Sweet Cookie.


Sweet Cookie.






Elles avaient été invitées à cette soirée barbecue, ce soir de juillet, et avaient été toute surprises, de se retrouver chez ces gens, l'une et l'autre, ignorant qu'elles avaient ces amis communs. Les deux jolies filles, étaient arrivées à la soirée, chacune de leur côté, pour une fois, seules, sans escorte, alors qu'elles étaient, d'habitude, l'une aussi bien que l'autre, entourées d'une nuée de prétendants.
Béatrice connaissait Cookie de longue date, celle-ci ayant été sa secrétaire, du temps où elle possédait sa chaîne de magasins de luxe. Elle avait toujours eu, à l'égard de la jolie blonde, une attitude abrupte, et son caractère exécrable, avait maintes fois trouvé un exutoire, en se défoulant, plus souvent qu'à son tour, sur la mignonne.
Cookie, toute de blondeur et de courbes exquises, avait toujours ce sourire charmant, éclairant son joli minois. Espiègle, elle était d'humeur égale, enjouée, et riait de tout, ne prêtant aucune attention aux aigreurs, et remarques acerbes de sa « copine », car , malgré tout, il existait entre elles, une certaine affection, due à la proximité des heures de travail, effectuées ensemble, au quotidien, pendant des années.
Elle portait ce curieux petit surnom depuis qu'un de ses amants de passage, alors qu'elle vivait aux US, lui ayant trouvé un goût délicieux, avait dit d'elle : « She's as sweet as a cookie ! »* , ça lui était resté.
Béatrice, la très belle baronne, Béatrice Di Borgho, de noblesse Lombarde, était une rousse aux yeux verts, absolument sublime, et malgré le caractère épouvantable que chacun lui connaissait, on ne pouvait s'empêcher d'admirer la magnifique jeune femme, au visage ravissant, au corps délié, au port de reine, et qui dégageait une aura de sensualité torride.
Le temps était magnifique, la soirée douce, une grande table avait été dressée sur la pelouse, sous le tilleul.

Les travers étaient savoureux , le vin léger coulait à flots, et l'ambiance était des plus chaleureuses et gaie. Les couples étant déjà formés, on était arrivés à ce moment de la soirée où les désirs se font pressants et l'un après l'autre, ils s'éloignèrent cherchant un peu d'intimité, l'heure n'étant pas encore à la pluralité.
Dans la lumière douce des lampions, accrochés aux branches du tilleul , les deux « copines » se retrouvèrent seules à table...Cookie s'empara, dans un seau ruisselant de condensation, d'une bouteille de Champagne, se versa une coupe, et prenant place en face de Béatrice, lui en remplit une aussi.
— Tchin Béa ! A nos amours !
Dit la jolie blonde, en regardant, tout sourire, la belle aristocrate, par dessus son verre.
Béatrice que cette situation frustrait, gardait les bras croisés sur ses jolis petits seins, l'air fâché, adossée à sa chaise de jardin, et regardait Cookie avec ressentiment. La jolie blonde amusée, haussa les sourcils, l'air interrogateur, et demanda à sa « copine préférée » si elle avait encore dit quelque chose, qui lui avait déplu.
Avec sa rondeur coutumière, Béatrice réagit :
— Qu'est ce que tu radotes encore? Je n'ai jamais dit ça !
Puis, se radoucissant, tout soudain :
— Non... Je pensais seulement, que, si tu n'avais pas si mauvais caractère, on aurait pu...
Pour le coup, Cookie éclata de rire, elle ne pouvait plus s'arrêter...Entre deux hoquets :
— Ah ! Toi, alors... Tu es impayable ! Moi ? Mauvais caractère... ! Et c'est toi qui me dis ça ...!
Elle essuyait ses larmes, entre deux rires, regardant Béa se renfrogner à nouveau...
Cookie était ravie... elle tenait la plus douce, la plus belle des revanches.
