Clotilde : Sa Première Sodomie (Partie 4/4)

Récit proposé par une de mes lectrices dont j’ai la lourde tâche d’écrire et de mettre en page, en respectant scrupuleusement ses aventures sexuelles qu’elle a vécues.


A l’époque, Clotilde n’avait à peine plus que 18 ans et vivait toujours avec Gérard son professeur de sexe, mais surtout l’homme qu’elle aimait, elle était complètement dépendante de lui, pendant toute la journée et quelques fois plusieurs jours, elle attendait impatiemment qu’il rentre.

Elle suivait les règles que lui avait imposé son homme, son dominant qui l’initiait aux jeux érotiques. Elle connaissait à présent une débauche de caresses, de fellations qu’elle lui faisait mais également à ses amis. Clotilde n’arrêtait pas jouir dès qu’elle était au contact de son homme.

C’était à présent l’initiation à la sodomie, il devait en rentrant de trois jours d’abstinence la prendre par le cul. Elle appréhendait énormément. Néanmoins, elle devait se préparer. Pour cela, il lui avait offert un jeu de quatre plugs allant du tout petit l’équivalent d’un index, au plus gros de la grosseur d’un concombre.

Rien qu’en le voyant, elle avait pensé ne jamais se le mettre dans l’anus. Elle avait trois jours pour s’y habi. Ce premier matin-là, avant de partir au travail, ils n’avaient pas encore pris le petit déjeuner que Gérard l’avait baisée sur la table de la cuisine, avec plein d’amour qui la fit jouir comme jamais, elle éjacula plusieurs fois, le carrelage était trempé de son jus.

Après le petit déjeuner, il allait quitter la maison lorsqu’il l’appela :
— Fais-moi une pipe avant de partir, j’en ai besoin pour ses trois jours d’abstinence.

Elle le sentait encore en elle, le désir remonter, elle s’était agenouillée et s’exécuta immédiatement, néanmoins, sa verge ne prenait que peu de volume, il venait d’éjaculer trois-quarts plus tôt et avait des difficultés de reprendre de l’énergie, certainement dû à ses cinquante-deux ans bien sonnés.

Elle enfila son index dans son vagin encore trempé de mélange de cyprine et de sperme et le ressortit pour lui enfiler dans son anus après l’avoir quelque peu chatouillé.

L’effet fut immédiat, elle sentit dans sa bouche sa queue gonfler d’un seul coup, il la prenait par l’arrière de son crâne et enfonça sa verge au fond de sa gorge. Après quelques coups de reins, il se libéra de son jus bien moins épais qu’elle avala aussitôt avec envie. Gérard la releva, l’embrassa goulument et lui dit :

— Ne t’enfile pas le plug N°4 ma chérie, attends-moi pour ça.

Une demi-heure plus tard, après avoir débarré la table, Clotilde se doucha mais très vite, il lui prit une envie de se masturber en pensant au doigt dans les fesses qu’elle avait mis à son homme sans qu’il ne dise rien. Il avait dû très apprécier. Se disait-elle.

Elle se caressait légèrement et doucement les lèvres puis commença doucement à chatouiller mon clitoris, l’effet de l’eau chaude rajoutait un certain plaisir. Elle tourna son doigt autour du bouton et le sentait se gonfler petit à petit. Un doigt pénétra entre les lèvres de sa vulve, puis elle en mit un deuxième, en exécutant des va et viens de plus en plus rapide, elle jouit une première fois.

Elle n’en avait pas fini, elle plaça la paume de douche directement sur son anus l’effet de l’eau pénétrant dans son cul lui fit une drôle de sensation, de son index, elle titillait la rondelle, elle arrêta la douche et commença à enfoncer un doigt en le tournant légèrement.

Cette fois encore, elle ressentit du bonheur, elle pensait déjà à son homme qui en rentrant allait la sodomiser. Elle finit de se laver, sécha les cheveux et alla nue dans la chambre. Elle sortit la boite offerte par son homme et prit le tube de vaseline et le plus petit plug.

Elle s’enduit l’anus et le plug de cette crème épaisse et délicatement, se l’enfonça lentement. Elle ressentit une toute petite douleur mélangée immédiatement à du plaisir que lui procurait se truc se trouvant dans son trou de balle.
Elle remuait les fesses pour maintenir ce bien-être que lui procurait le plug.

Elle n’aurait pas pensé que le plaisir pouvait venir de là. Elle avait tenté une fois la sodomie avec son copain qui n’était pas monté comme Gérard mais il n’avait pas pu enfoncer son gland alors ils avaient abandonné en se disant que ce serait pour plus tard.

