Une Famille En Or (16)

Jeudi 1er août 1991

Je monte chez Sylvie, et cette fois carrément à poil avec juste mes tongs.

Ça la surprend encore quand elle me découvre comme ça sur son palier:
- Tu es quand même gonflée de passer dans l’escalier comme ça.

Elle avait enfilé un peignoir pour ouvrir mais elle l’enlève directement en s’installant dans le canapé. Je suis agréablement surprise:
- Je vois que tu fais des progrès, tu es à poil chez toi et tu t’es plus épilée. Tu es bien mieux avec ce tout petit plumeau. Marc est content de ces nouveautés?
- Ça lui plait assez, oui.
- Et qu’est-ce qu’il faisait donc avant-hier matin quand tu l’as interpellé? Je parie qu’il me matait en douce.
- Oui, tu te rends compte, le salaud! Il espionne la voisine à poil.
- J’espère qu’il bandait dur.
- Oh, Anna!
- Allez, le contraire me vexerait. Je suis bandante, non?
- Oui, bon, j’avoue qu’il bandait en te regardant, et OK, tu as ce qu’il faut.
- Ah, bon! Et si ça se trouve, il se branlait, pas vrai?
- Anna, tu pousses un peu.
- Alors la réponse est oui, sinon tu n’esquiverais pas. Allez, raconte-moi tout.
- Bon, ça va, tu as gagné. Donc je l’ai trouvé en train de se tripoter en te regardant et c’est là que tu m’as entendue l’engueuler. J’avais juste enfilé un T-shirt pour pas être vue nue depuis la rue. Pendant qu’on te parlait, il a repris sa manoeuvre et il a commencé à me caresser entre les fesses. La situation m’a bien excitée et du coup c’est moi qui ai continué de le branler tout en te parlant. Puis quand on s’est retirés de ta vue, on pouvait plus attendre et il m’a prise en levrette accoudée au rebord. Tu sais, j’ai un peu honte d’avoir pris mon pied sur ton compte.
- Il n’y a pas de raison. Je suis heureuse de vous avoir procuré du plaisir. Maintenant, c’est moi qui suis excitée par ton récit. Et moi j’ai pas honte de te dire que ton histoire m’a fait mouiller et que j’ai une envie furieuse de me branler.



Et sous ses yeux, je commence à m’astiquer le bouton. Elle s’affole:
- Oh non, Anna, pas ça, pas ici, s’il te plait!
- Pourquoi donc ? Et tu devrais faire pareil, tu me le dois bien.

Je suis dans le fauteuil en face et elle peut profiter pleinement du spectacle.

Elle résiste un bon moment, puis comme je lui rappelle la scène, elle finit par se branler aussi. J’attends qu’elle soit bien lancée pour aller plus loin.
Je m’agenouille et j’écarte ses cuisses pour plonger ma tête vers son minou.

Elle réagit mollement:
- Non, Anna, je sais pas, je l’ai jamais fait.
- Alors laisse-moi faire et profite du moment, tu vas adorer.

Et elle s’abandonne à mes caresses. Je lui aspire le clito, la doigte profondément.

Elle participe un peu plus en me tenant la tête contre sa chatte, il est donc temps de changer de position. Je la couche sur le canapé et me place en soixante-neuf sur elle. Elle ne fait plus de manière et me rend mes caresses en me broutant le minou.

Une fois que nous avons bien joui, je la sermonne:
- Et maintenant, plus de fausse pudeur. Tu as pris bien ton pied, et ça t’a plu!
- Bon, oui, c’est vrai. Tu m’as un peu la main, mais je reconnais que je me suis bien éclatée. J’aurais jamais cru faire ça un jour avec une femme.
- Et bien, maintenant on sait comment occuper nos matinées. Et ce qui serait super, ce serait de mettre nos hommes dans le coup. Ne dis pas le contraire, j’ai bien vu comment tu regardais Ber, ou plutôt sa queue.
- Euh, oui, j’avoue, mais elle est tellement…
- Impressionnante? J’ai hâte de connaitre celle de Marc.
- Je ne sais pas s’il serait partant pour ça.
- Allez, tous les hommes sont partageurs, surtout si l’ambiance est bonne. Tiens, dis-lui que vous êtes invités samedi soir chez nous pour dîner.


Vendredi 2 août 1991

Cette fois, j’accompagne Ber à l’Auberge pour attendre Sophie.