Elle se leva, s'approcha de Béatrice, s’immobilisa un long moment devant elle, inclinant sa jolie tête sur le côté, et commença à caresser son visage, du dos de son index, la fixant de son plus doux regard, elle arrangea délicatement, une mèche rousse sur le front de la belle aristocrate.
Béatrice le regard perdu, la fixait, elle aussi...que se passait-il... ? Elle ne comprenait pas.
Alors, Cookie se pencha sur son visage, et déposa doucement de légers baisers, sur le front, sur les joues , les yeux, qu'elle faisait ciller, et qu'emplissait une incompréhension grandissante, puis, se penchant sur la bouche de la belle Béatrice, elle l'embrassa, longuement, d'un doux et tendre baiser.
— Tu te fous de ma gueule, hein ?
Elle avait dit cela sans colère... dolente.
— Non, Béa... Non.
Et se penchant, à nouveau sur elle, la jolie blonde, victorieuse, baisa tendrement les lèvres tremblantes de sa conquête.
Béa, vaincue, se laissait embrasser, goûtant la douceur de la bouche de celle qu'elle avait longtemps considérée comme une rivale, laissant la langue veloutée de Cookie jouer avec la sienne, subjuguée par la suavité de ce baiser de miel. Tout en elle fondait, gémissant sous la douce sensation qui la soumettait, elle sentait monter cette vague de chaleur vibrante, qui envahissait son ventre, et constatait, avec ravissement, qu'elle était en train de mouiller son string...
Son tempérament de feu, ne pouvait rester muselé bien longtemps, elle s'empara du joli minois de Cookie, qu'elle étreignit de ses mains, et embrassa passionnément, la bouche de sa belle amie , lui murmurant des mots d'amour enfiévrés, l'embrassant de nouveau, couvrant son visage de baisers enflammés.
Béatrice était bouleversée. Cookie rayonnait.
— Oh! Mon amour ! Ma belle chérie... ! Que de temps perdu ! Tu es si belle... ! Oh ! Je t'aime ! Viens ! Je veux ta bouche ! Mmh! Donne la, chienne... Viens , ma belle... !
Cookie souriant encore de sa belle revanche, était, cependant, remuée par les paroles enfiévrées, et la frénésie amoureuse de sa belle amante. Elle se sentait gagnée par un affolement de tout son corps, qui la tendait vers les caresses de son impérieuse maîtresse.

Leurs baisers de feu, disaient le tempérament d'exception des deux belles amoureuses. Gémissantes, elles caressaient leurs corps de rêve, anticipant le plaisir qu'elles allaient se donner.
Béatrice, impatiente, prit Cookie par la main, et l'entraîna vers la partie paysagée du jardin, où poussaient un groupe buissons providentiels.
— Viens, ma chérie, nous sommes un peu trop à la vue, au milieu de la pelouse...Quoique, dans le fond, je n'aurais rien contre un petit plan exhib !
Elle éclata de rire.
Béatrice était heureuse , sa soirée devenait pétillante comme un Champagne... Elle n'avait rien contre un plan avec un beau mec, mais elle préférait, quand même, les filles, et ce soir, celle qui s' offrait à elle, était une beauté sublime. De plus, leur rencontre amoureuse était tellement inattendue et romanesque, qu'elle enchantait la belle coquine... Cookie, la jolie Cookie, sa tête de turc favorite, lui tombait dans les bras ! Jamais elle n'aurait pu le croire, si quelqu'un lui annoncé cela, il y a seulement une heure.
A peine à l'abri des buissons, au fond du jardin, Béatrice lâcha la main de sa belle proie, se retourna, et saisissant le frais minois de Cookie entre ses deux mains crispées, par la tension érotique qui l'avait envahie, elle feula :
— Oh ! Viens, salope... ! Viens... !
Et se jetant sur la jolie bouche, s'en empara, dans un baiser passionné, qui fit gémir sa tendre conquête.


