Collection Histoire Courte. Nuit Noire (1/1)

- Bonne route mon chéri, dommage que tu doives repartir pendant deux jours au milieu de nos vacances.
L’an prochain, nous partirons à l’étranger, nous contournerons l'obligation de revenir à la société en urgence.
- Passe une bonne nuit, mets bien, l’alarme dès que je serais parti, on se tient au courant par téléphone.

Je lui fais signe quand il franchit le portillon à fermeture automatique.
Je vais dans la maison jusqu'à la porte d’entrée et je mets sur "alarme" le portail m’isolant du reste du monde.
Mon mari a de hautes fonctions dans cette entreprise et nous avons pu nous offrir cette villa au bord de mer vers Montpellier où nous venons dès que nos emplois du temps le permettent.
C’est le cas depuis presque 8 jours, j’étais contente que Victor ait pu décrocher.
Le stress le restant de l’année nous empêchant de plus en plus d’avoir des rapports intimes.
À 28 ans, marié depuis 8 ans, Victor étant le seul homme de ma vie, je l’ai rencontré chez des amis et dès le premier soir moi qui était vierge je suis devenue son amie.
Je devrais dire sa maîtresse, car pendant deux ans, je le suis restée, dans une situation bâtarde Victor étant mariée avec Véronique et ayant deux s.
J’avais 18 ans quand lors du repas, étant assise à sa gauche, sa femme de l’autre côté, après un regard peu correct de ma part avec cet homme marié, lui disant simplement

« Tu es très beau, ma chatte dégouline de plaisir simplement en te regardant, je suis à toi dès que tu le voudras. »

Je m’appelle Alice et je suis étudiante en fac pour devenir interprète.
J’ai toujours privilégié mes études aux amusements des jeunes de mon âge, c’est pour cela que je suis encore vierge.
À part Yvette qui se réserve pour sa nuit de noce, toutes mes autres amies ont perdu leur virginité dans des soirées de beuverie.
Parmi elles, Sonia, grande rousse super nichons comparée à moi qui suis blonde et qui ai des seins dans la moyenne.


Le garçon qui l’avait branché et faite boire l’avait dépucelé dans la chambre à l’étage sans qu’elle en ait le moindre souvenir.
C’est en se réveillant pour aller aux toilettes vers 10 heures du matin qu’elle s’est aperçue que les draps du lit se trouvaient maculés de son sang.
Pour corser le tout, elle avait mal aux fesses, plus exactement à l’anus.
Se passant deux doigts, elle avait ramené du sperme en grande quantité.
Non seulement elle avait été dépucelée, mais aussi été sodomisée.
La quantité de sperme que ses doigts lui ont rapporté, lui a fait douter qu’un seul garçon soit entré dans son anus.
Nos copines présentent lui ont dit avoir vu des garçons parler entre eux et monter à l’étage en redescendant l’air satisfait.
Elle avait perdu ses illusions lors d’une tournante, heureusement pour elle sans en prendre conscience.
Depuis ce jour et pendant trois ans, elle s’est fait sauter par tous ceux qui voulaient d’elle.
Certaines copines disaient que c’était devenu la pute du lycée et des soirées chaudes.
Mais comme toute chose excessive doit avoir une fin, elle a épousé un gentil garçon qui depuis lui a fait trois s.
Elle habite dans un quartier d’une grande ville et ses voisins lui donnent le bon dieu sans confession.
De mon côté, je ne connaissais du sexe que la caresse de mon clitoris, dès qu’il s’est développé et qu’il a réagi à ma première sollicitation.

Je m’apprêtais à rejoindre ma chambre d’étudiante quand je l’ai entendu dire à sa femme.

- Chérie, prend la voiture, voilà les clefs.
Je dois voir notre hôte pour une commande primordiale pour notre entreprise.
Je rentrerais dès que j’en aurais terminé.

Sa femme, très belle voulait l’attendre, il lui a dit qu’il appellerait un taxi pour rentrer.
Dès qu’elle est partie, il est venu vers moi et là j’ai été folle.
Il m’a proposé de le ramener, j’avais mon permis depuis peu et maman m’avait laissé sa voiture que je devais lui rendre dès que possible.

