Souvenirs D'Infirmière (Partie 4)

Souvenirs d’infirmière (part 4)

Il fait un temps d’automne ce mardi soir, et le brouillard qui est tombé sur la ville annonce l’arrivée des premiers frimas. Comme convenu, Chantal et Clotilde, toutes deux infirmières à l’hôpital de la ville, sortent ce soir, invités par Ben, un beau black trentenaire, qui leur a promis « une soirée de folie ». Chantal, la quarantaine débutante, est mariée et Gérard, son mari, d’un naturel jaloux, surveille ses sorties. Clotilde, célibataire, de dix-sept ans sa cadette, sert d’alibi. La fois dernière, elles ont prétexté une soirée restau-ciné pour profiter de leur soirée débridée avec le beau Ben.
Cette fois, c’est une soirée pendaison de crémaillère avec une partie des filles du service qui sert de prétexte. Chantal avait prévenu que « ça finirait sans doute tard ». Comme la fois dernière, Clotilde était venue chercher Chantal. Comme la fois dernière, Chantal n’était pas prête. Comme la fois dernière, Gérard, le mari de Chantal avait accueilli Clotilde avec un large sourire, l’avait fait assoir dans un fauteuil, et avait passé son temps à regarder la jeune femme, essayant de voir les cuisses qu’elle gardait farouchement serrées. Et pour cause, elle avait mis un porte-jarretelle noir qui tendaient des bas de même couleur. Pas franchement l’accoutrement pour une pendaison de crémaillère entre filles ! Chantal finit par sortir de sa chambre, déjà habillée pour sortir. Elle embrassa rapidement son mari en lui souhaitant une bonne soirée. Il y avait ce soir-là un match de foot télévisé, ce qui l’occuperait une bonne partie de la soirée.
Les deux femmes montèrent en voiture, et prirent la direction de chez Ben. Clotilde s’arrêta en face d’une école. Le quartier était désert, et l’épais brouillard enveloppait le quartier. Elle sortit de la voiture, enleva son trench-coat et troqua sa jupe mi-longue pour une jupe courte. Elle remit son trench-coat, retourna à la voiture et redémarra. « Tu comprends, ton mari se serait vraiment posé des questions s’il m’avait vu comme cela.

»
Elles s’arrêtèrent au pied de l’immeuble, composèrent le code d’accès et montèrent au deuxième. Chantal, qui montait derrière son amie, avait une vue imprenable sur ses cuisses dénudées. « Mais...tu n’as pas mis de culotte ? » « Une culotte ? Non, pourquoi faire ? ». Elles sonnèrent et Ben vint leur ouvrir. Il était vêtu d’une chemise blanche ouverte sur ses pectoraux et d’un pantalon blanc. La première chose que les deux infirmières virent, c’est qu’une copieuse érection déformait déjà le devant du pantalon. Ben les embrassa sur la bouche, se collant contre elle pour leur faire sentir sa raideur. Il les débarrassa de leurs manteaux et les fit entrer dans le salon aux lumières tamisées.
« Les filles, je vous présente Boubacar. Mais vous pouvez l’appeler Bouba. C’est un queutard de première, et je lui ai dit comment je vous avais baisées l’une et l’autre. Il est plus que partant et il va vous régaler. »
Boubacar, âgé également d’une trentaine d’années, était habillé d’un boubou aux couleurs chatoyantes, dans les tons jaunes et ocre. Assis dans le canapé, il semblait grand, ce qui se confirma quand il déploya sa carcasse pour accueillir les deux visiteuses.
Il regarda la première, la quarantaine, un peu boulotte, avec des formes comme il les aimait. Elle était habillée d’un pull qui moulait sa poitrine, et d’une jupe qui tombait au-dessus de ses genoux. Il paria sur des bas plutôt que des collants. Elle était là pour baiser.
La deuxième était plus jeune. Un pull qui mettait en valeur une poitrine aux têtons saillants qui se passait de soutien-gorge, une jupe courte et des bas dont on voyait le bandeau.
Il s’approcha d’elles, et les embrassa sur les joues. Elles sentaient bon.
« Les filles, dans le canapé. Nous, on s’assoit par terre en face de vous. Bouba vous a préparé un cocktail au gingembre et au bois bandé. Vous savez, c’est aphrodisiaque pour les dames et les messieurs. »
Les deux femmes s’assirent. La jupe de Chantal s’était retroussée et les deux hommes avaient à hauteur de leurs yeux le charmant spectacle de deux cuisses entre-ouvertes offrant la vue sur des bas et un string noirs Quant à la jupe de Clotilde, elle était également remontée, et les cuisses négligemment écartées dévoilaient la fente de son sexe imberbe.