Béatrice, picorant de baisers, le visage, la bouche, le cou, les seins, le ventre, de sa belle amante , s’accroupit à ses pieds, et relevant la légère robe courte de sa belle, découvrit le mignon cache-sexe de dentelle blanche, sous lequel se trouvait le doux triangle de toison blonde, où se nichait le délicat trésor de Cookie.
Caressant doucement les hanches lisses et les fesses, rondes et douces, de sa splendide maîtresse, Béatrice, folle d'excitation, appliqua sa bouche, au travers du tissu arachnéen du string, sur la tendre motte de sa belle amie qui avait écarté les jambes pour mieux recevoir la caresse, et s'enivrait du parfum suave qui s'en dégageait.
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— Oh ! Ma chérie... Que tu sens bon... ! Oh … ! C'est merveilleux … je t'aime, ma très belle !
Fiévreusement, mais avec une grande douceur, anticipant le bonheur de découvrir un tel trésor, Béatrice baissa le petit string blanc sur les chevilles de sa belle amante. Cookie, elle aussi, maintenant, affolée de luxure, avait saisi la nuque de sa maîtresse et la maintenait sur son sexe, aspirant l'air entre ses dents serrées.
Béatrice écarta les lèvres tuméfiées de désir de sa belle, et découvrant sa mignonne framboise tumescente se mit à la lécher. Pour s'interrompre,interloquée :
— Oooh ! Ma chérie... Mon amour ! Quelle douceur... ! Que tu es bonne ! Ce goût... ! C'est merveilleux ! Je ne...C'est incroyable... ! Oh ! Amour !
— C'est pour ça... qu'on m'appelle...Cookie...! Oh, Continue, ma Béa... Encore, chérie...
Béatrice, émerveillée, reprit sa caresse, avec un bonheur que décuplait son étonnement . En experte qu'elle était, la belle rousse, déclencha plusieurs orgasmes chez sa jolie maîtresse, la faisant hurler de plaisir, et en fut récompensée par des flots de cyprine, plus douce qu'un miel.
Après un long moment, Béatrice se redressa droit vers la bouche de la jolie Cookie qu'elle embrassa passionnément. Leurs langues s'entremêlèrent, jouant et se caressant, Béatrice gémissante de lubricité, s'abreuvait, lascive, de la salive de sa belle maîtresse.
Elle posa un pied sur le rebord d'une jardinière, pour que Cookie puisse, à son tour, lécher sa jolie chatte épilée. La langue de Cookie vint se coller directement sur l’entrée du vagin et se mit à titiller l'orbe de plaisir noyée de désir. Béa se mit à jouir, râlant, se mordant la bouche et se caressant les seins. Cookie commença alors à la doigter, lui enfonçant trois doigts, longs de toutes leurs phalanges, qu'elle enfonça en un va et vient rapide, qui la fit se crisper . Au bout de quelques secondes, Béa eut son premier orgasme. Alors, Cookie appliqua, encore, sa jolie bouche au bourgeon turgide de Béa et se mit à le lécher, le sucer, le mordiller. Son clitoris était devenu si sensible, que Béa obligea Cookie à retirer son visage d’entre ses cuisses, pour le ramener sur sa bouche où, dans un long baiser elle goûta son plaisir, sur les lèvres de son amante.
Tout en l'embrassant Béatrice, pesa doucement sur les épaules de sa belle, l'enjoignant de s'asseoir sur le gazon. Lorsqu'elle fut assise, agenouillée près d'elle, sa bouche fondue à la sienne, dans un langoureux baiser, Béatrice se mit à caresser doucement les jolis petits seins de Cookie, à travers la légère robe d'été.
La jolie blonde, le souffle court, était sous l'emprise de son impérieuse maîtresse, qui, elle l'avait senti dès le début, s'imposait comme dominante. Elle l'acceptait, et était dans l'expectative de ses désirs, se laissant embrasser, avec volupté, par son experte maîtresse, qui l'embrassait, comme elle ne l'avait jamais été, et qui arrivait presque à la faire jouir, rien qu'avec ses baisers.
