Collection Les Chiennes. Ma Fille. Fin De La Saison Ii (6/6)

- Vive la mariée.

J’ai réussi à épouser celui qui m’a pris ma fille en faisant une e tout juste bonne à faire la pute en Afrique.
Mais revenons au moment où Wolfgang avançait sa main enduite d’huile solaire vers l’anus de Radia.
Est-ce ainsi qu’il prend son pied quand je le vois entrer sa main dans la rosette de Radia.
Le cerveau humain est tel que ce que je pensais impossible Wolfgang le réalise.
Pas de langue, plus de sexe, ce garçon doit compenser tous ces manques avec sa simple main gauche.
La gauche car son bras droit semble avoir des problèmes mêmes quand il sort son arme et que je le vois la nettoyer.
J’ai mal pour elle, mais c’est un tout autre visage qu’elle nous montre.
Elle hurle au risque d’alerter les voisins qui par chance sont bien loin.
La surface de terrain de la résidence blanche est assez étendue pour éviter ce problème.

- Wolfgang, je sens ta main sur ma verge par l’intérieur de son corps.

Je vois Boris remonter après sa chute.
Il s’avance vers Radia à qui il ouvre la bouche pour se faire faire une fellation.
Voilà comment Radia devient notre petite chienne.
Quand elle tourne de l’œil sous la puissance de l’orgasme qui la frappe, je me lève et sans attendre je m’empale à mon tour sur la bite de Monsieur.
Wolfgang me regarde, je lui fais comprendre que ma rosette est loin d’être assez souple pour recevoir sa grosse paluche.
Il tourne les talons reprenant sa place sur la terrasse.
Si je veux le trouver quand il fait beau c’est là que je dois le chercher.
Boris de son côté est de nouveau en état de sexer Radia il la prend en levrette sur la pelouse.
La petite hurle son plaisir.
C’est ainsi que les jours passent.
Je vois souvent des voitures de grosse cylindrée entrée par le portail.
Wolfgang va à la grille contrôle les personnes regardant même dans le coffre et passant une glace sous le châssis.


J’ai bien conscience que je vais épouser un mafieux de la côte aussi je regarde comment l’organisation de mon mari fonctionne.
À ce titre, hier, j’ai découvert une chose étrange, le chemin qui donne vers ce qu’il doit être une cave.

- Monsieur, qu’y a-t-il en bas la porte est fermée ?
- Il y a des secrets où il est préférable d’éviter de les connaître.
Même pour toi ma chérie, disons qu’il y a quelques réserves nous servant en cas de besoin.

J’ai appris à le connaître et j’ai su que j’avais atteint la limite de ce qu’il me dirait même si après lui avoir amené Radia, sa confiance en moi est entière.
Pour changer de sujet, j’ai fait venir Radia dans notre chambre pour parfaire son éducation.
Monsieur ayant du temps et sachant que cette petite chatte serait envoyée au moyenne Orient dès que nous jugerons qu’elle est livrable, c’est elle qu’il prend en levrette.
Je suis devant elle les cuisses écartées et je profite de sa langue la même qui il y a quelques mois suçait celle de ma fille.
Cette pensée me vient à l’esprit mais comme mère indigne que j’accepte d’être devenue je la refoule vivant de l’instant comme je le fais depuis que j’ai franchi les portes de notre propriété.
Mon homme la fait jouir et moi aussi sentant les vibrations de cette petite pute je démarre aussi.
Ces situations à plusieurs me plaisent de plus en plus.
Dire que si ma fille était restée au foyer au lieu de sortir finissant par se droguer tout ce luxe m’aurait échappé.
Pour le rappeler à notre soumise, la seringue pleine de l’eau de la piscine est posée sur ma table de nuit.
Radia la voit chaque fois que je la fais venir lui rappelant comment elle finira si elle refuse nos jeux pervers.

Une partie de l’éducation de Radia se fait près de la piscine.
Autant Wolfgang est près de nous quand nous sommes à l’extérieur, autant dans la maison il est dans ses appartements.

Le métier de mon futur est loin d’être de tout repos.

