

je ne voulais surtout pas subir le même traitement que mon petit mari.

-oui je veux être ta femme, dis je en tremblant de peur et d’excitation.

mon mari pleurait de plus belle a ces paroles.

Karim s’approcha de moi saisi mon visage et se mit a me prendre la bouche avec sa langue. il était totalement intrusif et prenais ma bouche comme il aurait léché une chatte. puis il me dis

-déshabille toi et baise moi.

il s’installa sur le canapé le sexe bien gonflé et dressé.

je me déshabillais devant lui et nue je montait sur son sexe énorme. quand j’eus son gland contre mon sexe je compris l’ampleur de la tache et il me dit.

-tu va voire ce que c’est un vrai homme.

j’étais très excitée. mon sexe était chaud et très humide. je me frottais contre le sexe de mon nouvel amant jusqu’à ce que son gland me penettre. une sensation de plénitude s’empara de moi. le vide en moi se comblait a mesure que je le faisait mien. je m’empalait sur ce sexe en lui disant que je voulais être sa femme a lui et que je le voulais entierement. je me sentais toute mielleuse et très chienne. il regarda mon petit mari et lui dit

-putain elle est bonne ta femme mec et c’est très confortable dans sa chatte. elle est bien chaude et toute trempée. c’est une vrai chienne. hein t’es un chienne chérie?

-ho oui je suis ta chienne.

-baise moi bien salope on s’arreterra pas avant que tu ai tout rentré en toi. baise moi bien petite salope.

j’étais comme une pute sur cette bite trop grosse pour moi et j’étais dans l’obligation de l’avaler toute entière. chacun de mes va et viens la faisait frotter et détendre mes parois intimes. ma toute petite chatte devais s’agrandir, se détendre, se mouler, prendre cette nouvelle forme.

je mettais toute mon énergie a réaliser cette demande de mon nouveau mari. et bien qu’il reste encore la moitié de son sexe a rentrer, ses couilles sont rendues toute gluantes par ma mouille.

je ne cesse de jouir sur cet immense sexe et les multiples orgasmes dilatent mon vagin. je suis comme une folle sur cet homme qui vient de r mon mari et cela me plaît. je sais que rien ne sera comme avant désormais.

j’ai l’impression que ce sexe mesure la moitié de mon corps et c’est un être tout entier qui entre dans mon intimité. je me sens totalement dévouée et si cet être voulait entrer en moi avec d’autre êtres je les laisserai m’envahir de tous leurs désirs. la présence de mon petit mari m’excite a fond. je me donne a celui qui vient de l’anéantir physiquement et ma jouissance est d’être sa complice, pour anéantir Enzo affectivement.

en regardant cette petite pute docile j’ai une immense envie de la posséder, de l’humilier, de la soumettre aux désirs destructeur de mon maître. et je m’empale comme une chienne sur ce sexe pour anéantir cette pute qui me regarde avec compassion.

quand enfin je sens son ventre contre mon corps je suis épuisée par l’ecartelement.

il me retourne écarte mes cuisses a fond et se met a me baiser solidement de toute la longueur de son sexe. ses va et viens sont d’abord doux mais déterminés. son sexe sort intégralement du mien pour y retourner bien a fond. il appuis de plus en plus fort a mesure que je me dilate.

il m’utilise intégralement pour se branler et prendre un maximum de plaisir.

la puissance augmente a mesure que son excitation s’intensifie. je le regarde dans les yeux. la peur m’envahis a mesure que cette bête égoïste et puissante me violente pour son plaisir. j’ai peur car je ne sais pas jusqu’où montera cette puissance.

subitement il s’arrête, sort de mon sexe, me retourne à quatre patte et se remet à me bouriner en levrette.

de grandes claques tombent sur mes fesses à un rythme soutenu et bientôt mon cul est tout brûlant. il att mes cheveux pour me relever la tête et il me dit

-regarde bien la camera ma chérie et donne tout ce que tu as de meilleurs...

et pendant de longues minutes il me prend de toutes ses forces, alternant grands coups de bassin et grandes claques sur le cul, la tête bien tirée en arrière, cambrée a l’extrême et en exigeant de moi que je jouisse comme un pute. je regarde la camera, la laissant pénétrer mon regard de soumise détruite, violée comme une moins que rien. l’idée que des gens me regarde me faire dégrader ainsi me propulse dans une autre dimension et c’est presque inconsciente que je reçoit l’éjaculation de Karim dans le fond de mon vagin.

il se retira brusquement de mon sexe, de la même manière qu’il avait lâché les couilles de Enzo et me propulsa a terre a coté de la lopette que je me mettais a mépriser.

-tiens sale pute, je te rends ta femme.

j’étais nue a coté de mon petit mari, la chatte complètement éclatée, dégoulinante de sperme, le cul brûlant.

j’étais totalement soumise, humiliée, et Karim dit a Enzo

-sens la chatte de cette pute!!

Enzo écarta mes cuisses approcha son nez de ma chatte et sentit mon odeur.

-elle sens quoi? enculé!!

-elle sens votre sperme, monsieur.

-nettoie sa chatte!! vide la bien avec ta bouche!!

et mon petit mari se mit a me laver ma petite chatte. je n’en pouvait plus et lui me léchait sans aucune excitation, juste par obéissance.

-a partir d’aujourd’hui vous m’appartenez toute les deux. reposez vous bien, je reviens demain pour voire comment je peux vous faire faire du chiffre.

et toi ne t’avise plus de toucher ma femme sans mon autorisation.

je t’avais bien dis qu’un jour elle serait a moi...

il nous quitta.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!