13 - Pute Et Soumise / Acte 1

Un don certain pour le vice

Aux beaux jours, nous fûmes conviés à une fête chez des amis où je savais
pertinemment qu'il serait présent. Philippe, l’ami de longue date devenu son premier
amant, celui qui l’avait tellement bien baisée que l’épouse aimante et fidèle s’était
dévergondée dans l’adultère et le libertinage. Sa queue magique avait transformé ma
femme en salope, moi en cocu, et notre vie de couple s’en était trouvée bouleversée.
J'appréhendai ces retrouvailles et tentai vainement d'esquiver la problématique
rencontre. Finalement, en fataliste, je baissai les bras, ce qui devait arriver
arriverait. La veille, alors que nous étions au lit, je lui demandai tout en faisant
l'amour :
- Comment vas-tu te comporter en présence de Philippe ?
- Comme avec tout le monde.
- Tu oublies que tu as baisé avec lui ?
- Non, ça, ni toi ni moi ne pourrons jamais l’oublier. Ce qui est fait est fait,
mais on peut essayer de faire comme si de rien n’était.
- Et s'il t'invite à danser ou si vous restez seuls tous les deux ?
- Que veux tu que je te dise, oui c'est vrai, je peux craquer, il peut encore se
passer quelque chose entre nous. Ou pas !
- Tu admets que tu risques de te faire sauter ?
- Mais tu es jaloux, ma parole ! Oui, bien sûr que je peux me faire sauter, et
pas que par lui, d'autres aussi peuvent me sauter, plein de types ont envie de me
sauter, ta femme plait aux hommes, tu devrais être content. Tu devrais savoir que je
ne cède pas aux avances de tous ceux qui voudraient m’avoir.
- Pas de tous, de quelques uns seulement.
- Ça m’est arrivé, c’est vrai, mais je ne craque pas facilement. Tiens-moi en
laisse si tu n'as pas confiance.
- Non, non, tu es libre de faire à ta guise.
- Et si je me fais sauter ?
- Je te l’ai dis, tu es libre de te faire sauter à ta guise, je ne sais pas
pourquoi, mais j’ai la certitude que ça va arriver, ce soir tu vas de nouveau me
tromper avec lui.

J'espère que tu le fais juste parce que tu aimes sa queue et qu'il
te baise mieux que moi. Si tu ressentais autre chose que de l'attirance sexuelle pour
lui, ce serait la fin de notre couple.
- Il ne me baise pas mieux que toi, c’est différent c’est tout.
- Différent ?
- Oui, faire l’amour avec son mari ou faire l’amour avec un amant, excuse moi,
c’est différent.
- Tu es prévenue, fais attention à ne pas aller trop loin.
Maria ne répondit rien. Le lendemain, pour fêter le retour des beaux jours,
elle s'habilla légèrement. En fait, elle mit une jupe printanière rouge très courte
naturellement, ouverte et dont l'échancrure sur le devant se fermait par des boutons
pressions, plus ou moins suivant ce qu'on voulait montrer à ses admirateurs. Ma petite
femme attirait déjà assez de convoitises en ne laissant qu'un seul bouton ouvert. Le
haut se composait d'un boléro brodé noir fermé par une épingle sur le devant et qui
laissait admirer son magnifique soutien gorge en dentelle de même couleur ; on
devinait les petits seins malicieusement mis en valeur. Une minuscule petite culotte
assortie et des bas noirs qui tenaient tout seuls avec le haut qui finissait en
dentelle complétaient sa panoplie d'amazone. Pour ma part, je décidai qu'un jean, un
polo et un blouson léger suffiraient pour l'occasion.
Nos amis qui habitaient une villa immense à la campagne avaient bien fait les
choses : un immense buffet attendait les convives, dressé sur une longue table
improvisée. Chacun pouvait se servir à profusion, il y avait de la nourriture et des
boissons de toutes sortes et personne ne se privait. Installés à la bonne franquette,
les invités se liaient et conversaient avec leurs plus proches voisins de table.
L'ambiance était plutôt conviviale. Quant à moi, je ne pouvais m'empêcher d'observer
du coin de l'œil le petit chéri de ma femme.
Il était arrivé avant nous et je le
saluai rapidement. Maria lui fit la bise comme à tous les membres du groupe autour de
lui ; je remarquai cyniquement qu'elle ne manqua pas de rougir en l’embrassant, et je
pense que Philippe s'aperçut également de son trouble profond. Je me surpris à essayer
de lire dans leurs pensées. Mon épouse légitime s’était sans doute rappelée du plaisir
si absolu qu’elle avait eu avec son amant, elle en avait certainement mouillé sa
petite culotte. Évidemment, je savais que son mentor ne pourrait jamais oublier la
douceur de son ventre ni la souplesse de son con. Il avait fait avec ma femme tout ce
qu’un homme pouvait faire avec une femme, et même plus que moi puisqu’il avait étrenné
son cul. Il l’avait connue docile, sensuelle et avait lu sur son visage le désir et la
jouissance en la possédant et en la faisant crier de plaisir. Il savait qu’il pouvait
disposer d’elle à sa guise, il l’avait tellement soumise à sa volonté qu’elle avait
accepté de se donner à un autre homme quand il avait proposé son corps nu à notre
voisin du dessus. Dur pour moi d’admettre ce comportement, alors qu’elle avait
toujours refusé de réaliser mes phantasmes de sodomie et de triolisme. De ce dont
j’étais le moins fier, c’est qu’il avait même réussi à me faire cautionner ce nouvel
ordre des choses, il avait prouvé qu’il était le maître en m’invitant dans mon propre
lit, à assister et à participer au dévergondage de ma femme, il avait asservi la femme
et le mari ; de témoin hostile à cocu passif et consentant, dans le feu de l’action et
sous le coup de ma propre excitation je l’avais même poussé à la baiser sans capote,
j’avais applaudi quand il avait joui dans son ventre et j’en avais tiré un plaisir
masochiste en me masturbant comme un fou. J’avais libéré ma semence en l’air, en avais
même aspergé les amants, tandis que Philippe remplissait le ventre de ma femme,
j’avais accepté sans réserve qu’il puisse l’engrosser.
Après ce moment de pure folie,
j’en avais ressenti de la colère envers moi-même avant d’être envahi de honte comme
maintenant. Pour obtenir cette victoire absolue, il lui avait suffi de coucher avec
elle une seule fois. Non, il ne pourrait jamais renoncer à cette femelle si portée sur
les plaisirs charnels. Je me demandais si la dite femelle avait déjà mouillé sa
culotte. Elle devait se languir du gros sexe qu’elle avait reçu en elle et qui lui
avait procuré tant de plaisir. Je ne doutais pas un instant qu’elle avait hâte de
recommencer.
Après le repas, les convives se dispersèrent, certains restèrent à table à
raconter des blagues, d'autres partirent jouer aux boules, d'autres encore mirent de
la musique pour danser un peu. Malgré moi, je suivais discrètement les déplacements de
Maria, elle était en grande discussion avec un groupe de femmes quand elle rejoignit
une groupe de jeunes autour de la piscine, où elle fit la folle comme une collégienne,
émoustillant sans doute les jeunes coqs qui roucoulaient en chahutant avec une amie de
leurs mères qui ne s’offusquait pas le moins du monde quand ils profitaient, sous
prétexte de jeux aux allures innocentes pour plonger mains et doigts explorateurs sous
la jupe légère, la belle poussait juste de petits cris joyeux quand les coquins lui
pinçaient fesses et tétons. J’observais ces scènes avec amusement quand elle se lassa
de ces émois adolescents et se dirigea vers un groupe d’amis, adultes hommes et
femmes, qui avaient mis de la musique. Parmi eux figurait Philippe, des couples
informels commencèrent à se trémousser et à danser. Ma femme qui évoluait
gracieusement dans sa petite jupe rouge et virevoltante me faisait penser à un joli
papillon, joli papillon qui ne tarderait pas à se brûler les ailes.
Quant à moi, j’avais un peu bu, je me sentais fatigué, en fait je n'avais pas trop le
cœur à la fête et m'ennuyais un peu.
