Sur La Banquette Arrière.

- Je te présente mes parents. Fit Jean Pierre. Un militaire comme moi, en ce jour de porte ouverte à la caserne.
Sa mère était une jolie femme brune, la quarantaine rayonnante. Ses cheveux mi-long entouraient en cascade de bouclettes un fin visage à la bouche ourlée et sensuelles. Elle me tendit sa main.
- Enchanté de vous connaitre Alain. Jean Pierre n’arrête pas de me parler de vous.
- Mon père et enfin ma sœur Pénélope. Ajouta-t-il en me signalant la jeune fille.
Brune elle aussi, mais à la différence de sa mère, ses cheveux longs lui donnant un air de madone, aux yeux naïfs et tendres. Une vraie poupée au corps sublime.
Ceci fait, j’abandonnais Jean Pierre à son rôle de guide, pour m’empresser de retourner dans ma chambre pour préparer mes affaires, c‘était pour moi jour de permission. Le pur hasard fit je tombais de nouveau sur la petite famille.
- Tu pars ? Me fit Jean Pierre.
- Oui, l’heure approche.
- Vous nous quitter déjà ? Fit la mère.
- J’ai un train à 13H45. Le temps d’arrivé jusqu’à la gare.
- Vous allez où ? Ajouta la mère.
- Gare de Lyon.
- Ça tombe bien ! Nous avions l’intention de nous y rendre sitôt la visite terminée.
- Mais vous ne restez pas ce soir ? Répliqua Jean Pierre.
- Je suis désolé mon grand, mais ton père a un rendez-vous urgent demain matin.
- Qu’est-ce que tu en pense Alain ? Fit Jean Pierre. Saute sur l’occasion.
- C’est que je ne voudrais pas vous dérangez.
- Mais vous ne nous dérangez pas. S’exclama la mère. Où allez vous cherchez cela. N’est-ce pas mon chéri ? S’adressant à son époux.
- La voiture est assez grande pour emmener une personne supplémentaire. Et comme cela à l’air de faire plaisir à ma femme, pourquoi pas. Répliqua le père, loin d’être enchanté.
- Alors, affaire conclu. Tu pars donc avec mes parents.
- Je vous en remercie.
- Je vous en prie.

Fit la mère.
Et sur ces bonnes paroles que je me suis éloigné. Les laissant en famille.
Comme prévu à l’heure dite, je m’approchais du trio.
- Jean Pierre n’est pas avec vous ?
- Non ! Fit la mère. Il est occupé avec sa copine. On y va ?
- Vous êtes sûr que cela ne vous gêne pas ?
- Si on vous la proposer c’est que cela nous dérange pas.
La nuit était froide et humide. Le père toujours peu bavard à la mine austère, prit place derrière le volant. La mère avait qu’en a elle, pris place à ses côtés, sur le siège passager. La jeune sœur vint s’asseoir près de moi sur la banquette arrière. Alors que je sécurisais, elle s’empressa d’attr une couverture pliée sur la plage arrière. Qu’elle prit la peine de l’installer sur elle, alors que le père manœuvrait déjà, pressé de prendre la route.
À l’intérieur de l’habitacle le silence se fit. Seul le bruit du moteur le coupa. Au bout de quelques kilomètres seulement, bercée Pénélope somnola. Venant d’un coup de reins blottir ses hanches contre moi. Pas de quoi fouetter un chat. Je sentais au travers de la toile de mon pantalon la peau froide de sa jambe gainé de nylon bleu foncé. Mais voilà que sa main vint de poser sur la mienne.
Surprise par le contact de la peau, elle la retira brusquement, prenant par la même occasion conscience de la situation.
Ensuite il ne se passa plus rien pendant pas mal de minutes. Jusqu’à ce que Pénélope se fasse remarquer de nouveau. S’affaissant sur moi de tout son aise. Posant sa tête au creux de mon épaule. Une main sur mon torse. Cherchant sans doute la bonne position. Après un soupir elle replongea dans les bras de Morphée.
Après seulement quelques instant, la main glissa de mon torse à ma ceinture. J’aurais pu la repousser. Mais en avais-je réellement envie ? Encouragé par mon manque de réaction, elle aventura ses doigts sur la fermeture Eclair de ma braguette.
Je retenais mon souffle, attendant patiemment la suite du programme.
Devant, personne ne se doutait de ce qui tramer à l’arrière. La mère somnolait sur son siège alors que le père fixait la route, concentré sur sa conduite.
