Salope De Belle-Fille. 6
SALOPE DE BELLE-FILLE.
Chapitre 6 : Jour de mariage. Obligé de niquer la mariée et sa mère.
-Quest-ce qui tarrives ? Quest -ce que tu as à remuer comme ça ?
Je fais semblant de navoir rien entendu et me rendors dans les bras de Morphée, fier du devoir accompli.
Cest le grand jour. Je suis honteux de ce que jai fait cette nuit. Je suis un vrai salaud envers mon fils.
Jade est ravissante en robe blanche, elle est divinement belle. Le blanc, couleur de pureté et de chasteté ???!!!
Je félicite ses parents davoir une si belle fille. Sils savaient la salope quils ont engendrée!!!
On en est au repas de mariage entrecoupé de quelques danses. Je moccupe de la belle-mère, Sylvie. La lumière sur la piste de danse est tamisée, mais à la troisième danse que je fais avec elle, il se passe quelque chose dirréel. Elle me susurre à loreille :
-Patrick, jai trop envie de vous. Je vous ai surpris lautre soir dans le couloir. Je sais que ma fille est une vraie salope, mais moi aussi. Si vous ne voulez-pas que je fasse un scandale, baisez-moi !
Putain !!! Telle fille, telle mère ! Il faut dire que malgré son âge, elle est drôlement bien fichue, la daronne. Et un coup de queue vite fait, ça ne se refuse pas.
La seule façon de retrouver un peu dintimité, cest la bagnole. Un petit tour sur le parking, la banquette arrière, pas très confortable mais on nest pas là pour dormir.
Pas le temps de longs préparatifs, je retrousse sa longue robe, ne prends même pas le temps de lui retirer sa culotte pour lui dévorer la chatte dune bouche gourmande. Cest pas très confortable pour elle, un pied sur le dossier conducteur, lautre sur celui de la banquette arrière, ma bouche fait merveille entre ses cuisses écartées et cest parti pour lemmener au septième ciel ! Mes mains doivent souvent redresser son bassin qui ne cesse de glisser mais je laisse mes doigts ségarer vers son petit anus et comme par accident, je le pénètre dune phalange hardie
Oups ! Oh pardon madame !
Aussi chaude que sa fille ! Elle pousse déjà un cri rauque, faisant saillir sa croupe et étanche ma soif dune cyprine abondante.
Je continue de préparer le chemin, (les ?). Jalèse de mes doigts, elle est comme folle et jouit encore. Cest une vraie fontaine, cette poufiasse ! Elle ne sait plus où elle en est, je fais sortir Popaul qui commence à remuer dans les brancards à létroit dans mon pantalon, ma queue se glisse dans cet antre à lhumidité tropicale et je la baise gaillardement.
-Oh Patrick ! Que vous êtes gros ! Quelle queue vous avez !!!
Mon pouce accompagne le pistonnage dans son petit trou. Comme je nai pas toute la nuit, un léger dérapage contrôlé et mon gland ségard contre sa pastille. Je pousse, pour faciliter lintromission, elle écarte les fesses de ses mains et la tête de mon nud disparait dans ce boyau étroit. Elle ne proteste même pas. Doucement, il progresse encore et encore jusquà ce quelle soit embrochée jusquà la garde de mes couilles.
- je suis une femme chaude mais tu es un des rares à être passé par là. Oh putain que tes gros ! Mes aïeux ce que je déguste !
Un compliment, ça ne fait pas de mal. Je la pistonne comme un post-ado pressé. Elle va garder un souvenir inoubliable de ce moment, bon mais douloureux, elle risque de marcher en crabe le reste de la soirée. Je me sens à létroit dans ce petit conduit, sa main ségare entre ses cuisses pour caresser sa chatte et elle ne tarde pas à jouir encore avec ma queue dans son cul. Encore plus vicieuse que sa fille ! Jaccélère mes poussées de plus en plus fortes, de plus en plus vite et finis par cracher mon plaisir dans le cul de la belle Sylvie qui lance un cri dans la nuit, heureusement que le parking est désert !!!
