Le Canter

Maurice est revenu avec un joli pur-sang arabe, nerveux que Damien a monté avec les étriers.
Paul je pense que tout à l'heure nous mangerons sur la terrasse, prévois une chaise en bambou pour ce centaure. Il a eu un petit ricanement en avançant dans la cour vers l'allée cavalière. A cette allure là tout allait bien si ce n'est l'écartement des cuisses pour être calé sur les reins de Brutus.
Arrivé sur l'herbe de l'allée il a accéléré au petit trot que je ne pouvais faire qu'asssis et non enlevé sans les étriers. Une fois sur deux mes couilles tapaient les reins du bel animal. Je serrais les cuisses pour empêcher d'avoir trop mal mais il était vraiment fort des reins, m'obligeant à écarter les cuisses au maximum. Il a attaqué un galop dans la ligne droite.Brutus a suivi docilement et je me suis penché sur lui me tenant à la crinière.
Il s'est remis au trot puis au pas se mettant à ma hauteur.
Les couilles vont bien bâtard?
J'ai mal mais je suppose que c'est votre but maître.
Tout à fait . Tu crois que Brutus a mal lui?
Non je ne pense pas maître.
Bien tu comprends que tu es moins qu'un animal donc. Nous allons rentrer au petit trop de chasse pour que tu sentes un peu plus tes boules de pseudo dominant.
Aussitôt dit aussitôt fait , j'ai ressenti à nouveau mes boules même quand je serrais les cuisses sur Brutus pour me soulager un peu je ne tenais pas longtemps. Il s'est mis au pas arrivé dans la cour. Maurice attendait , pas pour m'aider mais féliciter son animal. Seulement ensuite il m'a fait descendre ou plutôt tomber du cheval.
Tu as mal lopette?
Vachement oui monsieur Maurice.
Je donnerais à Paul un onguent pour te masser les morceaux. Il a eu un rire de gorge. Après le massage tu iras mieux même si ça chauffe.
Damien était descendu et avait tendu les rênes à un des palefreniers que je n'avais pas encore vu. Lui par contre a bien vu ce qui était inscrit sur mes fesses.

