Marie Ma Nouvelle Voisine - 33 - Mardi (Suite)

Avant de démarrer le véhcule, Cello lui dit :

« Raconte moi en détail, cette nouvelle expérience ma belle »

Cello prend la route de la maison et Marie commence le récit de son heure passé avec le traiteur :

«  Il s'est assis à son bureau et m'a ordonné sèchement de venir le lécher pendant qu'il préparait l'avoir de 5% que vous aviez exigé. Je me suis alors glissé sous le bureau, et placé entre ses jambes pour lui tailler une pipe comme il me l'avait ordonné. Son sexe était tout mou et son gros ventre cachait son petit service trois pièces. Des deux mains, j'ai du relevé son gros ventre pour voir son sexe rabougri et lorsque je me suis approchée pour passer ma langue sur sa bite, j'ai senti une odeur nauséabonde. Je confirme, il n'avait pas pris de douche, mais probablement depuis plusieurs jours et pas seulement le matin même. Il sentait la pisse, le foutre, la sueur et même la merde. Je n'avais jamais ressenti une telle humiliation, mais après tout, je l'avais bien cherchée et même souhaitée. Aussi j'ai commencé par lui donné des petits coups de langue sur sa bite, alors que je sentais ma chatte couler entre mes cuisses. Lorsque j'ai décalloté son gland, j'ai découvert du sperme séché à la base de son gland. Je me suis donc mise à lécher la base de celui-ci jusqu'à décoller les croutes de sperme que j'ai pris en bouche et machouillé avant de les avaler.

Ensuite je l'ai sucé de mon mieux, et je n'avais aucun mal à le prendre entièrement en bouche, tellement elle était petite. Ensuite il m'a demandé de lui lécher les couilles, pendant que je continuait à le branler. Ses boules sentaient encore plus fort, probablement à cause de ses poils et parce que j'avais le nez plus prêt de son anus. J'ai pris ses petites boules en bouche et les ai machouillées avant de reprendre son sexe et de le sucer jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche.

Pendant ce temps, ma chatte coulait abondemment, mais je ne pouvais pas me caresser, occupée que j'étais à maintenir son gros bide pour dégager son intimité.



Ensuite, il m'a fait sortir de dessous son bureau et il m'a donné l'ordre de m'allonger sur le carrelage du laboratoire. Il était très froid, puis il s'est placé à califourchon sur mes seins, me tournant le dos, et il a commencé à me doigter d'abord la chatte, puis mes deux trous en même temps, Ses doigts allaient et venaient en moi en cadence et j'ai joui tellement il me branlait bien et aussi parce que j'avais honte de me donner à une homme aussi répugnant.

Puis il a voulu que je lui lèche le cul, mais en approchant mon nez de ses grosses fesses, j'ai refusé, cela sentait trop mauvais. Il m'a menacé de me corriger et comme je ne le léchait toujours pas, il a commencé à me frapper la chatte de plus en plus fort et en même temps, il relevait parfois son gros cul et se laissait tombé sur ma poitrine, écrasant mes seins durement. J'ai fini par céder, en me résonnant, me disant que si j'étais dans cette situation, c'est parce que je l'avais désiré. J'ai alors approché ma bouche de son anus et ma langue a commencé par lui caresser le sillon fessier, avant de m'attarder sur sa rondelle. Il puait et était sale. J'ai retenu ma respiration et introduit ma langue dans son petit trou .C 'était tellement humiliant que j'ai joui de nouveau, sans me caresser, ni les seins, ni le sexe.

Il s'est alors levé et je l'ai de nouveau sucer pour me prendre une nouvelle éjaculation dans la bouche. Ensuite, j'ai nettoyé sa queue et il m'a dit :

« Puisque ton patron est en retard, je vais te corriger pour avoir refusé de me lécher la rondelle »

Et il s'est accroupi sur moi et m'a gifflé les seins durement, et heureusement vous êtes arrivé, car ce salaud me frappait fort les mamelles.

Cello : « Montre-moi tes seins ! »

Marie dévoile alors sa poitrine et effectivement Cello peut constater que la poitrine de Marie est encore toute rouge.

