Une Famille En Or (15)

Lundi 29 juillet 1991

Ber est déjà parti depuis un moment, et je fais un peu de ménage quand on sonne.

N’attendant personne, je vais voir par le judas. C’est Marilyn.
Je lui ouvre, et elle est un peu surprise de me voir à poil:
- Oh pardon, je vois que je te dérange, alors je repasserai plus tard.
- Mais non, entre donc!
- Euh, tu préfères pas aller mettre quelque chose?
- Allez, tu m’as déjà vue presque nue, à un tout petit bout de tissu près.
- Justement, ce petit bout de tissu manque énormément, et les poils aussi je vois…
- Oui, c’est vrai! Mais on va faire comme si c’était notre habitude, hein?
- Euh, bon, OK!
- Alors, qu’est-ce qui t’amène?
- Eh bien, de vous voir toutes les deux en string au plan d’eau, et Ber aussi, ça m’a donné envie d’en porter. Mais je vois pas où en acheter un. Alors j’ai pensé à te demander.
- T’en trouveras pas dans les boutiques ici. Mais je vais te donner des adresses de magasins si tu vas faire un tour à Marseille et de ventes par correspondance aussi.
- Oh, merci, c’est super gentil.
- Et en attendant, je peux t’en prêter un, si tu veux te joindre à nous dès demain.
- Ça aurait pu attendre que j’en achète un, mais volontiers, c’est sympa.
- Allez, enlève tout, je vais en chercher plusieurs pour choisir.
- Euh, je pensais juste le prendre et l’essayer à l’Auberge.
- Non, non, et pas de fausse pudeur entre nous maintenant. Exécution!

Elle n’a pas encore enlevé sa culotte quand je reviens:
- Qu’est-ce que c’est que ce bout de chiffon? Je dois te l’enlever moi-même?

Elle finit par se mettre à poil, un peu timide au milieu du salon.
Je note au passage sa touffe est assez fournie, bien que taillée sur les côtés:
- Dis donc, avec ta broussaille, ça n’ira jamais. Il faut d’abord diminuer tout ça!
- Euh, bon, je le ferai, et puis je repasserai une autre fois pour les essayages.


- Mais non, tant qu’on y est je vais te le faire. Je le fais déjà à toutes les nanas de ma famille, alors, j’ai un coup de main de pro.
- Tu crois? Ça me gêne un peu…
- Mais non, ça va aller! Attends, je vais prendre le nécessaire.

Je vais à la salle de bains et reviens avec le matériel. Je mets une serviette sur la table basse et je plaisante un peu pour la décontracter:
- Allez, madame, allongez-vous là-dessus. on va nous élaguer tout ça!

Elle obéit sans trop hésiter. Je commence par diminuer le tout avec la tondeuse, puis je passe le blaireau un peu partout en insistant bien pour faire mousser.

Elle se crispe un peu, mais ça va. J’attaque avec le rasoir, d’abord doucement tout autour du petit ovale de poils que j’ai décidé de laisser. Puis je vais traquer le moindre poil sur les berges de sa fente. Il me semble qu’elle commence à mouiller, ce que ses tétons dressés me confirment.

Je passe donc à la suite:
- Voilà, c’est parfait! Ne bouge pas, je vais te mettre du baume apaisant pour éliminer le feu du rasoir maintenant.

Je commence évidemment sagement sur le pubis. Elle se tortille un peu sous mes doigts, mais me laisse faire. Je n’hésite donc plus à aventurer un index sur son clito.

Elle s’inquiète:
- Attention, tu me touche la… le…
- Oui, je sais, et ce liquide que je vois, c’est pas de la mousse à raser. Alors laisse-toi faire, un petit massage te fera du bien. Ça va te détendre.

Et sans attendre sa réponse, je me mets à lui branler doucement le clito, puis un de mes doigts la pénètre malgré ses molles protestations. Elle émet d’abord de timides «non-non», puis elle s’abandonne finalement en gémissant et je peux envoyer enfin ma langue. Elle ne tarde pas à exprimer de vive voix sa jouissance.

Sur la lancée, je m’assois sur le canapé et j’attire sa tête entre mes cuisses. Elle à un petit mouvement de retenue, puis elle plonge et me broute allègrement.


Après ce moment de pure excitation, elle s’affale à côté de moi:
- Ouf, putain que c’était bon! J’aurais jamais pensé faire ça entre nanas, mais là, tu m’as bien eue. Surtout que depuis que je suis arrivée pour prendre ce travail, je me contente de mes doigts. Et dis donc, tu m’a fait une coupe radicale, j’avais pas vu!

