Récits De Lectrices : Clotilde : La Rencontre (Partie 1/4)

Récit proposé par une de mes lectrices dont j’ai la lourde tâche d’écrire et de mettre en page, en respectant scrupuleusement ses aventures sexuelles qu’elle a vécues.

Clotilde : La rencontre (Partie 1/4)

Clotilde vivait dans une famille très modeste. Son père avait perdu son emploi depuis six ans lorsque les aciéries fermèrent définitivement et ne retrouvait pas de travail. Ses parents avaient du mal à finir le mois, le père ne touchait plus les allocations de chômage, le couple ne vivait qu’avec les aides de l’état qui n’étaient pas bien élevées. Clotilde était une bonne élève, elle venait d’obtenir son bac et voulait être infirmière.

À 18 ans, Le mardi 28 août, elle était triste, c’était sa dernière semaine de congé et était partie faire ses adieux à son copain qui partait le lendemain à Lyon pour prendre possession de son logement pour l’année scolaire. Elle était rentrée bien plus tôt que d’habitude. Elle avait déjà vu cette voiture devant chez elle, certains soirs, deux hommes étaient chez ses parents, elle ne les aimait pas car sa petite sœur lui avait déjà dit que ces deux messieurs n’étaient pas toujours gentils avec elle. Clotilde en avait parlé à sa mère mais celle-ci n’avait jamais fait le nécessaire. Ce soir-là, en rentrant, elle entendit sa sœur se plaindre, elle était dans la chambre à l’écart, c’était celle des parents. Sur la table de la cuisine, il y avait deux billets de 100 francs, elle s’était dirigée vers la chambre conjugale et en entendant toujours des plaintes de sa sœur.

Clotilde avait compris, elle s’enfuit en courant, ses parents ne l’ont jamais revu depuis. Elle s’était retrouvée sur le bord de la départementale en train de faire du stop, elle voulait aller très loin, elle ne savait pas où, mais loin de chez elle, loin de ses souvenir qui la marqueront à vie. Il n’avait pas fallu longtemps, un camion semi-remorque s’était arrêté, presque obligé de le faire car Clotilde était presque au milieu de la chaussée.

Le chauffeur avait eu peur, il la disputa :

— Monsieur, s’il vous plait emmenez-moi.
— Où tu vas ma petite, je rentre chez moi à Dijon.
— Je vais jusque-là avec vous, cela ne vous dérange pas ?
— Où sont tes affaires ? Tu n’as rien ? tu es sûre ? Es-tu majeur ?

Elle n’avait pris qu’un petit sac avec quelques sous-vêtements, une robe de change et un jogging. Elle avait ramassé l’argent sur la table et les quelques petites économies qu’elle avait dans une tirelire bien cachée. Il lui ouvrit la portière et regardait la carte d’identité qu’elle lui tendit. Cela le rassura, elle avait 18 ? ans. Ils n’osaient pas se parler pendant plusieurs kilomètres, lui ne voulait pas lui faire peur, il la trouvait très belle cette petite et se posait la question :
« Que lui était-il arrivé pour être dans cet état ?

Elle avait un peu peur des inconnus, surtout cet homme d’un certain âge, cela l’impressionnait. Il pouvait être largement son père, même plus vieux. Gérard prit la parole pour se présenter, cela la rassura, il avait 50 ans, était divorcé depuis quatre ans, sa femme le trompait depuis toujours lorsqu’il partait la semaine sur les routes. Il ne voyait plus sa fille de 27 ans et n’avait pas connu sa petite fille de 3 ans. Il vivait dans une petite maison de village à côté de Dijon. Il était déjà tard, lorsqu’ils avaient atteint l’autoroute, mais c’était l’heure de sa pause, il trouva un parking et s’arrêta. Après la pause pipi, il lui avait proposé de prendre la couchette pour qu’elle puisse dormir un peu. Fatiguée comme elle était, elle s’endormit et ne s’était réveillée qu’à 4h00 du matin, lorsqu’il garait son véhicule sur l’emplacement devant son domicile :

— Tu ne vas pas faire du stop à cette heure, tu peux finir la nuit chez-moi. Ça te va ? J’ai une chambre d’ami si tu veux.
— Non ! Merci, je dormirai sur le canapé, je mettrai la télé car je n’ai plus trop sommeil.
— Moi, je me couche bonne nuit.


