La Banquière

Je ne suis par mes occupations qu'une petite employée de banque. Je passe une bonne partie de ma journée derrière le guichet pour distribuer des sous à ceux qui le méritent. Pour la pause de midi, il m'arrive d'aller déjeuner dans un petits restaurant sympa pas loin au lieu de suivre mes collègues vers le resto réservé. J'ai besoin de me décrasser la tête. Je ne suis pas sauvage, j'aime seulement avoir la paix un moment, seule dans mon coin.
Le patron m'installe à une table seule, face à l'entrée. Je remarque un couple qui s'assoit. Lui me plaît dès le début, il est mignon, grand, brun, pile comme j'aime les garçons. S'il venait bavarder et plus si affinité je sais que je ne dirais pas non.Pour sa compagne je ne sais rien, elle me tourne le dos. Je finis de manger, j'allume une cigarette, bien que ce soit interdit, le patron ne dis jamais rien à ce sujet, pas plus que la clientèle. Je bois mon café, indispensable le café, juste avant de partir. Je passe devant la table où est le beau brun : il me demande du feu.
Je le regarde : de près, il est moins bien, je regarde sa compagne qui lui ressemble fort : sa sœur certainement. Je ne l'avais jamais vue, j'ai un coup au cœur, elle est belle comme un de ces modèles des magasines, en mieux à mon avis. Le garçon voyant mon intérêt m'invite pour prendre un café : ce que j'accepte sans réfléchir. Nous commençons à bavarder plus avec la sœur qu'avec lui. Le temps passe, je suis obligée de partir.
Je suis à mon poste à la caisse quand la fille du restaurant arrive. Dans ma succursale, je n'ai pas de guichet à proprement parlé. Je donne aux client une carte pour qu'ils retirent eux même l'argent désiré. J'allais lui demander le numéro de son compte quand elle me tend un papier avec un numéros de portable avant de partir. Dès que je peux j'appelle le numéros. La voie qui répond est celle de la fille : elle me propose de venir prendre un verre chez elle le soir même. J'accepte volontiers, étant un peu perdue dans cette nouvelle affectation.


Je passe chez moi me faire une beauté. Je ne sais exactement ce qui arrivera dans la soirée, le frère veut sans doute essayer de me faire tomber dans ses bras. A tout hasard je porte un mini string, un chemiser en dentelle (j'aime la dentelle) j'oublie involontairement mon soutif. J'ai mis une jupe à mi cuisses. J'ai même eu la précaution de prendre des préservatifs, on ne sait jamais, les garçons en sont souvent démunis.
La sœur ouvre la porte :
Mon frère n'est pas là. Entres nous passerons la soirée en filles.
D'accord.
Nous nous embrassons sur les joues, comme des amies. J'avais peur que notre soirée soit assommante. Il n'en ai rien. Mado non plus. Si au restaurants nous ne parlions que de babioles, maintenant nous sommes sérieuses, trop peut-être. Pourtant, comme dans toutes conversations féminines les mêmes refrains reviennent vite : l'amour. L'amour physique, bien sur. Je décris mes préférences, elles les siennes. Nous aimons les même étreintes, les mêmes positions.
Petit à petit nous donnons des détails tels que nous nous excitons seules. Mado la première le fait par de son embarras. Elle est tellement excitée qu'il lui faut se satisfaire. L'entendre parler de satisfaction, j'avoue que moi aussi j'ai besoin de me masturber.
Je voudrais que tu me dise où sont les toilettes, je n'en peux plus, il faut que j'y aille.
Faire pipi ?
-Non plus personnel.
Pour te branler vas-y sans crainte, je veille.J'irais après toi
Ainsi elle sait ce que je fais me faire. Elle fera la même chose après moi. C'est ridicule.
Alors je reste ici, nous nous branlerons ensemble.
Pour moi c'est dit naturellement, ça m'est déjà arrivé avec des copines de nous masturber ensemble sans que nous en fassions un drame. Elle accepte de se faire plaisir devant moi. J'enlève mon petit string, lève ma jupette, passe vite une main sur la chatte. Sans vouloir la regarder, je m'aperçois qu'elle fait comme moi.
Là où tout change c'est quand elle me donne ses impressions et sensations, qu'elle me dit où elle se caresse et comment.
Je suis obligée de regarder en détails la masturbation qu'elle se donne. Si sa main caresse largement la chatte, je fais la même chose sans le dire. Je la vois au moment où elle se crispe devant l'orgasme. Je vois bien qu'une main est posée bien à plat sur son sexe. Je me demande un peu pourquoi elle ne s'ouvre pas plus comme moi quand je jouis comme maintenant. J'allais jouir comme elle quand elle se lève pour se mettre nue.
J'admire son corps qui me semble plus sensuel que le mien. Je sens une envie de lui donner du plaisir avec ma langue comme si j'étais un homme. J'imite son geste en devenant moi aussi une nudiste sans son salon. Mado  m'inspecte comme je l'ai fait. Elle me tend un bras que je prends. Nous sommes assises cote à cote. Je sens la chaleur de son corps contre le mien. Elle est plus douce que je le croyais. Nous écartons les jambes, je pose même une cuisse sur la sienne, nos mains reprennent les caresses sur les sexes. Sauf qu'arrive l'instant où se caresser ne suffit plus. Je suis tenté de la caresser moi même : sa chatte est trop tentante. Je pousse sa main pour la remplacer. Elle se laisse faire, quand elle sent le nouveau plaisir, elle me le rend aussi.
Tant pour elle que pour moi, ces débuts d'étreinte nous dirigent droit vers un premier baiser sur la bouche. Assise n'est pas commode pour nous embrasser corps à corps. Nous nous levons, collées, nos seins bien ajustés, nos pubis avec nos poils qui se mélangent. Nous sommes pleine d'attentions, de désirs surtout. Mado passe une main sur la chatte, puis s'accroupit dans un geste d'adoration sur mon clitoris. J'ai la première langue sur mon con. C'est meilleurs qu'avec un garçon. Mes cuisses écartées l'appellent pour la suite que je désire jouissive. Mado passe ses mains sur mes fesses, fait le tour des demi globes pour passer entre les deux. Je crois savoir ce qu'elle cherche, je le lui offre quand ses doigts sont sur l'anus. J'ouvre mon cul le plus possible. Avoir deux doigts dans l'anus, sa langue sur la chatte font que je ne sais plus me tenir : je gémis comme rarement.

