Salope De Belle-Fille. 2

SALOPE DE BELLE-FILLE.
Chapitre 2 : Drôle d’interlude.


- Alors ? On fait quoi maintenant ?
-A toi de décider, c’est toi qui tiens le manche !

Elle n’attend pas la réponse et lèche les dernières traces de ma semence, ayant l’air d’y trouver bon goût. Je la vois sortir sa langue qu’elle passe sur ses lèvres où un sourire s’esquisse. Elle approche sa tête et embrasse mon gland. Elle explore doucement ma verge de ses doigts fins, bientôt aidés du bout de sa langue, elle l'embrasse partout de bas en haut n’en oubliant pas un seul centimètre de peau, me fixant d'un regard torride. Elle décalotte et lèche délicatement la base de mon gland, prenant un malin plaisir à me sucer lentement entre ses lèvres. Jade fait maintenant entrer mon sexe pratiquement en entier dans sa bouche, puis le retirant aussitôt pour reprendre ses petits coups de langue tel un moustique agaçant sa proie. J’ose lui caresser les cheveux, entourant ses longues mèches sur la base de mon nœud. Elle ne se sert pas de ses mains, voulant me faire tenir le plus longtemps possible, mais elle ne me connait pas, la petite garce.

Elle s’attendait sûrement à ce que je jouisse sous ses assauts mais c’est mal me connaître. Il lui faut pratiquement vingt minutes de cette lente et magnifique pipe pour que je finisse par éjaculer fortement dans sa bouche, lui retenant la tête pour qu'elle profite de ma crème miracle. Quand je la libère, je la vois tout avaler avec enthousiasme, ouvrant largement sa bouche pour me le prouver. Jade rougit, honteuse de sa prestation ou bien d'avoir aimé ça d’un petit air coquin.

Elle m’a exténué, la gamine, mais ne connait pas mes ressources. Jade regarde mon engin qui débande à peine, perdant de sa rigidité, le tâtant du bout de son index. Je m'attends à la voir partir, mais on dirait qu’elle n’est pas encore rassasiée.

-Mais putain ! Vous êtes un cas, vous ! Si Damien était comme vous…

Je ne sais pas ce qu’elle veut dire par là, mais elle se redresse et me monte dessus.

Cette petite garce presse mon engin dans sa main droite et se met à l'agiter sur sa fente, la respiration haletante. Elle se redresse et rentre ma verge pour sa seconde fois dans sa grotte puis pose ses mains sur mes cuisses, basculant sa tête en arrière, les yeux fermés. Mon sexe se durcit de nouveau et gonfle dans ce vagin si étroit puis elle recommence à me chevaucher sauvagement. J’ai sous les yeux ses magnifiques nichons qui rebondissent à toute vitesse au rythme de sa cavalcade, synchronisés avec le grincement du sommier maltraité.
La bouche ouverte, comme s’il elle cherchait un second souffle, elle ralentit enfin, s’écroulant sur mon torse. Elle ne donne plus que de faibles mouvements de bassin, je donne quelques coups de reins qui la font geindre de plaisir. Je sens sa cyprine inonder une nouvelle fois mes couilles, son haleine chaude sur ma peau, son odeur fraîche de fille en fleur à peine masquée par la transpiration et l'odeur résiduelle de mon sperme dans sa bouche. Elle pue le sexe !!!
Après avoir récupéré, elle se redresse et danse à nouveau sur mon corps, gémissant comme une fille en peine:

-Hmmm... hmm.. hmmmm... Tu vas jouir, bordel ?! Hmm.. hm... hmmmmmm... Aaahhh quelle bite !

Elle ne contrôle plus ses orgasmes, se mordant les lèvres jusqu’au sang pour ne pas hurler son plaisir, sa poitrine ruisselante. Elle tombe sur moi, morte de fatigue.
Je suis moi aussi épuisé, mais c’est le moment pour que je reprenne la main. Nos corps sont moites, nos cœurs battent la chamade. Je lui masse les fesses, observant des gouttes de sueurs glisser jusqu'au bout de ses seins avant de chuter sur mon torse. Je la bascule sur le coté et me met à la piner à mort pour une ultime éjaculation.

- Ça t'a pas plu Jade? Tu ne regrettes-pas de t’être trompée de chambre ?

Elle me sourit, à bout de force, son regard semble perdu dans le mien. Elle m’embrasse fougueusement, nos langues s'entremêlent, je la serre dans mes bras.
Je lui susurre à l'oreille :
- On dirait que tu aimes bien les porcs et leur queue en tire-bouchon !
Elle éclate de rire, les yeux brillants. Puis elle soupire en me repoussant:
- Je dois y aller, si Damien se réveille… La prochaine fois, j’allumerai quand j’ai besoin d’aller au petit-coin.

Elle se lève, prend ses frusques et s'habille devant la porte, remet son soutien-gorge et sa culotte, remuant ses fesses pour la remonter, beau spectacle qui réchauffe de nouveau mon bas-ventre. Elle enfile sa nuisette et ouvre la porte. Un dernier regard s’attarde sur mon sexe près à un dernier round. Jade me chuchote, avant de partir:

- Mais vous n’êtes qu’un vieux bouc, vous ne pensez qu’à ça ma parole ! C’est pas possible de voir ça… Bonne nuit.