Elle regarde minutieusement son nouveau look et continue:
- Quand même, ça vaut pas une bonne partie avec un mec.
- C’est vrai que c’est autre chose, et si tu veux, je peux te prêter Ber.
- Non, arrête, là tu déconnes!
- Non, non, je suis sérieuse. D’ailleurs, je le partage déjà avec d’autres amies.
- Ah bon?
- Allez, si on revenait au début? Je vais te chercher des strings et les catalogues.

Elle choisit un de type bandeau avec les ficelles et les nœuds sur les côtés, et elle l’adopte après l’avoir essayé.

Je lui précise:
- Voilà, en attendant que tu en commandes un, je compte sur toi pour le mettre même à l’Auberge dès aujourd’hui. Ça fera plaisir à Ber.
- Oh, non, tu crois? je sais pas si j’oserai, et en plus il y a Lisette.
- Ecoute, à toi de voir, ne te force pas. Mais essaie déjà quand elle est pas là.

Et elle me quitte pour retourner à Jausiers. J’appelle Ber sans attendre pour le mettre au courant des évènements. Il est ravi de la tournure que prennent les choses.

Et voici ce que Ber m’apprends ce soir.

Quand Marilyn est arrivée, Ber était en string dans un transat et elle a annoncé qu’elle allait aussi se faire bronzer un peu avant d’attaquer le ménage.
Elle est revenue toute fière avec juste mon string:
- Surprise, maintenant on est à égalité!
- Ça, c’est un string de ma femme!
- Oui, bien vu! Elle a bien voulu m’en prêter un, le temps que j’en achète.
- Je sais, je l’ai appelée pour autre chose, et elle m’a dit que tu étais passée la voir.
- Et…?
- Et alors, rien, profitons du soleil, car après on a pas mal de choses à faire!

Ils ont cassé la croûte au soleil, puis il a été temps de se remettre au boulot, tous les deux dans cette tenue, Marilyn mettant juste un tablier pour ne pas se salir.


Elle a commencé par balayer la salle à manger, les pans du tablier dévoilant la fine bande de tissu entre ses fesses qui balançaient doucement et le haut laissant balloter sur les côtés ses gros nichons, visions hautement érotiques qui ont naturellement mis rapidement Ber en grande érection derrière le comptoir.

Il a enlevé son string et décalotté son gland:
- Euh, Mary, autre chose, à propos de ton « Et…?» de tout à l’heure.
- Oui?
- En fait, c’était pas tout… Anna m’a aussi raconté tout le reste.
- Ah… Mais c’était pas…
- Non, c’est très bien, et la proposition qu’elle t’a faite pour moi tient vraiment.

Là, Ber est sorti de derrière le comptoir, branlant doucement sa bite bien raide et elle n’a pas sourcillé quand il lui a demandé de se baisser pour le sucer.

Puis il a délicatement défait les nœuds pour lui enlever le string, lui laissant le tablier. Elle s’est cramponnée au comptoir pendant qu’il lui doigtait longuement la fente et le clito, et enfin elle s’est laissée prendre en levrette en soupirant.

Après deux orgasmes successifs de Marilyn, Ber l’a remise à genoux, puis s’est fait à nouveau sucer. Elle l’a fait consciencieusement, lui malaxant les couilles tout en se branlant le clito. Quand il a éjaculé, elle a presque tout avalé, mais des gouttes ont taché le tablier.

Ber l’a aidée à se relever:
- Alors, la promesse a bien été tenue? Ça te convient?
- Ah oui, et c’était mieux que ce matin.
- T’as pas aimé, ce matin?
- Oui, c’était nouveau, et c’était bon, mais ça vaut pas un mec.
- Et si on t’invite pour faire ça avec nous deux à la fois?
- Euh, je dis pas non. En plus, ça sera bien mieux que mes branlettes solitaires.

Ber a renfilé son string car Lisette allait arriver d’un moment à l’autre.
Lisette qui d’ailleurs a été bien surprise quand elle s’est aperçue que Mary n’avait pas de soutif sous son tablier.
Elle n’a pas commenté, mais bon…

Si elle avait vu qu’elle n’avait pas non plus de culotte…


Mardi 30 juillet 1991


J’ai conseillé à Sylvie de prévenir Marc que leurs voisins étaient naturistes.

Je suis étendue sur le ventre en pleine séance de bronzette sur le balcon dès le petit matin en attendant Flo, quand j’entends la voix de Sylvie:
- Hé, mais qu’est-ce que tu fais?

Je me retourne sur le dos et vois Marc à la fenêtre, que je salue sans gêne:
Salut, Marc! Un temps superbe, ce matin.

Sylvie apparait à côté de lui:
- Oui, bonjour Anna ! Tu sais Marc, je t’avais dit qu’ils étaient naturistes.

Mes jambes écartées lui démontrent que je suis aussi un peu exhibitionniste:
- Oui, puisque tu m’as dit que ça dérangeait personne.