Il avait dû me voir arriver.
Le repas où j’étais venu était offert dans le cadre d’une promotion pour un produit que mon père vendait dans sa boutique de parfums.
Préalablement à l’invitation, mes parents avaient réservé à Marbella pour leurs quarante ans de mariage.
Comme il était bien qu’ils honorent cette invitation, c’est à moi qu’ils ont demandé de venir à ce repas.

Il est monté à mes côtés et m’a demandé de venir boire un dernier verre chez moi.
Je savais comment les choses allaient se terminer, mais j'ai accepté.
Avant le palier il m’embrassait et la porte franchie, mes fringues m’ont quitté miraculeusement.
J’ai ouvert son pantalon et je me suis agenouillée.
Je savais qu’en préliminaire les hommes aimaient se faire sucer.
J’ignorais à ce moment que sa femme refusait de lui faire des fellations et que je venais de marquer un point.
Je m’étais levée tard et mon lit était défait, ça n’a pas eu l’air de le gêner quand il m’a jeté dessus, qu’il a mis sa bouche sur ma chatte et qu’il a trouvé mon clitoris.
J’ai dit que j’aimais me caresser, mais la décharge qui est partie dans mes reins au bout de quelques minutes de léchage et de mordillements m’a bien préparé à être prise par sa verge que j’avais vue de près.
Surtout ma bouche.
Il est venu sur moi restant sur un bras, prenant sa queue et la plaçant au centre de mon intimité qui dégoulinait d’envie.
J’ai constaté, après son départ pour mieux revenir que j’avais littéralement mouillé mes draps.
Je dis bien pour mieux revenir, mais aussi pour me déménager dans un trois pièces avec garage.
Il payait le loyer et venait baiser chaque fois qu’il réussissait à s’échapper du carcan familial.
Il me disait qu’il m’aimait et qu’il allait divorcer pour m’épouser.
Douze mois à étudier et à l’attendre mais je sentais que je m’enfonçais dans un rôle de maîtresse attitré or j’avais de l’ambition.
Dans le quartier où il m’avait fait emménager, parmi les honnêtes femmes, j’étais considérée comme la pute d’un homme marié.

Je m’en foutais il me baisait avec avidité chaque fois qu’il rentrait dans mon lit.

Un jour, il était parti depuis un peu moins d’une heure quand sa femme l’a aidé à prendre sa décision.
Elle se doutait de mon existence sans savoir que nous étions assises proche l’une de l’autre le jour de notre rencontre.
Elle a fait un procès dans lequel il a perdu sa chemise et surtout son entreprise qu’il avait créée avec l’argent de sa belle-famille.
Il savait ce qui lui arriverait, c’est pour cela qu’il avait fait de moi une jeune femme entretenue.
C’est à ce moment que je l’ai récupéré, car ce divorce difficile l’avait mis plus bas que terre.
Victor étant un être brillant a su rebondir.
Même s’il ne gère pas comme dans le passé, il est bien payé car indispensable à la bonne marche de la société qui l’a recruté.
Hélas cela a des servitudes que je subis en ce moment après son départ.
Même notre période de vacances est loin d’être respectée.

Quand je suis dans notre maison d’été, je vis nue.
C’est le cas en ce moment où après avoir enclenché la sécurité du portail, je vais dans la piscine pour me fatiguer un maximum afin d’oublier mes pulsions sexuelles jusqu’au retour de mon amour.
Je fais des longueurs, j’aime le soleil qui chauffe ma chatte, chaque fois que j’arrête pour souffler et que je fais la planche.
Épuisée, je sors de l’eau pour m’allonger sur l’un des matelas positionnés dès notre arrivée autour de la pelouse.
Pile et face, après m’être enduite d’huile solaire, je me fais cuire comme un steak.
Mon but est simple, je souhaite avoir un bronzage qui tienne le plus longtemps possible avant d’aller faire des UV dans mon institut de beauté.