Ils sont restés deux semaines et Jade a tout fait pour m’éviter. Remord ou bien peur de replonger. A chaque fois que je la voyais se promener en petite tenue, je ne pouvais empêcher « Popaul » de se rappeler de son aventure d’une nuit.

Deux ans se sont écoulés, ils projettent de se marier et sont venus plusieurs fois faire des séjours chez nous mais Jade me bat froid. Elle continue à m’éviter tout en faisant tout pour m’exciter… Et moi, je bande…
Cet été, ils passent un mois complet chez nous pour profiter de notre piscine. Mais un soir où ils s’étaient retirés dans leur chambre, je suis seul devant la télé, cherchant le sommeil. J’entends des pas et tourne la tête. C’est Jade qui déboule en petite culotte sans rien d’autre pour filer aux toilettes, ses seins défiant la pesanteur sans vergogne à chacun de ses pas. Pour ne pas la gêner, je fixe mon attention sur la télé.
Elle n’a pas fermé la porte et j’entends le bruit de sa miction, j’imagine le jet doré qui gicle de sa fente. J’essaie de me souvenir de sa petite foufoune d’où provient ce gazouillis. Ma queue, elle, s’en souvient parfaitement vu sa réaction.
J’entends à nouveau des bruits de pas mais ils ont l’air de se rapprocher, je tourne un peu la tête.
Jade est derrière mon fauteuil, les mains appuyées sur le dossier ce qui fait ressortir ses seins de jeune femme, ils sont superbes, arrogants, en forme de poire avec des petits tétons qui ne demandent qu’à être tétés, un ventre plat qui n’a pas encore connu l’ement. Je ne vois pas ses fesses mais j’en garde un merveilleux souvenir. Elle fait semblant de m’ignorer en regardant la télé mais de petits coups d’œil sous ma ceinture lui permettent de constater l’effet qu’elle me fait.
La petite garce me nargue, semblant me dire : Alors le vieux... Toujours en train de fantasmer sur ta belle-fille ?
Je fais semblant de l’ignorer pour masquer l’envie terrible de la culbuter. Comme je ne bouge pas, elle fait le tour du fauteuil et s’assied sur mes genoux en passant nonchalamment un bras derrière mon dos, ses seins à hauteur de mes yeux. Je manque de défaillir sous son culot. Je lui sors deux trois banalités, essayant de ne pas trop fixer sa poitrine qu’elle exhibe sous mon nez. Je me mords les lèvres quand elle frotte une cuisse sur ma virilité à l’étroit dans mon pantalon.
L’atmosphère est lourde, pleine de testostérone. Elle finit par me bloquer la tête de ses deux mains et m’embrasse sur les deux joues.

-Bonne nuit beau-papa, faites de beaux rêves! Vous savez que j’en ai appris de belles sur votre compte, ajoute-t-elle en se déhanchant d’un geste naturel pour quitter la pièce et disparaître de ma vue.
Je ne vais quand même pas envier mon fiston !!! Je tâche d’oublier ce merveilleux intermède mais ma nuit est agitée et pleine de sylphides dénudées. Heureusement que demain je n’ai pas de rendez-vous au cabinet et que je pourrai faire la grasse-mat…
Emilie est partie bosser et Damien fait son jogging matinal, encore un fou de l’effort physique !
Je traîne au lit quand j’entends ma belle fille appeler:

-Beau papa, vous pouvez venir dans ma chambre ? J’ai un problème.
Je passe un pantalon de pyjama et frappe à sa porte.
« Entrez » Je m’exécute, elle est dans le lit et tient le drap pour cacher sa poitrine, me laissant deviner chaque courbe de son corps.
-Qu’y a-t-il pour vous rendre service?
-J’ai des difficultés pour ouvrir la fenêtre, vous voulez bien regarder ?
Je m’exécute mais ne remarque rien d’anormal, je vais pour quitter la chambre quand elle me demande :
-Vous ne m’avez-pas dit bonjour ! Et elle me tend sa joue.

Je m’approche du lit, me penche et colle mes lèvres sur sa joue pour lui souhaiter une bonne journée, une main appuyée sur sa hanche. Mais au moment fatidique, elle tourne la tête pour que j’embrasse ses lèvres. Je m’apprête à m’excuser bien que je n’y suis pour rien mais elle m’att par le cou et ouvre sa petite bouche pour me rouler un patin d’une langue impatiente.
Je disjoncte ne sachant qu’elle attitude prendre. J’ai le choix entre la repousser et lui sauter dessus…
Mais vu comme elle me serre pour ce baiser, elle ne songe pas à mon départ pour le moment.
Elle prend ma main droite et la glisse sous le drap. Je retrouve une rondeur satinée dans ma paume, le téton que je caresse roule entre mes doigts. Mais comme je ne veux pas faire de jaloux, je passe à l’autre pour poursuivre mon exploration mammaire.
Aux petits soupirs de Jade malgré sa bouche colée à la mienne et nos langues enlacées, je crois qu’elle apprécie. Elle prend ma main pour la faire descendre, je caresse son ventre plat de plus en plus bas ce qui m’amène à frôler son pubis. Comme Jade ne me repousse pas, j’y vais franchement et empoigne son Mont de Vénus à pleine main, le compas de ses jambes s’ouvre comme par magie, appelant à encore plus d’engagement.

A suivre…


(Il faudrait bien qu’un jour, je fasse l’arbre généalogique de Patrick et de sa famille. Qu’en pensez-vous ? Si vous me le demandez, je m’y attelle. L’auteur.)

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