Nous bavardons encore un petit moment, pendant lequel je m’arrange pour jouer de mes atouts. Ils finissent par s’éclipser, mais j’entends des bruits caractéristiques…

Flo arrive un peu plus tard, et nous attendons la livraison des pizzas.

Maintenant, Damien s’est bien habitué à nous voir nues. Il ne tique pas du tout quand je viens lui ouvrir et lui fais la bise avec mes tétons qui le frôlent.

Cette fois, Pierre l’a prévenu qu’il appellerait chez moi s’il avait besoin de lui et que donc il pouvait manger encore avec nous, car le bistrot est près de ma maison.

Pendant que je vais chercher des boissons au frigo, sa tante lui dit:
- Tu sais, ça serait bien mieux si tu te mettais à poil toi aussi plutôt que de rester tout habillé au milieu de nous. C’est un peu gênant, non?

Il hésite tout de même, mais j’insiste et il finit par s’exécuter.

Il est encore en caleçon quand il balbutie:
- Euh, je crois qu’il vaut mieux que je reste comme ça…

Je le contre immédiatement en passant derrière lui pour lui baisser le caleçon et dévoiler une queue de dimension honnête, sans plus, en demi-érection:
- Mais non, allez, à poil! Oh, mais que c’est mignon tout ça! C’est parce que tu bandes que tu voulais pas l’enlever? On s’en fout, tu sais. Fais voir ça…

Sans attendre son avis, j’empoigne sa queue qui grossit à vue d’œil.

Au moment où Flo arrive avec le plateau, je le relâche et le tourne vers elle:
- Regarde comme ton neveu est devenu grand!
- Oui, à tous les sens du terme, je constate!

Je calme l’ambiance en le faisant assoir entre nous sur le canapé. Nous attaquons les pizzas avant qu’elle ne refroidissent.

Il est un peu redescendu pendant ce temps, mais il a un reste de bandaison lorsque nous finissons. Comme Flo se lève pour débarrasser, je me laisse aller en arrière sur le dossier et commence à me caresser le clito. Evidemment, ça le remet rapidement en grande forme.

Je prend sa bite dans la main et commence à le branler:
- Tiens, je crois que tu mérites un bon pourboire!

Il se laisse faire sans oser faire quoi que ce soit. Puis je m’agenouille devant lui et lui suce le gland.

Il se laisse faire, complètement dépassé, d’autant plus que Flo revient et qu’au lieu d’être choquée, elle s’installe en face pour se branler en nous regardant faire.

Il ne tient pas longtemps avant d’éjaculer copieusement et j’avale le tout.

A côté de lui, Flo lui demande:
- Alors, ce genre de pourboire te convient?
- Euh, franchement, le fait que vous soyez toujours nues quand je viens me faisait fantasmer sur ce genre de chose. Mais je m’attendais pas à ce que ça arrive en vrai. Surtout devant ma tante.
- Et je parie que tu t’es déjà branlé en repensant à nous. Même à moi?
- Euh, oui, j’avoue que tu as été une bonne inspiration pour moi.

Comme il bande à nouveau en parlant de tout ça, Flo l’empoigne à son tour:
- Mmm, ce compliment mérite un petit quelque chose, non?

Et elle le branle un petit moment avant de lui offrir elle aussi une bonne combinaison entre fellation et branlette espagnole. Il finit par gicler entre ses seins.

Nous laissons retomber l’excitation, puis il se rhabille et part sans commentaires.


Mercredi 31 juillet 1991

Je me pointe à l’Auberge en même temps que Ber et nous attaquons directement dans le hall une partie à trois au comptoir.

Marilyn m’aide d’abord à sucer Ber, puis la fête se poursuit sur l’escalier où je la bouffe pendant qu’il me prend en levrette. Nous inversons nos places, et au bout d’un moment, il change de trou et l’encule pendant qu’elle me grignote le clito.

Pour finir, Ber ne peut résister à l’envie de se faire branler entre les deux superbes obus de Marilyn sur lesquels il épanche généreusement sa semence.

C’est très intense mais assez court, vu le manque de temps avant le retour de Lisette qui ne dit plus rien, résignée, quand elle nous retrouve tous les trois en string sur la terrasse.

Ce soir, Valy me raconte l’évolution chez elle.

Dès le dimanche soir, Ben a essayé de remettre ça avec Marie-Lou, mais comme elle n’avait pas trop envie, il s’est contenté de se branler.
Hier matin, rebelote, et hier soir c’est Valy qui en a finalement profité.

Puis hier soir, enfin, comme Valy se faisait plaisir dans le canapé avec son vibro, Marie-Lou a fini par céder aux avances de Ben. Non seulement il a réussi à se faire sucer, mais il l’a aussi baisée et enculée.

Ça promet de l’animation chez eux…

A suivre…

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