Béatrice murmura à sa jolie proie de s'allonger , ce qu'elle fit obéissante et c'est d'elle même, soumise, qu'elle releva ses genoux et écarta largement ses jambes, ce que sa belle maîtresse accueillit d'un long « oui ! » satisfait, et qu'elle accompagna d'une caresse sur la jolie petite chatte lisse et ruisselante.
Béatrice, releva les plis de légère robe jaune de Cookie, sur le doux ventre délicat, au dessus du nombril, sur lequel elle déposa un baiser, se mit à couvrir de baisers l'intérieur des cuisses de sa tendre proie, puis la faisant gémir, les lécha longuement, se mit à les mordiller, déclenchant un quasi orgasme, chez sa belle, qui s'emparant de son visage, des deux mains, l'enjoignit de porter sa caresse, sur son joli con turgide.
Ce que fit Béatrice , se délectant de la douce cyprine de Cookie qui exprimait sa jouissance à grands renforts de gémissements et feulements.
Puis Béatrice se redressa et s'assit entre les jambes de sa douce amante. Cookie s'était redressée sur ses bras repliés et posait sur son impérieuse maîtresse, un regard, voilé par la volupté, qu'elle venait de lui faire éprouver.
Caressant l'intérieur des cuisses de sa belle soumise , elle embrassait à petits baisers, le genou qui se trouvait tout près de son visage.
— Tu mouilles tellement, ma chérie, que je pourrais te fister, comme ça...
Cookie se fit suppliante :
— Oh ! Béa ! Non... s'il te plaît... Ça va me faire mal... !
— Mais, non... J'arrêterai, si tu as mal... Allez... laisse toi faire !
Plus rien ne pouvait arrêter la perverse Béatrice, qui adorait pratiquer le fisting sur ses maîtresses. Elle y trouvait un plaisir que rien ne pouvait égaler, et avec sa jolie victime, ce serait un régal : pas de lubrifiant ...uniquement sa cyprine ! Elle éprouvait un curieux mélange de tendresse et de gratitude en même temps qu'un intense sentiment de violence et de domination, une quasi cruauté, envers sa belle proie, qui la fixait intensément, une lueur angoissée dans le regard, en se mordant la lèvre inférieure.
Toujours caressant ses cuisses, la fixant d'un regard farouche, 
— Détends toi ... Je vais te faire jouir...salope ! Tu vas voir !
Cookie, le regard affolé , renversa sa tête en arrière, sentant les doigts de sa maîtresse s'insinuer dans sa fente incandescente et trempée de cyprine, tout en redoutant la brutale intrusion, elle l'appelait , et lorsqu'elle sentit les phalanges de sa tortionnaire, écarter les lèvres tumescentes de sa chatte, elle fut à la fois envahie d'appréhension, en même temps que d'une envie, d'être sauvagement pénétrée, et violentée par la main impérieuse, qui commença à s'enfoncer, et à forcer son petit con, irradiant une douleur, qui la terrassait et l'enivrait. Elle éructait, dans la fièvre qui s'était emparée d'elle, des mots sans suite, des suppliques. Un plaisir d'une violence inconnue s'emparait d'elle,des larmes lui montaient aux yeux … elle jouissait comme jamais elle n'avait joui. C 'était un tsunami de sensations, telles qu'elle n'en avait jamais connues. Elle râlait, elle râlait encore et appelait la brutale caresse, cambrée, tendue vers la main de sa farouche maîtresse, qui , grinçant des dents et feulant de plaisir lascif , la vrillait et la poussait dans le doux sanctuaire, où elle pénétrait jusqu'aux jointures pour s'en retirer, et encore y replonger, avec des bruits mouillés, qui la ravissaient.

