Le Chantier

C’était un jour comme un autre, un jour de travail en plein mois de juillet où la chaleur du soleil était étouffante. Je devais me rendre sur un chantier afin de faire une visite des ouvriers et récolter leurs plaintes et, une fois de plus, mon patron a préféré envoyer une femme pour adoucir tous ces hommes.

J’avais décidé de montrer à ces machos de quoi une jeune architecte était capable. Je me suis donc vêtue de mon tailleur le plus strict et sexy que j’avais. Cependant, vu la chaleur, je n’avais pas mis de sous-vêtements ainsi ma jupe légèrement fendue sur le côté et ma blouse blanche légèrement transparente moulait à la perfection mes formes.

Après un petit débriefing de mon boss, je pris les devants et alla sur le chantier en question. A peine arrivée sur les lieux, j’eu la merveilleuse surprise de constater que toutes les ouvriers étaient à torse nu et que leur corps perlaient de sueur. Cette vue commença à m’émoustiller…

J’allai vers un jeune automaticien pour lui demander où était le contre-maître. Je remarqua que malgré son jeune âge, cet employé avait prit le temps de scrupuleusement me dévisager de la tête aux pieds avant de me répondre : « Il doit être dans le hall du bâtiment pour se refroidir un peu, Mzelle »… Etant choquée de ce manque de respect, je lui répondis avec un ton très sec « Ce n’est pas comme ça qu’on parle à une architecte. Je ne suis pas une ouvrière mais la personne qui peut vous licencier sur le champs »… Avec un regard coupable et une voix tremblante, ce jeune insolant me demanda si je voulais qu’il me montre où était le hall…

Il me fit passer devant lui et m’indiqua le chemin… Je sentais son regard sur mes fesses et compris à son soupir qu’il avait remarqué que je n’ai rien sous mes vêtements. Une fois sur place, quelle ne fût pas ma surprise de constater que, d’une part, le contre-maître n’était pas là mais que, d’autre part, je me retrouvais dans une pièce sans issue pour seul décor des murs de miroirs…

Le jeune homme se dirigea vers moi en me fixant de telle façon que je savais exactement ce qu’il désirait.

Je dégrafa les deux premiers boutons de mon chemiser laissant entrevoir ma poitrine… Lui continua à s’avancer dans ma direction… Je sentais de plus en plus l’excitation monter en moi, mon corps commença à le réclamer, mon pouls s’accéléra, mes mains devenaient moites… Sa démarche sûre me rendait folle de désirs pour lui, ses lèvres m’appelaient et je le voyais s’approcher de plus en plus…

Arrivé à ma hauteur, il me coinça contre un miroir et me chuchota à l’oreille « Qui maintenant à tous les droits ? » Il avait raison dans cette situation je ne pouvais plus rien dire, il me restait juste qu’à succomber à ses attentes et à mes plaisirs…

Je le vis désormais comme un homme… Il déchira ma blouse et m’arracha mon soutient-gorge… Je me trouvais donc là devant lui les seins à l’air n’attendant plus qu’une chose ; qu’il me prenne sur le champ… Puis il remonta ma jupe et commença à me caresser la chatte… Sans trop attendre et ne souhaitant que m’occuper de lui, je m’agenouilla et le suça fermement…J’enroula ma langue autour de son gland et, à chaque va et vient de sa bite dans ma bouche, je lui faisais découvrir les plaisirs d’un piercing à la langue. Après de longue minutes d’une bonne pipe très excitant, sa queue bien raide était finie prête à me pistonner la moule.

C’est donc avec force et dureté qu’il me leva et me pénétra… Etant plaquée contre le mur du fond, je ne pouvais bouger et n’avais la vue que sur les miroirs nous entourant… Je pouvais voir avec précision son corps se mouvoir, la vue sur ses coups de reins et ses fesses me faisait encore plus m’exciter…

Afin qu’il puisse aussi profiter du décor, il me coucha sur un plastique à même le sol et continua à me pénétrer en missionnaire tout en regardant mes réactions dans les glaces… Ce spectacle lui donnait encore plus l’envi de m’en faire baver… Il me retourna et me mit en levrette et d’un coup, d’un seul, m’enfonça son pilon dans le cul… Je jouissais de plaisir et me demandais comment savait-il que j’adorais qu’on me démolisse la rondelle.


En levant la tête de plaisir, je vis que le contre-maître nous observait… Il était dans l’entrée dans la nuit du couloir entrain de se branler… L’ouvrier l’invita à nous rejoindre afin de procéder à une double pénétration… Se fût certes avec plaisir que le contre-maître se coucha et me fit grimper sur lui afin que je vienne m’empaler sur sa bite… Ne pouvant me contenir j’effectuais de rapides et intenses coups de bassin afin que je sente avec tous les détails sa queue s’enfoncer dans mon vagin…

L’ouvrier me voyant prendre mon pied, se mit derrière moi et m’agrippa les hanches… Ne m’y attendant pas, il fit entrer violemment son dard dans mon cul et commença à me limer fortement… Puis il me prit fermement par les seins et, sentant la jouissance arriver, accéléra les mouvements… Le contre-maître n’en pouvait plus de ce spectacle et jouit en moi… L’ouvrier à son tour vida ses couilles sur mes fesses…

Comme si de rien ne s’était passé, les deux hommes allèrent vaguer à leur affaire et moi, de mon côté, je repartis au bureau sans plaintes à transmettre à mon boss…

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