Pendant ce temps, non sans habileté, elle m’avait débraguetté et avait glissé sa main fraiche pour empoigner ma tige brûlante. Les doigts de la jeune fille se mirent en mouvement sur ma verge. Faisant naître chez moi des sensations très agréable. En toute impunité, la coquine fit glisser lentement sa tête de mon épaule à mon torse. S’immobilisant à hauteur de mes pectoraux. Plus bas sa menotte était toujours en fonction branle.
J’étais dans l’incapacité de résister à l’envie aussi irrésistible que saugrenue de la petite coquine. Qui se mit à onduler, avant de ramper sur le ventre. Elle tortilla des fesses jusqu’à trouver la position la plus confortable sur la banquette. Puis une fois enfoui sous la couverture, elle se mit au travail. Se jetant pour ça sur ma queue avec appétit de cannibale. J’étais comme tétanisé par tant de sang froid.
Tout en me caressant les cuisses et les couilles, elle me gratifia d’une splendide pipe. Elle commençait par me la lécher sur toute sa longueur, avant de me la pomper. Elle alterna les phases de gorge profonde avec des mouvements papillons de sa langue sur mon gland. Elle stimulait délicieusement la zone la plus sensible, celle du frein, s’arrêtant parfois pour gober les couilles, qu’elle faisait rouler entre ses lèvres. Puis elle fit aller et venir sa bouche sur mon sexe, tout en me caressant doucement mes couilles. Une vraie experte de la chose.
Je sus à cet instant que je ne pourrais plus me retenir longtemps. Et ça, la chevronnée l’avait ressentit. M’avalant sur toute ma petite longueur, elle accéléra les va-et-vient de ses doigts.
La fatigue, l’énervement, cette situation imprévue et je ne sais quoi encore, firent que je fus brusquement incapable de me contenir plus longtemps. J’éjaculais dans la bouche de la jeune suceuse.
Elle me but jusqu’à la dernière goutte de jouissance avant de sortit de dessous la couverture pour approcher ses lèvres de mon oreille pour me murmurer d‘une haleine chaude :
- J’adore le goût de ton sperme ! Il a une saveur un peu sucrée.

Grâce à la lueur du tableau de bord, je surpris son regard. Il était comme fou. J’étais halluciné par tant d’audace de sa part. Mon cœur battait à tout rompre alors que je me rajustais. Elle reprit sa place initiale et n’y bougea jusqu’à notre arrivée. Réfléchissant sans doute sur la suite à donner à notre petite aventure.
D’ailleurs la coquine ne manquait pas d’imagination. Allant jusqu’à imposer à ses parents de m’héberger pour la nuit.
- C’est une bonne idée Pénélope. Rétorqua la mère. C’est la solution la plus sage.
- C’est que…
- Que quoi ? Vous prendrez le train demain matin après une bonne nuit de repos. Je vous en prie, acceptez cette invitation. Il est tard. C’est la solution la plus sage. Je vous promet de vous conduire moi-même à votre gare demain matin.
- Si vous assistez, pourquoi pas.
Le mari toujours aussi silencieux, contre mauvaise fortune bon cœur prit la route qui allait nous mener jusqu’à leur appartement. Une fois dans le lieu, l’hôtesse m’indiqua la chambre qui m’était alloué, celle de Jean Pierre.
- Je suis sûr que lorsqu’il apprendra ça, cela lui fera chaud au cœur. Fit la mère.
- Merci madame.
- La salle de bains se trouve à la deuxième porte à droite dans le couloir. Si vous désirez prendre une douche.
Allongé dans le noir, il m’était alors impossible de trouver le sommeil. Je sentais qu’il allait encore se passer quelque chose. Et ce qui devait arriver arriva. Une demi-heure plus tard la porte s’ouvrit. Grinçant sur ses gonds. Malgré la pénombre je vis une silhouette s’engouffrait à l’intérieur de la pièce. J’allumais la lampe à chevet pour me retrouver face à Pénélope. Une lueur farouche dansait dans son regard.
- Qu’est-ce que tu veux ? Lui fis-je.
- Que tu me rendes la monnaie de ce que je t’ai donné dans la voiture. Répliqua-t-elle
D’un mouvement gracieux, elle croisa les bras, attrapa l’ourlet de sa robe puis le releva au-dessus de sa tête.