J’ai dû m’endormir, quand je sens que l’on m’écarte les jambes.
J’ouvre un oeil, la nuit est noire.
J’entends simplement un souffle cour.
Avant que je réagisse et que je hurle, une bouche et surtout une langue vient agresser mon clito.

Victor a dû revenir plus tôt que prévu et doit avoir vu que je n’étais pas dans notre chambre.
En me cherchant il m’a trouvé dormant depuis quelques heures près de notre piscine.
Cette langue est bizarre !
Je suis capable depuis le temps que nous baisons de reconnaître mon amant, puis mari, étant le seul qui a eu l’honneur de s’occuper de mon intimité.
C’est à ce moment que je sens une chose longue venir caresser ma bouche, je jette une main en avant pour sentir une verge comme j’ignorais qu’il en existait.
Je devrais me défendre, ruer, mais cette véritable mangue sur mon clito conjugué à cette langue au fond de mon vagin me fait émettre des grognements tellement il m’est impossible de parler.
La tige qui est au fond de ma gorge m’empêchant de dire la moindre chose.

J’avance mes mains pour saisir la tête que je devrais repousser.
Hélas j’ai été tellement surprise par la rapidité sur mon clitoris qu’il m’est impossible de le faire arrêter.
Au contraire, j’appuie pour qu’il entre plus profondément en moi.
Définitivement, je repousse l’hypothèse que Victor m’ait rejointe quand je sens des cheveux courts et crépus sous mes doigts.
Je me sens abandonnée quand cette bouche quitte mon clitoris, mais c’est pour mieux sentir une verge au moins identique à celle que j’ai dans ma bouche.
Elle est énorme, même si la nuit noire m’empêche de la voir.
Je la sens passer quand mes grandes lèvres sont écartées.
Je mouille énormément, comme au premier temps de nos baises dans mon appartement de pute de luxe.
Ce qui est étrange, c’est qu’à part mes grognements, mes assaillants n’émettent aucun son, comme s’ils avaient l’habitude de venir violer des femmes seules dans leur maison.
Au début, on peut parler de viol, mais quand les deux verges déchargent ensemble dans ma chatte et dans ma bouche me faisant jouir énormément, je suis en train de me donner.
Quand la bite dans ma bouche se retire et que l’on me fait tomber de mon transat sur le corps d’un de mes assaillants, je suis de nouveau empalée.
Un mouvement et je sens un sexe se placer sur ma rosette et s’enfoncer sans prendre la moindre précaution.
Il me prend par l’anus d’une grande poussée longiligne.
Prise en sandwich, moi qui ai oublié de manger, il me prend par les hanches pour me pilonner plus profondément.
Prise en double pénétration, la bouche libre, je hurle comme une louve mon plaisir avant de tourner de l’œil sous l’orgasme comme jamais ressenti.

C’est la brûlure du soleil qui me réveille, je suis seule à côté de mon transat, les jambes écartées.
Lorsque je passe ma main sur mon entrejambe, je ramène du sperme en grande quantité.
Impossible d’avoir rêvé.
Mon premier réflexe est de me doucher, mais je pense qu’il est nécessaire de garder les traces de ce que ces deux hommes certainement blacks m’ont fait subir.
Il est urgent de les arrêter.
Quand j’arrive en ville, c’est jour de marché, je remonte entre les étals sentant le sperme et ma mouille couler le long de mes jambes.
Alors que j’arrive à quelques mètres du planton black aux cheveux crépus sous son képi, gardant la gendarmerie, à ce moment à quelques mètres, je remarque deux magnifiques noires vendant des sacs et des ceintures.
Pourquoi faire arrêter deux si beaux spécimens et surtout deux aussi bons baiseurs que ceux que j’ai subis cette nuit ?
Pardon, subit quelques secondes, mais qui m’ont fait jouir comme jamais, de plus que vais-je répondre aux gendarmes quand ils me demanderont une description ?
À part les cheveux crépus, la nuit étant noire, il me serait impossible de désigner qui que ce soit.
Le gendarme planton ou les vendeurs de ceintures.
Et pourtant j’avais mis l’alarme.

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