Béatrice poussait sa main trempée de cyprine, lui imprimant de lents mouvements de rotation. Cookie ne pouvait se retenir de hurler de jouissance et de douleur, saisissant le poignet de sa brutale maîtresse, poussant davantage la main qui la suppliciait, elle se tordait sous l'âpre caresse, mais suppliait sa tortionnaire de ne pas s'arrêter. Béatrice, grinçant des dents dans un rictus obscène, de frénésie érotique, vrillait lentement et fortement sa main, distendant la jolie chatte inondée de mouille, de sa blonde amante. Fascinée, elle gardait son regard rivé sur sa main, qu'elle continuait à vriller doucement et qui distendait peu à peu les parois de la jolie chatte ,
La fragile Cookie n'était plus qu'une sensation, un vertige de douleur et de volupté lascive. Elle geignait, râlait, sanglotait de bonheur et de douleur
— Oooh... ! Encore ! Encore... Béa ...Mon amour... !
Des larmes roulaient sur ses joues, inondaient ses tempes. Agitée de spasmes et de tremblements, elle balançait convulsivement sa tête. Les yeux révulsés, derrière ses paupières crispées, elle cherchait son souffle, la bouche béante.
Béatrice, alors, ressortit légèrement sa main et cracha plusieurs fois sur celle-ci, étala de l'autre sa salive sur celle-ci, enfonçant ,à nouveau sa main et poussant encore d'avantage pénétra d'un coup le con tuméfié de sa maîtresse qui engloutit la main cruelle et bénie, dans un cri où se mêlaient douleur, volupté , délivrance.
Cookie gémissait sa souffrance et son bonheur, sanglotant et râlant:
—Encore.. ! Ooh... ! Continue... !

Doucement, Béatrice ramena sa main en arrière, faisant gémir encore sa belle suppliciée, mais ce fut pour mieux l'enfoncer, à nouveau, d'un lent et puissant mouvement, qui fit hurler sa belle, pour la retirer et l'enfoncer encore, encore et encore , déclenchant, chez elle, orgasmes sur orgasmes, qui la faisaient hurler de bonheur.
C'est à ce moment, qu'apparut au détour du buisson, un couple qui, revenant à la table, et alertés par les gémissements et les cris de Cookie, s'étaient approchés, intrigués.
D'abord surpris, et interloqués, par la scène qui se déroulait sous leurs yeux, ils furent déroutés, et étaient sur le point de repartir, quand la femme, une jolie brune, s'approcha de Béatrice, et lui demanda à mi voix :
— On peut rester.. ?
Béatrice acquiesça d'un signe de tête. Les deux spectateurs inopinés, s'agenouillèrent, tout près, fascinés par le spectacle renversant, qui s'offrait à eux.
Cookie, éperdue de jouissance, ne s'était pas encore aperçue de la présence des deux spectateurs.
Le type, excité, dégrafa son pantalon, l'ouvrit et le baissa, produisant un mandrin de belle taille, qu'il commença à branler. Pendant ce temps, la jolie brune s'était rapprochée et se tenait tout près de Béa, elle était très excitée et s'agitait beaucoup. Elle se redressa et resta ainsi, jusqu'à ce que Cookie s'aperçoive de sa présence.... Elle lui envoya un baiser, et par signes lui fit comprendre, qu'elle, aussi, avait envie de la fister. Après un instant d'hésitation, la jolie Cookie baissa les paupières, et hocha la tête en signe d'assentiment. La brune se pencha sur Béatrice et lui parla à l'oreille... Béatrice acquiesça.
Béatrice embrassa passionnément la jolie femme, puis, retira doucement sa main de l'antre de Cookie et y dirigea sa main, la tenant par le poignet.
Était ce l'émotion , ou intentionnel... elle enfonça brutalement sa main, dans la petite chatte trempée de mouille, arrachant un cri de douleur, à Cookie, mais, se reprit aussitôt, et dans un mouvement très lent, commença à, doucement, baiser Cookie, de sa main fine, la faisant à nouveau gémir de bonheur.
Pendant ce temps, Béatrice avait saisit le chibre du gars, et après l'avoir branlé avec vigueur, en avait englouti le gland turgescent, et le suçait avec ardeur.