Un matin la grosse Mercedes arrive conduit par Tonio notre chauffeur et homme de main.
J’ai vu le coffre s’ouvrir et avec Wolfgang le porter dans la maison.
Je suis entrée et je les ai vus descendre dans la cave après que Wolfgang est sorti des clefs de sa poche de costume que je l’ai toujours vu porter.
Ils ont descendu ce type d’une vingtaine d’années, c’est la dernière fois que je l’ai vu.
Deux jours plus tard, c’est une malle en osier qu’ils ont sorti du coffre.
J’aurais dû aller poser des questions à Monsieur mais je savais que ce type dans notre cave était certainement passé de vie à trépas alors pourquoi prendre des risques de fâcher tout le monde.

Nous étions à deux jours de notre mariage quand la presse, c'est fait écho de la malle maléfique retrouvé par des promeneurs dans la monter d’une montagne voisine.
Il parlait de petits dealers des quartiers Niçois.
Un instant j’ai eu peur que ce ne soit le petit Zinedine qui est fait des conneries mais ils l’appelaient Moustafa.

Je me rends compte que j’oublie de parler de nos fortifiants que nous continuons à aspirer par notre nez fréquemment.
Hier, c’était un des rares jours où il a plu.
Nous étions allongés dans le salon après que j’ai sucé Monsieur pendant que Radia se faisait brouter assise sur sa figure en parfaite cochonne qu’elle était de plus en plus.
Mon homme a saisi sa boîte où il prend quelques petites quantités de notre friandise surtout après avoir baisé.

- Wolfgang, viens voir.

Notre homme de main est arrivé.

- Descends me remplir ma boîte.

Je l’ai vu quitter la pièce, un bruit de clef puis de porte.
Wolfgang venait d’aller dans la cave et a remonté la boîte pleine.

- Sniff.

Une narine de fortifiant.

- Sniff.

Ma deuxième narine est pleine de poudre blanche.
Radia refuse d’en prendre.
Dommage, je saute littéralement sur sa chatte la léchant et lui pinçant son clito avec mes dents.

Quand je suis en pleine excitation comme à ce moment je suis à deux doigts de lui arracher.
Dans le même temps, j’apprends que les réserves sont dans la cave ça peut être important à retenir.

Et voilà je suis à la mairie en robe blanche avec un bouquet de roses blanches dans mes mains.
L’adjoint au maire nous reçoit, l’élu étant absent ce week-end.

- Voulez-vous prendre pour époux Jean Dupond ici présent ?
- Oui.

Voilà c’est fait la petite Jennifer vient d’épouser celui qui se fait appeler Monsieur.
Je comprends mieux pour le chef de la pègre niçoise s’appeler Dupond avec un d.
Ça fait peu sérieux mais j’aime bien devenir Madame Dupond ou Madame tout cours.

- Wolfgang va voir qui sonne avec insistance à la grille du parc.

Nous sommes avec nos invités autour de la piscine une coupe de champagne à la main.
Sur des tables placées de chaque côté permettant à nos invités de prendre des forces pour cette longue nuit de fête, deux saladiers pleins de fortifiant sont à disposition.
Plusieurs d’entre eux ont déjà tiré une ligne sur la glace posée à côté.
Pour ma part je m’en suis déjà fait deux, je vais tout déchirer pour la nuit de noces.

Nous entendons des sirènes et Wolfgang arriver menotter à côté de la commissaire Nouzha.

- Bonjour à tous, Jean Dupond et vous madame Dupond nous avons ordre de la justice de vous arrêter.
Je vois sur ces tables de quoi vous mettre quelques années en cellules, il y a combien, 2, 3 kilos de cocaïne dans chacun de ces saladiers.
De plus, je vois près de vous madame Radia cette demoiselle rechercher après avoir disparu emmené par une femme vous ressemblant Jennifer.
Enfin nous avons pu faire un lien entre vous et une malle retrouvée dans la montagne.
La fête est terminée, embarquez tous ceux dont nous avons un mandat.
Luc et Boris.
- Madame la commissaire pourquoi arrêtez-vous mes fils.

- Docteur estimez-vous heureux qu’une personne soit oubliée sur cette liste, disparaissez de ma vue.
- Messieurs commencer la perquisition.

Voilà je monte dans un fourgon de gendarmerie avec ma robe blanche.
Une cellule du commissariat voilà ou je vais passer ma nuit de noces.

Il va falloir que je prouve ma bonne foi quand je regarde mon alliance.
Il faut que Chris71 entende ma version pour pouvoir l’écrire dans la saison III de mon histoire.
Qui m’aurait dit quand je me suis mise à la recherche de ma fille que je serais arrêté comme femme d’un truand niçois.

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