Gérard était dans son lit et entendait Clotilde pleurer dans le salon. Il se leva, habillé uniquement d’un slip blanc et d’un Marcel (maillot sans manche). Il était impressionnant, du haut de ses 1,88 m pour 95 kg, très large d’épaule avec un léger embonpoint, mais encore bel homme. Ses yeux foncés, lui donnait un regard perçant et un air assez autoritaire. Il se mit assis à côté d’elle sur le canapé et l’avait pris dans ses bras pour la consoler. Elle était toute menue à côté de lui. Clotilde aux yeux noisette en amande était d’un petit gabarit, elle n’était pas maigre, elle mesurait 1,53 m pour 45 kg, avec de jolis petits seins en forme de poire bien fermes. Elle avait un air innocent vu son âge, à peine majeure. Dans ses bras, elle se sentit tout de suite bien, son père ne lui faisait jamais de câlins affectueux. Lorsqu’il lui avait demandé ce qu’elle avait, elle n’hésita pas à lui raconter tout ce qu’elle venait de vivre :

— Tu devrais dormir un peu ma petite, ça te fera du bien.

Le contact avec la petite excita fortement Gérard, il n’avait pas touché une femme depuis une semaine, il avait envie de l’emmener dans sa chambre et de la prendre tout de suite mais il s’était retenu l’avait porté dans ses bras et la déposa délicatement sur le lit de la chambre d’ami.

Pendant qu’il la déshabillait, tellement impressionnée, elle se laissait faire, couchée sur le lit, elle se retrouvait en slip et soutien-gorge, les mains de Gérard étaient douces, elle avait envie qu’il continue mais il lui remonta le drap sur son corps, lui fit une bise sur le front :

— Tiens, mets cela, tu enlèveras le reste.

Il lui donna un teeshirt à lui en guise de chemise de nuit et quitta la chambre un instant. Pendant qu’elle finissait de se dévêtir et d’enfiler son teeshirt. Au moment de quitter la pièce, elle lui dit :

— Merci, vous êtes vraiment gentil.

Gérard, après avoir bu une bière à la cuisine était revenu vers la chambre où Clotilde était sensée dormir, il ne savait pas quoi faire, il savait que cette petite avait besoin d’un protecteur et d’un maître pour lui apprendre la vie.
Ses parents ne semblaient pas avoir rempli leur mission. Il quitta la pièce et parti à la cuisine, elle avait raison, lui non plus n’avait plus sommeil. Il but un café et était absorbé dans ses pensées, il voulait devenir son maître. Lorsqu’il passa devant la chambre dont la porte n’était pas entièrement fermée, il vit Clotilde se caresser, elle avait les yeux fermés, son teeshirt relevé et sa main fouillait son entrejambe, elle était en pleine séance intime. Il pénétra dans la pièce, se mit assis sur le lit et lui caressa délicatement le visage. Elle s’était relevée pour s’assoir sur lit en bredouillant :

— Heu ! Vous…
— Tu m’offres un beau spectacle Clotilde. Je vois que tu as besoin d’aide. Tu sais, je suis là pour t’aider.
— Je ne faisais pas ça …

Il lui mit la main derrière la tête, en l’attirant vers sa poitrine puissante avec une certaine fermeté. Elle se sentait minuscule à côté de ce géant qui l’électrisait lorsqu’il la touchait, il mit encore une légère pression sur son cou afin qu’elle descende encore la tête, elle n’opposait pas de résistance elle était sous son contrôle, elle avait peur mais avait tellement envie de se laisser faire. Lorsqu’il sortit son sexe en érection de belle taille devant sa bouche, il lui dit avec fermeté :

— Suce
— Je ne sais pas ..., je n’ai jamais fait cela...
Il soupira en disant :
— Je vais avoir du travail pour te former mais cela me plait. Je relève le défi. Ne discute plus suce, un point c’est tout.