Une fois le jouet enfoncé, elle s’habilla légèrement et sortit de la chambre. Chacun de ses pas lui faisait sentir cette boule bouger dans ses fesses. Elle s’avoua aimer cette nouvelle sensation qu’elle ne connaissait pas.

Toute la matinée à faire le ménage, elle pensait à ce corps étranger qui était planté en elle, il ne lui faisait pas mal, c’était le contraire, à chaque pas, à chaque fois qu’elle se baissait elle le ressentait et cela l’excitait.

À midi, lors de la prise de son déjeuner, elle avait une nouvelle fois envie de se caresser, elle ne se priva pas de ce plaisir, tout en gardant le sextoy dans l’anus, elle s’était masturbée jusqu’à l’éjaculation, ce qui l’ennuyait, c’était qu’elle était à chaque fois dans l’obligation de nettoyer le sol, car les jets qui sortaient de sa petite chatte se déversaient en quantité mais se projetaient très loin.

Pendant toute l’après-midi, elle avait conservé le plus petit modèle. Elle se coucha nue, une nouvelle fois, elle eut envie de se caresser, ne voulant pas inonder les draps, elle se leva et alla directement à la douche en prenant avec elle le godemichet, la réplique du sexe de son homme adoré.

Elle retira son plug, elle ressentit un drôle d’effet au niveau de sa rondelle. Elle changea le jet en mettant la pression maximale en réduisant la largeur du jet et appuya fortement le pommeau contre son anus. Quel bien elle connut en sentant l’eau chaude pénétrant dans son rectum et bien plus profondément, elle se frottait le clitoris à toute vitesse afin d’éjaculer encore plus fort et plus loin.

Elle ne voulait pas désobéir néanmoins, l’envie était plus forte, elle s’enfonça la copie conforme de la verge de Gérard entre ses lèvres et accélérait les mouvements d’allers et retours s’enfilant le god, le plus loin possible.
Elle jouit une nouvelle fois épuisée cette fois.

Elle avait ce qu’elle désirait. Elle essaya de placer le gland sur la rondelle mais celui-ci ne rentrait pas, il lui fallait passer par le plug N°2 qu’elle conserva toute la nuit. La journée suivante, était identique aux deux autres, entre ménage, repas et masturbation, Clotilde n’arrêtait pas de jouir, elle avait pris ce rythme et ne voulait pas en changer.

Un peu avant que son homme chéri arrive, elle testa le plus gros plug, mais elle n’avait pu le mettre elle-même, c’était beaucoup trop gros. Elle essaya la verge en silicone, une fois encore, elle ne parvenait pas à se l’enfoncer sans forcer mais sentait qu’avec de bonnes pratiques, elle le recevrait dans le cul sans problème.

Cela la rassura mais elle préféra garder le plaisir de son dépucelage anal, à son professeur qu’elle aimait tant. Quelle surprise lorsque Gérard était revenu du travail il était accompagné d’un homme et ne l’avait pas prévenu, elle avait peur qu’il n’y ait pas assez à manger pour trois. Après le baiser de retrouvaille, elle lui dit ce qui la perturba :

— Ce n’est rien ma petite chérie, Gilles ne mange pas à la maison, il est venu avec moi pour t’enculer.

Les deux hommes n’avaient pas attendu très longtemps, Clotilde fut nue en quelques secondes, après les pipes qu’elle leur avait administrées sans éjaculation, ils avaient leurs bites, grosses, droites et raides. Gilles avait une queue bien au-dessus de la moyenne des acteurs porno, elle était du diamètre du plug N° 4, elle espérait que Gérard lui fasse le trou en premier afin de préparer le passage car elle n’avait pas pu se l’enfoncer même avec un maximum de vaseline.

Gérard commença à lui faire l’amour additionnement, pendant que Gilles était aux premières loges pour admirer le spectacle, Clotilde après quelques coups de boutoirs, éjacula comme elle avait pris l’habitude, c’était assez impressionnant pour une gamine de son âge se disait Gilles.


Mais, Gérard s’était retiré et elle ne comprenait pas pourquoi. Elle allait lui poser la question quand elle sentit qu’il lui retirait le plug N°3 de son petit trou, dans un bruit de sucions. Sa queue bien tendue et dure comme de la brique, dont le gland s’insinuait dans l’orifice interdit pour beaucoup de femmes, jusqu’à la couronne, le passage était étroit, mais le reste passerait facilement, elle était pour lui dépucelée.

Puis il arrêta une seconde fois, elle allait enfin assouvir son fantasme, se faire enculer. Il ne l’avait pas annoncé, néanmoins elle ne fut pas surprise car depuis trois jours, elle savait que cela allait se terminer ainsi. Avec tout l’amour qu’elle lui portait et le plaisir intense qu’il lui donnait, elle ne pouvait rien lui refuser.