Je me sentais un peu en trop entre ma femme et
son amant. Je savais qu'elle ne demandait qu'à lui succomber une nouvelle fois, et je
savais aussi qu'il ne laisserait pas s'échapper une occasion pareille. Les choses
étant ainsi établies, je cherchai à m'éclipser et me mis à la recherche d'un petit
coin tranquille pour me reposer. Tout à fait à une extrémité de la villa, il y avait
après un grand patio une sorte de studio indépendant qui devait servir à accueillir
des amis. Il y avait une pièce centrale avec un grand canapé lit, une salle de bain
attenante et une mezzanine avec un petit lit au-dessus. Un autre avait eu la même idée
que moi et m'avait devancé en s'emparant du confortable canapé. Magnanime, il me
désigna du menton le lit du haut avant de se mettre à ronfler. Après avoir laissé mon
blouson sur l'énorme porte manteau qui trônait au milieu de la pièce, je montai et ne
tardai pas à m'assoupir à mon tour. Après un premier sommeil profond, je restai
allongé en rêvassant.
J'étais déjà complètement éveillé quand un couple entra dans la pièce. La
première chose que fit la femme fut de refermer vivement la porte avant d'explorer la
chambre du regard. Je reconnus immédiatement la jupe rouge sur chemisier noir :
c'était Maria. Et celui qui l'accompagnait était Philippe. Évidemment ! Je décidai de
rester caché même si j’avais une petite idée de la suite des évènements. Ma femme
allait encore se faire sauter, elle ne demandait que ça et j’avais une envie un peu
perverse d’assister à la scène et de jouer les voyeurs. Pour le moment, elle semblait
en colère et maugréa :
- Tu es content de toi ? Maintenant tout le monde doit savoir que j’ai couché
avec toi !
- Tu exagères, je n'ai pratiquement rien dit à personne.
- Tu parles d'une discrétion, tu as commencé à me rouler des pelles et à me
peloter devant tes copains qui sont aussi, je te rappelle, ceux de mon mari. En
dansant, tu m'as carrément mis la main aux fesses devant plusieurs personnes. Une de
nos copines m’a même fait un petit signe discret avec un sourire entendu, elle doit
être contente de savoir que je ne suis pas si respectable que ça, plutôt du genre à me
faire trousser derrière une porte dès que mon mari a le dos tourné.
- C’est sans doute parce qu’elle aussi trompe son mari.
- Je m’en fiche qu’elle trompe son mari ou non, je ne veux pas que tout le monde
sache que je trompe le mien.
- Ne joue pas les hypocrites avec moi, je t'en prie. Je t'ai vue chahuter comme
une gamine avec plusieurs jeunes près de la piscine.
- J’ai le droit de faire la folle de temps en temps, même si je ne suis plus une
gamine.
- De cela, plus d'un s'en est aperçu en profitant du spectacle. Je peux
t'assurer que tes bas et ta petite culotte noire ont fait un tabac.
- Tant mieux pour eux s’ils ont vu mon cul, ça leur fera des souvenirs, et tant
pis pour moi si je leur ai dévoilé tous mes charmes, de toutes façons, ce n’est pas
bien grave et je m’en fiche.
- Et ne me dis pas qu'il n'y a pas au moins deux ou trois bienheureux qui en ont
profité pour te peloter les nichons et les fesses. Et toi, l’hypocrite, tu les
laissais faire en riant aux éclats comme si de rien n’était.
- C'est vrai que j’ai senti quelques mains baladeuses et qu'ils m’ont pincé un
peu les fesses, mais c'était seulement un jeu, pour chahuter.
- Il y a peu de femmes qui laissent des gamins jouer dans leur culotte.
- Ne sois pas bête.
- Et c'était pour jouer aussi que tu es restée allongée sur un matelas avec un
des petits jeunes ? Je ne pensais pas que tu faisais la sortie des écoles.
- Tu es jaloux, ma parole, tu me surveilles plus que mon mari. C’est vrai que
j'ai flirté avec Sébastien. C’est le fils d’une de mes amies, il est beau et très
gentil.
- Ma parole, tu voulais te faire un petit jeune ?
- Et pourquoi pas ? Tu n’as jamais eu envie d’une fille de vingt ans toi ?
- Moi je ne suis pas une femme mariée.
- Ça n’empêche pas d’avoir des envies de temps en temps.
- Il ne s’embête pas ce jeune, il s’attaque aux copines de sa mère. Au minimum,
il a eu droit à la langue fourrée et la main dans la culotte de la dame.
- Avec lui les choses sont allées plus loin, c’est vrai, il a joué dans ma
culotte, il a joué à l’explorateur. On s'est embrassé et on a joué à touche pipi comme
des collégiens.
- Et pour finir, le gentil collégien a fourré la belle chatte de la copine de
maman.
- Non. J'en avais autant envie que lui mais je n'ai pas apprécié que tous ses
copains aient les yeux braqués sur nous. Alors quand il est monté sur moi, je l’ai
repoussé, j'ai remonté ma culotte et je lui ai dit que j'avais passé l'âge de tirer un
coup à la sauvette. Surtout en public devant tous ses copains.
- Ils ont vu ta chatte alors ?
- Demande leur, je ne sais pas ce qu’ils ont vu, mais comme ils étaient sûrement
plus attentifs et intéressés qu’à l’école, aucun détail n’a du leur échapper. A un
moment je me suis même demandée si Sébastien avait réellement envie de moi ou s'il
voulait seulement se taper une femme mariée pour épater la galerie.
- Tu es la pire des allumeuses. Le pauvre, tu l’as planté là, sans même pas une
petite pipe pour le soulager ! Tu crois qu’il est encore puceau ?
- Sans doute. Je l’ai branlé discrètement et je l'ai laissé avec sa trique
poisseuse. Il peut toujours se masturber en pensant à moi.
- Et après ça tu me fais tout ce cirque pour une petite main au cul.
- Petite la main au cul, mon œil. Tellement insistante que tes copains
attendaient pour savoir si je te donnais une gifle ou si je me laissais faire,
histoire de voir mine de rien si je suis du genre peu farouche qui s’allonge quand on
lui demande. J'ai été obligée de partir.
- C'est pour ça que tu es venue ici ?
- Exactement. Je voulais te dire que je ne veux pas que tu m'embrasses ou que tu
me caresses en public.
- Pourquoi ? Ce qu'on fait ne regarde personne.
- Justement ! Tu oublies que je suis mariée. Je trompe mon mari, je ne veux pas
l’humilier en plus. Je ne veux pas qu'un de ses copains lui jette un jour en figure
qu’il n’y a que le train qui n’est pas passé sur sa femme.
- C'est bon, excuse-moi, je ne pensais pas que c’était si grave. Et ici, qu’est-
ce que je peux faire pour toi ?
- Ici, on est seul, tu sais très bien ce que tu peux faire pour moi puisque tu
l’as déjà fait. Je suis venue pour ça aussi.
- Alors, tu veux la même chose que l’autre fois chez toi ? Tout ce que je veux ?
- Tout ce que tu veux.
- Après la scène que tu viens de me faire, tu vas d’abord te faire pardonner et
me prouver que tu es une belle petite salope.
- Bon d’accord, je suis une belle salope. Que veux-tu que je fasse ?
- Commence par enlever ta culotte et montre-moi ta motte.
Ma femme chérie fit glisser son slip sur ses jambes gainées de noir jusqu'à
ses chevilles et le poussa vers Philippe de la pointe du pied. Elle releva les deux
pans de sa jupe ouverte et se montra nue du haut des cuisses jusqu'au nombril.
Philippe montra son contentement :
- Un bon point pour toi, petite salope. Tu dis que tu cherches une bonne queue ?
- Parfaitement !
- C'est vrai que tu cherches à te faire mettre. Approche, que je vois si
Mistigris est aussi affamé que tu le prétends !
- Alors comment tu le trouves, mon minou ?
- Tu es trempée, ma cochonne !
- J’ai mouillé ma petite culotte, c’est vrai.
Il la caressa, la palpa, explora la fente d'un bout à l'autre, en fouillant
bien profondément les deux orifices, puis revint sur cette belle chatte à nouveau à sa
merci. Il la caressa encore, la pénétra des doigts, et la branla en frottant le
clitoris tout en simulant le coït en allant et venant en elle. Maria gémissait déjà
tout en posant ses mains sur les épaules de son amant. Ce dernier prit ma femme par la
taille et l'embrassa sur les lèvres. Maria passa les bras autour de son cou et lui
rendit son baiser. Le bouche-à-bouche continua, tandis que les mains de Philippe
palpaient ce corps que je connaissais si bien, s'attardant sur les seins et sur les
fesses rebondies. Puis le couple bascula sur le canapé où les caresses se firent plus
précises. Tout en jouant de la langue dans sa bouche, Philippe avait passé une main
sous la jupe et caressait mon épouse.