Elle ne portait pas de collant, mais un porte-jarretelles et des bas gris bleuté. Pas de culotte non plus, ni de soutien-gorge. Sa peau étincelait d’une clarté laiteuse. Sa vulve était intégralement rasée.
Dès lors, tout devint lumineux dans mon esprit. Si elle avait si bien assisté auprès de sa mère, quelques heures plus tôt pour m‘accueillir pour la nuit, ce n’était pas si simplement par gentillesse mais parce qu’elle avait besoin d‘être baiser. Elle avait le feu au cul cette fille. Notre rencontre avait été providentielle pour son appétit sexuel. Sa faim était aussi énorme que son jeune âge était jeune.
- Et pourquoi le ferais-je ? Je ne t’ai rien demandé.
- Peut-être ! Mais tu n’as rien fait pour m’arrêter. Répliqua-t-elle.
Alors que je la dévorais du regard, elle en profita pour retrousser le drap du dessus, et prendre place à mes côtés.
- Vue comme ça. Tu n’as pas peur quand nous surprenne ?
- Les vieux dorment.
- Ils dorment mais peuvent aussi se réveiller ?
- Fais moi confiance, ils dorment.
- Alors si ils dorment allons-y. Tu es une vraie petite garce, t'as pas ton pareil pour me faire bander. Répliquais-je, en soulevant le drap pour exhiber ma verge.
- T’es vraiment increvable toi !
D’un geste sûr, elle entoura de ses doigts ma verge. Je cessai tout net de respirer. Elle commença très doucement à me branler. Il m’en fallut pas plus pour divaguer. Grommelant des oui et des encore, qui s’échappaient de ma bouche. Emporté par mon excitation je picorais son cou avec ma bouche. Elle renversa la tête en arrière. Je n’eus aucune hésitation à m’emparer de sa poitrine. Que je me mis à lécher, sucer avidement. Des seins délicieusement arrondis, doux et rafraîchissants à la fois. Elle commença à frétiller avec de petits cris aigus. Traçant un sillon sinueux, scintillant de salive, je partis en exploration sur son corps. Je rencontrai le creux du nombril, puis son sexe lisse. Son odeur n’était pas désagréable et cette mise en bouche activa un peu plus ma raideur. À m’en faire mal. Elle ferma les yeux et posa une main sur mon crâne. M’encourageant ainsi de continuer. J’empoignais ses mamelons et les pétris en même temps que je léchouillais son sexe.
- Oh!…oh!… s’écria-t-elle.
De la langue, je dénichais le point sensible, l’agaçai quelque temps puis m’en éloignai en chatouillant l’ondulation des lèvres fines. J’appréciai ses soupirs à répétition chaque fois que ma langue effleurait chaque partie de son sexe. Puis, je plongeai ma langue dans une fente visqueuse. La pauvre fille me tenait toujours à deux mains, tremblant de plus en plus.
- Tu aimes ça ? L’interrogeais-je, en relevant la tête.
- Tu ne peux pas savoir. Continu s’il te plaît ! C’est trop bon…
Agitée de spasmes, elle jouit sous mes coups de langue répété. Il sortait de son antre des traits de liquide blanchâtre. La langue ankylosait, je décidais de passer à autre chose. Lui donner le pourquoi elle était venue.
Le lit émit un gémissement plaintif alors qu’elle se plaçait à quatre pattes. Une fois en position, elle bougea du cul comme si une bite la fouillait. Puis elle me tendit les fesses le plus haut possible.
- Prends-moi, maintenant… Me gratifiant d’un sourire plein de réconfort.
- Et pourquoi, ferais-je cela…
- Parce que tu en as envie… aller conard embroche moi…
Ça devenait plus que palpitant ! Pour toute réponse, je glissais mon index dans son orifice. Il était étroit et humide. Tellement humide que mon doigt s’y engouffra presque malgré moi. Je le fis frétiller à l‘intérieur, avant de le retirer, et le glisser plus bas. La rondelle se trouvait extrêmement crispée, mais mon doigt était assez gluant de ma précédente exploration pour s’enfoncer sans trop de résistance. Elle ondula alors du bassin comme pour mieux le sentir. La coquine ne se refusant rien, porta une main à son sexe et entreprit de se faire du bien. À la même cadence que celle dont je faisais usage dans son fondement. Quand je le sortis ce fut pour le porter à mes narines. Il sentait la merde. Je n’ai pas hésité de le sucer.