« A notre santé ! Et à cette soirée coquine ! » Les quatre avalèrent leur cocktail en grignotant des petits gâteaux.
Bouba ne pouvait détacher son regard de la plus jeune. Son visage était agréable, ses seins étaient libres sous son pull. Elle avait de jolies et longues jambes, et était assise avec une discrète impudeur, le sexe offert à sa concupiscence. Sans qu’il n’y puisse rien, son sexe s’était déployé sous le boubou. Il se leva pour resservir un verre de cocktail. Son pénis pulsait. Il se pencha devant Clotilde pour servir Chantal. Celle-ci, les yeux dans les yeux de Ben, caressait ses seins avec volupté. Clotilde avait sous les yeux, présenté de profil, le relief de la queue de Bouba qui tendait le tissu. Jamais, la jeune femme n’en avait vu de si gros et de si long. Hypnotisée, elle tendit sa main pour en épouser le relief, tandis que son autre main soupesait les bourses volumineuses à travers le fin tissu.
Ce fut le départ de la soirée. Bouba attrapa la jeune femme et la releva, la plaquant contre lui. Il la dominait d’une bonne tête. Aussitôt, leurs bouches se cherchèrent et se trouvèrent, leurs langues entamant un menuet mutin. Elle sentait la puissante protubérance battre contre son ventre. Il posa ses mains sur sa jupe et la releva, dénudant son bas ventre. Ses mains caressaient les globes fessiers et s’insinuaient dans le sillon, agaçant la délicate rosette. De son côté, la jeune femme ne restait pas inactive. Elle avait relevé le boubou jusqu’à la taille et empaumé la hampe d’ébène qu’elle branlait de ses deux mains.
Ben avait rejoint Chantal sur le canapé, et l’avait enlacée et embrassée. Leur baiser dura plusieurs minutes, faisant naître un désir mutuel. Ils se frottaient l’un contre l’autre. Lorsqu’ils se désunirent, ils regardèrent vers le couple debout à côté d’eux. Bouba était entièrement nu, et ondulait contre la jeune femme qui n’avait plus que son porte-jarretelle et ses bas noirs. Peau blanche habillée en bas de noir contre peau noire.
Saisissant contraste. Les mains de l’une branlant le pieu tendu tandis que les mains de l’autre fouillaient la grotte secrète.
Ben déshabilla Chantal et se dévêtit. Il s’étendit de dos sur la moquette. Chantal l’enjamba et s’assit sur lui, s’empalant d’un coup dans un râle de bonheur, se laissant absorber par le sexe tendu. Tandis qu’il la besognait, il triturait ses seins, pinçant les mamelons.
Chantal tourna la tête vers le couple voisin. Bouba était allongé sur le dos, Clotilde allongée en 69 sur lui. Il lui léchait la chatte dégoulinante de mouille, enfonçant sa langue dans son vagin, tandis qu’il avait enfoncé un doigt dans l’anus de la jeune femme. De son côté, elle pompait le nœud de son amant, ne pouvant l’absorber en entier. Lorsqu’ils furent prêts et suffisamment excités, la jeune femme s’allongea sur le dos, jambes largement écartées, offrant son sexe dilaté à la longue épée. Il l’investit d’un coup, la faisant hurler. Ils se déchaina, la labourant à un rythme endiablé. « Tu aimes salope ? Dis-moi que tu aimes, que c’est bon, que tu es une salope qui aime les blacks et leurs grosses queues. Ben m’a raconté comment il t’avait sautée à l’hôpital. Tu aimes la queue. Vas-y, dis-le » « Oh oui, je suis une salope, une pute, j’aime me faire foutre par une bonne queue noire. Vas-y continue. Fourre-moi, baise-moi, défonce moi, fais-moi jouir ». Prise dans un délire érotique, la jeune infirmière se surprenait à dire des mots qu’elle n’avait jamais prononcés. Elle n’était plus qu’un sexe brûlant à la recherche du plaisir. Il la limait comme un forcené, se moquant de savoir combien de temps il allait pouvoir tenir tellement c’était bon, appuyé sur ses coudes. Il la défonçait, s’enfonçant peu à peu dans un plaisir hors norme. A côté d’eux, Chantal se hissait sur les talons et se laissait retomber sur son étalon. Elle aussi hoquetait des mots sans suite où revenaient régulièrement des mots crus. Longtemps après, les deux garçons éjaculèrent presque au même moment, entrainant leurs partenaires dans un orgasme bruyant.

