Collection Les Chiennes. Ma Fille Début De La Saison Ii (4/6)

Radia, c’est la jeune femme que je souhaite livrer à mon homme celui que tous appellent Monsieur.
Étant à la recherche de ma fille Lucie 20 ans, j’étais loin de penser que je tomberais amoureuse de celui qui l'a puis prostitué certainement sur les côtes africaines.
Quand j’interroge Monsieur, il est incapable de me dire où il l’a envoyé.
C’est au large de Monaco que je le vois dans ses œuvres en livrant une jeune fille et en récupérant certainement quelques kilos de cette poudre blanche qu’il m’a appris à m’enfiler dans le pif.
Au début il m’a fait croire à des fortifiants, mais plus j’en snif plus j’ai envie d’en snifer.
Lucie avait une copine Radia, je vais me servir de ma fille pour la faire venir dans nos filets.

Je sais où elle habite.

- Je peux prendre ton chauffeur et ta voiture ?
- Sans problème mon cœur, attention au siège, ces pisseuses lorsqu’elles se sentent piégées se font sous elle.
- Elle me connaît, je prends ta limousine noire avec le bar, voulant l'éblouir par un tel luxe.
Je risque simplement de lui offrir un verre.

Monsieur prend une sonnette manuelle et Firmin son majordome se présente.

- Monsieur a sonné ?
- Oui, dite à Tonio de préparer la limousine Madame va descendre vers les quartiers nord, qu’il prenne de quoi la défendre.
- Bien monsieur j’y vais.

Je vais me préparer.
Impressionner Radia avec la voiture sans lui faire peur telle est mon idée.
J’ai trouvé un homme de grande qualité sachant faire vibrer son corps en même temps que le mien aussi je veux l’impressionner pour qu’il soit plus à moi.
Mes vêtements sont ceux que je portais en arrivant ceux que la petite m’a souvent vu porter.

- Madame, guidez-moi, ces immeubles sont tous les mêmes.

Une barrière devant nous.
Deux gamins s’approchent.
Tonio ouvre sa vitre.

- Vous pensez aller où avec votre grosse bagnole.


- Petit regarde ce que j’ai à la ceinture, Beretta 9 millimètres, tu veux que je le prenne en main ?
- Non, surtout pas !
- Non, qui ?
- Non monsieur.

Ces petits cadors sont des guetteurs, vite je pense qu’ils sont les revendeurs de notre réseau.
J’ouvre ma vitre.

- Savez-vous où je peux trouver Radia à cette heure ?
- Oui, derrière l’autre bâtiment là-bas, elle est avec Raï mon grand frère.
- Quel âge as-tu ?
- Bientôt 18, madame.
- Va la chercher, fait vite.
Dis-lui, que c’est Madame Jennifer la maman de Lucie qui la demande.
- Tu es la maman de Lucie, c’est vrai qu’elle est partie faire le tour du monde ?
Du moins c’est le bruit qui court.
J’aimerais faire le tour du monde.
- Ta famille est de quelle origine ?
- Algérienne, Tizi Ouzou en Kabylie.
- Tu y es déjà allé ?
- Pour me faire couper les couilles très peu pour moi.
- Quel est ton nom ?
- Zinedine madame.
- Comme.
- Oui.
- Va chercher Radia.

Il part en courant.

- Tonio, avez-vous du liquide ?
- Oui madame, soulevez l’accoudoir à votre gauche, il y a quelques coupures.

Je vois revenir Zinedine avec Radia.

- C’est bien vous madame Jennifer, je me demandais où vous étiez passée.
Je suis allée chez vous plusieurs fois, je vois que vous avez trouvé du monde en allant voir Luc.
- J’ai fait mon chemin, monte, je vais te faire voir la propriété où je vis maintenant.
Tenez les garçons ça c’est pour vous.

J’ai sorti deux coupures de 500.
Dans l’accoudoir il y a des 200 et des 100 mais rien en dessous.
En leur donnant ces 500 €, j’espère me les attacher.
Je sais que ça marche comme cela ici.

- En route Tonio on rentre à la maison.

Quand Tonio ferme les vitres, je vois Zinedine froisser le billet devant son copain pour voir si ce sont des vrais.

Je pense que Monsieur est plus malin que ça en se trimbalant de la fausse monnaie dans sa limousine.

- Voilà, la petite est enfermée dans sa chambre.
- C’est très bien, je vais convoquer Luc et Boris pour qu’il commence son éducation.
Nous avons du temps, je pensais que je mettrais plus de temps pour trouver une beurette et surtout la faire tomber dans nos filets.
Je dois la livrer dans deux mois.
- Je t’ai prouvé ma fidélité, je voudrais que tu m’accordes deux choses.
- Tout ce que tu voudras.
- La première, je voudrais que ce soit moi qui fasse de Radia la petite pute qui plaira à son émir.
- Accordé, j’aimerais voire comment tu t’y prends.
La deuxième !
- Tu fais publier les bans et dans la période légale tu m’épouses.
- Très maline chérie, je t’épouse et tu récupères une partie de ma fortune.
- Nous ferons un contrat pour que chacun y retrouve son comte.
- Je t’ai dit tout ce que tu veux, je respecte ma parole.
Je convoque mon notaire pour qu’il fasse toutes les démarches.
Moi aussi, j’ai une condition.
- Accordé d’avance.
- Baisons ensemble, regarde à savoir l’autre pucelle prise dans nos filets, ça me fait bander.

Monsieur est auprès de la piscine, mollement allongé sur un transat.
Je baisse son maillot de bain sortant sa verge compressée dans un si petit endroit.
Ce doit être elle qui m'a séduite allant même jusqu’à abandonner ma fille au réseau pour elle.
Je sais que pour moi, elle est passée par pertes et maintenant profits.
Sur la table à son côté, des lignes sont prêtes, avant de le pomper je saisis le billet de 500 déjà couvert de poudre blanche et je m’en bourre le pif.
Je respire un grand coup et je plonge ce pieu bien au fond de ma gorge.
Lui faire une gorge profonde, ça semble lui plaire car il saisit ma tête et me la fait battre au rythme qu’il aime et que j’aime lui apporter.

Quand je suis sortie de la chambre entièrement close de Radia, je lui ai dit de m’attendre.

La laissez poiroter un bon moment fait partie de mon dressage.
Il faut que cette fille ait peur et souhaite se servir de moi comme boué de secoure.
Je suis passée par notre chambre et je me suis déshabillée.
Sentant qu’il allait éjaculer, je quitte sa verge et j’enjambe le transat descendant lentement pour m’empaler mais pour qu’il voie ma chatte s’ouvrir lentement et que mes fesses reposent sur ses jambes.
Empalée, je suis littéralement empalée sur la bite de mon amant.
Me servant de mes jambes comme des bielles, je monte à la limite le faire sortir de moi pour mieux retomber lourdement.
Il prend mes seins en mains.
Une pensée fugace me travers.
À l’autre bout du monde, ma fille en fait-elle de même avec pour différence que c’est une bite noire qui la défonce comme Monsieur le fait présentement.
Je chasse cette pensée me filant le bourdon, surtout que je ne m’envole au plus haut jamais atteint depuis que je me fais sauter.
Je m’écroule sur la pelouse à côté de mon homme qui prend un mouchoir pour s’essuyer la queue.
Je me redresse et c’est avec ma bouche que je termine le travail.
Dire, que je vais être officiellement Madame, quand j’aurais épousé Monsieur…

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