Cello : « En résumé, tu as trouvé cette nouvelle expérience satisfaisante où pas ? Tu serais prête à refaie ce genre d'expérience ? »

Marie : «Oh oui monsieur ! Car malgré certains petits inconvénients, j'ai tout de même joui quatre fois, et puis j'avais envie d'une telle expérience et je crois que plus la situation est glauque et plus je prends de plaisir, Et cela c'est grâce à vous, je ne vous remercierais jamais assez pour me faire découvrir de nouvelles expériences ».


Marie qui était toute à son récit, n'a pas fait attention au trajet emprunté par Cello, et lorsqu'elle réagit, elle demande :

« Mais où sommes-nous, nous n'allons pas à la maison? »

Cello : « Si ma chérie, nous allons à la maison, mais avant je voudrais que tu ailles te présenter à quelqu'un ».

Il s'arrête dans une petite rue, et Marie a beau regardé autour d'elle, elle ne voit pas de magasin, il n'y a que des petits immeubles.

Cello : « Tu vas sortir de la voiture sans nouer ta ceinture, ni boutonner ton imper. Je t'autorise à mettre les mains dans les poches pour maintenir les pans de ton vêtement fermé. Tu vois ce SDF à 50 métres, va le voir, accroupis toi face à lui et dis lui que tu viens de ma part et en même temps tu écartes les pans de ton imper et aussi tes cuisses pour qu'il puisse bien mater ta chatte. Ensuite, tu lui demande s'il accepterait que tu passes une nuit entière avec lui, soit dans son squat, soit sur le trottoir. S'il accepte de t'avoir comme compagne pour une nuit, propose lui de rester une heure avec lui pour qu'il te doigte les trous. Pendant ce temps, tu lui rouleras une pelle et tu lècheras ensuite ses doigts avant de revenir à la voiture, l'imper totalement ouvert. Tu as tout enrégistré ? »

Marie : « Oui monsieur, j'ai tout enrégistré, mais vous êtes encore plus pervers que je ne pensais »

Cello lui sourit alors qu'elle descend de voiture et avant de fermer la portière, elle s'exclame :

« Je vous aime monsieur Cello »

Marie ferme la portière de l'automobile et avant de s'éloigner, elle met les mains dans les poches et écartes les pans du vêtement avec un large sourire avant de se couvrir et de s'éloigner de la voiture en direction du SDF. Elle marche tranquillement, comme si elle voulait déjà faire durée son plaisir. Marie ralentit en arrivant près du SDF, s'arrête à sa hauteur et avant qu'elle n'est eu le temps de lui adresser la parole, le sans-abri dit :

« Qu'est-ce qu'il y a la bourge, tu n'as jamais vue un clochard ? Allez ! Dégage sale pute ! »

Marie n'est nullement découragée par cet acceuil, et dit en s'accroupissant ;

« Je viens vous voir de la part de Monsieur Cello »

Le SDF : « Ce brave monsieur Cello, il fait faire ses courses par une meuf maintenant, Et que veut-il, en principe c'est lui qui m'aide ».


Marie : « Il ne veut rien, c'est moi qui désire quelque chose. Je voudrais passé une nuit entière avec vous »

Et tout en disant cela, elle écarte les pans de l'imper et également ses cuisses, dévoilant par la même occasion son corps à l'homme, qui est assis face à elle.

Le SDF : « Et vous êtes qui vous, par rapport à monsieur Cello ? »

Marie : « Je suis sa voisine et sa soumise. Et il m'aide à réaliser mes fantasmes et aussi les siens »

Le sans-abri écoute Marie sans détacher ses yeux du corps de la belle. Marie continue :

« Je peux passer la nuit soit ici sur le trottoir, soit dans votre squat, alors que dois-je dire à mon maître ? »

Le SDF ; « Si j'accepte, se sera dans mon squat, mais je ne suis pas seul, nous somme trois ».