Elle m'emmène dans sa chambre. Nous nous couchons vite à la recherche d'autres plaisirs plus conformes à ce que nous désirons, jouir entre filles. Nous sommes vite en 69, seul moyen de nous aimer ensemble. C'est vrai qu'entre nos langues actives, agiles sur le sexe de l'autre, nos doigts qui connaissent le moyen d'entrer dans des trous interdits entre nous. Nos plaisirs sont nombreux. Nous jouissons sans cesses.
J'aime particulièrement sentir le bout de sa langue entrer dans mon vagin pour y trafiquer je ne sais quoi. Je me ratt en lui mettant la mienne dans le cul : elle m'a dit qu'elle aimait se faire enculer. Je décide de frapper un grand coup, je me mets à ses pieds que je lèche d'abord avant d'embrasser les mollets en montant lentement, très lentement vers interne de ses genoux. Je lèche ensuite l'intérieur des cuisses en montant très lentement vers son intimité. Elle ouvre en grand le compas comme si j'allais la dévorer.
Ma bouche a des envie de mordre. Je ne résiste pas à mordiller le clitoris : elle gémit en me tenant la tête. J'en profite pour lui donner trois doigts, un peu gros, dans l'anus.En se tortillant pas mal elle arrive à prendre mon sexe dans sa bouche, elle ne m'épargne rien. Ce n'est plus un 69, c'est de la gymnastique.
Quand nous décidons de nous arrêter, nous nous reposons après pas loin de 4 heures. Elle veut expérimenter le fistage sur moi. Je n'ai rien contre sinon que je ne sais pas du tout si je supporterais l'introduction de sa main dans le con. Elle entre ses doigts les uns après les autres. Au début, c'est adorablement sexy, puis un peu douloureux, finalement elle me fait mal avant que j'ai un orgasme violent: j'aime bien ce qu'elle fait. Elle se tourne pour me donner son con sur la bouche. Elle continue le fistage, c'est drôlement bon, dégueulasse et tout : je prend un plaisir que je redemande encore et encore. Je me contente de la lécher partout sur sa chatte.
C'est promis, je reviens demain pour la suite chaude de notre conversation.
Je viendrais presque nue, ma main affûtée pour la fister.
Le lendemain matin en reprenant mon travail mes collègues me demande ce que j'ai bien pu faire dans la nuit : j'ai une mine décomposée.

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