- Baaahhhhh ! T’ai dégueu…
Cela me fit sourire. Je me saisis de ma verge et la guidais à l’entrée de son vagin. Savourant la délicieuse sensation procurée par la chair molle et gluante frottant la tête de ma verge. Quand le gland disparut disparu dans ses entrailles, elle a gémit. Elle était douce moite et onctueuse. Elle avait la chatte aussi accueillante que sa bouche. Et par-dessus tout, elle savait s’en servir ! Elle adorait la chose, selon toute évidence, et elle y mettait une ardeur qu’on ne rencontre que trop rarement.
J’eus l’impression que le vagin m’asticotait. Se moulant parfaitement au volume de mon sexe. Elle poussa un gros soupir, comme si ma queue expulsait l’air de son corps. Je me mis à la baiser activement. Mes couilles cognaient ses fesses. Je me penchais pour saisir les seins qui ballottaient sous elle. Tout le corps exhalait une odeur de sexe échauffé. Entre mes doigts, les seins moites glissaient de transpiration et de salive.
Je sentais alors qu’on m’écarter les fesses. Je tournai la tête pour y apercevoir la mère. Elle portait une chemise de nuit descendant jusqu’aux chevilles. Toute blanche et dont la transparence ne laissait aucune partie de son corps à l’abri des regards. Ses seins lourds et hauts perchés, tendaient la fin tissue et la tache sombre de son pubis ajoutait une légère obscénité à sa tenue. Son sourire s’était changé en carnassier, accompagnait d’un regard aux brillances mauvaises. Décidément pensai-je, c’est de famille !
Je la vis se pencher en avant, et très vite je sentis sa langue légèrement râpeuse me lécher le troufion. Elle n’était à sa première expérience. Sa langue virevoltait autour de ma rondelle et s’y enfonçait comme pour un baiser profond.
Il m’en fallut pas plus pour me vider dans l’antre de sa fille. J’étais tellement excité que j’avais l’impression d’éjaculer sans fin. Quand je me retirai, le vagin de Pénélope resta ouvert. Comme un entonnoir de chair à vif. Elle se laissa tomber sur le ventre, secouée de spasmes violents. Je m’affalais près d’elle, le souffle court. L’effort et l’excitation m’avaient épuisé.
Mais ça la mère, elle s’en foutait. Elle voulait, elle-aussi sa part de jouissance. Elle vint pour cela s’accroupir au-dessus de mon visage. Elle s’ouvrit d’elle-même. M’exhibant une chair rose et un clitoris de bonne taille, rouge sang que je m’empressai de sucer. Elle appréciait beaucoup comme le montrait ses gémissements.
Après avoir joui assez rapidement, tant son excitation était à son comble, elle resta immobile quelques instants comme pour récupérer. Le regard fiévreux, les pommettes comme marqués au fer rouge.
Puis le regard rivait au mien, elle vint s’accroupir au-dessus de ma verge, face à moi. Sans un mot, elle s’empala littéralement dessus. Et se mit à me baiser très savamment, jusqu’à être rattr par l’orgasme.
Anéantie, le cœur battant la chamade, elle s’écroula du côté libre. Couchés côte à côte, silencieux, nous reprîmes nos souffles. Ce fut la mère qui brisa le silence.
- Pénélope, nous n’allons pas en rester là, tu ne crois pas ?
Comme une morte de faim, la mère prit mon gland souillé dans sa bouche et le caressait avec la langue tandis que Pénélope léchait le corps de la verge et les bourses. Comme un scénario bien huilé, elles échangeaient leur place régulièrement. Sentant que j’allais bientôt jouir, leurs lèvres et leurs langues se mélangèrent autour de l’extrémité du sexe raide. Leur salive abondante coulait sur la tige jusqu’aux bourses gonflées. Le sperme jaillit soudain inondant leurs visages. Les deux femmes se léchèrent mutuellement la face pour récupérer le foutre. Puis pendant que la mère me pressait les couilles et aspirait les dernières gouttes de semence, Pénélope se redressa pour poser ses lèvres couvertes de jus encore tiède sur les miennes et m’embrassa voluptueusement enfonçant profondément sa langue dans ma bouche. Ce baiser parfumé à mon jus dura longtemps et fut ma foi fort agréable. Je dois avouer que j’ai rarement eu l’occasion d’avoir en même temps deux fellatrices accomplies pour s’occuper de mon sexe.
Cela m’avait fait tout drôle de revoir Jean Pierre au rassemblement le lundi matin…

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