Salope De Belle-Fille. 7
SALOPE DE BELLE-FILLE.
Chapitre 7 : idem pour sa mère.
On se rend présentables et regagnons lun après lautre la salle où la piste de danse est quasiment pleine. Notre aparté na pas lair davoir été remarquée.
Ma femme me demande quand même :
-Mais quest-ce que tu fais ? Cest la deuxième fois de la soirée que tu disparais ?
Que lui répondre ?
-Jai eu un coup de barre et je suis allé prendre le frais sur le parking, je me suis même assoupi tout à lheure dans la voiture.
(Jespère que vous ne me trahirez-pas, hein ?)
Suite :
Les Jeunes mariés sont partis en voyage de noce. Le père de Jade a dû rentrer précipitamment pour des problèmes de boulot et na pas voulu forcer Sylvie à écourter son séjour. Jai encore quelques jours de vacances mais Emilie na pas cette chance, voilà ce que cest dêtre une femme de tête.
Vous pensez-bien que ce nest que pain-béni pour Sylvie (et donc aussi pour moi !). Une vraie chatte en chaleur en manque de matou. Autant son mari est quelconque, autant elle a la quarantaine radieuse. Javais bien vu que je ne lui déplaisais pas à la noce mais de là à ce quelle me saute dessus
Ce matin, nous échangeons quelques mots et au fils de la conversation, ce quelle me raconte me donne lexplication de sa faim de moi à la noce. Rien de disparait sur le net. Méfiez-vous.
-Tu sais Patrick, jai flashée sur toi dès le premier jour où je tai vu. Jai fait des recherches sur la « toile » et je nen suis pas revenue quand jai déniché une vidéo porno dont tu étais lacteur principal. Putain de queue et surtout je nen revenais pas de tes éjaculations. (Lire, aventure dans un gîte naturiste 13 et 14). Et quand je tai surpris avec Jade la veille des noces, je navais plus quune idée, que tu me ramones avec ta matraque ! Mais lautre jour, je nai pas pu déguster ta friandise, me permets-tu de corriger cet oubli ?
Elle nattend même pas mon approbation.
- Hum ! Cest prometteur! Le mariage était si magnifique ! Et jai surtout apprécié lintermède parking.
Elle se laisse aller à exprimer ses désirs !
- Tu as aimé ? Je te veux tout entier ! Tu vas tout me donner, et je vais tout de suite me servir, jai faim de toi !
Ses mains palpent mon entrejambe tout en susurrant des mots doux, je lui donne de petits baisers dans le cou avec tendresse, ma queue jamais en retard lui prouve létendue de mon désir.
Elle plonge pour sortir ma teub et la gobe comme une morte de faim. Putain sa langue, ses doigts, ses lèvres, la chaleur de cette bouche où ma pine est plus à laise que dans celle de sa fille. Je dois dire que ma queue se régale. Ma main caresse la tête qui me pompe si bien.
- Tu suces bien tu sais !
- Mieux que ma fille ? Me rétorque-t-elle en recrachant le morceau.
- Espèce de salope ! Pompe-moi plutôt et narrête pas surtout !
A genoux devant moi, telle une professionnelle, elle me pompe le gland ou me gobe les couilles, lèche de bas en haut ma teub. Elle a des haut-le-cur à chaque fois quelle essaie de la prendre dans sa gorge. Sa robe légère met en valeur les formes parfaites de Sylvie. Un corps à peine marqué par les années sans un gramme de graisse. Après quelques allers-retours « à mi-bite » pour détendre un peu sa bouche, elle enfonce un peu plus loin ma verge et la gobe presque en entier, les yeux fermés Jappuie sur larrière de sa tête que je retire pour la laisser respirer un coup avant de recommencer. Jarrive enfin à enfoncer mon sexe dune traite dans sa gorge jusquà ce que son nez senfonce dans mes poils pubiens et commence à baiser sa bouche avec son consentement. Elle réalise un sacré exploit car je ne suis pas précisément équipé léger.
Après une interminable séance de fellation, je sens venir la libération et je méchappe de sa bouche, pour jouir au paroxysme du plaisir en haletant. Après ma petite salope, jai ma grande salope !
Jatt ma queue pour un ultime astiquage et la couvre de ma semence. Elle reçoit des jets de sperme chaud et épais. Le premier, très puissant, recouvre son visage dun large trait blanchâtre partant du menton et se perdant dans sa chevelure. Les suivants finissent dans sa bouche quelle avale par gorgées et me pompe pour ne pas perdre les dernières gouttes, directement du producteur au consommateur.
-Ah Patrick, ta réputation nest pas usurpée ! Putain la dose !
Mais elle en redemande déjà, et moi, jai besoin que ma bite occupe lorifice prévu à cet effet.
Je la prends par la main et elle me suit comme un petit toutou. Un petit tour dans la salle de bain où elle sagenouille pour nettoyer ma queue de sa bouche en y mettant tout son cur. Il faut dire que pour lui faciliter la chose, je nai pas débandé. Je la relève, la prends dans mes bras où elle sabandonne, pleine de tendresse et je la porte dans sa chambre.
Ma bouche est collée à la sienne, nos langues sont folles, je fais plus que lembrasser, je la possède avec ma langue qui explore le territoire conquis.