Maria riait en gloussant :
- Tu sais pourquoi j'ai dis non à ce jeune ?
- Parce que tu n'avais pas envie de faire l'amour avec lui, non ?
- Non, bien au contraire, j'en mourrais d'envie. Mais je savais aussi que tu
allais t'occuper de mon minou mieux que lui.
- C'est vrai que je sais exactement ce qu'il lui faut à ton minou.
Elle s'abandonna avec délice à ses caresses puis se ressaisit en s'attaquant
au pantalon de son amant. Elle vint vite à bout des boutons et de la braguette et tira
le vêtement vers le bas. Sans perdre de temps, elle baissa le slip et se saisit
aussitôt du sexe bandé.
Elle se laissa retomber sur le dos en entraînant son amant sur elle et lui dit
:
- Tu as envie de ma chatte ?
- Elle m'a manqué. C'est une des meilleures du département. Serrée, brûlante et
trempée, tout ce que j’aime.
- Si tu savais dans quel état m'ont mise ces jeunes cons !
- Tu es à point alors ?
- Plus que jamais.
- J'adore voir une femelle en chaleur.
- C'est à toi que je voulais offrir ma chatte aujourd'hui.
- C'est vrai que tu es comme une fontaine.
- Je crois que j'ai eu assez de caresses pour cet après-midi. C'est bien gentil
mais ça ne fait pas le compte.
- Je vais te le donner, le compte, tu vas voir.
- Baise-moi, j'ai envie de ta grosse queue ! Elle m’a manquée, tu sais.
- C’est vrai ? Tu avais l’air très fâchée quand on s’est quitté la dernière
fois.
- Tu m’avais dit des horreurs.
- Tu ne voulais pas me revoir, j’étais déçu après ce qu’on avait fait ensemble,
mais je ne le pensais pas.
- Tu es le seul qui me baise mieux que mon mari, tu me rends folle avec ta
grosse bite.
- Ta chatte aussi m’a manquée. Je vais te la fourrer tout de suite.
Personne ne pouvait résister à cette requête qui fut satisfaite sur-le-champ.
Philippe s'enfonça en elle d'un coup et se mit à la ramoner vigoureusement. Maria
croisa ses jambes sur le dos de son partenaire pour faciliter le mouvement de la verge
dans son ventre et ne tarda pas à succomber en se tordant littéralement de plaisir.
Philippe ressortit alors sa queue toujours raide et lui demanda de se retourner pour
la prendre en levrette. Ma femme s'exécuta et fut un moment limée de cette façon. Puis
son amant sortit entièrement son sexe du con inondé. Il prit le temps de mettre un
préservatif puis se présenta à l'entrée de son petit trou qu’il mouilla de la cyprine
qui coulait en abondance. Elle ne protesta pas quand il força le passage pour la
sodomiser et le laissa jouir dans son cul.
Maria, en vraie petite femme d'intérieur, prit toutes les précautions
possibles pour ne pas salir le beau canapé et courut se laver à la petite salle d'eau
attenante. En tournant le dos à Philippe, un pied au sol et l'autre sur le bord du
lavabo, elle se lavait avec un gant de toilette consciencieusement l'entrecuisse et
surtout l'anus. Celui ci était aux premières loges pour le beau spectacle d'une
femelle lavant son cul après l'amour. Il la laissa terminer sa toilette intime et vint
la rejoindre. Plaqué derrière elle, il enfonça ses doigts dans le con qu'il venait de
posséder tout en caressant les seins curieusement encore retenus dans le soutien
gorge. Sans doute n'avaient-ils pas eu le temps de l'enlever !
Maria, langoureusement, tourna légèrement son visage pour pouvoir l'embrasser.
Ils jouèrent un moment à tourner et à enrouler leurs langues tout en continuant à se
caresser. Philippe lui mordillait maintenant l'oreille en lui disant :
- Tu es encore plus bandante que l'autre fois.
- Merci mon chéri.
- Et tu as fait des progrès.
- Tu trouves ?
- C’est un régal de te baiser, ton petit con est toujours aussi serré, tu suces
comme une reine, et maintenant tu aimes te faire enculer.
- Je suis plus large de mon petit trou et je n'ai plus mal.
- A ce que je vois, ton petit cul a pris de la saucisse depuis mon passage.
- Je ne jouis pas vraiment par ce trou là, mais c'est comme faire une pipe, ça
me plait bien de le faire et ça m'excite beaucoup.
- C’est moi qui t’ai cassé la rondelle, mais je parie que c’est ton jeune voisin
qui a t’a rodé le trou du cul.
- Ce que j'ai fait avec lui ne te regarde pas.
- Ça ressemble à un aveu, non ?
- Il est gentil et il en a une bien moins grosse que la tienne. Il a insisté
pour me prendre par là, alors je lui ai dit de le faire s’il y allait doucement.
- Et tu aimes ?
- De plus en plus, c’est vrai que c’est bon par là aussi. Il m’a donné beaucoup
de plaisir.
- Je savais que tu ne tarderais pas à coucher avec lui. Tu as mouillé ta motte
dès qu'il a posé les yeux sur toi. Tu étais tellement en feu qu’il a pu te prendre
dans l'escalier.
- Tu as été ravi qu’il me prenne juste après toi, cela t’a amusé.
- À sa place, je ne me serais pas fait prié non plus. Remarque, en y pensant
bien, il est malin le bougre, tu le considères comme un type bien parce que tout est
de ma faute, et il t’a baisée tant qu’il a voulu. Je suis curieux de savoir comment tu
t’es débrouillée pour l’amener dans ton lit sans passer pour une vraie pute.
- Il savait déjà que je n’étais pas fidèle…
- Et pour cause !
- Alors j’ai été franche et directe. Je lui ai dit que j’avais envie de lui mais
que mon mari n’apprécierait pas que je couche avec lui.
- Et ?
- Il m’a proposé l’échangisme.
- Décidément, il est vraiment malin. Comme ça, il pouvait te baiser
tranquillement tandis que ton mari se consolait avec sa femme.
- Exactement, et c’est ce qu’on a fait le dimanche suivant.
- Lui aussi t’a baisée devant ton mari ?
- Il fallait le faire devant Bernard et Edith si on voulait qu’ils couchent
ensemble.
- Et ça a marché ?
- Comme prévu.
- Et après tu as eu le champ libre et la conscience tranquille. Ton mari t’avait
donné l’absolution de ton pêché d’adultère et telle que je te connais, tu en as
profité pour le tromper à couilles rabattues.
- C'est de ta faute si j'ai couché avec Eric.
- Un peu de ma faute et beaucoup parce que tu as le feu au cul ma salope. Je
parie que tu ne t'es pas contenté d'une simple petite galipette.
- Nous avons eu une liaison pendant un mois environ.
- Vous avez baisé tous les jours ?
- Non, c’était impossible, on se voyait seulement deux ou trois après-midi par
semaine.
- Tu l'as dit à ton mari ?
- En partie. Il sait plus ou moins que j'ai couché avec lui une fois ou deux
après le fameux dimanche, mais je n’ai pas osé lui raconter toutes les fois qu’on l’a
fait.
Dans mon petit coin, je tendais l’oreille, j’allais moi aussi apprendre des choses que
ma douce moitié avait cachées à son mari.
- Tu baisais avec les deux presque tous les jours ?
- C'est vrai. Je passais l’après midi à faire l’amour avec Eric et après je
demandais à mon mari de me prendre dès qu’il rentrait. Je ne sais pas pourquoi mais je
jouissais plus fort avec mon mari quand il me possédait après mon amant.
- Explique –moi ça !
- C’est difficile à comprendre, mais quand un autre homme me prend, je jouis
plus fort en pensant que je trompe mon mari et que je vais tout lui raconter. Et quand
je fais l’amour avec mon mari, je deviens folle quand un autre a joui en moi juste
avant lui.
- Tu es une vraie garce, ma parole.
- Peut-être, mais c’est plus fort que moi. Et si je sais qu’il peut me
surprendre, je jouis encore plus fort.
