Marie Ma Nouvelle Voisine - 34 - Mardi (Fin)

Lorsque le couple arrive chez Cello, il découvre Sarah vêtue simplement d'un tablier, en train de faire le ménage. Celle-ci sursaute en les voyant, car elle ne les avait pas entendu arrivé. Elle stoppe son ménage quelques instants pour les saluer, et on peut voir sur son visage, la surprise quand elle voit Marie avec le maquillage qui a coulé sous les crachats du SDF, et des taches rouges de lie de vin jusque dans son décolleté.

Cello sort sur la terrasse et appele Alban qui nettoie la piscine et lui dit ;

« Alban s'il te plait, peux-tu promener Marie pour qu'elle fasse ses besoins et ensuite, tu la passes au jet et à la brosse, et frotte dur en insistant sur la poitrine et ses orifices, car cette petite salope à traîner avec des personnes manquant sérieusement d'hygiène ».

Alban : « Oui monsieur Cello, tout de suite monsieur »

Il va chercher le collier et la laisse et attache Marie, après l'avoir mise à quatre pattes. Puis, il commence à la promener sur la pelouse de la propriété. Lorsqu'elle sent qu'elle va uriner, Marie aboie deux fois, comme on lui a appris, et Alban s'arrête et regarde la petite chienne uriner. Une fois que Marie arrête de pisser et qu'elle se soit secouer le popotin, Alban lui caresse le crâne et dit :

« C'est bien tu es une brave bête ! Alors comme cela tu as été traînée ton cul n'importe où ce matin !
Tu sais pourtant que nous aimons quand tu es belle et propre. Je vais être obligé d'augmenter la pression du jet et de prendre la brosse à poil dur pour te frotter ».

Alban promène encore une dizaine de minutes Marie, puis il la conduit sur la dalle en ciment pour la laver. Il attache la petite pute au poteau et lui dit :

« Je vais mettre le jet avec peu de pression pour te laver le museau, mais ensuite je vais augmenter la pression pour tes seins et tes orifices ».

Marie ne dit rien, mais elle se doute qu'elle va souffrir, car elle n'a jamais été lavée avec une pression très forte et parfois, l'eau qui singlait sa peau lui faisait mal et elle n'a jamais été frottée avec la brosse à poil dur.



Alban ouvre l'arrivée d'eau, règle la pression et commence à asperger le visage et le cuir chevelu de la belle, il prend une éponge qu'il savonne pour laver consciencieusement le visage de la belle, puis il verse du shampooing sur les cheveux de Marie. Il frotte la tête de Marie, en prenant soin que le liquide ne va pas dans ses yeux, puis il rince le tout.

Alban : « Bien, tu es déjà plus belle, mais passons au chose sérieuse ».

Il augmente la pression de l'eau et le jet vient cingler la peau de Marie. Il commence par le dos et les flancs de la belle, puis vise les mamelles de sa maitresse, mamelles qui remue sous la pression de l'eau et commence à rougir. Puis il se place derrière elle pour viser ses orifices. La belle remue son arrière-train, mais plus pour éviter le jet que par excitation.

Alban coupe alors l'arrivée de l'eau et étale une natte en osier pour éviter que Marie ne se
salisse et aussi pour son confort. Il ordonne à Marie de se coucher sur le dos, bras et jambes écartés. Il verse alors du savon liquide sur le ventre de la belle, puis il se saisit du manche de la brosse dur et commence à frotter le corps de la belle. Il prend un malin plaisir à frotter la poitrine de Marie, avant de faire de même sur son ventre, son sexe et son clitoris. Marie sert les dents pour ne pas crier, de peur d'être corrigée, mais des larmes coulent sur ses joues. Puis il fait mettre Marie sur le ventre dans la même position pour lui laver les fesses et son oeillet.

Il passe au rinçage de Marie, avant de l'autoriser à se remettre à quatre pattes. Il la laisse ainsi pendant quelques minutes, le temps de ranger le balai brosse, d'enrouler le tuyau et d'étendre la natte en osier pour qu'elle sèche.