Marie : « Cela ne me pose pas de problème, si vos accolytes, ne font que regarder et ne me touche pas »

Le SDF : « Cela j'en fait mon affaire ma jolie, mais je ne veux pas pour une nuit, mais pour 24 heures. Je veux après la nuit, que tu passes la journée avec moi. A 20 mètres, il y a des pissotières aussi de temps en temps, nous pourrons y allez ensemble pour que tu me suces et que je te baisse »

Marie : « Cela me convient, et je ne pense pas que cela pose un problème à mon maitre que je reste un peu plus longtemps en votre compagnie ».

Le SDF : « Alors c'est Ok ! Dites à monsieur Cello de venir me voir pour qu'on règle ensemble le jour et les détails de votre stage ».

Marie s'asseois près du SDF et demande :

« J'aimerais rester une heure en votre compagnie, pour me faire doigter, si cela vous fait plaisir »

Le SDF lui lance une vieille couverture trouée et dit :

« Couvre-toi avec cela, si tu ne veux pas te faire remarquer avec ton bel imper neuf »

Marie se couvre avec le plaid en remerçiant le clochard pour son attention. Elle prend alors la main de l'homme et la porte entre ses cuisses recouvertent par le tissus sale et troué.


Le SDF constate la moiteur de l'entrejambe de la femme et dit :

« Et bien toi, tu es une sacré salope, j'en ai vu des bourgeoise en mal de sensations fortes, mais des comme toi, jamais. Je crois qu'on va bien s'amuser ensemble lors de ton stage de sans-abri ».

L'homme a glissé deux doigts dans la grotte de Marie et celle-ci se tourne vers le clodo et lui prenant la tête, elle l'embrasse à pleine bouche malgré son haleine fétide mélée de tabac, vin rouge d'une personne qui ne sait pas laver les dents depuis plusieurs jours. Elle lui accorde ainsi un baiser langoureux et baveux et commence à prendre son plaisir sous les doigts de l'homme.

Marie : « Oui c'est bon ! Continue ! Plus vite ! Oui ! Oui ! »

Reprenant quelque peu ses esprits, elle demande :

« Doigte-moi le fion, j'aime sentir mon cul rempli »

Le clochard obéit aussitôt et levant une fesse de la belle, il glisse sa main sous son cul et investit son orifice anal avec un puis deux doigts. La belle est sur le point de prendre son pied pour la seconde fois, lorsqu'elle supplie l'homme :

« Crache-moi dessus, sur le visage, dans la bouche, je veux que tu me souilles de crachats et de baves ».

Le SDF s'exécute souillant le visage de Marie. Celle-ci ouvre grand la bouche pour receuillir les crachats du Clochard. Après une seconde jouissance de Marie, l'homme retire ses doigts de son cul.
Elle saisit la main de l'homme et suce ses doigts avec délectation, puis elle lui donne un nouveau baiser avant de commencer à se lever.

Le SDF : « Hé ! Tu ne vas tout de même pas t'en aller s'en trinquer avec moi ».

Il prend la bouteille de rouge, placé près de lui, la débouche et prend une gorgée avant de reboucher la bouteille. Marie est surprise qu'il ne lui tend pas la bouteille, mais elle comprend très vite, lorsque l'homme se penche vers elle et lui fait ouvrir la bouche. Il crache alors une partie du pinard dans la bouche de Marie. Elle garde quelques secondes le vin dans sa bouche, avant d'avaler le breuvage.

Elle dépose un nouveau baiser sur les lévres du clodo, puis retire son plaid, qu'elle rend au clochard et retourne vers la voiture, les pans écartés de l'imper.

Marie ne couvre pas son corps, comme le lui a demandé son amant, mais en aurait-elle eu envie ?

Marie ouvre la portière de l'automobile, s'asseoit et dit :

« C'est ok ! Il accepte mais pas pour une nuit, il exige une journée entière. J'ai pensé que vous seriez d'accord, aussi j'ai accepté. Vous devrez le contacter pour conclure le rendez-vous »

Cello : « Parfait ma chérie ! Tu as bien fait d'accepter ».

Il demarre le vehicule en direction de la maison.

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