- Il t’a déjà surprise au lit avec ton étalon ?
- Non, ils se sont croisé, parfois de justesse, une fois je n’ai même pas eu le
temps de me laver.
- Ça craint, non ?
- Je ne l’ai pas fait exprès, c’était au tout début de ma relation avec Eric, la
deuxième fois que je couchais avec lui.
- Il a assuré, on dirait.
- Tu ne peux pas savoir, je n’ai jamais vu ça. Il a eu une érection de folie
toute l’après midi, comme si il avait pris quelque chose avant de venir me voir.
- Tu parles, bien sûr qu’il a pris quelque chose, du Viagra peut être. Il savait
qu’il allait se taper une femme mariée bien cochonne…
- Moi en l’occurrence, tu crois qu’il me voyait comme ça ?
- Il t’avait déjà baisée ?
- Oui, plusieurs fois.
- Alors il savait que tu aimes la queue, en plus il t’avait vue avec moi.
- Une salope, quoi.
- Un super coup. Ses copains lui ont conseillé de prendre une deux pastilles
bleues, c’est normal.
- Tu crois qu’il a parlé de moi avec ses copains ?
- On le fait tous un peu.
- Toi aussi tu as parlé de moi ?
- Bien sûr, ce n’est pas tous les jours qu’on tombe sur une fille comme toi, il
s’est un peu vanté de te baiser.
- Et selon toi ses copains lui auraient dit de prendre quelque chose ?
- C’est le meilleur moyen de s’éclater avec une femme comme toi, et en plus il
t’a impressionnée.
- C’est la vérité, il m’a fait l’amour toute l’après-midi, je ne sais pas
combien de fois il m’a prise sans débander.
- Par tous les trous ?
- On a tout fait, tout ce qu’une femme peut faire avec un homme, je l’ai fait ce
jour là avec lui. Il était doux, gentil et son sexe était petit, mais dur comme une
barre d’acier…
- Elle n’avait pas un petit goût de merde, sa barre d’acier ?
- Idiot, il allait se laver après chaque rapport, surtout après un rapport anal.
Et quand il revenait de la salle de bains, il me la mettait dans la bouche, toute
propre, délicieuse.
- Et toute rose ?
- Et toute rose, oui. Avant lui, je n’avais eu que mon mari et toi, et vous avez
tous les deux un gros sexe.
- Un sexe d’homme.
- C’est ça, et avec Eric, ce n’est pas pareil.
- Il a une petite bite, un zizi de bébé ?
- Non, il ne faut pas exagérer, mais il a un zizi rigolo.
- Rigolo ?
- La première fois que j’ai baissé son slip, j’ai failli éclater de rire, son
zizi est sorti comme un ressort. Quand il est excité, il a son sexe collé contre son
ventre.
- C’est mignon.
- Son zizi est presque aussi long que les vôtres, mais tout fin.
- Une vraie sucette pour petites filles !
- J’ai pensé la même chose, pour moi ce n’était pas un sexe d’homme mais un
sucre d’orge. Et tu vas rire, son sperme a un goût sucré.
- Ne me dis pas qu’il a réussi à te faire jouir avec ça.
- Bien sûr que si, il bandait toujours, et n’arrêtait jamais de me la mettre de
partout, on aurait dit un bourdon. Et je te jure que j’ai pris beaucoup de plaisir
avec lui.
- Une petite bite travailleuse en somme.
- C’est drôle avec lui je n’ai jamais eu l’impression de baiser, c’était
toujours comme un jeu, un flirt.
- Toi tu jouais mais pas lui, il te baisait par tous les trous.
- Moi je jouais. Je jouais tellement que je devenais folle, je jouissais avec
lui et j’attendais que mon mari rentre pour me faire bourrer très fort.
- Alors ton amant te préparait et ton mari te défonçait. Et ça te plaisait ?
- C’était divin. Mais ce que j’ai aimé le plus avec Eric, c’est de le sucer, je
n’ai jamais tant aimé sucer une queue.
- Il s’est vite aperçu que tu aimes ça. Tu lui mettais le doigt au cul en le
suçant ?
- Décidément, tu me connais trop bien. Tous les moyens sont bons, vous bandez
plus vite et plus fort quand on vous fait ça, et moi c’est ce que je veux quand je
suce. J’adore jouer avec le sexe et les bourses d’un homme.
- Et après que tu lui tires sur la nouille, il te fourrait un autre trou.
- Il m’a eu comme il a voulu, je lui ai tout donné, et je ne sais plus combien
de fois il m’a prise.
- Il ne s’est pas contenté de ta belle chatte, ni de tes dons de suceuse, le
coquin, il t’a élargi l’anus.
- C’est moi qui lui ai demandé de me prendre par là.
- Tu rigoles ?
- Non, j’avais envie de savoir si c’était bon, apparemment tous les hommes
veulent prendre les femmes de cette façon, peut-être est-ce une manière de mieux nous
soumettre.
- Vous êtes des chiennes.
- Tu vois, j’ai raison, vous êtes tous pareils. Lui, il ne se comportait pas
comme une brute, alors je lui ai demandé de le faire en douceur, et il m’a prise sans
me faire mal, bien au contraire.
- Une fois ? Deux ?
- La première fois, oui.
- Et en tout ?
- Vingt fois, peut-être plus, je ne sais plus. Plus il me sodomisait, et plus
j’aimais. Et il n’a pas négligé mon plaisir, il s’est bien occupé de moi, il m’a prise
par devant je ne sais combien de fois.
- Il s’est éclaté et tu t’es régalée.
- Absolument, à tel point que je ne voyais pas le temps passer, ça a été chaud
une fois ou deux.
- Chaud ? Tu veux dire que ton mari a failli vous surprendre ?
- Une fois, je me rappelle que disons qu’il est parti vers sept heures et mon
mari est rentré à sept heures une, ils ont failli se croiser dans l’escalier,
heureusement qu’Eric remontait chez lui, moi j’étais encore nue et au lit, pas lavée
et donc pas vraiment fraîche, tu sais pourquoi, les draps étaient sales …
- Des traces de caca merdeux, je parie ?
- Oui, et de sperme, de sueur et de tout. En plus, la chambre n’était pas aérée,
ça sentait le sexe…
- Et le cul !
- L’odeur d’une orgie. Moi naturellement je ne pouvais pas me sentir moi-même
mais comme je n’étais pas lavée, je ne devais pas sentir la rose non plus.
- Avec le con et le trou du cul pleins de foutre, tu sentais autre chose que la
rose, crois-moi.
- J’avais honte, mon amant n’était pas là physiquement mais tout rappelait son
passage, il ne fallait pas être sorcier pour deviner ce que je venais de faire avec
lui, tout m’accusait.
- Et que s’est-il passé ?
- Rien, pas d’esclandre, pas de commentaire, pas le moindre reproche, à ma
grande surprise, mon mari s’est déshabillé, il est entré au lit et est passé entre mes
cuisses. Il avait une érection terrible et il m’a prise sans rien dire.
- Et toi ?
- Moi, j’avais le sexe comme une soupe, je l’ai laissé faire.
- Tu parles, une soupe de foutre.
- Ça n’a pas gêné mon mari, au contraire, c’est comme s’il voulait couvrir les
traces de mon amant par les siennes, il bandait comme un bouc en rut et il m’a
possédée deux fois sans se retirer.
- Et toi, tu as joui ?
- J’étais morte de honte et de fatigue, mais j’ai eu un sacré orgasme aussi.
- La honte, ça ne tue pas, c’est bien connu. Et après ?
- Après, rien. Mon mari a seulement dit que j’étais une belle salope, mais qu’il
m’aimait quand même.
- Il a tout compris, il s’est rendu compte de tout et il t’a baisée comme si de
rien. Pour passer tout le temps sur sa femme après les autres, il n’est pas dégoûté le
mec.
- Au contraire, tu vois.
- Tu lui as donné le cul à lui aussi ?
- Pas ce jour là, non.
- Bravo. Il sait que j’ai étrenné ton cul, il voit que tu remets ça avec un
autre et lui n’a pas le droit.
- Ne t’inquiète pas, il s’est rattrapé depuis.
- Et il t’a surprise d’autres fois ?
- Juste une autre fois, mon mari a téléphoné pendant que j’étais avec Eric. On
peut dire qu’il m’a surprise par téléphone.