Elle s'interrompit, et chuchota à l'oreille du type, qui acquiesça , l'air intéressé. Puis, c'est à l'oreille de la brune, qu'elle murmura quelques paroles, qui eurent l'air de recueillir son adhésion.
Elle se leva, pendant que la brune besognait toujours Cookie, qui râlait de plaisir, et alla jusqu'à sa place, à table, où dans son sac, elle prit un tube de cold cream, avec lequel elle revint.
Elle chuchota, à nouveau, à l'oreille de la belle brune et fit un signe au gars qui hocha la tête. La brune ressortit, sans ménagement, sa main de la chatte de Cookie, qui, surprise, se redressa sur les coudes, hébétée, encore embrumée de jouissance... Béatrice était déjà auprès d'elle et l'embrassait passionnément, en la caressant, pendant que la brune se jetait sur son petit con, béant, l'embrassait et le léchait, pour s'interrompre tout soudain et s'extasier, émerveillée, de son goût exquis. Elle appela son copain, qui à son tour, goûtant la petite chatte tuméfiée, fut saisi d'étonnement. Cookie, jambes largement écartées, appuyée à Béatrice, lui avait entouré le cou de ses bras, et répondait avec tendresse à son baiser de feu.
La belle rousse chuchotait maintenant à l'oreille de Cookie, tout en la caressant, Cookie lui répondit, ne semblant pas être d'accord, secouant négativement sa jolie tête. Elles discutèrent, ainsi, un long moment, et Béatrice finit par l'emporter : Cookie semblait accepter, hochant la tête.
Béatrice aida, la douce et soumise Cookie, à se redresser, et la fit mettre à quatre pattes, regardant les autres avec un air de triomphe : sa belle faisait ce qu'elle lui ordonnait !
Elle releva la petite robe légère et la remonta en corolle, dévoilant ainsi le joli petit derrière de la mignonne.
Le type qui se tenait, maintenant, devant Cookie, lui présenta son gros chibre turgide, Cookie, leva les yeux vers lui, et soumise, engloutit le gland turgide dans sa bouche soyeuse, et commença à le sucer... elle adorait cela ! Ce qui l'inquiétait, était plutôt, ce que Béatrice projetait : les deux filles allaient la fister , l'une lui prenant la chatte, l'autre sa rosette! Elle adorait se faire sodomiser, mais n'avait jamais été fistée...Elle le redoutait , mais en même temps, cette nouvelle expérience, l'excitait au plus haut point. Le doux supplice que venait de lui faire subir son impérieuse maîtresse l'avait mise dans un tel état d'excitation , qu'elle ne voulait plus, ne pouvait plus, s'arrêter là, elle voulait jouir, jouir et jouir encore...Le cœur battant la chamade, le tambour à ses tempes , dans un vertige, elle se prépara à son sacrifice.
Béatrice lui fit, du geste, creuser les reins et se cambrer, elle écarta les jolies petites fesses, et, découvrant son œillet froncé, se mit à l'embrasser et à le lécher faisant gémir la belle , elle y darda sa langue à plusieurs reprise la faisant râler.
Puis s'emparant du tube de cold cream, elle en plaça l'embout sur la jolie armille, et appuyant sur le tube, déversa dans son fourreau, près de la moitié du contenu, elle s'enduisit, ensuite, copieusement, la main et l'avant bras de liniment, puis s'approcha de sa tendre victime, enjoignant sa comparse d'attendre...
Cookie sentit les doigts de sa maîtresse, commencer à s'insinuer dans son fourreau. Elle sentit que Béatrice avait rassemblé ses doigts en coupe, et en avait introduit les premières phalanges, dans son orifice. Doucement, elle poussa encore ses doigts que Cookie sentit pénétrer encore plus profondément ...ses jointures vinrent butter sur ses sphincters, elle sentait la douleur commencer à irradier son fondement. Pendant ce temps, la brune caressait son petit con, ruisselant de mouille, et son bourgeon turgide, embrassait ses fesses.