Evidemment, nous commençons par une petite partie à trois avec Marilyn, ce qui nous met bien dans l’ambiance que je recherche pour la suite.

Nous persuadons Marilyn de rester à poil pour faire une blague à la représentante, et elle est d’accord. Elle trouve ça rigolo et s’installe avec moi au soleil sur la terrasse.

Vers 10 heures, Sophie arrive et nous trouve dans cette configuration. Elle ne sais pas trop quoi faire, puis elle se décide et vient vers nous:
- Eh bien dites donc, vous n’avez pas peur d’être surprises, vous!

Je me redresse pour lui faire la bise et Ber sort à ce moment:
- Oh, comme on n’est pas visibles de la route et que c’est fermé, on ne risque rien!

Elle se tourne vers lui et découvre qu’il est lui aussi à poil:
- Ah, de mieux en mieux, je vois…

Il se rapproche d’elle sans se gêner, tout en argumentant:
- Tu m’avais dit que le naturisme ne te rebutait pas, et en plus tu m’as déjà vu nu.
- Euh, oui, mais bon, tout de même, ça me change des autres clients.
- Comment, tu m’as bien dit avoir le camp naturiste des Clapiers entre autres, non?
- Oui, c’est vrai, mais au moins là-bas je m’y attends, à voir des gens nus.
- Eh bien, t’as qu’à faire comme là-bas. Tu restes habillée quand tu y vas?
- Ben oui, je vais seulement au bureau, dans l’accueil. Donc j’ai que l’espace depuis le parking à traverser. Ils ne m’ont jamais obligée à me déshabiller.
- Eh bien ici, c’est pareil, t’es pas obligée de le faire. Donc, au boulot.

Il l’entraine vers nous et la fait assoir dans un transats entre moi et lui.

Je l’attaque immédiatement:
- Mais tu sais, si tu enlevais tes fringues, ce serait moins gênant, même pour toi. Et plus correct vis-a-vis de nous, non? Allez, lance-toi, on t’a déjà vue en string!

Elle regimbe un peu, puis se range à mon raisonnement:
- Oh, et puis zut! Voilà, vous avez gagné, je vais le faire.


Elle se lève et enlève tous ses vêtement, nous dévoilant brièvement un petit minou qui me semble aussi épilé que le mien avant de rapidement se rassoir et d’ouvrir sur ses jambes son catalogue pour prendre la commande.

Comme Ber reste concentré sur le boulot et que Marilyn et moi restons tranquilles à prendre le soleil, elle se détend petit à petit.

Quand la commande est terminée, je propose de boire quelque chose, et c’est Marilyn qui va chercher des verres et des boissons fraiches à l’intérieur. Ber va par la même occasion poser ses papiers sur le comptoir de l’accueil.

J’en profite pour demander à Sophie:
- Dis, il me semble que tu as la même coupe de poils que moi. Je me trompe?

Et j’écarte bien les jambes pour lui montrer que je suis entièrement chauve.
Elle hésite, puis me répond que je ne me suis pas trompée. Je demande à voir, et elle finit par ouvrir elle aussi ses jambes pour me montrer son minou épilé.

C’est le moment que choisissent Marilyn et Ber pour revenir. Il s’exclame:
- Hé, les filles, pas de cachotteries, on veut voir nous aussi!

Finalement, Sophie en prend son parti et se lève pour faire un tour sur elle-même afin de nous montrer l’ensemble. Avec sa petite taille, sa frimousse, sa poitrine minuscule et son épilation radicale, on dirait presque une jeune adolescente.

Elle se laisse vraiment aller enfin en buvant le coup avec nous, surtout que Ber réussit à rester correct en ne bandant pas du tout. Dans l’ambiance générale, je lui suggère d’essayer d’arriver nue au camping naturiste pour voir la tête du gérant.
Comme les deux autres insistent, elle promet d’essayer, mais sans garantie.

Enfin elle se rhabille pour continuer sa journée et j’en fais de même car je suis déjà en retard pour aller au bureau.


Samedi 3 août 1991

En cette fin de matinée, je suis encore en train de bronzer à poil sur le balcon quand Marc et Sylvie font leur apparition à la fenêtre.