- Comment par téléphone ?
- Un après-midi, Eric est venu et m’a baisée comme d’habitude. A un moment, il
venait de finir de me sauter quand le téléphone a sonné et j’ai couru décrocher.
C’était mon mari. Eric est allé se servir un coca et je me suis assise sur le canapé.
Eric dégustait son soda, petit à petit il s’est approché sans bruit et a commencé à me
mettre sa queue sur le visage et dans la bouche pendant que je parlais. Au début
c’était seulement un jeu coquin, mais peu à peu il s’est excité et moi aussi. Il m’a
fait mettre à quatre pattes et m’a prise en levrette. J’avais toujours Bernard au
téléphone et il en a profité pour me sodomiser en me branlant. J’ai commencé à gémir
et à soupirer en parlant. J’entendais mon mari qui disait que j’avais une drôle de
voix et qu’il entendait des bruits bizarres, comme des parasites. Le parasite, je
l’avais dans le cul et aussi dans le sexe.
- La queue dans le cul et les doigts dans le con ?
- Je répète, je ne voyais pas ce qu’il m’avait introduit dans le sexe mais
c’était plus gros qu’un doigt ou même plusieurs.
- Ca t’a plu ?
- Trop. J’ai du mordre un coussin pour ne pas crier et Eric me branlait de plus
en plus fort. J’ai eu un de mes orgasmes les plus violents pendant que je raccrochais
le combiné, je crois que j’ai joui avant de raccrocher. Et c’est seulement après, en
baissant les yeux que j’ai découvert comment Eric a réussi à me faire hurler de
plaisir.
- Comment ?
- J’ai vu alors la bouteille de coca qui dépassait de mon sexe. J’ai encore du
mal à le croire aujourd’hui.
- Il t’a baisée avec une bouteille de coca ?
- Exactement. J’ai failli crier de plaisir dans le téléphone à cause d’une
bouteille de coca.
- Ce n’est pas possible, tu es folle, ton mari a du se douter de quelque chose.
- En tout cas, il ne m’a jamais rien dit. J’ai joui en lui parlant, mais le pire
de tout, c’est qu’il me regarde quand je me fais baiser par un autre. Là, je deviens
carrément hystérique, tu en sais quelque chose, tu t’en rappelles ?
- Tu parles si je me rappelle !
- C’était la première fois que je trompais Bernard, mais je n’ai jamais joui si
fort de ma vie.
- Ce jour-là, je suis passé de l’espoir à la douche froide je ne sais plus
combien de fois. Quand je suis sorti de chez toi, je ne savais plus si j’avais rêvé ou
si c’était réel. J’ai mis un bon moment avant de réaliser qu’on avait vraiment baisé
comme des bêtes.
- Moi non plus je ne savais plus, j’ai perdu la tête quand j’ai pris ton sexe
dans ma bouche devant mon mari, à partir de là, tout a été une folie, j’ai failli
m’évanouir quand je t’ai baisé.
- Et quand je suis parti, tu n’as pas perdu de temps pour me remplacer. A peine
le dos tourné, tu es allée voir ton voisin.
- . Après toi, il y a eu Eric, c’est vrai que j’ai cédé si vite que cela m’a
surprise moi-même.
- Tu as pris de la saucisse alors ?
- En fait je n’ai jamais tant baisé de ma vie que depuis que je trompe mon mari.
J’ai l’impression qu’on peut devenir boulimique du sexe. Pour moi en tout cas, c’est
comme ça.
- Il te baise toujours ?
- Non, plus maintenant, je ne le vois plus. On s’est revu quelques fois depuis
qu'ils ont déménagé mais c’est plus compliqué. L’hôtel ou la voiture, c’est pas si
pratique et ça peut poser des problèmes, même si c’était bon.
- Explique moi ça.
Sans l’avoir fait exprès, j’étais là au bon moment au bon endroit pour écouter des
confidences intimes que ma femme ne m’aurait jamais faites. J’étais médusé, je savais
que ma femme me trompait, je m’étais résigné à l’idée qu’elle avait pris goût au
plaisir adultère et qu’elle ne manquerait pas de se faire sauter si l’occasion se
présentait. Mais là, je constatais qu’elle avait appris le mensonge, Maria me trompait
bien plus que je l’imaginais et en plus, elle me le cachait. Je souffrais d’être un
mari cocu, et en plus d’être pris pour un benêt. C’était dur à avaler et je ne savais
pas du tout quoi faire. Je tendis l’oreille pour la suite :
- J’ai retrouvé Eric dans un petit hôtel, et à chaque fois que j’allais et je
revenais, j’avais vraiment conscience de faire quelque chose de mal.
- De tromper ton mari, non ?
- C’est cela, c’est à la fois culpabilisant et très excitant de se dire qu’on
est une belle salope, et que si on couche, ce n’est pas par hasard mais c’est
exactement cela qu’on est venu chercher. Mais en plus, le patron de l’hôtel était un
gros vicieux, il me posait des questions très indiscrètes, sur moi, sur mon mari, mon
amant, mes envies d’hommes, c’était gênant.
- Il devait avoir envie de te baiser aussi.
- Lui sûrement, mais moi pas. Après, comme je ne voulais plus à l’hôtel, on l’a
fait dans sa voiture et ça a été pire, on s’est fait surprendre par la police.
- En train de baiser ?
- En pleine action. Les types de la patrouille nous ont regardé baiser,
consommer le délit en quelque sorte. Ils ont fait les voyeurs, mais ils avaient la loi
pour eux. Nous on ne s’est aperçu de rien et on a continué jusqu’au bout. Les
policiers ont cru que j’étais une pute avec son client et nous ont embarqués au
commissariat. Ils ont vite relâché Eric, mais à moi, ils m’ont fait subir des examens
médicaux et un véritable interrogatoire, ils voulaient savoir combien de passes je
faisais, combien je gagnais, si j’avais un maquereau. Après deux inspecteurs ont pris
mes empreintes, et m’ont fichée à la brigade des mœurs.
- Comme pute ?
- Occasionnelle, oui. Ils m’ont de faire attention à ne pas me faire attr
une autre fois, parce qu’en cas de récidive, je serais définitivement fichée et que je
risquais de voir mon mari impliqué aussi. Tu te rends compte.
- Ton mari le sait ?
- Non, Eric le sait et ça l’a beaucoup amusé.
- Pas toi ?
- Non, pas vraiment. Depuis ce jour, on ne s’est jamais revus.
Deuxième K.O. de l’après-midi : ma chère épouse était fichée à la brigade des mœurs.
J’avais conscience d’avoir gravi un nouvel échelon dans l’échelle de mon infamie, je
n’étais plus seulement cocu, mais cocufié, plus seulement distrait mais idiot, ma
femme n’était pas une salope mais une putain, à ceci près qu’elle faisait gratuitement
ce que d’autres faisaient payer. J’écoutais maintenant avec la crainte d’une
révélation encore plus sordide :
- Tu n’as plus envie de lui ?
- Ce n’est pas ça, j’ai eu peur.
- Tu as raison, en fait, tu as eu de la chance que toute cette histoire en reste
là.
- En fait, cela ne s’est pas arrêté là, il y a eu une suite.
- Quoi encore ?
- Figure-toi que je n’ai pas de chance, j’ai un voisin qui est journaliste et
qui a accès à tous les rapports de police.
- Et il est au courant pour toi ?
- Bien sur qu’il est au courant.
- Et qu’est-ce qu’il a fait de ces informations ?
- Un jour, il m’a téléphoné à la maison …
- Et oui, il a eu ton téléphone aussi.
- Bref, il m’a demandé de venir le voir à son bureau au journal, il m’a donné
quelques détails et il a précisé qu’il valait mieux que je vienne.
- Et qu’as-tu fait ?
- J’y suis allé bien sur.
- Et qu’est-ce qu’il voulait te dire ?
- Il ne rigolait pas, je t’assure, d’entrée en matière, il m’a tendu un projet
d’article sur ma mésaventure avec assez de détails pour que je puisse être identifiée
par quelqu’un d’intime ou même un voisin.
- Le salaud ! Comment tu as fait ?
- Je l’ai supplié de ne pas publier cet article.
- Et comment tu t’en es sortie ?
- Quand je lui ai dit que j’étais prête à faire tout ce qu’il voulait, il m’a
demandé de mettre en application mes belles paroles, tout dépendrait de mes mérites.