Son corps lui appartenait, elle voulait qu’il la dépucelle du cul. Pour faciliter la pénétration et se préserver de la douleur, il avait choisi la mouille qu’elle avait en elle. Avec un peu d’appréhension, elle l’avait regardé, il bandait toujours. En voyant sa bite fièrement dressée, elle pensait que c’était un beau suppositoire qu’il allait lui introduire dans l’anus toujours légèrement dilaté.

Il l’avait fait mettre à quatre pattes sur le lit. Il lui releva l’arrière train, les cuisses bien écartées. Il s’était positionné derrière elle, entre ses jambes, et il avait enduit doucement sa rondelle en enfonçant deux doigts très facilement. Ce n’était pas franchement désagréable, mais la pénétration la surprenait, le va-et-vient de son index lui procurait d’étranges sensations.

Maintenant, son anus était bien lubrifié, elle était prête à recevoir sa belle bite bien gonflée. Il était à genoux, elle sentait sa queue glisser dans sa raie des fesses, à la recherche du petit orifice. Sa chatte était encore très réceptive, son gland se trouvait à l’entrée de sa vulve humide quand, brusquement, d’un coup de reins, il l’a enfilée jusqu’à la garde.

De le sentir s’agiter en elle, a fait remonter son désir, sa main s’intéressait de nouveau à son clitoris. Il était si sensible depuis qu’il le sollicitait que des ondes de plaisir irradiaient son ventre. Elles se concrétisaient par ses plaintes amoureuses qui allaient en s’amplifiant. Elle pensait qu’il avait changé d’avis et qu’il continuerait à la baiser selon la tradition. Pourtant, elle était prête à se faire dépuceler.

Il changea de position lorsqu’elle jouit encore, il s’était couché au sol et vint se faire prendre en se plaçant sur lui. Ce fut à ce moment que Gilles entra en action, il se branlait depuis le début pour entretenir son énorme érection. Il lui releva encore un peu plus sa croupe et plaça sa grosse queue sur l’anus en poussant avec ses doigts. Clotilde poussa un petit cri lorsque son gros gland s’enfonça en elle. Sentant la jouissance proche, elle leur dit :

—Allez-y, faites-moi tout, enculez-moi Monsieur Gilles.

Ces mots d’acception et de soumission avait excité Gérard, plus que tout, il laboura sa chatte, pendant que Gilles s’enfonçait de plus en en plus dans son rectum, son anus s’écartait au fur et à mesure, il était complètement dilaté. Elle cambrait les reins très forts, quand soudain, sous la pression, le pénis de Gilles était entièrement avalé par son cul.

Elle poussa un cri et avait ressenti comme une brûlure. Inquiet, Gilles lui demanda si elle voulait qu’il se retire :

« Non, Monsieur restez, continuez, enculez-moi, enculez-moi…

Comme il ne bougeait plus, elle croyait qu’il allait sortir. Pourtant, elle sentit une douce chaleur l’envahir. Elle reprit l’initiative d’un mouvement lascif des fesses. Gérard éjacula en premier en elle et resta dans son vagin. Contrairement à ce qu’elle redoutait, la pénétration s’effectuait aisément. La douleur du début était passée, ses mouvements devenaient désordonnés.

Sur un coup de reins violent de la part de Gilles, elle était littéralement empalée. Sa bite allait et venait en elle avec une facilité déconcertante. Rassuré par son comportement, il avait adopté un rythme régulier.

Sa queue, telle un piston, essayait de s’enfoncer le plus loin possible. Gérard glissa une main entre ses cuisses et attrapa ses couilles pour les malaxer. Cette caresse l’avait déchainé, il était passé en mode sprint. Plus il la pilonnait, plus son membre augmentait de volume, du moins elle en avait l’impression…

C’est à cet instant qu’elle atteint le point culminant de la jouissance, elle inonda les draps. Au même moment, dans un gloussement de triomphe, Gilles prit son plaisir également en se vidant les couilles dans ses entrailles. Les deux queues étaient toujours dans son cul et dans sa chatte, elles diminuaient progressivement de volume. D’un léger coup de reins, ils s’étaient retirés, Gérard l’embrassa et la félicita pour ses capacités à devenir une véritable salope.

Fin de l’histoire avec Gérard que Clotilde quitta à l’âge de 22 ans. Cet homme lui avait tout appris elle était devenue sa soumise et une vraie salope qu’il partageait régulièrement avec ses amis voire même de parfaits inconnus.

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