Elle mavale la queue avec voracité, me suce, me pompe, me lèche mais je veux me réserver pour sa chatte.
-Eh doucement Sylvie, au tour de ta chatte !
-Oh oui, viens, prends-moi comme une bête ! Me répond-t-telle en se dessapant à une vitesse folle. Dans la chambre, je la jette sur le lit, glisse ma main entre ses cuisses et découvre une chatte déjà trempée et mes caresses ne font quentretenir le ruisseau de mouille. Sylvie se liquéfie littéralement sous mes doigts
Ma bouche vient sabreuver à cette mouille quelle laisse échapper sans aucune pudeur.
- Sylvie, tu es encore plus salope que ta fille, une vraie pisseuse !
- Jai tellement envie de toi !
Elle ouvre le compas de ses jambes, appelant ma langue à la faire jouir encore et je men donne à cur-joie, nétant pas radin sur lénergie dépensée, elle est de nouveau transportée dans un torrent de plaisir
Ma main claque avec vigueur sur sa fesse droite charnue qui rougit violemment. Je me gorge de sa cyprine, lui bouffant la chatte un bon moment, un doigt ségarant, tantôt le long de son sillon pour titiller son petit trou, tantôt retournant entre ses cuisses pour farfouiller dans sa chatte.
-Ouvre-toi bien
Je vais touvrir de ma queue et je veux te sentir jouir
Que tu mouilles encore, espèce de salope !
- Oh oui, jai envie de ta grosse queue!
Je me déshabille et la prends sauvagement, la transperçant longuement de mes coups de boutoir, elle jouit encore et toujours, et je lui donne de nouveau ma liqueur en jets brûlants qui se perdent dans un puits de mouille. Elle ma tellement chauffé que je ressens à peine la fatigue. Ma queue baisse un peu la tête mais en brave bête, nattend quun nouveau stimulus pour travailler.
Pour reprendre un peu de force et ne pas la délaisser, un doigt, puis deux partent préparer le terrain du coté de son cul. Sylvie a lair dapprécier et se met à quatre pattes, la tête posé sur loreiller.
- Prends-moi, je suis à toi et mon cul aussi!
Ma bite qui a repris du poil de la bête, tendue comme un arc, se pointe contre la pastille. Je force un peu pour déflorer lanus de mon gland. Sylvie maide en poussant, et après quelques secondes, il franchit le seuil du fourreau étroit.
Je continue la lente pénétration jouissive, jusquau moment toujours incroyable ou ma verge est entièrement au fond de ce trou accueillant, que mes couilles tapent contre la chatte. Je peux enfin me donner à fond dun pistonnage toujours plus fort, toujours plus rapide.
Je la sodomise aussi longtemps que possible pendant que ma main titille son clito jusquà la faire jouir. Elle commence à avoir sa dose et me supplie de conclure mais je marrête pas, changeant de position pour varier les plaisirs, ma queue ne quittant pas lécrin de son cul. Mais tout a une fin.
-Je vais te graisser le fion !
Jaccélère encore, elle se tord de bonheur en jouissant encore, les reins cambrés. Jenfonce mes mains dans sa chair et me laisse partir la martelant de coups de queue toujours plus fort, toujours plus profond. Elle crie encore et encore quand un ultime orgasme la submerge, poussant de longs gémissements de plaisir alors que je commence à éjaculer au fin fond de son cul en y déversant des flots de sperme chaud. À chaque jet, les frémissements de ma grosse bite se répercutent dans ses entrailles, tant elle est à létroit en ce lieu.
Je suis fourbu mais fier du devoir accompli et content darriver encore à faire la totale à une femme.
Et je crois que Sylvie nest pas habituée à un tel exploit :
-Putain Patrick ! Jai eu de nombreux amants mais avec toi, mon cocu de mari est un cerf à vingt cors ! Tu es le seul à mavoir baisée en continu par mes trois trous et fait jouir autant. Je comprends mieux ce que jai découvert caché dans la commode de la chambre de ta fille.
Elle se lève et va fouiller dans un tiroir pour me ramener un calendrier de 1997. Il ne me faut que quelques centièmes de secondes pour comprendre. Cest pas vrai
Il en existe encore ? Et le pire, cest que ma fille ait réussi à en dégoter un !
-Tu mexpliques, Patrick.
-Ben
Cétait il y a longtemps, je faisais parti dun club de natation synchronisé et en tant que futur ostéo, je moccupais du bien être des filles et les coachais. Elles mont surpris en train de moccuper de la masseuse et ça a fini en orgie. Les douze sont passées sur ma queue et lune delles na rien trouvé de mieux de prendre des photos et den faire un calendrier, une fille pour chaque mois.
Le pire, cest que deux ans plus tard, ce calendrier est tombé entre les mains des nouvelles, elles mont tendu un piège, mont fait prendre un excitant encore plus puissant que le Viagra et pendant toute une nuit, se sont défoulées sur ma queue, jai manqué en crever. (Lire : Le coach de léquipe de natation).
-Cest pas vrai ! Tes vraiment quune queue sur pattes, mais quelle queue !!!
A suivre
Ma belle-fille veut que je la mette en cloque.
(Il faudrait bien quun jour, je fasse larbre généalogique de Patrick et de sa famille. Quen pensez-vous ? Si vous me le demandez, je my attelle. Lauteur.)
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