Collection Histoire Courte. Dépucelée Pour Trois Millions De Dollars (1/1)
- Bonjours mademoiselle, je sais que vous avez toujours été célibataire.
Vous êtes bien Jennifer la jeune femme qui a vécu deux ans à New York il y a 10 ans ?
- Oui pourquoi mavez-vous convoqué ?
- Je suis maître Édouard du cabinet Édouard.
Connaissez-vous monsieur John Schmitt médecin à la retraite du Tennessee où il sest éteint ?
- Oui, jai travaillé chez lui il y a un peu plus de 10 ans comme femme de ménage mais à New York.
Jétais un peu sa confidente jusquà ce que je reçoive un coup de téléphone mannonçant que maman était à larticle de la mort.
Jétais jeune et insouciante et je vivais au jour le jour.
Cétait la première fois que javais trouvé un semblant de stabilité et John en homme du monde ma offert mon billet de retour en France pour solde de tout compte.
Pourquoi cette question ?
- John Schmitt est décédé il y a plus dun an et mon cabinet parisien est chargé de retrouver la jeune Jennifer ayant travaillé un temps chez lui.
Dès que vous aurez justifié de votre identité, mais après le long périple que nous avons fait pour vous retrouver, je doute que ce soit une autre que vous qui héritez de trois millions de dollars.
Saviez-vous que John Schmitt avait travaillé en France lui aussi ?
- Il me lavait dit, cétait après guerre.
Il était médecin GI et un peu magouilleur, à ce quil mavait dit.
Permettez que je respire un grand coup trois millions de dollars moi qui suis dans le rouge à ma banque dès le quinze du mois, ça fiche un coup.
- Je peux vous offrir un whisky pour vous remettre.
- Non merci, jamais dalcool.
- Dans les biens dont vous héritez en France en Italie et aux USA, il y a un petit castel dans le Gers avec un élevage doies et de canards où il fond du foie gras.
John quand je lai connu, aimait le foie gras.
Il mavait dit que lors de son séjour dans mon pays il en mangeait régulièrement et avait même une combine pour sen faire venir.
Jignorais que cétait de son propre élevage les gavant pour récupérer leur foie qui lui envoyait son plat favori.
John, homme de plus de 60 ans et qui ma pris mon pucelage.
Il me la pris avec mon accord car jai eu pitié de cet homme vieillissant mais aussi un homme qui maurait appris la vie sans que nous nous prenions la tête.
Trois millions de dollars pour mavoir pris mon hymen me faisant jouir dès la première fois.
Jai rencontré John au commissariat de New York.
Je venais de quitter Bob celui avec lequel je savais que le lendemain de son arrestation je me donnerais à lui tellement sa jolie gueule me plaisait.
Le quitter car il partait pour le pénitencier le plus proche ayant essayé de braquer une banque a été facile.
John était le médecin qui avait constaté la mort dun vigile et se trouvait là quand on ma relâché faute de preuve prouvant que je lavais aidé dans son braquage.
- Vous semblez paumée, le commissaire ma dit que vous vous trouviez impliqué et que vous seriez une sorte de routarde venue de France.
Si vous le désirez jai le moyen de vous faire récupérer vos affaires, pour linstant sous sceller et vous offrir lhospitalité le temps que vous le désirez.
John me parlait dans un parfait français bien que je me débrouille bien en Anglais, plutôt en Américain.
- Vous avez emménagé avec lui au début comme femme de ménage.
- Non, comme gouvernante, je moccupais de tout chez lui.
- Saviez-vous que John Schmitt tenait un journal ?
- Oui, un soir dans sa chambre, je lai vu écrire mais je pensais quil écrivait sa guerre en France et en Italie.
Du moins cest ce quil mavait dit quand je lai interrogé.
Un doute me vient et si John avait écrit ce que nous avons fait dans son journal que je prenais pour des mémoires de guerre.
- Je vois que vous réfléchissez !
Vous vous dite quavait écrit John sur moi ?
Monsieur Édouard devant moi ici à Bordeaux sait-il tous ce qui sest passé entre John et moi ?
- John a-t-il écrit que je me suis donnée à cet homme vieillissant sans pour autant faire la pute car je me suis offerte quand il me la demandé sans rien en échange.
- Je sais tous ça madame Jennifer, John Schmitt avait tout écrit.
Rassurez-vous il dit que vous avez été une jeune femme aimante et cest pour cela que ce jour où il vous a pris votre pucelage il a décidé de faire de vous son héritière lui qui était seul sans descendance.
Mon pucelage, cest un mois après être venue chez lui dans son appartement au-dessus de son cabinet quil ma emmené et où javais ma propre chambre que je lui ai offerte.
Comment ça cest produit, un homme, une femme, un homme vieillissant une femme très jeune mais majeure.
Je me sentais redevable surtout que le soir même, il mavait invité au restaurant sans jamais me faire ressentir que jétais une jeune beauté quil exhibait à son bras.