Béatrice se mit à donner alors, un mouvement tournant à son poignet, qu'elle accompagnait de brefs à-coups répétés. Cookie gémissait.
Pour Béatrice, ce spectacle était une véritable jouissance ! Voir sa main distendre l'étroit anneau , et s'enfoncer entre les jolies petites fesses de sa belle, l'excitait au plus haut point.
La belle rousse, d'une poussée plus appuyée, fit enfin céder les sphincters de la belle, et projetant Cookie dans une déflagration de jouissance, sa main s'enfonça aux tréfonds du ventre de la jolie blonde, qui hurla de douleur et de volupté.
Les deux autres, fascinés, ne perdaient rien du luxurieux spectacle qui les subjuguait.
D'abord, doucement, Béatrice ramena sa main, pour l'enfoncer à nouveau, lentement, profondément, tordue de jouissance, dans l'intimité soyeuse de sa belle maîtresse. Cookie se cambrait , se tordait , éprouvant des orgasmes répétés, au gré de la main de Béatrice, qui allait et venait de plus en plus puissamment et violemment en elle, la faisant crier.
A ce moment, Béatrice ralentit, et arrêta ses mouvements, mais garda sa main, enfouie jusqu'au poignet, dans l'antre de Cookie, qui, geignant, jouissait, agitée de spasmes, et de tremblements.
Puis, la belle tortionnaire fit signe à la jolie brune, hypnotisée par la scène, qu'elle pouvait intervenir.
Se saisissant du tube de cold cream, celle-ci versa ce qui restait du contenu, sur sa main droite, l'étala, et, le regard farouche, excitée par l'intensité de l'expérience qu'elle s'apprêtait à vivre, haletante, elle approcha sa main, tremblante, dont elle avait ramassé les doigts, luisants de liniment, du petit con béant.
Doucement, les dents serrées, elle fit entrer les premières phalanges. Déjà Cookie commençait à manifester des signes de douleur, ses petits geignements plaintifs le disaient clairement. Alors, la fille poussa plus fort, commençant à vriller sa main. Béatrice gardait intensément les yeux fixés sur ce spectacle, qui la fascinait, mais ne bougeait pas. Cookie gémissait de plus belle, et s'était arrêtée de sucer le type. La brune poussa encore sa main, qui progressa dans l'antre de la mignonne, qui haletait et gémissait tout à la fois. Elle vrilla encore plusieurs fois sa main, puis s'arc boutant, et détendant fortement son bras, elle écartela le tendre petit con, et s'engloutit aux tréfonds du ventre de la pauvrette, violentée, qui hurla... il n'y avait trace d'aucun plaisir dans ce cri, qui n'était que l'expression d'une surprise, d'une incompréhension et d'une souffrance intenses. Béatrice eut un regard sévère pour la fille. Celle-ci se mordit la lèvre et dit à mi-voix :
— Excuse moi ma chérie... Excuse moi...je t'ai fait mal... je ..je ne voulais pas...
Cookie sanglotait...Le gars se baissa vers elle, et très doucement, très tendrement, l'embrassa , sécha ses larmes, lui murmurant des mots doux, il caressait son visage. Elle se calma. Soupira longuement. Puis, eut cette prière :
— Faites moi jouir... ! Ooh... ! Faites moi jouir !
Ils se regardèrent .
Le gars se baissa à nouveau sur Cookie , l'embrassa passionnément, caressa son beau visage, lui murmurant : 
— Très belle ! Je t'aime... !
La brune embrassait tendrement ses reins, des larmes plein les yeux.

Ce fut Béatrice qui commença , doucement elle retira sa main, très peu, puis la ramena dans l'antre soyeux de sa belle, qui gémit doucement :
— Oh, oui ! Comme ça... ! Encore... !
Béatrice fit un signe à la brune … C'était à elle.