Il s'est passé la main sur la braguette d'un geste sans équivoque.
Damien montait sur la terrasse où il s'est assis sur un fauteuil me montrant la chaise en bambou. Je marchais cuisses ouvertes et s'est en soutenant mes couilles que je me suis assis.
Pour la première fois ma nouille a eu du mal à se dresser quand Paul a apporté un plateau avec deux orangeades fraîches. La chaise faite en bambou n'était pas génante mais je sais qu'elle allait après un moment assis dessus laisser la trace des bambous comme des grilles.
Ne soutiens pas tes couilles! Tu as mal et alors! Tu as blessé tellement de mecs qu'il faut bien te remettre les idées au bon endroit. Après manger j'irais faire une sieste et Paul installera devant la terrasse une sorte de banc pour toi. Tu pourras reposer tes fesses.
Tu peux servir Paul.
Il a disposé les assiettes les verres et couverts puis une grande salade qu'il a réparti dans les assiettes, en posant une à terre au pieds de Damien et l'autre devant Damien. Damien s'est reculé un peu.
Tu vas me sucer mais cette fois ce qui t'arrivera dans la bouche agrémentera ta salade en sauce. S'il en part sur tes joues tu ne t'essuieras pas . Un esclave n'a que ses trous propres!
J'ai mis une main de chaque coté de l'assiette et dégagé sa queue, toujours aussi belle et imposante et l'ai décalottée des lèvres pour le sucer. J'ai senti sa main sur ma tête me forçant à en prendre plus en bouche, je bavais sans savoir où ma bave allait et quand il a eu un spasme j'ai retenu le maximum de sperme pour le lâcher sur la salade.
Bien, mêle un peu de la langue et mange. Oui, je sais que tout les mecs voiens tes fesses marquées lope au feutre noirz et ébrées et alors! Moi ça ne me gêne pas. J'aime bien le O au centre de tes fesses- Mange ou plutôt bouffe chienne.
Je n'avais pas mangé beaucoup et cette salade était la bienvenue même arrosée de sperme je l'ai mangée entièrement , léchant l'assiette. Le mal avait un peu disparu et quand j'ai relevé la tête Paul me fixait un peu ironique.
J'ai senti qu'en effet je bandais à nouveau.
Je me suis demandé si je n'avais pas une part de masochisme en moi.
Il m'a relevé par le collier me faisant descendre dans la cour ou une espèce de banc était installé. Un trou au centre de l'assise, il m'a fait mettre à califourchon, pencher pour introduire sexe et couilles . Passant la main dessous il a actionné un crochet qui les retenaient. Pour ne pas être trop écarté j'ai posé les doigts de pieds sur le banc. Il a lui attaché le collier mais de façon à ce que je n'ai que peu de liberté.
On ne croirait pas à te voir comme ça que tu sautais des mecs. Pour t'éviter des coups de soleil , le personnel exclusivement mâle va te couvrir régulièrement.
Je ne les ai pas vu. Je suçais un mec qui arrivait par le coté. Une fois bien salivé il se plaçait sur moi et me prenait, remplacé par un autre dans ma bouche. Chacun des coups de reins me tirait sur le sexe et les couilles. A force d'être chauffé mon anus a commencé à secréter une humeur qui facilitait leur entrée et les va-et-vient. Ils se relayaientdans ma bouche et mes fesses. Je ne pense pas qu'ils étaient plus que quatre. Mais si ils ont joui ce fut chaque fois dans un endroit différent. Ma bouche, mes fesses, mes reins , les joues , je devais sentir le jus de mec mêlé à leur odeur d'hommes de cheval. J'ai du jouir aussi, la queue malmenée à chaque coups de reins. Ils ont fini par partir. Une voix du haut du manoir.
Bien été baisé la lope?
Oui maître ils y sont allés fort.
Pas des gars de la ville. De bons travailleurs.
Paul, détache le, qu'il se lave et qu'il monte On va voir son moral.
Paul m'a conduit sous l'escalier pour une douche nécessaire de la tête aux pieds et un lavement qui s'est passsé tout seul, même devant Paul qui matait.
Sèche toi. Marrante ta queue au repos. Recroquevillée dans le prépuce elle fait moins viril. Viens on va le rejoindre.
Il attendait encore nu sur le lit.
Ha je vois que tu commences à comprendre ta place.
Approche et toi Paul mets toi face à lui.Toi la lope tu vas astiquer ce qui te sers à pisser.
J'ai passé les doigts sur mon sexe mais je n'ai obtenu qu'une petite érection, molle et moins épaisse.
Tu n'as pas entendu? Branles toi devant lui. Tout à l'heure dès que tu le voyais tu bandais alors vas y!
Je baissais la tête et tentais de bander mieux ça me devenait dur de bander. Alors j'ai ravalé ma honte et me suis mis deux doigt dans le cul et là j'ai bandé, pas immense mais mieux.
Stop! Garde tes doigts et branle ton cul avec. Fixe Paul dans les yeux!
J'avais honte mais il a du le voir et souriait. Je bandais de me branler le cul devant un mec que j'aurais baisé il y a peu.
Je suis sur que tu voudrais quelque chose de plus pour avoir les deux mains pour te branler
Oui maître.
Recule toi sur le coin du lit , non, ne regarde pas. Tu sais qu'il y a une boule aux qatre coins, quand tu sentiras le bois tu te soulèves et tu t'empales dessus tout en te branlant. J'ai senti en effet le poteau et la boule derrière moi et en me dressant sur la pointe des pieds j'ai pu me placer juste au dessus de la boule.
Laisse toi aller dessus et garde le regard sur Paul. Dis lui que tu aimes faire ça, comme tu godais tes mecs.
C'était tellement vicieux. Je me suis laissé aller sur la boule en répétant les paroles de Damien. J'étais tellement ouvert que c'est entré facilement. Par contre je me branlais mais pas de jus.
Tu es sec petit bâtard? Tu veux que je te branles au gant de crin?
Ho no... Si vous voulez maître. Il avait du déjà le mettre car j'ai aussitôt senti les petites piqûres du crin le long de mon sexe et sur mes couilles. Regard narquois Paul avait ouvert son pantalon et se branlait hors d'atteinte de mes mains.
Je sais ce que tu penses! Tu sens que tu aimes la douleur et tu es étonné. Vous êtes souvent comme ça les ex-maîtres. Vous faites souffrir et quand vient votre tour vous en chialeriez! Il faisait de lents aller et retour de mes couilles au gland et je râlais presque inconscient, de plaisir mêlé à la douleur.
J'ai eu un sursaut sur la boule et jouis devant moi encore une fois.
Peu de jus mais cambré sur la boule, j'ai fermé les yeux et allait me laisser partir dans les vaps quand Damien m'a filé un coup de cravache sur les fesses. Empalé sur la boule j'ai crié. Je ne savais plus où j'étais. J'ai encore couiné quand il m'ont tiré par les aissellles pour me retirer de la boule du lit me laissant tomber sur le tapis.
On est moins fier le baiseur de minet? On a compris sa vraie place?
J'au répondu oui maître mais les yeux baissés.
Regarde moi. Tu es quoi?
J'ai eu du mal a le regarder dans les yeux. Une lope maître.
Bien. Donc ce que tu croyais servir à baiser ne te sers plus. C'est ça?
Euh si maître , pour pisser.
Oui et c'est tout! Une décoration méritée mais qui ne rentrera plus ni dans une bouche ni das un cul. Compris bâtard?
Oui maître.
On verra le temps où tu vas rester si tu tiens tes promesses.

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