- Je commence à comprendre.
- C’était tout simple en effet, lumineux même. Pour commencer et pour lui
prouver à quel point j’étais méritante, je suis passée sous le bureau et je l’ai sucé.
- Bref, tu t’en es sortie avec une petite pipe. Heureusement que personne n’est
entré dans le moment, ça aurait été pire.
- En fait, une femme est entrée, quand elle m’a vue à genoux en train de pomper
la queue de son chef, elle a dit pardon et est ressortie.
- Elle n’a rien dit ?
- Tu parles, tout l’étage était au courant, d’autant plus que le journaliste
faisait exprès de parler fort pour que tout le monde sache ce que je faisais.
- Ils ont du croire que tu étais sa future secrétaire.
- Tu peux en être sur, c’est plus facile de fantasmer sur la secrétaire au
chômage prête à tout pour trouver un travail que de se demander pourquoi une femme
mariée vient s’humilier dans un bureau.
- Une femme pleine de talents.
- En sortant j’ai bien vu comment on regardait la petite dame qui suce pour
obtenir la bienveillance des puissants.
- Et tu t’en es tirée comma ça ?
- Non, pas vraiment, en partant, il m’a pelotée les seins et la chatte, il m’a
dit que je lui plaisais bien et qu’on allait trouver un arrangement si je revenais le
lendemain. Il a encore ajouté qu’il aimerait que je ne mette pas de culotte.
- Et tu t’es pointée le lendemain sans culotte ?
- Il n’y avait rien d’autre à faire, le lendemain, je lui ai d’abord montré ma
chatte, je me suis allongée, j’ai écarté les cuisses et il m’a sautée sur la banquette
de son bureau.
- Il a bien joué son coup. Tu as joui un peu au moins ?
- Pas du tout, le bonhomme ne risquait pas de me faire grand-chose, il en a une
toute petite, un pénis de bébé avec des couilles de vieux, et en plus, il ne tient pas
la distance, à peine commencé et déjà fini.
- Alors, c’était par obligation.
- Après, je l’ai retrouvé dans un studio du quartier qui sert de garçonnière à
tous les baiseurs du journal et il est encore passé sur moi.
- Quand même !
- Et oui, quand même. Et après, il t’a laissée tranquille ?
- Non, j’y suis retournée plusieurs fois, il m’a sautée tant qu’il a voulu.
Jusqu’au jour où il m’a demandé de l’accompagner dans une boite échangiste.
- Tu as fait ça aussi ?
- Ça aussi, oui, j’ai couché avec plusieurs types, lui il est resté collé à une
de ses collègues, une femme mariée comme moi, une petite blonde un peu ronde avec des
gros seins d’une trentaine d’années, sur qui il fantasmait. Quand il a appris qu’elle
pratiquait l’échangisme avec son mari, il s’est servi de moi.
- Dis donc ! Et après ?
- Pendant qu’on baisait dans tous les coins, j’ai vu qu’un mec faisait des
photos de nos coucheries, j’ai été le voir, en fait, il se fait un peu de blé en
revendant ses photos aux membres du club et aux participants. Moi, je lui ai acheté
toutes les photos de la soirée, il y en avait de moi avec des mecs, et aussi de mon
maître chanteur journaliste avec la blondinette en question, et aussi avec le mari qui
lui a prêté sa femme mais qui lui a pris la bouche et le cul. Un échange de civilités
en quelque sorte. Mais j’étais ravie, ça arrangeait bien mes affaires. En rentrant, je
l’ai menacé de montrer les photos à sa femme s’il ne me laissait pas tranquille, et
depuis, j’ai la paix.
Quelle salope ! Maria avait préservé l’essentiel, elle avait protégé notre réputation
et pour elle, c’était le plus important. Peu importe d’être devenue une putain, peu
importe de tromper son mari à tout bout de champ, peu importe d’être obligée de
coucher avec tout le monde, non, l’essentiel, c’est le qu’en dira-t-on, ce qui est
primordial, c’est de pouvoir continuer à faire bonne figure dans le quartier, de
continuer à fréquenter nos relations, bref, de vivre comment si de rien n’était. Pour
moi, cette hypocrisie me dégoûtait bien plus que toutes les coucheries. La causette se
poursuivait :
- Et tu ne couches plus avec lui ni avec ton ancien voisin ?
- Non.
- Avoue que si Eric revenait te voir demain, tu coucherais avec lui ?
- Certainement, oui.
- Cochonne ! Et qui le remplace ?
- Personne, il n'y a que mon mari qui me baise en ce moment. Et toi aujourd’hui.
- Tu es en manque alors.
- Un peu, mais c’est surtout quand j’ai rompu avec Eric que ça a été dur.
- Et comment tu as fait ?
- Je passais le plus clair des mes après-midi à me masturber ou à me soulager
avec des godemichés.
- Je ne comprends pas que tu n’ais pas été voir ailleurs.
- J’en ai eu envie, mais ça ne s’est pas fait. Il y a eu des jours où j’avais
tellement envie que ça me rendait folle, je ne pensais qu’à ça. Je l’aurais fait avec
n’importe qui, le facteur, l’employé du gaz ou un voisin, vraiment n’importe qui.
- Il aurait été surpris.
- Plutôt oui. J’avais décidé d’ouvrir la porte en chemise de nuit transparente,
on se serait retrouvés au lit ipso facto.
- Mais personne n’a sonné à la porte si j’ai bien compris. Tu l’aurais vraiment
fait ?
- Tu peux en être sur, j’avais trop envie de baiser. Mais il n’y a eu personne,
tant pis pour lui et pour moi.
- Tu aurais pu penser à moi, ce n’est pas gentil.
- Si tu savais le nombre de fois que je me suis masturbée en rêvant de toi !
- Et pourquoi tu ne m’as pas appelé ?
- Si tu habitais à coté, je te promets que je l’aurais fais sans hésiter, mais
j’ai pensé que tu habitais trop loin que tu ne pourrais pas venir.
- Pas tous les jours, c’est certain, mais je me serais libéré quelques fois.
Qu’est ce que tu crois, tu vaux le déplacement.
- Quelle conne je suis, merde et merde. J’avais tellement envie que j’aurais
baisé n’importe quoi, tu sais.
- Et si j’étais venu avec un copain ?
- Vous m’auriez baisée à deux, ça aurait été une première.
- Tu l’aurais fait ?
- Je te le jure.
- Putain, tu es la femelle la plus chaude que je connaisse. Dire que tu étais
presque une sainte quand je t’ai connue !
- Au début, c’était pour me venger, je voulais juste me faire sauter pour que
mon mari soit cocu aussi. Juste une fois.
- C’est de la faute de ton mari si ça ne s’est pas passé comme ça, il ne nous a
pas laissé tirer notre petit coup peinard.
- On ne peut pas lui reprocher, ce serait trop injuste. Mais après, j’ai appris
avec toi qu’il n’y avait pas que mon mari pour me donner du plaisir. Et plus rien n’a
été comme avant, j’aime mon mari, j’ai du plaisir avec lui, mais je sais que je prends
mon pied avec d’autres hommes.
- Tu ne m’as jamais remercié.
- Je ne sais pas s’il faut que je te remercie ou je dois t’en vouloir. Ce n’est
pas très moral tout ça. Le pire, c’est que je n’ai pas l’impression de trahir mon mari
quand je me fais un mec.
- Après tout, c’est ton cul et tu en fais ce que tu veux.
- Une chose est sûre, tu as compté autant que mon mari dans mon éducation
sexuelle.
- C’est vrai ?
- Mon mari m’a fait découvrir mon corps, il m’a dépucelée, m’a fait connaître le
plaisir, l’orgasme en apprenant à apprécier le sexe. Et toi, tu m’as transformée, tu
m’as fait découvrir que le sexe et l’amour sont deux choses différentes, tout ce
j’avais fait avec mon mari, je pouvais le faire avec d’autres hommes, même des
inconnus, même sans éprouver quoi que ce soit d’autre que du désir. Et même que je
peux en faire plus.
- Plus ?