Ils n’avaient pas faim. Une autre faim les habitait tous les quatre. Ben attrapa Clotilde, la fit mettre à quatre pattes et la prit en levrette. Chantal s’allongea sur le côté, Bouba se positionnant derrière et s’enfonça dans une chatte aux allures de figue molle. Un autre round commença. Les deux garçons, ayant déjà joui, avaient de la réserve. Ils en usèrent. Les deux femmes n’étaient plus que des pantins désarticulés, hurlant leurs jouissances successives en demandant d’arrêter puis de continuer.
Une odeur de stupre montait dans la pièce. Lorsque les deux hommes jouirent, deux heures avaient sonné au clocher de l’église. Nues et échevelées, les deux femmes se regardèrent. Les traits tirés, les joues rosies, les lèvres gonflées, les seins tendus d’avoir été caressés, les chattes béantes par où s’écoulaient du sperme.
« Il va falloir rentrer, mon mari va se poser des questions sinon » regretta Chantal. Elle passa sous la douche pour effacer sommairement les traces de ses excès. Quand elle revint dans la pièce, un trio s’était constitué. Bouba embrassait Clotilde lovée contre lui en la masturbant avec ses doigts, tandis que Ben frottait sa verge contre ses fesses en caressant ses seins. « Juste une minute Chantal, c’est trop bon. Ils vont me . Laisse-moi jouir une dernière fois. Je suis trop excitée ». Chantal assista à l’orgasme de son amie. Un orgasme bref mais intense entre deux corps qui se frottaient contre elle.
Dehors, le brouillard restait dense. « Je suis repue, moulue, crevée, mais c’était tellement bon. J’espère que Gérard dort. »
Le lendemain, les deux amies se retrouvèrent dans les vestiaires de l’hôpital. Toutes deux travaillaient l’après-midi. « Ma pauvre Chantal, tu as l’air explosée. Manque de sommeil ? » la taquina Clotilde. « Ne m’en parle pas. Quand je suis rentrée, Gérard était devant la télé. Il regardait un porno soft. Il avait le kiki à l’air, droit comme un i. Il m’a demandé de venir m’assoir à côté de lui et de le caresser. Tu parles, comme si je n’avais pas eu ma dose…. A un moment il m’a désigné une des actrices en me demandant si elle me faisait penser à quelqu’un. Effectivement, il y avait un air de ressemblance avec toi. La coiffure, le haut du visage, les yeux. Bref, il était tout excité. Il m’a mis les mains entre les cuisses. Il a été surpris que je sois en porte-jarretelles et en bas, mais ça l’a excité encore d’avantage. Il m’a demandé si tu en mettais. Je lui ai répondu que toutes les femmes en mettaient et qu’il n’y avait pas de raison pour que tu n’en aies pas. Ses paroles me chauffaient et il m’a pris à la hussarde. Il répétait ton prénom. Comme d’habitude, il n’a pas tenu trente secondes. J’ai fait semblant de jouir pour qu’on puisse aller dormir.
Tout à l’heure, avant que je parte, il m’a dit qu’il ne croyait pas à cette histoire de pendaison de crémaillère où une femme s’habille sexy. Il m’a demandé pourquoi je sentais le gel douche en rentrant de soirée. Il m’a dit qu’il voulait bien ne pas fouiller cette histoire et passer l’éponge à condition que tu viennes dîner un soir à la maison. Et que tu sois habillée très sexy. Il m’a dit qu’on mettrait les s à dormir chez ses parents pour être tranquilles. Je…je suis désolée mais il faut que tu m’aides. »

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