Avec une grande délicatesse, elle tourna lentement sa main , et encore... doucement...comme attentive.
Cookie eut encore un doux « Oh ! Oui... ! » qui disait ce qu'elle attendait. Elle murmura au gars :
-Viens !
Doucement, il prit son visage dans ses mains, et amena son gland tumescent sur la belle bouche, qui l'accueillit... Elle le suçait, se faisant simplement plaisir, c'était divin... ! Éprouvant un sentiment de gratitude intense, il caressait le visage de cette merveilleuse fille, qu'il ne connaissait pas, et qui lui faisait découvrir une des plus grandes émotions érotiques qu'il avait éprouvées jusque là. Celle qui, il y avait encore peu, lui serait apparue comme une fieffée salope, lui faisait découvrir ce qu'était une femme.
Ses deux maîtresses, reprenant, doucement, de lents et délicats mouvements, éveillèrent en Cookie, le subtil réseau, de ses sensations exacerbées, elle se mit à soupirer profondément et à produire de petits râles qui disaient que ses deux amantes lui procuraient un plaisir qui s'accroissait et qu'elle manifestait, maintenant, par des gémissements de plus en plus lascifs. Aussi petit à petit, se mirent elles à intensifier leurs mouvements, qui, s'ils demeuraient lents et mesurés, n'en gagnaient pas moins en puissance. Aux cris et râles, que poussait la jolie suppliciée, il ne faisait aucun doute, qu'elle jouissait comme une bête. Béatrice qui au début, se maîtrisait, et ménageait le petit anneau de sa belle, était gagnée par une excitation farouche, et, fascinée par la vue de sa main, ressortant presque entièrement du fondement de la jolie victime, pour y replonger à mi-bras, alors que celle-ci hurlait de jouissance, la transportait. Elle pouvait voir, en même temps, la main de la belle fille brune, dont le regard était affolé de stupre et de luxure, distendre et violenter la petite chatte, inondée de mouille, et s'enfoncer dans le ventre de soie. La belle suppliciée, hurlait de volupté salace, suppliant ses deux tortionnaires, de continuer à la faire jouir, encore...Elle ne pouvait plus prodiguer au gars sa délicieuse caresse, tant elle était accaparée par sa jouissance...lui se masturbait, frottant son gland turgescent sur le visage de Cookie.
Alors qu'elle maintenait sa main, profondément enfoncée, dans la chatte distendue de Cookie, la brune, râlant d'excitation, approcha son visage de Béatrice, et la bouche déjà ouverte sur sa langue offerte, embrassa celle de la belle rousse, qui de sa main libre l'attira à elle, pour un baiser des plus lubriques.
Comme d'un commun accord elles enfoncèrent leur main au tréfonds du ventre de la jolie martyre, lui arrachant un cri de volupté et de douleur alors qu'elle se tétanisait, secouée de spasmes et de convulsions, au paroxysme de la jouissance dans une transe de tout son corps.
Le gars, dans un long râle, jouit et déchargea à longs jets épais, sur son visage, et dans sa bouche ouverte sur un cri, le sperme s'écoulant en lourdes rigoles sur ses lèvres et ses joues.
Alors, exténuée, ivre de douleur, de jouissance et de stupre, elle se laissa aller, vaincue par son plaisir et s'affala dans l'herbe, se libérant par ce mouvement des mains intruses.

Elle gisait, étendue sur ce bout de pelouse, épuisée, comblée, dévastée...heureuse.
Ses trois maîtresses et amant, s’allongèrent auprès d'elle , et la caressant, se mirent à l'embrasser à tour de rôle avec douceur et révérence. Elle les caressait elle aussi, pleine de gratitude, pour ce qu'ils étaient, pour ce qu'ils lui avaient donné...
Au-dessus d'elle, au zénith, une étoile scintillait, qu'elle trouvait très belle et qu'elle seule pouvait voir. Vénus.
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* She's as sweet as a cookie !: Elle est aussi sucrée qu'un cookie !



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