Il n’hésite plus à me mater ouvertement, aussi je garde les genoux bien écartés:
- Toujours d’accord venir dîner ce soir chez nous?
- Oui, bien sur, et on apportera une bouteille de vin.
- C’est sympa. Ça te fait rien si c’est une soirée naturiste?
Euh, oui, pourquoi pas…
Ah, dis-moi, Sylvie, en attendant, tu viendrais au plan d’eau avec moi cet après-midi? Il y aura aussi ma collègue Flo, tu pourras faire sa connaissance.
- Je peux venir aussi?
- Non Marc, c’est une sortie entre filles.

Sylvie est descendue me prendre, et j’en ai profité pour l’équiper d’un de mes strings pour qu’elle soit dans le ton.

Quand ils descendent vers huit heures, Sylvie a réussi à persuader Marc de descendre en peignoir, comme je lui avais demandé. Ber et moi somme nus et Marc est un peu gêné quand je viens lui faire la bise car mes tétons touchent sa poitrine.

Je leur propose d’enlever tout de suite leurs peignoirs et ils se retrouvent eux aussi à poil pour s’assoir dans le canapé, Marc restant visiblement assez emprunté.

Ber leur sert à boire et nous faisons tout pour mettre notre voisin à l’aise. Pas de jambes ouvertes, pas de gestes équivoques. Par contre, Marc a du mal à ne pas bander, et il cache souvent sa bite.

A table, le vin coule à flots et fait son œuvre de décontractant et d’euphorisant.

Nous reprenons place dans les fauteuils et le canapé pour les digestifs, mais dans un certain désordre. Marc est assis dans un fauteuil et Ber est en face entre Sylvie et moi et a son bras passé autour de mon épaule, et cette fois je me caresse négligemment la chatte que je dévoile généreusement, comme par inadvertance.

Avec ce spectacle en face, Marc ne peut retenir un début d’érection que je note:
- Dis donc, Marc, bel engin! Tu permets, Sylvie?
- Tu parles, voyons si tu oses le faire vraiment!

Je vais m’assoir sur l’accoudoir de son fauteuil et je commence à le branler. Il se laisse faire, tout étonné de voir sa femme me laisser faire et il durcit encore plus quand il voit qu’elle fait la même chose sur Ber, en face de lui.

Ber attend un moment, puis suggère à Sylvie:
- Allez, n’aie pas honte, suce-moi, je crois que tu en as bien envie.

Elle le branle encore un peu, puis se penche pour l’emboucher. Je m’agenouille devant Marc et j’en fais de même avec lui. Il est un peu abasourdi que sa femme suce une autre bite, mais il ne peut rien dire, vu que lui en profite aussi de son côté.
Puis elle vient s’occuper avec moi de Marc, qui est aux anges d’avoir deux bouches qui le sucent, pendant que sous ses yeux elle se fait prendre en levrette par Ber.

Puis je me mets en soixante-neuf sur Sylvie et il a le plaisir de me baiser pendant qu’elle lui gobe les couilles. Il ne tient pas longtemps pour cette première fois et ressort pour éjaculer sur mes fesses et sur le visage de Sylvie.

Entre-temps Sylvie se fait défoncer le cul par Ber et j’en profite pour aller lui donner mes fesses à nettoyer. Ber vient enfin lui gicler dans la bouche, et elle avale tout.

Toutes les combinaisons y passent jusqu’à ce que tous les participants soient épuisés. Marc et Sylvie nous quittent en nous disant, bien heureux, que nous les avons bien eus.


Lundi 5 août 1991

Ce matin, on sonne, et comme je n’attends pas de colis ni de courrier spécial, je vais d’abord regarder par le judas. Il s’agit d’un couple, et ce que je vois est caractéristique ne serait-ce que par la tenue et l’expression sur leur visage. Ce sont des témoins de Jéhovah. J’ai entendu dire qu’ils prospectaient très fort en ce moment dans la vallée.

Je décide de m’amuser un peu et leur ouvre totalement à poil:
- Bonjour à vous, entrez!

Ils restent estomaqués et balbutient:
- Euh, vous ne voulez pas vous rhabiller?
- Non, je suis très bien comme ça! Pourquoi?
- Eh bien, nous somme Témoins de Jéhovah et le corps a été fait pour être couvert.
- Mais non, si Dieu existe et qu’il nous a fait naître nus, c’est pas pour rien…

Après un peu d’argumentation, ma vue a fini par les gêner trop, surtout la femme qui s’apercevait que l’homme, certainement son mari, me lorgnait pas mal…

Ils sont donc partis, et je pense qu’on ne les reverra pas de sitôt.

A suivre…

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