- Bien plus, oui. Tu es mon premier amant, ça tu le sais déjà. Mais tu es aussi
le premier homme en dehors de mon mari que j’ai regardé en me disant que j’allais
coucher avec lui, le premier devant lequel je me suis exhibée, le premier que j’ai
sucé devant mon mari, le premier qui m’a baisée devant lui et avec qui j’ai eu du
plaisir adultère. Et aussi le premier qui m’a sodomisée, le premier qui m’a exhibée et
proposée à un autre. Tu vois, ça fait beaucoup de premières fois.
- Tu as raison, ça fait beaucoup.
- J’ai envie de te raconter quelque chose mais j’ai peur que tu te moques de
moi.
- Mais non, raconte-moi.
- La première fois que j’ai fait l’amour, quand je suis rentrée chez mes
parents, ça a été une révélation et je pensais que ça se voyait, que quelque chose
avait changé chez moi, que tout le monde allait savoir que je n’étais plus vierge.
Mais rien, personne n’a rien vu, personne n’a rien remarqué. Depuis que je trompe mon
mari, c’est un peu pareil. Quand je rentrais à la maison après avoir couché avec Eric,
j’avais l’impression que les hommes voyaient que je venais de tromper mon mari.
- Mais non, tu te fais des idées, personne n’a rien vu, ce n’est pas marqué sur
ta figure.
- En tout cas, je suis certaine qu’il doit y avoir quelque chose.
- La seule chose qui a changé, c’est peut être ton comportement.
- Avant les mecs ne me draguaient pas comme maintenant.
- Tu te trompes, avant, les mecs te draguaient pareil, seulement tu n’y faisais
pas attention. Maintenant, ça t’excite, alors tu y fais cas. Pas vrai que ça te fait
plaisir ?
- J’adore me faire draguer.
- Ça te rend moins farouche.
- C’est le moins qu’on puisse dire, maintenant je me fais sauter par tout le
monde.
- Mais non, mais non, pas tout le monde.
- En tout cas, je ne m’effarouche pas à la vue du loup. Je suis ravie qu’on me
fasse la cour, même si parfois les mecs essayent de me coincer dans un petit coin pour
me faire ma petite affaire.
- Et tu adores qu’on s’occupe de ton minou.
- C’est le but du jeu, non ?
- Tu vas encore dire que c’est à cause de moi.
- Tu as laissé ton empreinte en moi, tu m’as marquée pour toujours en me
possédant comme tu l’as fait.
- Ce n’est pas possible.
- Je t’assure, tu m’as possédée comme personne, pas même mon mari ne m’a
possédée comme toi.
- Vraiment ?
- Quand tu es parti, je sentais encore ton membre en moi, dans mon sexe, dans
mes reins, qui me remplissait de ta semence, je sentais toujours mon corps trembler de
plaisir.
- Je ne pensais pas que tu avais senti cela. Tu es amoureuse de moi ?
- Non, je ne sais pas, mais je te désire toujours, ça oui.
- Ça c’est plutôt bien.
- Tu m’as marquée comme au fer rouge…
- Avec ma queue ?
- Oui, avec ta queue. Et maintenant, je t’appartiens, mon corps est autant à toi
qu’à mon mari.
- Quand je veux ?
- Quand tu veux, où tu veux et comme tu veux.
- Et ton mari ?
- Je suis sa femme, je l’aime, mon cœur est à lui, mais il sait que désormais
mon corps, mon ventre sont à toi aussi.
- Tu lui as dit ?
- Il sait que tu es mon amant.
- C’est officiel alors ?
- En tout cas, c’est comme ça, je suis un peu ta femme.
- Ma femelle plutôt.
- Si tu veux, physiquement, je suis à toi.
- Ton corps est à moi ?
- Tout à toi.
- Et ton con ?
- Aussi.
- Et ton petit cul ?
- Ça aussi c’est à toi. En plus, tu l’as étrenné.
- Et j’en fais ce que je veux ?
- Ce que tu veux.
- Et si je te prends au mot, tu ne vas pas le regretter ni te fâcher ?
- Ce qui est dit est dit.
- Alors j’ai le droit de cuissage sur ton petit cul, et j’ai l’intention d’en
profiter.
- Tout est à toi, mais j’espère que tu ne te contenteras pas que mon cul.
- Ne t’inquiète pas, je profiterai de tout, je vais r honteusement de mon
droit de cuissage sur ma petite salope préférée.
- Je suis ta petite salope préférée ?
- Tu l’es, c’est toi que je préfère baiser.
- C’est gentil de me dire ça. Je suis devenue ta chose, ta petite putain, et je
suis contente que tu me préfères aux autres.
- Tu le regrettes ?
- Non, plus maintenant. A un moment j’ai regretté de ne plus être la femme
fidèle et sérieuse que j’étais, mais je serais passée à coté de trop de bonnes choses,
de trop de plaisirs. Et maintenant, c’est une vraie drogue, je ne peux plus m’en
passer.
- De quoi en particulier ?
- D’abord du regard des autres hommes.
- Tu aimes te faire draguer ?
- J’adore ! C’est un plaisir de laisser un homme me faire la cour. Je joue à le
provoquer en montrant mes cuisses ou mes seins ; ce qui m’amuse le plus, c’est de voir
qu’il ne peut pas s’empêcher de me regarder là où je veux qu’il regarde, il n’arrive
pas à s’en défendre, je m’amuse des efforts qu’il fait pour essayer de ne pas montrer
son intérêt. Plus j’en montre et plus il est gêné, c’est un jeu que j’adore.
- Tu es une allumeuse.
- Pas seulement. Quand un homme se décide à passer aux choses sérieuses, il
m’embrasse et envoie toujours une main baladeuse remonter le long de mes cuisses pour
sonder le terrain. Et quand la main passe dans ma culotte, quand il met un doigt dans
la fente, là, s’il me plait, il comprend tout de suite que je ne suis pas une
allumeuse.
- Tu mouilles ?
- Je mouille comme une folle, je trempe ma culotte dès qu’on me touche.
- Tu aimes qu’on te regarde.
- J’aime m’exhiber devant les hommes, les exciter et savoir qu’ils ont envie de
moi.
- Tu aimes faire bander les mecs.
- Exactement, la bosse d’un pantalon me fait fantasmer. Et je ne te raconte pas
quand je m’attaque à la braguette, découvrir une queue, la caresser, la sucer et faire
l’amour sans tabous, il n’y a rien de meilleur au monde.
- Et tout ce bonheur grâce à moi ?
- Tout cela à cause de toi, plutôt.
- Je t’ai faite comme femme alors.
- Je crois que je me suis détraquée depuis la première fois que tu m’as eue. Tu
m'as fait faire des choses trop cochonnes et trop bonnes à la fois pour que je reste
fidèle.
- Et je parie que tu les as refaites avec d'autres mecs.
- Quelques-uns.
- Je suis même sûr que tu as réalisé ton phantasme, avoue que tu as baisé avec
plusieurs mecs en même temps.
- Deux oui.
- Je savais que tu le essaierais, tu en avais trop envie.
- C'est vrai que je l'ai fait mais sans le vouloir vraiment. A un moment, mon
mari me trompait avec une grosse salope du genre vicieuse et j'ai voulu lui rendre la
pareille avec son mari. Ce que je ne savais pas, c'est qu'ils étaient échangistes et
qu’ils s’amusaient à piéger les imbéciles comme mon mari pour soumettre leurs connes
de femmes comme moi à tous leurs caprices.
- Et tu es tombée dans le panneau ?
- J’ai foncé dedans, oui. Le mari m'a emmené dans leur club et après m'avoir
baisée, a invité son beau-frère à en faire autant. Ils m'ont fait tout ce qu'ils ont
voulu d’abord chacun leur tour, ensuite les deux ensemble…
- Tu as eu droit à une double pénétration ?
- Ils m’ont fait subir ça oui.
- Et ça ne t’a pas plu ?
- Sans plus, en fait j’avais trop peur qu’ils me déchirent pour jouir, mais ça
m’a beaucoup excitée. Après j’ai été vraiment humiliée.
- Pire qu’une double pénétration ?
- Pour moi, c’était bien pire.
- Je suis curieux de savoir.
- Ils ont déchargé et j’ai du leur nettoyer la queue avec la langue, après ils
m'ont fait coucher avec un vieux cochon. Le vieux arrivait à peine à bander et ils
m’ont fait sucer sa queue et pomper comme une folle pour qu’il ait une érection et
qu’il puisse me pénétrer. Comme j’étais à quatre pattes ils se sont amusés à me
sodomiser avec un gros godemiché en se moquant parce que j’avais tellement envie de me
faire prendre que je mouillais comme une collégienne. Ils m’ont fait ce qu’ils ont
voulu. Ils rigolaient de voir comment une femme comme moi se faisait baiser par ce
gros vicieux.