Alban détache Marie du poteau et la ramène sur la terrasse. Il défait la laisse et le collier et Marie se remet debout aussitôt. Cello remarque que la peau de la belle est bien rouge et pense :

« Le petit salaud, il n'y aie pas aller de main-morte »

Mais, il ne lui fait aucun reproche, sa belle ayant mérité d'être ainsi punie.
Il lui dit de rester au soleil pour se sécher. Marie va s'allonger sur un transat et ne tarde pas à s'endormir, repue par une matinée bien remplie. Pendant tout ce temps, Sarah a fini le ménage et vient rejoindre, nue, Cello sur la terrasse. Il l'a remercie et l'autorise à se reposer sur un transat, pendant qu'il prépare le barbecue en compagnie d'Alban.

Cela fait une bonne heure que Marie dort. Sarah a dressé la table et les saucisses sont cuites, ainsi que les pommes de terre, mises dans la braise. Marie commence à bouger et se réveiller. Cello s'approche d'elle et dit :

« Allez ma douce, debout les saucisses sont prètes! »

Marie ; « Oh oui des saucisses »

Cello : « Oui mais des saucisses pour manger, pas pour te mettre dans la chatte ou le cul ».

Les jeunes éclatent de rire et Alban ajoute ;

« Oui avec elle, faut mieux préciser ».

Marie rejoint le groupe à la table et s'exclame :

« J'ai une faim de loup »

Et se faisant très tendre, elle demande à Cello.

« Chérie tu peux me préparer une pomme de terre, j'ai peur de me brûler »

Son amant prépare deux pommes de terre pour lui faire plaisir, alors qu'Alban apporte les saucisses et en met une dans l'assiette de sa maitresse en lui disant :

« J'espère que je ne vous aie pas trop fait souffrir ce matin »

Marie : « T'inquiète pas Alban, je sais que tu n'as fait qu'obéir aux ordres de Cello »

Le repas se passe dans une très bonne ambiance et alors que Sarah revient avec les glaces pour le dessert, Cello dit :

« Vous avez-vu dans quel état Marie est rentré ce matin de ses escapades ? Voulez-vous qu'elle vous raconte sa matinée ?

Les deux jeunes disent en cœur : « Oui bien sûr ! Racontes-nous ta matinée Marie ».

Marie raconte comment Cello l'a abandonnée dans les griffes du gros porc qu'est le traiteur, avant d'aller demander à un clochard la permission de passer une nuit avec lui et que finalement elle a acceptée de passer une journée entière avec lui.
Pendant le récit de Marie, Alban avait sorti sa bite de son bermuda et commençait à se caresser sous le regard intéressé de Sarah. Cello a invité la jeune femme à sucer le jardinier, en précisant que si elle le prenait en bouche, elle devrait aller jusqu'au bout et avaler, et que cela ne l'empéchait pas d'écouter la confession de Marie.

Exicité par le récit de Marie et les lèvres de Sarah, Alban n'a pas résisté longtemps et Sarah a pris la semence du jeune homme et a avalé le sperme sans difficulté.

Sarah à la fin du récit dit ;

« Mon dieu comment as tu pu ? Jamais je n'aurais pu lécher le cul sale du gros et lui mettre ma langue dans son petit trou ».

Cello intervient et répond :

« Sarah, je te rappelle que tu es ici pour apprendre et vivre la même vie que Marie, alors si je décide de te livrer à cette homme pour une heure ou plus, tu devras obéir »

Sarah : « Oh non pas ça monsieur, je vous en prie »

Cello : « Encore un mot de protestation, et je te conduis chez le traiteur dès ce soir et pas seulement pour une heure, mais pour la nuit entière »

Sarah baisse la tête et dit :

« Oui monsieur Cello ! Pardon! »

Cello poursuit :

« Ma petite Sarah, commence à te faire à l'idée que tu ne baiseras pas que des apollons, et qu'au contraire, comme Marie tu seras donnée en pature à des hommes laids obéses et sales. Et cela plus vite que tu ne le penses. Bien entendu, pour tes débuts Marie t'accompagnera, mais dans quelques temps tu devras être seule ».

Sarah toujours la tête baissée :

« Oui monsieur, je ferais tout, pour ne pas vous faire honte »

Cello : « Voilà une chose de résolu en espérant ne pas y revenir » 

Sarah se lève pour débarrasser la table et faire un peu de ménage,alors qu'Alban décide de monter dans sa chambre travaillé ses cours.

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