- Je vous vois songeuse, vous vous remémorer des mots avec lui ?
Oh, que oui, le soir même cest moi qui métant déshabillée, ayant pris un bain et métant parfumé au sel de bain que je me suis rendu nue dans sa chambre que je savais toujours ouverte même la nuit.
Il dormait coucher sur son dos.
Je lai regardé grâce au radio-réveil diffusant sa lumière bleue.
Malgré son âge on aurait dit un bébé.
Cest beau un homme qui dort, dégagé de tous les soucis du quotidien.
Il émettait un petit sifflement très plaisant alors je me suis glissée sous le drap qui le couvrait car il faisait chaud ce soir-là.
Il sest retourné, jai eu peur pensant lavoir réveillé, mais non.
Je me suis glissée comme une petite souris que jétais et jai posé ma tête sur sa poitrine.
Dans la clarté bleue, jai dégagé le drap découvrant son sexe.
Javais une interrogation, à son âge un homme était-il capable de bander ?
Je lui ai pris la verge jouant sans pour autant le réveiller.
Je lai vu se mettre à bander.
Pour la première fois jétais en contact avec ce que javais refusé à plusieurs hommes.
Lun deux un soir juste avant de rencontrer Bob mavait promis du fric si je le suçais.
Est-ce par esprit de contradiction, mais celle de John, je lai pris dans ma bouche gratuitement.
Javais ma réponse, un vieillard pouvait bander.
Il ma pris la tête me montrant quil était réveillé.
Sa verge dans ma bouche était douce.
Sa main dans mes cheveux me plaisait car il aurait pu me sauter dessus.
Gentleman, il a attendu dêtre à la limite de léjaculation pour me faire venir sur mon dos, se coucher sur moi et me pénétrer.
Il venait de faire de moi une femme, la femme quil a fait jouir dès sa première fois.
- Je parie que dans vos souvenirs vous en êtes au moment où il est venu en vous !
- Oui, comment le savez-vous ?
- Dans son journal, il décrit très bien ce moment et surtout le lendemain quand il a découvert le sang sur ses draps.
Je vais vous faire une révélation à ce point de vos vies.
Vous étiez vierge et étrange que cela puisse paraître lui aussi.
Il a écrit que cétait un grand timide malgré quil voie de nombreuses belles femmes nues dans son milieu sans jamais pouvoir leur en proposer plus.
Même en France et Italie où toutes les femmes étaient à leurs pieds après quils les ont eu libérées, il est resté vierge malgré ses poches pleines de bas de soie et de tablettes de chocolat.
Je sais ça fait cliché mais mettez-vous dans lépoque, ces femmes avaient manqué de tout.
Il parle de putes quil soignait de leurs blennorragies ou les véroles quil détectait ce qui lui coupait toutes envies de les sauter.
Je tombe des nues, je me suis fait dépuceler sans savoir que je dépucelais cet homme âgé.
Je comprends mieux quil mait couché sur son testament.
- Voilà, vous savez tout, je vais faire le nécessaire pour que vous ayez le moins de soucis possible.
Je suis prêt à vous aider pour vos affaires françaises.
- Merci, jusquà aujourdhui jétais une quantité négligeable, maintenant je vais devoir faire attention aux coureurs de dot.
- Je vous disais ça pour votre bien.
Un pucelage, pardon un dépucelage, pardon un double dépucelage et vous vous retrouvez attablé à la ferme que vous louez à un couple avec deux s.
Ils vous font goûter les produits que vous fabriquer avant de retourner à votre hôtel cinq-étoiles.
La plus belle suite bien sûr, avec petit déjeuner qui pourrait nourrir une famille avec cinq s.
Maître Édouard ma dit que toutes les minutes en dormant mon capital augmente.
Vous avez devant les yeux lordi dont vous rêviez.
- Entrez jeune homme voici les 2 000 que vous demandez pour me baiser.
Je sais je suis un peu forte mais je paye alors à nous.
Cest vrai il faut dire que depuis lAmérique où jétais grosse comme un fil avec lâge, mes formes se sont arrondies.
- Voici le programme beau gosse, vous me léchez la chatte jusquà ce que je jouisse.
Ensuite levrette et vous me baiser avec votre gros sexe si ce que vous disiez sur votre site est bien réel.
On a le temps mais sans plus, jai mon avion pour les USA à 11 heures demain matin.
Devant mes yeux pendant quil me laboure mayant bien sucé jai mon billet pour le Tennessee.
Je dois me recueillir sur la tombe de John avant de faire la route 66 à moto.
Fantasme que la mort de maman mavait empêché de faire.
Jai déjà regardé.
Les sites américains descortes boys sont légion et je vais pouvoir en faire venir dans mon hôtel régulièrement.
Excusez, létalon qui joue avec ses pectoraux mamène ce que je cherchais.
Sexe, sexe, sexe.
Orgasme, orgasme, orgasme.
Merci John.
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