Elle fut obligée d’ouvrir en grand sa petite bouche, son membre avait encore pris de la grosseur, elle attrapa son gland entre les lèvres et commença à faire tourner sa langue tout autour, pendant que lui passait les doigts dans sa longue chevelure blonde en caressant son dos. Il changea de position, il se mit debout et lui demanda de se mettre à genoux devant lui. Son érection avait atteint son niveau maximum. Elle lécha un peu la hampe puis il se glissa une nouvelle fois à l’intérieur de sa bouche mais il s’enfonça plus profondément.


Il avançait et reculait le bassin en lui maintenant la nuque sans forcer, il s’enfonça encore plus loin lentement, elle commençait à avoir des hauts le cœur lorsque son gland frappait le fond de sa gorge. Ses mâchoires lui faisaient légèrement mal lorsqu’il se retira. De sa poigne, il la retourna toujours sur les genoux, il la fit se pencher, sa poitrine plaquée sur le lit. Il prit son pénis de la main droite et lui frotta sa vulve qui était déjà mouillé d’excitation, il la montait tout le long de la raie, s’attardant sur son anus, puis sur sa vulve qui suintait de désir pour insister sur le clitoris, les deux liquides se mélangeaient déjà :

— Tu es vierge ? Tu as déjà couché combien de fois ?
— Non ! Que quelques fois avec mon copain.
— Monsieur. Rajouta-t-il.

Il introduit délicatement son gland entre les lèvres trempées de la jeune fille, la mouille facilitait le passage, elle était toute serrée, il était compressé dans son intimité, il allait et venait lentement, délicatement. Elle serrait ses poings sur les draps, en se mordillant ses lèvres, elle jouit déjà une première fois en gémissant : « Hum... Hum... Hum... » deux coulées d’éjaculation féminines s’échappèrent, lorsque Gérard se retira. Puis il la pénétra de nouveau, mais cette fois, Il la tenait fermement par les hanches, la faisant avancer ou reculer, la retenant, lui donnant le rythme, il la dominait.

Elle perdait le contrôle son corps devenait le jouet d'un homme pratiquement inconnu. Ses cris s'étouffaient sur le lit, elle serrait toujours de ses petits poings le drap, pendant que son ventre se remplissait de désir, se contractant et relâchant les muscles, elle se tortillait dans tous les sens. Ses coups de boutoirs devenaient de plus en plus rapides et forts il la défonçait littéralement, ses bourses frappaient ses petites fesses bien fermes. Son petit corps fragile était soumis à une telle pression, qu’elle connut un orgasme bien plus fort que ce qu’elle avait déjà connu. Son vagin comprimait le sexe gonflé à bloc de son amant, il la possédait bel et bien. Elle éjacula fortement en criant cette fois : « Ha...Oh...Humm...Oui... »

Il se dégagea d’un coup pour éjaculer à son tour, il lui couvrit les fesses de longs jets de sperme que Gérard étalait sur les globes roses à l’aide de sa verge encore en érection. Elle était avachie en avant sur lit sans plus bouger. Il la releva, la retourna, la prit dans ses bras et l’embrassa sur les lèvres. Elle était toute menue dans les bras puissants de cet homme qui lui avait donné un plaisir immense, elle lui rendait son baiser en s’abandonnant entièrement à cet inconnu qui lui promis de la protéger en rajoutant :

— Demain nous continuerons. Bonne nuit ma chérie !
— Bonne nuit... Monsieur.

La suite de l’histoire de Clotilde sera diffusée dans quelques jours.

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