Cétait bon et peut-être un peu rapide mais il faut savoir sadapter. Pour quelle ne tache pas sa robe, je lui retire complètement sa petite culotte pour men servir comme Sopalin, jen profite aussi après avoir récupéré ce que jai pu de son petit trou à me dégraisser le tuyau sous son regard plein de gratitude.
Je reste en retrait, laissant Jade à mon fils mais je vois bien quelle me jette des illades meurtrières. Se doute-elle de quelque chose ? Jespère quelle va se calmer maintenant quelle a juré fidélité à Damien. Elle est resplendissante, mais dans les cinq minutes qui suivent, elle arrive à me coincer et jai droit à une vraie scène de ménage.
-Espèce de salaud vicelard ! Je suis sûre que tu viens de baiser ma mère ! Jai bien vu son manège et remarqué votre absence tout à lheure.
-Euh Jade
Cest ton mariage et cest Damien qui devrait être dans tes pensées et non moi.
-Arrête !!! Ah ta renommée nest pas usurpée. Dès quun cul se présente, il faut que tu y trempes ta queue !
- Mais Jade, tu ne voudrais quand même pas tromper Damien le jour de ton mariage ?
-Cest moi que ça regarde ! Invite-moi à danser.
Nous voilà sur la piste, sous le sourire complice des invités devant cette scène touchante du beau-père et sa bru qui virevoltent. Les flashs crépitent et même mon fils y va de ses photos. Mais ça nempêche-pas Jade de frotter son ventre contre le mien pour voir si elle arrive à me chauffer. Jai une vue plongeante sur un décolleté vertigineux. Mais elle réattaque :
- Vous étiez ou ?
-Dans le parking.
-Jai trop envie de ta queue. Oh Patrick, il faut que tu me baises
-Mais
Je ne peux pas ! Pas aujourdhui dans ta robe de mariée !
-Si ou je fais un scandale. Attends que je te fasse signe.
Une demi-heure plus tard, virevoltant dun groupe à lautre, elle vient près de moi, en pleine conversation avec de parfaits inconnus du coté de sa famille.
-Dans dix minutes dans le local du fond !
Que faire dautre que de lui obéir ? À peine jai franchi la porte quelle donne un tour de clé.
-Prends-moi à la hussarde, vite !
Je retrousse sa robe, sort ma verge prête à la saillie et la soulève comme une plume pour la coller contre le mur. Elle me regarde, heureuse quand je la pénètre. Que ce passe-t-il dans sa tête ? Pourquoi veut-elle se taper un homme à la quarantaine passée, qui plus est, le père de son mari ?
Pourtant, elle se donne totalement à moi, le soir de ses noces ! Je sens ses cuisses qui souvrent toutes grandes, un soupir sexhalant de ses lèvres que ma langue goûte. Son bassin ondule sous mes poussées, sa main presse ma tête contre la sienne. La voilà partie dans un tourbillon qui sachève dans une plainte orgasmique
La voila qui explose, son sexe remplit de spasmes autour de ma queue épaisse, mes mains enserrent ses reins et je la matraque de coups de bite jusquà ce que nous explosions dans un plaisir partagé et violent.
Longtemps je reste en elle, je la sens contracter ses muscles vaginaux qui pressurent ma lance qui ne veut décidément plus débander.
On se rend présentables et regagnons lun après lautre la salle où la piste de danse est quasiment pleine. Notre aparté na pas lair davoir été remarquée.
Ma femme me demande quand même :
-Mais quest-ce que tu fais ? Cest la deuxième fois de la soirée que tu disparais ?
Que lui répondre ?
-Jai eu un coup de barre et je suis allé prendre le frais sur le parking, je me suis même assoupi tout à lheure dans la voiture. (Jespère que vous ne me trahirez-pas, hein ?)
A suivre
(Il faudrait bien quun jour, je fasse larbre généalogique de Patrick et de sa famille. Quen pensez-vous ? Si vous me le demandez, je my attelle. Lauteur.)
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