- Si je comprends bien, ta tête disait non, mais ton ventre criait oui.
- Exactement, et c’est tellement dégradant pour une femme que j’en ai encore des
frissons. Au début, je leur demandais d’arrêter mais finalement, en sentant ce membre
aller et venir dans mon ventre, je n’ai pas pu lutter contre le désir animal, c’était
horrible, j’ai perdu toute dignité, je ne me suis pas reconnue, eux m’insultaient, et
moi je les suppliais de continuer ; je me suis donnée à ce vieux bouc, quand j’ai
senti ses jets de semence, je n'ai pas pu m'empêcher de crier et de jouir comme une
folle. Les trois salauds étaient contents, ils avaient farci une dinde, ils ont
redoublé de moqueries. Une conne et une grosse salope, c’était ce qu’ils pensaient que
j’étais et je leur ai prouvé qu’ils avaient raison sur toute la ligne. A la fin, quand
je me suis retrouvée seule, épuisée et nue sur le lit, souillée de sperme des pieds à
la tête j’avais des courbatures aux cuisses, j’avais mal partout, aux seins, au sexe,
à l’anus, je me suis sentie tellement salie et humiliée que j'ai pleuré de honte.
- Ils t’ont traitée comme une salope, mais c’est toi qui les as baisés.
- Je ne vois pas pourquoi ni comment.
- Tu as réussi à prendre ton pied avec tous les trois, c’est plutôt bien, non ?
- Ils m’ont surtout soumise à tous leurs vices.
- Ça n'a pas été positif alors ?
- Physiquement si, mais je n’ai pas aimé qu’ils me traitent comme un paillasson.
- Et tu n’as jamais recommencé ?
- Si, une autre fois, mais là, ça m’a vraiment plu.
- Tu avais mieux choisi tes partenaires ce coup là ?
- C’était merveilleux, et mon mari aussi a aimé.
- Tu m’avais dit qu’il avait ce fantasme lui aussi.
- Je lui ai proposé de le faire avec un ancien petit copain, un flirt de jeune
fille.
- Et il a accepté facilement ?
- J’ai su le convaincre et il ne l’a pas regretté.
- Et ton copain ?
- Lui non plus ne l’a pas regretté, la femme mariée lui a donné tout ce que la
petite copine ne lui avait pas donné à l’époque.
- Je veux bien te croire, il a du te démonter le cul.
- Ne crois pas, c’est plutôt le contraire, c’était moi la reine du bal, et je
menais la danse.
- Je parie que tu les as laissés sur les rotules.
- J’étais déchaînée, je les ai vidés, épuisés, lessivés. A la fin, ils étaient
morts, même la plus belle femme du monde n’aurait pas pu les faire bander.
- Tu es une tueuse d’amants.
- Ce serait une belle mort, tu ne trouves pas ?
- Alors tu aimes le triolisme ?
- Oui, quand les hommes sont corrects avec moi, s’ils me respectent tout en
profitant de moi sexuellement, c’est tant qu’ils veulent, mais s’ils veulent
m’humilier et qu’ils me traitent comme un paillasson, non, je ne l’accepte pas.
- En somme, il te faut deux mâles gentils, bien montés et avec les couilles
pleines à ras bord.
- Oui.
- Deux bonnes queues pour toi toute seule.
- Et tout le reste aussi, les bouches, les langues, les mains, les doigts, tout
ça, avec l’expérience, ça devient des instruments de plaisir.
- Je vois que tu es devenue une vraie spécialiste.
- J’ai appris beaucoup depuis que je te connais.
- Ton mari sait que tu te comportes comme une salope avec n’importe qui ?
- Je lui dis tout.
- Et il est toujours avec toi ?
- Il m'aime, et je l'aime. C’est le plus important.
- Ça ne lui fait rien de te passer dessus après les autres ? Il ne dit rien
quand il veut te baiser et qu’il doit tremper sa queue dans le foutre de tes amants ?
- Je pense qu’il l’accepte.
- Alors s’il accepte de partager sa femme avec les copains et s’il aime que tu
prennes nos bites pour te graisser le con, tout est pour le mieux. Qu'il continue à
t'aimer et qu'il nous laisse profiter de ton cul ! Surtout qu'il en profite aussi
grâce à moi.
- Ne sois pas vulgaire !
- C’est la vérité, si je ne t’avais pas baisée et enculée, il ne t’enculerait
pas lui non plus. Ni lui, ni personne, et toi non plus tu ne jouirais pas quand on te
branle avec une bite dans le cul.
- Tu m’as soumise à tes quatre volontés.
- Et toi, tu aimes le faire cocu ?
- J’adore.
- Et pourquoi ?
- Je ne sais pas. D’abord, j’aime la queue, j’aime me faire baiser et j’ai envie
de me taper d’autres hommes que mon mari, et ce qui m’excite aussi, c’est de penser
que je suis une salope et que mon mari est cocu.
- En quelque sorte, tu aimes l’humilier ?
- Je ne sais pas, je n’y ai jamais réfléchi comme ça, mais en y réfléchissant,
c’est une sorte d’humiliation, oui, mais c’est autant pour lui que pour moi.
- Et tu n’as jamais rêvé de voir ton mari se faire enculer ?
- Pas vraiment, mais ça m’exciterait, c’est certain.
- Si tu veux, j’ai un copain à qui ça plairait bien d’enculer ton mari.
- Je vais lui proposer mais je crois que ce n’est pas son truc.
- Moi, ça me plairait qu’il se fasse enculer.
- Pourquoi ? Tu baises déjà sa femme, ça ne te suffit pas ?
- Tu te rappelles quand on a baisé la première fois ?
- Tu parles, j’en rêve encore.
- J’ai pris un pied pas possible en déchargeant dans ton con devant ses yeux.
- Moi aussi, c’était plus qu’un orgasme, pour moi c’était une révélation.
- Tu vois, toi aussi tu aimes que ton mari regarde les autres te baiser.
- C’est vrai, je jouis plus fort devant ses yeux.
- Ce serait marrant qu’il se fasse enculer en regardant quelqu’un qui se tape sa
femme.
- Comme ça, tu serais le maître du mari et de sa femme. Là, tu exagères.
- Ne le prends pas comme ça, imagine plutôt la scène, toi et ton mari, face à
face en levrette, avec chacun une bite dans le cul, vous pourriez vous regarder, vous
embrasser, ce serait bon non ?
- Pour moi oui mais pour mon mari je ne crois pas.
- Qu’est-ce que tu en sais ? Si ça se trouve, il aimera ça, ce petit pédé.
- Ne parle pas comme ça de mon mari.
- Tant pis, tu en prendras deux fois plus.
- Pour toi, on dirait qu’il n’y a que mon trou du cul qui compte.
- Mais non. Ton con est encore meilleur depuis que tout le monde te le fourre.
- Pas tout le monde, mais toi tant que tu veux. Tu en as encore envie ?
- Et toi, tu as envie de ma queue ?
- Je ne me fatigue pas de me faire baiser.
- Je suis partant pour te mettre encore un coup mais il va falloir que tu
travailles un peu pour avoir quelque chose de consistant dans le ventre.
- Avec la bouche ?
- Tu es une suceuse très douée si je me souviens bien. Et j'ai pensé à toi, j'ai
mis une capote pour t'enculer, ma queue n'aura pas un goût de merde.
- Tu es un gros cochon, oui ! Avoue plutôt que tu avais déjà l’intention de me
fourrer par tous mes trous. Vas sur le canapé en attendant que je finisse de me laver
!
Maria eut tôt fait de le rejoindre. Elle lui demanda de s'allonger sur le dos,
se mit à califourchon sur lui comme pour faire l'amour, puis se recula un peu en
basculant son buste pour amener son visage sur le bas-ventre de son amant. Sa langue
entra alors en action pour lécher les parties et le sexe encore mou, puis elle le prit
dans sa bouche et commença à le pomper. La pauvre était tellement absorbée par son
labeur qu'elle ne se rendit pas compte que la porte venait de s'ouvrir dans son dos.

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